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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 18

Orgie / Partouze
MALHEUR ? QUI PARLE DE MALHEUR !
Lors de la réunion suivante, Jérôme pose la boite de préservatif sur la table dès l’arrivée d’Antoinette. Celle-ci rougit mais prend place sans rien dire. Après la collation, au moment de se déshabiller, Jérôme écarte Michel qui s’empressait auprès de la jeune femme. — A mon tour aujourd’hui, tu t’occupes d’André ! Le jeune homme interloqué interroge celui-ci du regard. Un battement des cils l’encourage, il s’approche de son collègue et l’aide à se dévêtir. Jérôme a disposé Antoinette à plat ventre sur le canapé et fouille entre les fesses. — Non pas là ! La jeune femme se redresse courroucée. — Si vous voulez de moi, faites-le normalement ! — Mais… — Il n’y a pas de mais. C’est ça ou rien ! — Excusez-moi… Je… Je vous promets que je ne tenterai rien… Euh… De ce coté. Antoinette accepte de se replacer sur le canapé où André vient la rejoindre. Ils résistent aux assauts de leurs pourfendeurs en se tenant la main. — Ça… Ne fait… Pas mal ? murmure-t-elle à son voisin. — No-Non… Si votre parte… Partenaire fait… A-a-a-attention, répond-il sur le même ton… Le quatuor reprend quelques forces en sirotant un verre. André voudrait bien rééditer l’étreinte de la première réunion. Il s’empresse auprès d’Antoinette, espérant qu’un des deux hommes comprendra qu’il offre son cul en même temps. Ce n’est pas l’avis de Jérôme. — Michel ! Viens ici ! Avant de se lever, le jeune homme se penche vers André et lui murmure :— Tu sais j’aurais aimé rester avec toi. — Encore ? — Non, pas comme tout à l’heure, le contraire. — Une autre fois, je te promets… L’étreinte entre André et Antoinette ne leur apporte pas le plaisir escompté. Il s’en excuse auprès de la jeune femme. — Je n’ai pas été à la hauteur n’est-ce pas ? — Ce n’est rien… Vous m’avez bien fait jouir la semaine dernière. La prochaine fois ça ira mieux. — Vous savez Antoinette, je crois que seul je suis incapable de faire jouir.
— Il faut que vous soyez… Euh… En même temps ? — J’en ai peur. Vous ne m’en voulez pas ? — Mais non ! Il y aura d’autres réunions hebdomadaires, n’est-ce pas ? Pendant ce temps, Jérôme tarde à terminer avec Michel. Celui-ci a depuis de longues minutes déversé sa semence entre les doigts de son patron, quand celui-ci enfin, éjacule avec un grognement de fauve. Ils se séparent insatisfait. Le lendemain André reproche son attitude à son associé. — Jérôme, si tu veux que les réunions se passent au mieux, il faut que tout le monde y retrouve son compte, ce qui n’a pas été le cas hier soir. — Je m’excuse, je ferai attention les prochaines fois. — J’ai une idée ! Et si à tour de rôle, un d’entre nous dirigeait les débats ? Les autres lui obéiraient. — Tu crois que Michel sera d’accord ? — Michel et Antoinette. — Elle aussi ? — Il n’y a pas de raison de l’exclure. — Ah bon ! Fais comme tu veux. Michel, désigné par le sort pour la réunion suivante, choisi d’être en sandwich entre Jérôme et la jeune femme, puis entre André et Jérôme pendant qu’Antoinette prodigue ses caresses aux trois hommes. Jérôme lorsque c’est son tour, initie Antoinette à la sodomie. Celle-ci semble apprécier car la réunion suivante elle s’offre une double pénétration, André devant, Michel derrière, tout en suçant la grosse verge de Jérôme. Elle aurait bien aimé accroitre le rythme des réunions appuyée en ce sens par Michel, mais Jérôme insiste pour conserver une seule réunion par semaine. André se range à l’avis de son associé. Cela lui sied, il garde ainsi assez d’énergie pour s’occuper des stagiaires sans compter les soirées avec Luc.
Annie frappe à la porte du bureau d’André et passe la tête. — On peut vous déranger ? — Qui on ? Apprenez à être plus précis, Joseph et toi ? — Oui. On… Pardon, nous voudrions vous présenter nos conclusions sur l’affaire que vous nous avez donnée à étudier. — Vous ne me dérangez pas, entrez ! L’avocat constate avec plaisir que la jeune fille bloque le verrou. Elle vient se placer d’un coté de l’avocat et Joseph de l’autre. — Nous pensons avoir compris ce que vous attendez de nous. — Ah ? J’en serai très satisfait. D’un geste machinal il flatte les fesses du garçon qui s’approche. Annie ouvre son dossier sur le bureau. Joseph attentif à la caresse entre ses cuisses ne réagit pas assez vite à son gré. — Joseph ! Voyons ! T’as oublié ce que nous devons faire ? — Excuse-moi. Le garçon s’écarte précipitamment et ouvre à son tour ses documents. — Vous nous avez demandé d’unir nos forces pour, avez-vous dit, déstabiliser l’adversaire. Joseph et moi pensons au contraire qu’il faut le mettre en confiance pour le conduire où nous voulons. — Comment comptez-vous vous y prendre ? — Nous nous proposons de vous en faire la démonstration, vous voulez-bien ? — Je suis impatient de voir comment vous vous débrouillez. — Bien, nous allons procéder… Joseph ! Tu rêves ? — Oh pardon ! Le garçon dénoue la cravate d’André pendant qu’Annie déboucle la ceinture. L’avocat confiant, se laisse déshabiller sans bouger, juste soulever les fesses pour le passage du pantalon et du slip. Il est gêné de sa nudité devant les stagiaires encore habillés. Une pensée inquiétante traverse son esprit : ne vont-ils pas le laisser en plan et ameuter les collègues ? Non, ils n’en prennent pas le chemin. — Excusez-nous, mais un accessoire est indispensable pour poursuivre la démonstration, annonce Annie. — Je vous en prie. Elle tend un préservatif à André. — Pouvez-vous m’aider ? — Je dois l’enfiler ? — Pas sur vous, ça c’est mon travail, sur Joseph. — Ah ! Très bien… Ses stagiaires lui offriraient-ils une étreinte combinée, Annie devant, Joseph derrière ? Il n’ose y croire, cela serait trop beau. Plein d’espoir il appelle le garçon : — Approche mon petit… Baisse ton pantalon s’il te plait. Le garçon ôte jeans et slip. André soulève un sexe mou. — Euh… Je ne sais pas si j’y arriverai… Annie agenouillé entre les cuisses de l’avocat redresse la tête. — Joseph ! Voyons ! On dirait que cela ne te fait pas plaisir. Tu n’as pas honte ? Elle secoue la verge de l’avocat raide comme un bout de bois. — Regarde André, il a de la tenue lui au moins ! Celui-ci tente de réconforter le garçon par une petite masturbation. — Je suis sûr que cette défaillance est passagère… Là ! Vous voyez ? La queue se redresse. Après quelques coups de poignet, André peut enfiler la capote. — Bon, annonce Annie, nous pouvons passer à la phase finale de notre démonstration. Elle attire l’avocat par la queue vers le canapé. Elle s’allonge sur le dos découvrant son ventre nu. André sourit car la coquine s’était préparé ! Il s’avance la pine en avant, entre les cuisses qui s’écartent. — Joseph ! Qu’est-ce que tu attends ? commande la jeune fille. L’avocat sent le sexe qui tente de s’introduire entre les fesses. Il tremble d’impatience, c’est bien l’étreinte combinée dont il rêvait ! Le garçon est maladroit et ne trouve pas l’anus. André bouge le bassin… Là… Il recule… Oui ! Le gland s’enfonce un peu. Heureusement qu’avec Gérard et Luc son cul s’est assoupli, sinon on ne sait pas comment cela aurait fini. — Pousse-moi contre Annie !… Aaah ! Il ne sait ce que ressentent ses deux stagiaires en cet instant, mais lui, une queue dans le cul et le sexe dans un vagin, c’est vraiment la position qu’il préfère. Il rend grâce aux deux jeunes gens de l’avoir deviné. Il faut dire qu’il les avait bien aidés par ses allusions… André est fier. Annie se tord de plaisir sous ses coups de rein. Jamais il ne l’avait senti jouir de la sorte lors des précédentes étreintes. Il se confirme qu’il doit être enculé pour satisfaire une partenaire… Ce n’est pas une contrainte insurmontable, loin de là ! Quelle joie de voir la jeune fille balancer la tête d’un coté et de l’autre les yeux révulsés, un gémissement continu s’échappant de ses lèvres closes ! Elle serre les cuisses pour emprisonner son pourfendeur qui n’a aucune envie de s’enfuir. Ses ongles s’enfoncent dans les épaules d’André. — Aaaah !… Ouiii !… Mmmmh ! Puis, la jeune fille soupire et se relâche un peu. L’avocat est aux anges, elle a eu un orgasme et quel orgasme ! Dans son dos Joseph accélère, signe de la fin proche de l’étreinte. André s’applique à varier ses coups de rein, il doit fait jouir Annie une nouvelle fois… Oui ! La respiration de la jeune fille s’amplifie… C’est en bonne voie ! Il se laisse aller. Les va-et-vient dans son cul et les contractions du vagin autour de sa verge ont raison de sa résistance. — Aarrgghh ! — Mmmh ! gémit Joseph. — Ouiiiaarrgghh ! éructe Annie. Ils restent immobiles une bonne minute à la recherche de leur souffle. — S’il vous plait, je peux pas bien respirer, se plaint la jeune fille. — Retire-toi Joseph ! La queue encore dilatée fait : « plop ! » en sortant du cul de l’avocat. Celui-ci les laisse profiter du cabinet de toilette et attend qu’ils sortent pour s’habiller… Assis derrière son bureau, il retrouve un peu d’autorité. — Je suis satisfait de vous, vous m’avez montré que vous étiez capables de travailler ensemble. — Cela n’a pas été facile mais nous y sommes arrivés… N’est-ce pas Joseph ? Tout au long de la semaine Annie avait déployé des trésors de persuasion pour convaincre le garçon d’enculer André. — Si vous saviez tout faire du premier coup, vous n’auriez pas besoin de stage, argumente André. Je vous engage à poursuivre dans cette voie. — Comme aujourd’hui ? s’inquiète le garçon. Si André et Annie ont apprécié, lui préfère recevoir que donner ! — Oh André est partisan de la variété, n’est-ce pas ? — Euh… Oui, c’est ça. Après leur avoir fait tout un speech sur les bienfaits du changement, il ne peut se dédire ! Il regarde sa montre. — Mon dieu ! Il se fait tard ! Je dois partir et vous n’avez pas eu le temps de me donner votre opinion sur le dossier M. Je vous propose de le réétudier à fond et dans quelques jours vous viendrez me présenter vos commentaires… Ça vous va ? — Très bien ! le remercie Annie en ramassant ses documents, imitée par Joseph. Il les regarde sortir. Quelle bonne idée de leur avoir demandé de travailler ensemble ! Il aurait du y penser plus tôt car le stage va bientôt terminer… Lorsque les deux jeunes gens reviennent dans le bureau, sous l’impulsion d’Annie Joseph se retrouve en sandwich entre elle et André. Celui-ci est un peu vexé : les deux stagiaires, en particulier la fille, ont l’air de jouir plus fort que la première fois. Il se console en se disant que c’est dans l’ordre des choses. Lors de l’entrevue suivante ils se déshabillent tous et Annie s’offre pour une double pénétration, André devant et Joseph avec sa fine queue derrière. Las ! Les bonnes choses ne durent pas. Cette prestation était la dernière, les deux apprentis avocats ayant terminé leur stage. — Voilà, soupire André dont les doigts se rappellent la douceur de la tendre poitrine, vous allez nous quitter. J’espère que vous garderez un bon souvenir de votre passage. — Oh pour ça oui ! N’est-ce pas Joseph ? Le garçon approuve avec vigueur de la tête. — Tant mieux ! Pour moi je suis très satisfait de votre travail et je vous promets une excellente appréciation et une bonne note de stage que, je vous assure, vous avez amplement méritée par votre travail. — On vous remercie beaucoup. Vous savez, on a parlé avec des copains stagiaires comme nous… Oh ! N’ayez crainte, s’empresse-t-elle d’ajouter devant la ride de contrariété qui barre le front de l’avocat, nous n’avons pas trahi le secret professionnel. — Oui, ils étaient étonnés quand on affirmait qu’il ne se passait rien d’extraordinaire, intervient Joseph. Ils ne voulaient pas le croire, rapport à votre réputation qu’ils disaient. - La manière dont vous nous avez faits travailler ne regarde personne, renchérit la jeune fille. On voulait dire qu’en discutant on s’est rendu compte que grâce à vous nous en savions plus qu’eux sur la réalité du métier d’avocat. — Oui, on vous remercie. — De ça et du reste, n’est-ce pas Joseph ? Le garçon approuve en hochant la tête. — Ah ?… Vous avez donc apprécié ma pédagogie… Euh… Particulière. — Oh pour ça alors, oui ! André sourit devant la véhémence de Joseph. — Dites André, reprend Annie, on pourra revenir ici pour notre stage de fin d’étude l’année prochaine ? — Avec plaisir. — Vous nous montrerez d’autre façon de… Euh… Nous motiver ? demande Joseph. — N’est-ce pas le but de tout stage ? L’avocat serre les deux jeunes gens contre lui. Il en profite pour les peloter une dernière fois. — Au revoir les enfants, travaillez bien ! Après leur départ, le cabinet semble bien vide, d’autant que Luc aussi a terminé son stage. Heureusement le garçon reste un hôte assidu du domicile de l’avocat. Il a tenu sa promesse de ne plus importuner André pendant le travail et l’avocat le trouve fréquentable depuis qu’il l’a enculé.
Lors de la deuxième visite de Luc, Martine se précipite pour lui ouvrir à la place d’Ingrid. Elle se colle contre le garçon et lui offre ses lèvres. Il la pelote sans vergogne, heureux de constater que la jeune fille est nue sous son déshabillé. La soirée promet ! — Dis, commence la jeune fille, je peux te demander quelque chose ? Je ferais ce que tu voudras après. — Demande ! Un baiser sera ma récompense. — Je peux te le donner tout de suite. Elle tend les lèvres dont Luc s’empare… — Bon qu’est-ce que tu voulais me demander ? — Euh… Ça te fait rien si au début je vais avec André ? Le père et la fille ? Qu’est-ce à dire ? Puis la ride de contrariété s’efface. Il se souvient de sa première visite et de l’étreinte incestueuse pendant qu’il baisait la mère. — Pas du tout, surtout si je peux l’enculer en même temps. — J’allais te le demander. — Tout est pour le mieux alors. Montons, les autres doivent se poser des questions. — Ce n’est pas grave. Il suit Martine dans l’escalier essayant de deviner les fesses qui se balancent devant lui. — Vous avez mis le temps ! rouspète Ingrid. — J’avais des choses à demander à Luc. Le jeune homme embrasse tour à tour Odile et la fille au pair et serre la main de l’avocat. Ils sont tous en robe de chambre et en déshabillés, constate-t-il. Seraient-ils eux aussi nus dessous ? — Bienvenue parmi nous, l’accueille André. Martine lui tend un peignoir en soie. Il le regarde étonné. — Euh… Qu’est-ce que je dois faire ? — Il est bouché ma parole ! Tu te déshabilles et tu l’enfiles comme nous ! Luc se dirige vers la porte. — Où il va ? — Euh… Me déshabiller… — Tu fais ça ici ! Aidez-moi vous autres ! Ingrid se précipite sous l’œil amusé d’André et Odile. — Papa ! Maman ! Aidez-nous aussi ! Ils ont tôt fait de dévêtir le garçon et de lui enfiler la robe de chambre. Il ne s’est pas défendu, occupé qu’il était à peloter les corps quasiment nus. — Bon, continue Martine qui a pris la direction des opérations, cette formalité d’accueil étant terminée, on peut prendre l’apéritif ? — Je vais chercher, propose Ingrid… Martine repose son verre. Elle s’assied sur les genoux de son père. — Oh Papa ! Qu’est-ce que tu as là ? demande-t-elle en fouillant la robe de chambre. — Martine ! Voyons ! s’insurge sa mère. Veux-tu te tenir convenablement, nous ne sommes pas seuls ! — Luc est au courant, Maman. Tu oublies qu’il était là la première fois. Elle ouvre la robe de chambre et dégage la verge raide qu’elle caresse. — Oh ! Tu es en forme. C’est le moment d’en profiter. André fait glisser le déshabillé des épaules de sa fille qu’il veut nue entre ses bras. Elle l’attire vers le canapé sur lequel elle s’allonge. — Luc ! Tu peux venir ! Ingrid ôte la robe de chambre d’André. Elle flatte les fesses avant de laisser la place au garçon. Elle rejoint Odile. — Ils sont mignons, n’est-ce pas vrai ? — Euh… Je ne dirais pas ça de mon époux ! — Tu n’es pas jalouse ! Elle l’embrasse à pleine bouche. Les deux femmes regardent sans envie l’étreinte sur le canapé. Elles savent que bientôt viendra leur tour. La jouissance manifeste de Martine les fait sourire.— Tu vois Odile, comme ça André, il donne le vrai gros plaisir. Je promets tu seras à la place de Martine la prochaine fois. Le trio n’en finit plus de gémir et de haleter. La jeune fille a déjà subi deux secousses quand André à bout de force éjacule dans un cri. — Aarrgghh ! Il s’affaisse sur Martine qui le serre contre elle pendant que Luc termine par de violents coups de rein. Ingrid les laisse respirer une demi-minute puis retire les hommes et cajole la jeune fille. — Viens, je nettoie. Nous rejoindrons tous dans la salle à manger… Le repas terminé, ils reviennent au salon. Odile se pend aux bras de Luc sous le regard désapprobateur de sa fille. Ingrid la calme. — Ta mère aussi elle veut profiter du zob de Luc. Tu n’as pas peur. Il reste pour nous toute la nuit. Sur le grand canapé, le garçon ôte le déshabillé d’Odile et patouille la poitrine généreuse. Lui-même est débarrassé du peignoir en soie par Ingrid. André sourit à la vue des fesses nerveuses. Pourquoi ne pas les honorer une nouvelle fois ? Il est sûr que Luc ne refusera pas. Il ouvre sa robe de chambre et empoigne son sexe dressé. Il va se lever mais hésite. S’il encule Luc, il sera incapable ensuite de baiser Odile, d’enfoncer sa queue dans le vagin rempli du sperme du garçon… Cruel dilemme ! Un cul juvénile ou une chatte onctueuse ? Il choisit de faire l’amour à sa femme. Luc ne perd rien pour attendre, il reviendra à la maison ! Assis sur un fauteuil, il admire l’étreinte tout en se caressant pour maintenir l’excitation, pendant que sur le canapé deux places, Ingrid et Martine trompent leur impatience dans un torride 69… Luc essoufflé libère Odile qu’André emporte à l’étage supérieur. Au seuil du salon, il se retourne. Ingrid et Martine sont déjà aux petits soins du garçon, pas de souci à se faire pour la suite de la soirée entre jeunes ! Dans leur chambre, il embrasse sa femme et la couche dans le grand lit. Elle a deviné que son mari veut profiter de sa chatte pleine. Oui, mille fois oui ! Elle aussi apprécie l’introduction veloutée qui la remue au plus profond de son être. Elle ferme les yeux pour ne pas émerger de la douce béatitude dans laquelle la jouissance avec Luc l’a plongée, jouissance qui, elle le sait, se prolongera par la queue d’André… — Je t’aime ma chérie ! — Moi aussi… Que dire de plus ?
Les visites suivantes du garçon se déroulent suivant un scénario semblable. En apéritif, André se retrouve en sandwich entre Luc et une des femmes. Ensuite après le repas, si Luc baise Odile, elle et son mari s’éclipsent dans leur chambre. Il ne leur viendrait pas à l’esprit de faire l’amour devant les jeunes, c’est leur jardin secret. Si au contraire Luc baise Martine ou Ingrid, l’avocat encule en même temps le garçon qui ne fait aucune difficulté, au contraire. Les jeunes se débrouillent entre eux pour le reste de la nuit. La défection d’Ingrid, repartie dans son pays à la fin de l’année scolaire, modifie à peine le déroulement. Martine est ravie de ne plus avoir à partager Luc quand ses parents rejoignent leur chambre. Malheureusement à la rentrée, le Bâtonnier a obtenu pour son fils une place dans une université américaine. Les adieux durent un week-end épuisant. La mine d’André le lundi matin effraie Antoinette. Il la rassure en disant que cela est du à une fatigue passagère. Il ne croyait pas si bien dire : La saison des stages n’est pas encore commencée, pas de jeunesse à se mettre sous… Euh… Sous la queue. Il doit attendre quelques mois pour retrouver Annie et Joseph, ou leurs remplaçants. Il tente de se rattraper avec Antoinette, mais Jérôme lui reproche de monopoliser la secrétaire qui est au service de tout le bureau précise-t-il. La réunion hebdomadaire est là pour ça ! Le soir, la maison est calme, trop calme ! Il se retrouve entre Odile et sa fille. Les deux femmes ont beau se caresser ou jouer du godemiché pendant qu’André fait l’amour à l’une ou à l’autre, le cœur n’y est pas. Il en viendrait à regretter Gérard le brutal copain d’Ingrid. Dépitée Martine les abandonne. — Où vas-tu ? interroge sa mère. — Voir des copains. — Mais c’est une idée ça ! déclare l’avocat. Puisque la présence d’un tiers leur est devenue indispensable, pourquoi ne pas utiliser les connaissances de leur fille, pense-t-il ? Devant les regards étonnés d’Odile et de Martine il explique : — Dis ma chérie, tu ne nous as jamais présenté de copain de fac. — Pourquoi tu le demandes ? — Tu n’en as pas ? — Si, mais je suis étonnée, c’est la première fois que tu t’inquiètes de ce qui se passe à la faculté. — Ce n’était pas nécessaire jusqu’ici. La jeune fille met quelques secondes à réaliser ce que son père veut dire. — Oh Papa ! Tu voudrais ?… Oh ! Tu n’as pas honte ? — Ton père a raison, cela mettrait un peu d’animation dans la maison, renchérit Odile. — Oh toi aussi Maman ?… Euh… Évidement, vu sous cet angle… On peut l’envisager… Seulement… — Seulement quoi ? s’inquiète André. — Euh… Il faudra bien le choisir… — Nous te faisons confiance ma fille. — Dis, demande timidement Odile… Euh… Est-ce que tu pourrais pas inviter quelqu’un samedi prochain ? — Pourquoi, qu’est-ce qu’il y a de particulier samedi ? — Un match de l’équipe de France… — Oh ! Vous alors !… Bon, je vais voir ce que je peux faire…
Fin
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