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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 14

Avec plusieurs femmes
LE RETOUR D’INGRID
Whaou ! Quel après-midi ! Par chance on est vendredi soir, il a tout le week-end pour récupérer. Sur le chemin de la maison, André passe en revue les événements de la journée. Matin studieux, trois rendez-vous avec des clients, du sérieux, mais l’après-midi !… Tout d’abord Annie s’est présentée. Pas certain de faire jouir la jeune fille, André s’est prêté à son caprice… Ah ! Ce qu’elle suce bien ! A peine remis en forme, Joseph est venu se plaindre qu’on le laissait tomber. André a eu à cœur de le détromper en honorant son cul puisque le jeune homme ne sait rien faire d’autre… Il s’apprêtait à quitter le bureau quand Luc s’est pointé, furieux que l’avocat se soit encore défilé le matin. — Mais tu as bien vu que des clients attendaient quand je suis arrivé. — T’avais qu’à leur demander de patienter. Tu te dois à tes stagiaires, moi en particulier, ne l’oublie pas !… Maintenant tu m’obliges à me presser car j’ai rendez-vous dans une demi-heure… Qu’est-ce que tu attends ? Quitte ton falzar ! André dégrafe sa ceinture et se dirige vers le canapé. — Non ! Contre ton bureau ! Luc caresse les fesses, puis le ventre et empoigne la verge raide comme un bout de bois. — Ah ! Tu vois que tu n’attendais que ça ! L’avocat est vexé de ne pouvoir contrôler son excitation. Il a l’impression de ne jamais avoir bandé autant ! De fait, à peine Luc s’introduit que la semence jaillit sur sa main. — Espèce de gros dégueulasse ! Tu pouvais pas te retenir ?… Tu crois que ça va… M’empêcher de t’enculer ?… Mauvais plan !… Tiens ! Prends ça !… Han ! Le rebord du bureau fait un mal fou à André qui n’ose se plaindre, cela ferait trop plaisir à Luc ! Il s’efforce d’occulter la douleur… Le garçon parti, dans la glace du cabinet de toilette, il contemple son ventre rayé d’une méchante barre rouge. — Je demanderai à Odile de me passer de la crème.
Une mauvaise surprise l’attend au logis : Ingrid tout sourire lui ouvre la porte. — Tu… Tu ne devais pas rentrer dimanche soir ? — Tu n’es pas gentil d’accueillir comme ça. J’attendais mieux. — Euh… — Tu n’es pas heureux de revoir moi ? Heureusement Martine et Odile ont fait la fête pour moi. — Où sont-elles ? — J’ai trouvé elles très amoureuses… Même trop. Tu ne dis pas, tu as négligé elles ? Ce n’est pas bien ! Tu dois changer ! Tu montes, elles attendent au salon. Adieu la tranquillité et le calme durant le week-end ! André grimpe les marches en soupirant. Sa femme et sa fille se bécotent nues sur le canapé. Ingrid est bien revenue ! Elle n’a pas mis beaucoup de temps à reprendre le contrôle de la maisonnée ! — Bonsoir mon chéri. — Bonsoir Papa. — Bonsoir, répond-il de mauvaise humeur.
— Alors ? Tu fais quoi ? Tu oublies tu dois déshabiller ? — On t’aide Papa. En un tour de main, il est aussi nu que les femmes. Ingrid se moque de sa virilité paresseuse. — Hé bien ! Tu ne montres pas tu nous aimes ? Elle donne un petit coup sur la verge qui se redresse. — Ah ! Quand même ! Elle remarque enfin la trace rouge sur le ventre. — Qu’est-ce que c’est ? Tu viens ici ! Plus près !… Elle touche du doigt la marque. — Qu’est-ce que c’est ?… Tu ne réponds pas ?…Bon…Tu tournes… Tu montres le cul !… Allez !… Ah ! Tu penches… Mieux ! Je regarde… Hé ! Hé ! Je doutais bien. — Qu’est-ce qu’il y a ? interroge Martine. — Ton père a amusé avec le cul au bureau. — Comment tu le sais ? — Tu regardes… Non ! Pas sa fille. André veut se redresser. Une claque sur le postérieur l’en dissuade. — Tu restes tranquille toi !… Tu approches Martine… Tu vois le trou ?… C’est tout mou autour. Martine avance l’index. — Oui, tu peux toucher… Tu entres, il est facile n’est-ce pas ? Un zob a passé là il n’y a pas longtemps… Si tu veux, tu entres deux doigts… Oui ! — Mmmh ! Si les attouchements n’étaient pas si agréables, il les enverrait bien promener ces femelles ! Odile s’approche. Elle sourit, l’anus d’André est aussi dilaté qu’après une visite de Gérard ! — Mon chéri tu ne peux plus prétendre qu’il ne se passe rien au bureau. Elle tend la main. — Oui, Odile, tu mets aussi… Il entre tu vois. La mère et la fille s’amusent à pistonner. André ronronne. Tout à coup il s’inquiète, n’y a-t-il pas trop de doigts dans son cul ? Et alors ? Tant qu’elles ne lui font pas mal… — Il aime ça le gros nounours… Oh ! J’ai une idée, Martine tu écoutes… L’avocat tend l’oreille mais ne perçoit pas ce que dit Ingrid. Sa fille est dubitative. — Tu… Tu crois ? — Il est sûr ! Il sent des doigts le quitter vite remplacés par d’autres. Martine sort du salon. Il se demande ce qu’elles manigancent. Pour le moment il ne sait qui d’Odile ou d’Ingrid pistonne dans son sphincter. C’est agréable. Peut-être les deux car il semble y avoir trop de doigts pour une seule personne juge-t-il. La jeune fille revient. Hors de la vue d’André, elle pose un godemiché et brandit le martinet. — Merci. Tu es raison d’apporter ça dit Ingrid, mais tu attends… Pas tout de suite.Elle prend le simili sexe en plastique. — Odile ma chérie, tu continues dans le cul… André, tu mets à quatre pattes… Plus vite !… Ah ! Bien… Tu ne bouges pas… Odile tu enlèves… La brusque disparition des doigts fait frémir l’avocat. Il n’a pas le temps de regretter qu’une grosseur froide s’introduit. Qu’est-ce que c’est ? Ah oui ! Un gode ! Celui qui a servi à initier Martine ! Elles veulent l’enculer avec un gode ! — Oh non ! Pas ça ! — Tu calmes, mon gros, tu laisses faire. L’introduction se fait sans peine, c’est presque pareil à une queue admet-il. Il commence à apprécier. — Tu ne lui fais pas mal ? s’inquiète Odile. — Non, j’assure. Martine jette un coup d’œil sous le ventre d’André. — Je confirme : Papa bande comme un âne ! — Fais voir ! La mère et la fille s’amusent à manipuler la verge raide. — Qui amuse ton cul au bureau ? interroge Ingrid tout en jouant avec le godemiché… Tu ne veux pas dire ? Elle se penche empoigne le martinet et cingle un coup sur les fesses. — Aïïïe ! — Tu dis ! Alors ? (vlan !)— Aïe ! Arrête ! — Tu sais, j’arrête quand tu dis (vlan !). — Aïe !… (vlan !) Aïe !… C’est… (vlan !) Aïe ! — Attend Ingrid, il va parler, intervient Odile qui retient le bras prêt à s’abaisser une nouvelle fois. Alors qui est-ce mon chéri ? — Un… Un stagiaire. — Joseph ? s’étonne Martine. — Non, un nouveau. — Comment il s’appelle ? André hésite. — Tu ne veux pas dire ? insiste Ingrid en abaissant le martinet sur les fesses rougies. — Aïe ! Il s’appelle Luc. — Luc ? Le fils du Bâtonnier ? interroge Odile soudain intéressée. — Oui. — Qui c’est ce Luc ? Tu le connais Odile ? demande Ingrid. — Oui, et toi aussi. C’est le jeune homme qui nous a rendu visite un soir avec deux copains… Celui qui a…Euh… Avec moi. — Ah ! Je souviens, c’est lui qui avant avait mis dans le cul d’André. Tu peux dire tu as laissé un bon souvenir. La fille au pair reprend la manipulation du gode et Martine et Odile la caresse du sexe. André sent la jouissance monter. Tout à coup Odile bondit sur ses pieds. — Y a pas de raison de ne pas en profiter. André redresse-toi ! — Que fais-tu Maman ? Oh ça ? La devançant, Martine glisse sous son père, empoigne la verge et l’enfonce dans son vagin. — Oh ! Tu n’es pas gentille, se plaint Odile frustrée. — Oui, ta mère a l’idée la première. — Fallait… Aah !… Qu’elle aille plus vite ! André est aux anges. Il réalise le rêve qu’il caresse depuis la réunion avec Jérôme et Michel : baiser sa fille avec une queue dans le cul… Enfin ce n’est pas une queue véritable mais l’illusion est presque parfaite. Il a la joie de la sentir vibrer, mieux que lorsqu’Odile ou Ingrid participent par leurs câlineries. En dépit des efforts consentis dans l’après-midi, il est sûr de la faire jouir. Déjà elle marmonne des phrases incompréhensibles et tourne la tête en tous sens. — Aaah !… Maman !… Maman ! — Je suis là ma chérie. — Aaaah !… Ouiiii ! — Mmmmh ! Il s’effondre sur sa fille pâmée. Ingrid le soulève. — Tu laisses sortir Martine. Je l’emmène à la salle de bain. — On dirait qu’elle t’a vidé mon chéri, se moque Odile devant la mine défaite de son mari. Il veut se lever. — Hé ! Tu n’oublies rien ? Il grimace. Le godemiché se rappelle à son bon souvenir. — Ne bouge pas. Odile extrait l’engin. André est étonné du diamètre et de la longueur. Dire qu’il avait cela dans le cul ! — Viens dans la chambre, je te passe de la pommade et nous redescendrons manger… Dans la soirée, Martine, un peu honteuse d’avoir devancé sa mère, pousse celle-ci dans les bras d’André. Las ! Il a dépassé ses limites et se révèle incapable d’honorer correctement son épouse. La jeune fille se fâche, Ingrid et elle, font valser le martinet, rien n’y fait. Odile doit intervenir pour les calmer. — Je ne suis pas contente, nous ne sommes pas des sadiques qui aimons à faire mal, se plaint-elle dans leur chambre où ils se sont réfugiés. — Bah ! Je ne suis pas mort. — Encore heureux ! Cela n’excuse pas leur geste. Regarde-moi ça ! Elles t’ont fouetté jusqu’au sang ! — Où ça ? André se contorsionne pour admirer son postérieur dans la glace. Quelques gouttelettes rouges constellent les fesses. — Mets-toi à plat ventre, je vais te soigner… Ce soir tu enfiles un pyjama, je ne veux pas que tu taches les draps…
Samedi matin, André flemmarde dans le lit. Odile est levée. Il entend par la porte ouverte des voix féminines dans la cuisine. Il se sent en forme et porte la main à son bas ventre pour une caresse. La présence du tissu l’étonne : — C’est vrai, j’ai dormi en pyjama ! Il n’en avait plus l’habitude. Il décide de se lever. Il prend sa robe de chambre, hésite, puis avec un sourire, ôte le pyjama avant de l’enfiler. Peut-être aura-t-il droit à un petit déjeuner coquin ? Elles sont toutes les trois attablées en déshabillé translucide. — Bonjour Papa ! Martine s’accroche au cou de son père. Une bouffée de désir l’enveloppe au contact du corps mal protégé. — Hé ! On dirait que tu vas mieux qu’hier soir !… Oui, beaucoup mieux, ajoute-t-elle en éprouvant de la main la grosseur du sexe. — Ne taquine pas ton père, intervient Odile. Tu ferais mieux de t’excuser pour ta conduite. — C’est vrai, Papa, je te demande pardon, je me suis laissée entraîner. — Je promets le martinet moins souvent et moins fort, renchérit Ingrid. — Assieds-toi, on te sert, invite Odile. André se laisse chouchouter. Il adore voir les trois femmes, « ses femmes » précise-t-il avec fierté, se démener pour le satisfaire. — Ta fille, elle a dit quelque chose intéressant, commence Ingrid lorsqu’André repose son bol vide. Elle déclare… Euh… Tu dis Martine ! — Euh… Oui Papa. J’ai trouvé hier, que tu étais plus vaillant que d’habitude. Jamais tu n’avais réussi à me faire jouir autant. — Peut-être la chose dans son cul aide, suggère Ingrid. C’est bien l’avis d’André qui se garde de l’exprimer. Elles seraient capable d’affirmer le contraire rien que pour l’embêter. — Tu devrais essayer Maman, tu verras, c’est étonnant. — Ça te va bien de me le proposer après avoir pris ma place hier soir ! — Je m’excuse, j’ai pas pu résister. La jeune fille embrasse sa mère. Ingrid ôte la robe de chambre des épaules de l’avocat. — Martine chérie, tu vas chercher le appareil. — Euh… Ne pourrait-on pas gagner un endroit plus confortable ? suggère André. — Tu as raison mon chéri. Montons. Ils se retrouvent dans la chambre d’Ingrid. — Tu mets à quatre pattes, ordonne celle-ci. Il obéit avec empressement. Il a hâte d’expérimenter l’étreinte particulière avec son épouse, mais reste un peu inquiet. Aura-t-il autant de plaisir qu’avec sa fille ? Saura-t-il faire jouir Odile ? — Oh ! Son trou du cul est tout petit, s’étonne Martine. — Oui, l’effet du zob de Luc a fini… Tu vas chercher de la crème, comme ça il n’aura pas mal. Martine revient avec un flacon de gel douche. — Merci, tu mets partout dans le cul, je mouille aussi le appareil. André ferme les yeux et ronronne lorsque le doigt de sa fille tartine l’anus sur le premier centimètre. — Well ! Tu aides à écarter le cul. André sent que l’on tire sur les fesses. Il se prépare à l’introduction… Oui… Ça entre. Il grimace… Ouf ! C’est passé. — Odile ma chérie, tu couches… Oui… Tu écartes les cuisses… Bien… André, tu avances. Il retrouve le même sentiment de plénitude que la veille avec Martine et avant, avec Luc et Antoinette et avec Jérôme et Michel. C’est vraiment la meilleure façon de faire l’amour ! Sa femme doit être du même avis car elle accompagne ses coups de rein de cris d’encouragement. — Ouiii !… Aaaah !… Comment tu fais ?… Oooh ! Que c’est bon !… Ouiii ! Ingrid parvient non sans mal, à suivre le rythme avec le godemiché. — Oui, mon gros nounours ! Tu donnes le gros plaisir à Odile ! Très bien !…
Le couple gît sur le lit à la recherche de sa respiration. — Tu ne bouges pas mon gros. Ingrid retire le sexe factice. Martine s’empresse auprès de sa mère. — Alors Maman ? Qu’est-ce que tu en dis ? Pas vrai que Papa est meilleur que d’habitude ? — Vous donnez à moi l’envie, déclare Ingrid. Je dois essayer… Euh… Pas maintenant, juge-t-elle après un coup d’œil à la virilité en berne. Elle essuie le godemiché, le regarde sous toutes ses faces. — Je crois, il est meilleur de prendre un vrai zob. Qu’est-ce que tu dis André ? — Oh ! O… Il allait approuver avec enthousiasme ! Il se réfrène à temps, il est préférable que les femmes s’imaginent le contraindre. — Euh… Tu crois ? — Je suis sûr ! Je demande à Gérard. Avant qu’André manifeste se désapprobation, Ingrid s’exclame : — Zut ! Il n’est plus ici, il est dommage. (« Ouf, sauvé par le gong ! ») — Odile tu n’as pas un idée ? poursuit la jeune fille.— Euh… André pourrait demander à Luc… (« Non pas lui, ce serait tomber de Charybde en Scylla ! ») — Tu as un bon idée ! Tu es de l’avis Martine ? — Oh oui ! Papa, s’il te plait… Les trois femmes sont d’accords pour une fois. André devine que la perspective de le voir se faire enculer n’est pas la seule motivation, elles espèrent bien profiter de la queue du garçon… Comme avec Gérard. S’il accepte, il s’enfoncera un peu plus dans le rôle du cocu complaisant… Qu’y faire ? Gros soupir… — Vous voulez que je l’invite pour le week-end prochain ? — Pourquoi si loin ? s’insurge Martine. Mercredi par exemple. (« Le soir de la réunion ? Pas question ! ») — Non, tu sais bien que je suis pris avec Jérôme. — Je me demande ce qu’ils peuvent fabriquer lors de ces réunions, qu’est-ce que t’en penses Maman ? — Nous passons en revue tous les dossiers en cours, c’est tout… Je vous assure ! — Bon, admettons, alors invite Luc pour mardi. — Oui, mardi ce sera bien approuve Odile. André soupire. Il devra supporter le garçon non seulement au cabinet mais au domicile ! Peut-être que pouvant disposer de son cul ici, Luc le laissera tranquille au bureau… On peut rêver… — Vous tenez à ce que je lui dise de venir ? — Oh oui Papa ! Tu nous feras plaisir. — Bon ben, je lui parle dès lundi matin… Et s’il décline ? — Tu le menaces d’une mauvaise note de stage !…
A suivre…
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