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Les leçons d'Anglais

Chapitre 2

Inceste
De retour dans la chambre, nous nous embrassâmes et nous commençâmes un 69. Je léchais sa chatte toute mouillée et elle suçait ma queue bien raide.Ni l’un ni l’autre n’avons entendu, Mary et John monter se coucher. Ils ouvrirent la porte de ma chambre et je les vis, elle dans une nuisette transparente, lui en tee-shirt et en slip.Je sursautai et je tentai de me cacher, surtout par peur de « représailles », mais Fiona, se mit à rire en me disant : « Je te présente mes amants ».Très gêné, je n’osais pas bouger... Mary vint s’allonger près de moi et elle me dit : « Depuis que tu en as envie... Ce soir, tu vas perdre tous tes pucelages ».Fiona retira le slip de John et elle prit son sexe dans sa bouche, tandis que Mary me confiait que les bruits des nuits précédentes n’étaient pas les siens, mais ceux de Fiona, quand elle faisait l’amour avec elle ou avec son père. Avant que je ne réagisse, Mary prit mon sexe dans sa bouche. Après ces révélations, je compris que le jeu de Fiona avait pour seul but de me mettre dans le lit de son père et sa mère. Je dirigeai ma langue vers le sexe de Fiona et je la léchai comme elle m’avait appris.Après qu’elle eut joui dans ma bouche, je dirigeai ma langue entre les cuisses de Mary, qui était déjà toute mouillée.Fiona glissa le vibromasseur dans mon petit trou, pour bien m’élargir, pendant que Mary équipait son ventre d’un « gode ceinture » qu’elle avait l’intention d’enfoncer dans mon petit trou.Fiona me retira le vibromasseur et elle s’allongea sur le lit. Elle écarta bien ses jambes afin que le puisse a nouveau la lécher. Après avoir joui dans la bouche, je m’allongeai sur elle et je la pénétrai enfin, après quelques va-et-vient, je sentis que j’allais jouir en elle et je ralentis le mouvement pour contenir mon envie. Mary en profita avec son « gode ceinture » attaché à son ventre, elle l’introduisit dans mon petit trou, ce qui décupla aussitôt ma jouissance, comme l’avait fait le vibro.
Nous restâmes un bon moment liés tous les trois sous œil de John, qui se masturbait doucement. Je ne quittais pas le sexe de Fiona, mais Mary quitta sa position, qui fut immédiatement reprise par John. La grosseur de son sexe me fit mal, mais il entra doucement. Au bout de quelques secondes, je commençai à aimer et je jouis des deux côtés en même temps. Je déversai toute ma semence dans le sexe de Fiona.
John sortit sa queue de mon petit trou et il la donna à sucer à Fiona, qui la prit entièrement dans sa bouche, et qui me fit participer à son jeu en mettant cette grosse queue dans ma bouche. De son coté, Mary avait pris Fiona par derrière avec son gode. John envoya tout son sperme dans ma bouche et Fiona me demanda de tout avaler. La nuit se termina en continuant notre amusement.
Fiona m’avait averti que je perdrais tout mes pucelages en même temps.Le lendemain, nous fîmes une photo, Fiona et moi se tenant par la main et entouré de Mary et John.La fin des vacances fut des plus sympathiques, nous flirtions tous ensemble dans le salon, nous nous caressions et faisons l’amour sans retenue et nos nuits furent très agitées. Nous avons décidé d’utiliser qu’une seule chambre (celle de Mary et John) qui possédait un très grand lit et surtout une salle de bains attenante.John et Mary me reconduisit à la maison, mais elle laissa Fiona à la gare de Moret, où un train direct l’emmènerait vers Paris. Notre « Au revoir » fut un long baiser et nous nous promîmes de nous revoir le plus vite possible.De retour à la maison, ma mère s’aperçut bien de quelque chose et elle me posa la question : « si j’étais amoureux de leur fille », je lui répondis que oui et que nous nous étions embrassés sur la bouche.Mes leçons du jeudi après-midi reprirent comme avant les vacances, mais avec une joie non dissimulée, Mary était toujours aussi dure pour l’anglais, mais me laissait voir et toucher ses jolies cuisses, j’avais envie d’elle, mais elle me dit que nous ne ferons l’amour qu’en présence de John et de Fiona. Nos repas du mardi ont donc été reportées au samedi puisque Fiona venait passer le dimanche chez ses parents. Hélas, je ne pouvais pas passer la nuit dans les bras de mes amantes et de mon amant, afin que mes parents ne s’aperçoivent de rien. Je rentrais sans faire de bruit vers minuit et ma mère, qui m’attendait, me demandait si la soirée s’était bien passée.Je regagnais ma chambre en attendant la semaine prochaine et surtout les vacances prochaines.Aux vacances de Pâques, Mary demanda à mère si je pouvais passer les vacances avec eux à Montigny. Mon plaisir fut immense quand celle-ci accepta, surtout que j’avais de très bonnes notes en anglais.Puis les grandes vacances arrivèrent, Mary proposa à mes parents que je parte en Angleterre avec Fiona chez sa grand-mère pour m’imprégner de la culture britannique. Ma mère accepta encore.
Nous partîmes vers le 14 juillet pour revenir vers le 15 août. Mon séjour en Angleterre ne fut pas que studieux, nous ne faisions pas trop de bruit afin de ne pas éveiller de soupçons chez la grand-mère de Fiona et nous comptions bien nous rattraper à Montigny.Les vacances s’achevèrent dans la maison de Montigny, où nos jeux avec Mary et John devinrent de plus en plus merveilleux.Fiona et moi nous faisions de plus en plus de confidences, si bien qu’elle m’avoua qu’elle n’avait eu que deux amants, son père et moi. Elle me raconta aussi que, le jour de ses 15 ans, elle avait entendu du bruit dans la chambre de ses parents, qu’elle avait espionné à leur porte, qu’elle avait regardé le spectacle de sa mère en train de faire une fellation à son père, qu’elle n’avait pas pu s’empêcher de se caresser et qu’elle avait fait du bruit au moment de jouir.Sa mère l’entendit, mais, plutôt que de se fâcher, elle invita sa fille à se joindre à eux. Fiona s’allongea à côté de ses parents, sa mère lui retira sa chemise de nuit et elle commença à la caresser. Fiona jouit à nouveau et son père lécha son jus. Sa mère lui apprit les caresses d’une autre femme, qui avait appris elle-même en pension avec des copines plus âgées qu’elle.Son père lui caressa les fesses et mit un doigt dans son petit trou, puis sa mère enfila un étui à cigare comme elle l’avait fait avec moi. Son père ne perdit rien du spectacle et après l’avoir bien préparée, il enfonça son sexe dans son petit trou en allant très doucement. Sa mère en profita pour la lécher et pour susciter son envie de faire l’amour pour la première fois, ce que fit son père. Elle n’avait jamais joui autant, de sorte qu’elle décida de recommencer la nuit suivante.Elle m’avoua aussi qu’elle n’aurait jamais d’enfant, qu’elle n’avait pas d’ovulation et que sa mère portait un stérilet, si bien qu’elles ne risquaient rien à faire l’amour.Les années me séparant du Bac se passèrent en travaillant mes cours et en faisant l’amour avec mes amants.Après sa licence de droit, Fiona dut partir à Bordeaux pour continuer ses études. Moi, après le Bac, je partis à Montpellier pour entrer en Fac. Nos vies se séparèrent. Nous n’avions des nouvelles que par nos parents.Pendant mes études, j’ai eu quelques aventures très courtes, mais elles ne me satisfaisaient pas, mes pensées revenaient toujours vers Fiona, Mary et John.Aux vacances, je rendais visite à Mary et John, qui me donnaient des nouvelles de Fiona. Ils m’annoncèrent qu’elle fréquentait un homme de son âge et que cela avait l’air très sérieux.Je ne revis plus Fiona, tandis que John était fortement déçu et très jaloux de son fiancé.J’appris par mes parents, qu’elle s’était mariée, qu’elle habitait Paris et qu’elle venait voir ses parents de temps en temps. Quelques années ont passé. De mon côté, je fis la connaissance d’une femme, que j’épousai l’année suivante. La page des amours d’adolescent était tournée et je me consacrai uniquement à mon travail.Les années passèrent. J’avais maintenant 40 ans, ma vie était surtout tournée vers mes occupations professionnelle et ma vie conjugale n’était pas une réussite, mais je n’en contentais.Lors d’une visite chez un client rue de La Boétie, je rencontre par hasard Fiona, qui était aussi pressée que moi. Nous eûmes juste le temps de nous embrasser sur la joue et d’échanger nos coordonnées en nous promettant de nous revoir un jour pour déjeuner.
De retour au bureau vers 16 heures, ma secrétaire, m’informa de l’appel d’une certaine « Fiona ». Comme elle me voyait troublé par cet appel, elle quitta mon bureau et ferma la porte. Je rappelai Fiona dans la minute qui suivit et après quelques banalités, nous prîmes rendez-vous pour le déjeuner du lendemain. Je libérai aussitôt mon emploi du temps pour l’après-midi.
De retout à la maison, je racontai à ma femme la rencontre avec Fiona, mon amie d’enfance, mais je lui cachai notre rendez-vous du lendemain. Ma nuit fut perturbée, tous nos jeux d’adolescents me revenaient à l’esprit et je ne pus m’empêcher de me masturber (heureusement que ma femme a l’habitude de prendre des somnifères).J’arrivai au bureau de bonne heure comme d’habitude et la matinée me parut interminable, malgré le travail. Ma secrétaire s’aperçut de ma perturbation et elle me demanda plusieurs fois dans la matinée ce qui se passait et si elle pouvait faire quelques chose.Après sept ans de travail ensemble, elle avait appris à me connaître et elle comprit que cette Fiona m’avait véritablement perturbé. Comme elle connaissait aussi l’état de ma vie conjugale, elle fit très vite le rapprochement. J’avais donné rendez-vous à Fiona à 12 heures 30 au Bistro Romain de l’avenue des Champs-Elysées. J’étais en avance, si bien que je vis arriver Fiona dans une robe très sexy avec des chaussures à talons de 10 centimètres. J’avais quitté une belle jeune femme douze ans plus tôt et je retrouvais une superbe femme très féminine. Mes fantasmes d’ado me jaillirent en mémoire.Nous prîmes l’apéritif et nous déjeunâmes en nous détaillant nos vies respectives, pas très réussies, puis nous échangeâmes nos souvenirs d’ados et je lui demandai des nouvelles de ses parents, qu’elle va voir régulièrement et qui lui demandent de mes nouvelles. Fiona me demande des nouvelles de mes parents, qui habitent maintenant à Montigny, qui vont bien malgré leur âge et que je vais les voir régulièrement. Elle ne les connaissait pas bien, mais elle me charge de leur transmettre ses amitiés à ma prochaine visite.Nous passâmes ensemble trois heures, que je n’ai pas vu passer, puis nous nous quittâmes, avec une forte envie de nous revoir l’un et autre. Fiona me donna le numéro de téléphone de ses parents et elle me dit que cela leur ferait plaisir d’avoir de mes nouvelles.
De retour au bureau, ma secrétaire vit mon trouble, elle me demanda si mon rendez-vous s’était bien passé. Je la rassurai et elle n’insista pas.Quelques jours passèrent et je pris la décision d’appeler Mary et John. Fermant la porte de mon bureau pour être plus tranquille, je composai en tremblant le numéro.John décrocha. Après m’être présenté, je lui demandai si je ne le dérangeais pas, mais ils attendaient mon appel, parce qu’ils avaient déjà eu Fiona au téléphone, qui leur avait raconté notre déjeuner.Nous échangeâmes des nouvelles et ils m’invitèrent pour le soir même, en ajoutant que Fiona serait là.Ma réponse affirmative ne se fit pas attendre et John me demanda si je me souvenais où ils habitent. Je m’en souvenais puisque j’y étais allé tous les jours. Je quittai le bureau prématurément et je prétextai une forte migraine, même si ma secrétaire n’en crut pas un mot.Je rentrai à la maison pour me changer et pour prévenir ma femme d’un diner imprévu et pour me libérer de mes obligations familiales.Vers 20 heures 15, j’arrivai à Montigny. Le village avait un peu changé, mais je trouvai sans difficulté la maison. Le portail était ouvert et une voiture immatriculée à Paris y stationnait, Fiona était arrivée.Mary et John vinrent m’accueillir et nous embrassâmes sur la bouche comme douze ans avant. Nous entrâmes dans le salon. Quelques meubles avaient changé, mais je retrouvais la même ambiance et surtout Fiona encore plus belle que lors de notre déjeuner.Nous nous embrassâmes et je la serrai dans mes bras, elle me tendit ses lèvres comme nous le faisions avant, nos langues se mêlèrent avec l’approbation de ses parents.Le diner se passa rapidement, nous nous racontâmes nos vies respectives, puis nous nous assîmes dans le salon et nos jeux reprirent comme avant, lors de nos vacances.Mais l’heure avançait et Fiona et moi devions rentrer à Paris, pour ne pas attirer les soupçons de nos conjoints. John et Mary nous confièrent qu’ils n’avaient pas eu d’autres amants que nous et qu’ils voulaient nous revoir.Nous nous embrassâmes tendrement et nous reprîmes le chemin de Paris.Nous nous retrouvâmes régulièrement à Montigny, tous les quatre, en cachant à nos conjoints le but de nos escapades.J’approchais de mes 45 ans et nos rendez-vous à Montigny se multiplièrent, ma femme commença à se douter de quelque chose, surtout que je lui avais raconté mes aventures de jeunesse, sans imaginer qu’elles pourraient se reproduire après autant d’années.Mary et John ont maintenant 70 ans et leur appétit sexuel ne les a pas quittés.Un soir, Fiona m’appelle à la maison, pour n’annoncer le décès de son père suite à une crise cardiaque, il est mort subitement pendant le petit déjeuner.Ma femme me fit une scène à cause mon intention d’aller aux obsèquesJe m’y rendis cependant malgré les protestations de ma femme, Fiona et moi entourâmes Mary de notre affection et nous restâmes l’après-midi avec elle.Lorsque toute la famille et amis eurent pris congé, Mary nous demanda de rester avec elle toute la nuit en souvenir de John.Fiona n’eut pas de problème avec son mari, ce ne fut pas le cas pour moi …Je téléphonai à ma femme pour lui annoncer ma décision de rester une nuit à Montigny, celle-ci me rétorqua : « si tu ne rentres pas ce soir, je demande le divorce ». Je passai outre et nous nous retrouvâmes tous les trois dans le salon, blottis les uns contre les autres. Nous passâmes la nuit dans le même lit, mais sans faire l’amour. Nous nous séparâmes le lendemain avec la promesse de nous revoir.
Quand j’arrivai au bureau, ma secrétaire me signala que ma femme m’avait déjà appelé et qu’elle n’avait pas l’air contente. Ma secrétaire comprit tout de suite et elle me proposa de m’héberger chez elle pendant quelques jours, parce qu’ils ont une chambre d’amis et que son mari n’y verrait aucun inconvénient.Je la remerciai et je déclinai son aide. Elle me demanda aussitôt si j’avais une maitresse. Après un instant d’hésitation, je l’invitai à fermer la porte et je lui racontai l’histoire de mon adolescence, sans oublier un seul détail et je lui avouai que j’avais retrouvé Fiona par hasard, que notre relation à quatre avait repris et que nous avions enterré John la veille.Je la remerciai de m’avoir écouté parce que j’avais besoin de partager ce secret avec quelqu’un et je lui demandai de promettre de garder cela pour elle. Elle me répondit gentiment qu’une bonne secrétaire sert aussi parfois de confidente. Je téléphonai à Fiona pour lui annoncer que ça ne se passait pas bien du tout chez moi, que je n’avais pas encore rappelé ma femme et que je pensais qu’elle mettrait sa menace à exécution. Fiona me répondit de ne pas m’inquiéter, puisqu’il y a toujours une chambre qui m’attend chez Mary et que j’y serais toujours le bienvenu.J’appelais ma femme, qui me signifia que je pouvais prendre mes affaires quand je voulais mais qu’elle ne voulait plus me voir, qu’elle avait pris rendez-vous avec un avocat et que le divorce était irrévocable. Je téléphonai à Mary pour l’informer de la situation et elle me proposa de venir aussitôt habiter chez elle, qu’elle en est très contente, elle ne se voyait seule dans cette grande maison.J’en informai ma secrétaire, qui semblait ravie pour moi, non pas que les difficultés conjugales eussent agi sur mon comportement professionnel, mais parce que j’allais vivre une belle histoire d’amour.Je quittai le bureau de bonne heure, je passai chez moi chercher quelques affaires et j’annonçai à ma femme que je ne ferais aucune difficulté pour le divorce et que je prendrais le reste de mes affaires le plus vite possible afin de ne pas la gêner plus longtemps.Je rejoignis Montigny par le plus court chemin. En entendant ma voiture, Mary sortit en courant pour m’embrasser sur la bouche et me souhaiter la bienvenue et elle ajouta que son bonheur serait vraiment complet quand sa fille bien aimée nous rejoindrait.Mon divorce se passa en trois mois, puisque je laissais tout à ma femme, hormis mes affaires personnels et quelques souvenirs de mes parents qu’ils m’ont laissés à leur décès.La vie reprit son cours et Fiona passa de plus en plus de soirées chez sa mère. Elle n’hésitait pas à laisser son mari seul le week-end pour venir se réfugier dans nos bras, Mary nous ouvrait son lit quand nous étions ensemble.Un soir, Fiona me serra dans ses bras et elle me dit : « ça y est nous sommes ensemble. On ne se quitte plus ».Fiona demanda le divorce peu de temps après. Nous allions enfin pouvoir vivre complètement notre histoire d’amour, commencé trente ans auparavant.Nous avons ouvert une bouteille de champagne et Mary nous dit que John aurait été content de nous voir enfin réunis.Vingt années ont passé. Maintenant, je suis à la retraite, mon amour pour Mary et Fiona est toujours aussi intense. Nous dormons toujours tous les trois, nos jeux sexuels sont devenus plus rares, surtout que Mary approche des nonante ans, mais Fiona et moi avons toujours envie de l’embrasser, de la serrer dans nos bras et de la caresser, ce qu’elle nous rend bien d’ailleurs.
Voici notre histoire de cinquante ans d’amour. Nous désirons garder près de nous notre Mary le plus longtemps possible.
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