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Les malheurs de Gustave

Chapitre 2

Inceste
Récit de Nelly.
Je passerai sous silence ma deuxième rencontre avec le détective privé. Pour les derniers réglages, on a bien profité du bureau demon mari. Il m’a fait grimper deux fois aux rideaux, il n’est pas aussi monté que Gustave, mais il sait très bien s’en servirLe lendemain, Auguste rentre avec sa pétasse de secrétaire. Vivement que j’aie les preuves de ses infidélités pour pouvoir le mettresous ma coupe, le coup du matériel photo derrière une glace sans teint. Je ne l’ai pas encore avalé.Au réveil, à 8h du matin, j’ai reçu un téléphone très gentil de mon époux pour que je vienne le chercher avec la Mercedes à l’aéroport de Cointrin ce soir, car il ne peut arriver à temps à la maison avec les transports publiques à l’arrivée de l’avion.Je vais le faire volontiers, même si le chemin est long (les autoroutes ne sont pas encore construites), éventuellement, je pourrai aller avec Gustave. Ce serait drôle si il est à l’arrière avec la secrétaire, cela pourrait troubler un peu mon cher époux, surtout si je suis un peu pute avec, en le chauffant et en lui refusant la conclusion.C’était drôle ce matin au réveil. J’avais laissé Gustave dormir dans sa chambre après la thérapie et ce matin, après avoir vidé mon urine, j’ai embardouflé ma chatte de mon urine et je suis allée en peignoir nue dessous, dans sa chambre pour le réveiller. Une fois arrivée vers son lit, j’ai ouvert mon peignoir et lui ai présenté ma chatte sous le nez.
– Tiens, voilà ton cadeau, tu peux bien me nettoyer mon minou, il est comme tu me l’as demandé.
A la vitesse où son dard s’est dressé, ce fut impressionnant, vraiment, comme un ressort. C’est bon maintenant, le prépuce est bienélargi et ce n’est que du bonheur, après avoir bien nettoyé et m’avoir mis un doigt, je lui ai dit, maintenant, il faut faire la thérapie etje lui ai grimpé dessus, ce fut à nouveau merveilleux, avec sa grosse saucisse, je grimpe aux rideaux sans arrêt. Mais maintenant, je pense qu’il faut y aller, le chemin est long jusqu’à Genève.
Le voyage de retour.
En voyant les voyageurs de retour de l’empire du soleil levant, Nelly fut soudain prise d’un doute :
"Comment mettre toutes leurs valises dans la voiture. Le coffre est certainement pas suffisant."
Après les embrassades de bien-venue, elle exprime son doute.
– Pas de problème, on en mettra sur le siège arrière et les deux jeunes se serreront. Dit Auguste sans autre.

Ainsi fut fait, Gustave passant son bras sur les épaules de Mélanie, permettait que ce soit supportable, mais c’était sans compter sur l’esprit coquin de Gustave qui serrant Mélanie contre lui avait la main assez grande pour arriver sur sa poitrine et ne se gênait pas pour la peloter agréablement.Au premier arrêt, à Rôle, elle était déjà bien chaude et finalement elle proposa de venir sur ses genoux car cela la serrait trop. Elle alla vite vers les toilettes pour se refaire une beauté. En remontant dans la voiture, elle s’assit sur les genoux ou plutôt sur les cuisses de Gustave et très rapidement elle sentit contre son dos une bosse qui avait tendance à grossir, ce qui ne calmait pas le feu qui couvait dans son ventre, elle commença à se trémousser sur les cuisses de Gustave.
– Papa, tu ne peux pousser un peu le siège en avant, on a de la peine derrière.– Nelly, arrête-toi, si il faut avancer le siège. On ne va pas risquer un accident.
Gustave pousse au maximum ses jambes pour avoir de la place derrière et finalement Mélanie en se mettant un peu de travers, arrive à se mettre en place. La voiture roule un bon train et Gustave du fait de sa position a sa bite juste en face de la chatte de Mélanie. Il lui chuchote à l’oreille :
– Lève toi un peu que je puisse décongestionner quelque chose.
Lorsqu’elle se soulève, il en profite pour descendre son short et son slip et ainsi, il a sa queue vraiment au contacte du slip de Mélanie.
– Soulève-toi encore une fois pour tirer de coté ce qui me gêne.– Attends, je vais faire comme toi, je vais descendre mon slip.
Ainsi fut fait et au moment de redescendre, évidement, les deux s’emboîtèrent parfaitement et Mélanie très discrètement commence à entamer un mouvement de roulis qui fait que dans le compartiment arrière, la température monte. Auguste, un peu fatigué par le voyage s’est assoupi et brusquement se réveille.
– Nelly, tu n’as pas une impression de tangage, est-ce qu’on aurait pas un pneu crevé ?
Les deux, se calment immédiatement et Nelly :
– Non, je ne remarque rien, rendors toi Auguste. Lui dit-elle en lui faisant une petite caresse toute innocente.
Le tangage reprend doucement et Nelly l’oeil fixé sur le rétroviseur comprend la raison du phénomène. Ces deux sont en train de baiser à l’arrière de la voiture, ce qui la trouble profondément. Il faut que je me concentre sur la conduite.Quelques km plus loin, la route est vraiment mauvaise et on passe de nid de poule en nid de poule, ce qui a pour effet d’envoyer Mélanie quelques cieux plus haut, elle se mord les poings pour ne pas gémir tant le démonte pneu qu’elle a dans elle l’excite au maximum, ainsi que la situation, avec les parents de celui qui la bourre juste devant. Elle a l’impression que Nelly a compris de quoi il retourne, mais Auguste n’a pas l’imagination assez développée pour s’imaginer que ces deux derrière sont en train de forniquer.Quelques orgasmes plus loin, Nelly propose que l’on fasse une halte à la prochaine auberge pour prendre un café. C’est un peu le remue-ménage pour avoir à nouveau une tenue présentable. Un arrêt pipi et un bon café pour tenir la route. Mélanie va se refaire une beauté et du coup, carrément met sa culotte dans son sac. Nelly aimerait bien changer de place et prendre celle de Mélanie, mais Auguste semble trop fatigué, Mélanie doit aussi l’être pas mal, cela ne va pas. On va continuer comme on est. Ils remontent dans la voiture et tout de suite, Mélanie se ré-emboîte sur Gustave.
– Heureusement que tu es là, ton père m’a bien chauffé dans les toilettes de l’avion, il a déchargé 2 fois, mais pour ma part, j’ai pas décollé alors que là, j’en suis à mon troisième orgasme. C’est dommage que je ne puisse mieux faire, mais je suis horriblement excitée murmure-t-elle à l’oreille de Gustave tout en reprenant son mouvement de roulis.
Nelly, voyant son mari reparti dans les bras de Morphée :
– Alors Gustave, tu fais tes exercices thérapeutiques ? Dit-elle avec un petit sourire narquois.– Oui maman, cela va de mieux en mieux.– C’est quoi ce truc? demande Mélanie curieuse– C’est un secret médical dit Nelly. Mais j’ai l’impression que le voyage a été très fatiguant pour toi aussi, qu’est-ce que tu as les traitstirés. Tu ne veux pas te reposer ?– C’est difficile dans ces conditions, on a peu de place. On est en pleine promiscuité !– Il faut tenir encore un moment, courage !– C’est bon Maman dit Gustave, même si son coccyx me laboure le pubis.– Déplacez vous de manière à ce que cela ne tombe pas sur un os, après c’est supportable.– Je vais essayer. Et chuchotant à Mélanie :– Cela te fait rien si je change de trou.– Non, mais il faudrait un peu préparer.– Soulève-toi, je vais récupérer ce qui me mouille les roustons pour graisser l’entrée et mettre un puis deux puis trois doigts pour préparer. Ensuite, je place le canon.– Essaye, on verra ce que cela donne.
Quelques km plus loin, Mélanie se laisse descendre doucement sur le mandrin.
– Ouff !! c’est pas évident, Cela va mieux avec mon coccyx ?– Oui, c’est bon, maintenant, reste un peu tranquille si tu peux.– Mais vous faites quoi demande Nelly ?– On cherche une position qui me fait un peu moins mal, mais c’est bon maintenant, c’est bien calé.
La perfide Mélanie, sans bouger un iota masse en interne cette belle biroute qui lui ramone la boite à caca. Elle sent que le gros gland a encore grossi, il ne doit pas être loin de déchargé et pour elle elle n’est pas loin d’avoir un nouvel orgasme, mais nettement plus fort que les précédents. Elle écarte encore un peu plus les fesses pour gagner quelques cm de pénétration et d’un coup,l’inondation le raz de marée est en train de lui envahir les boyaux, elle ne peut plus se retenir et pousse un feulement pas très discret.
– Mais encore, demande Nelly ?– Une crampe dans la cuisse.– C’est sûr que c’est dans la cuisse ?– Enfin, un peu plus haut.– Je vois, mais tenez vous tranquille maintenant, il est possible qu’Auguste se réveille et il n’est pas sûr qu’il n’interprète pas mal la situation.– On va essayer, mais mis comme on est, on est à la merci d’une autre crampe.– Aie, voilà que cela revient et encore plus fort qu’avant. Pardonnez-moi, mais c’est trop fort.– Gustave, tu ne pourrais pas te mettre un peu différemment, de manière à ce que Mélanie n’aie pas des crampes successives, elle va arriver à la maison complètement épuisée.– Oui Maman, mais elle est aussi très bonnes pour les exercices thérapeutiques et c’est bien de les répéter.– Je ne suis pas sûr que ton père apprécierait que tu fasses tes exercices avec sa secrétaire derrière son dos, même si lui fait quelque chose de semblable derrière le mien. Mettez-vous comme il faut, vous avez assez joué, il va falloir que j’ouvre les fenêtres pour aérer, cela sent un peu trop le fauve et on va faire une petite halte, on arrive à Grandson, il est fort possibleque Auguste se réveille.
– Quoi, qu’est-ce qu’il y a ? j’ai fait un petit somme, le décalage horaire. Hem hem ! Cela sent un peu une drôle d’odeur, Nelly, tu es sûr qu’il n’y a pas de problème avec le moteur ?– C’est pour cela que je fais une pose pour permettre au moteur de se reposer un peu et moi aussi.– Tu veux que je conduise ?– Ce serait sympa, comme cela, je pourrai aller me reposer à l’arrière avec Gustave.– Gustave pourrait aussi venir à l’avant.– C’est qu’il faut quelqu’un de solide à l’arrière, car il doit supporter que quelqu’un d’autre soit sur ses genoux, cela manque de place. Je ne suis pas sûr de pouvoir supporter Mélanie longtemps sur mes genoux et je suppose que vice-versa alors que Gustave m’a l’air de bien le supporter.– On peut essayer. Dit Gustave qui n’a pas envie d’être trop sur les rotules avec ces femelles déchaînées dès qu’Auguste s’endort. Si il conduit, cela risque aussi ! Papa, tu es sûr de ne pas être trop fatigué ? Tu as le décalage horaire et tu n’as pas l’air d’avoir récupéré. Tu dors depuis Copet jusqu’à maintenant et j’ai le permis provisoire. Tu pourrais prendre ta secrétaire sur les genoux et pour une fois c’est pour la bonne cause.– Petit impertinent, mais c’est OK. Nelly reste à coté de toi et je vais derrière.C’est dans cette appareillage qu’ils arrivèrent à la maison sans autre événement croustillant. Il dépose Mélanie en passant devant la maison de ses parents.– Salut Antoine, (le père de Mélanie) on ne s’arrête pas, je rentre depuis le Japon et je suis un peu crevé et je pense que ta fille aussi.
En arrivant à la maison, Nelly :
– Tu sais, mais j’ai l’impression que l’on a été cambriolé, mais j’ai rien trouvé qu’il manquait, mais j’ai entendu du bruit dans ton bureau pendant ton absence.– Quoi, il faut que je voie ceci tout de suite.– Tu veux que je vienne avec toi.– Non, surtout pas. Va faire un bon souper, maintenant qu’on est à la maison.
Auguste après quelques minutes :
– Bizarre, je ne vois rien qui manque, mais c’est bizarre, il y a un trépied de photos, sans l’appareil.– Je peux voir ?– Non, c’est mon coin secret. Tu le sais bien.
Plus tard, au lit, Auguste tente de se rapprocher de sa femme pour un petit câlin de retour à la maison, mais Nelly :
– C’est gentil de penser à moi, mais ce soir, je suis vraiment fatiguée et toi aussi probablement. Ce ne serait pas bien.– Tu as raison. Bonne nuit.
Le lendemain, tôt, Auguste est à nouveau en forme, mais il a plutôt envie de reprendre ses habitudes et Nelly n’insiste vraiment pas, il faut qu’il ait envie pour tomber dans le piège. Le soir, l’agent de l’agence Viet pas con. S’annonce au téléphone :
– Bonsoir, je viens aux nouvelles. Je peux passer dans la soirée.– Oui, je pense que mon mari va être fatigué un ou deux jours avec le décalage horaire. Vous savez ce que vous avez à faire, moi je vais essayer de le fixer à domicile.
Le lendemain, pendant les heures de bureau, le détective privé prend rendez-vous pour montrer son travail. On voit nettement avec les deux enregistrements que Auguste met agréablement des coups de canif dans le contrat conjugal.
– C’est parfait, si vous pouvez me tirer quelques photos bien suggestives en double exemplaires. Je viendrai demain à Lausanne pour vous payer le solde.– C’est un peu juste demain pour avoir les exemplaires tirés, disons plutôt après demain. Mais si cela vous convient, j’aimerai plutôt venir pour récupérer mon matériel demain soir et si c’est près pour les tirages, je vous les apporterai. Autrement après demain, on peut se retrouver au motel d’Échallens, le patron est un ami, donc cela pourrait être en toute discrétion.– C’est d’accord. J’apporterai un chèque pour le solde.– Si on se voit au motel, j’espère que le solde sera plus complet.– Mais oui, j’y compte bien, une bonne baise, c’est toujours cela de pris à l’ennemi.– L’ennemi ?– L’ennui est l’ennemi du plaisir !– Ah oui, je vois.– On se retrouve à l’auberge et je te laisse faire et tu me rapportes les clés.– C’est mieux si tu viens avec moi, cela fait moins cambrioleur. Officiellement, je t’accompagne pour vérifier la sécurité installée, justement vis à vis de cambrioleurs potentiels. Comme chez vous dans le bureau de ton mari. Lol !– Tu as raison, mais on ne va pas s’attarder.
Le tout se passe rapidement, il rembarque son matériel et se disent à demain. Rentrant à la maison, Auguste, le sourcil relevé :
– Tu étais où ?– Où tu crois ?– Je ne sais pas, mais c’est moi qui pose la question.– Suite à la visite de ton bureau, j’ai fait venir un expert en sécurité pour contrôler si l’usine est bien protégée. Il n’avait pas l’air très enthousiasme et m’a dit qu’il faudrait revoir la chose.– Tu aurais pu m’en parler, on aurait été ensemble.– Mais il faut que tu récupères du décalage horaire mon chéri. Du reste après demain, je vais te préparer une belle surprise.– Quoi ?– Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise.– Bon on va se coucher !– Oui mon chéri.
Dans la chambre, Auguste qui n’est pas trop satisfait des soins de sa secrétaire, la quelle est encore dans les sensations qu’elle avait ressenties dans la voiture, essaye de persuader sa femme de combler ce qu’il n’a pas trop eu au travail.
– Non, mon chéri, ce soir je suis vraiment fatiguée, cela doit être le non décalage horaire.
Le Lendemain au motel d’Échallens. Le détective privé a fait monter le champagne et un petit en cas et a sorti les photos où on voitclairement le cul de la secrétaire sous le bureau et Auguste l’air ravi de l’autre coté et sur l’autre, c’est tout aussi clair, on voit Auguste piochant sa secrétaire assise sur le bureau. L’éclairage est parfait.
– Ces deux idiots, auraient pu baisser la lumière, dit le détective, cela va être une mauvaise surprise pour le directeur. Mais enfin, c’est aussi bien quand on peut leurs faire payer leurs abus de position.– On va lui faire payer deux fois les abus. J’ai un stérilet depuis hier, j’ai l’impression que cela va être encore meilleur, je me réjouis de me faire arroser les ovaires, mais avant réglons le reste :– Mon mari m’a demandé ce que je faisais hier soir, je lui ai dit que je t’avais convoqué pour évaluer la sécurité de l’usine. Si cela te dit, tu peux encore allonger un peu la facture en faisant un rapport.– Intéressant. Il faudrait que je repasse malgré tout. Je lui ferai une petite démonstration de comment on peut rentrer. A priori, il n’y a aucune sécurité si j’ai bien vu.– Excellent. Alors, tu mettras tes honoraires sur la facture suivante. Comme je vais prendre la direction des opérations, il ne pourra rien dire.– On se déshabille ?– Non !– Quoi, c’était pas comme cela que c’était prévu !– Non, tu me déshabilles ! Et ensuite c’est mon tour.– Ah ! Je vois tu as envie de jouer un peu, c’est pas plus mal. Dit-il en la prenant dans ses bras, je vais commencer par le haut, il y a des belles chose à mettre à jour, je commence par enlever ta veste et ton soutien gorge.– Oui.– Mais maintenant, j’aimerai bien goûter ces beaux melons surmonter de fraises appétissantes.– Tu peux et pendant ce temps, je vais un peu alléger ta tenue, il me semble que tu es un peu à l’étroit. Dit-elle en ouvrant défaisant la cravate et en ouvrant la chemise.
Elle passe doucement sa main sur le thorax bien musclé et sortant ses griffes le griffe légèrement.
– Tu joues la tigresse là ! C’est très bon. Mais attends que je m’attaque aux remparts du bas dit-il en ouvrant la jupe et en tirant la culotte vers le bas.
Il plonge sa main gauche sur la toison de Nelly qui est déjà bien mouillée et insère un doigt dans la toison blonde pour trouver le clito, ce qui arrive tout de suite et délicatement il le fait sortir de son étui et prodiguant une caresse de style masturbatoire.
– Tu ne veux pas dégager la place de jeux lui dit-il– Oui, mais on fait à égalité, tu dois aussi dégager le bas, il faut que j’aie aussi un jouet.
Ils tirent simultanément leurs bas et se retrouvent nus sur un lit somptueux quand tout à coup Nelly voit un oeil de caméra. Elle se relève furieuse :
– C’est quoi ça ? Dit-elle, tu veux filmer nos ébats ?– Oui, c’est pour ma collection personnelle.– Il n’en est pas question. Tu vides la cassette et tu la mets dans mon sac et tu démontes toute ton installation avant qu’on continue.– Excuse moi, mais c’était trop tentant de garder un souvenir de toi autrement que dans ma tête.– C’est cela, après j’étais à ta merci. Allez démonte avant que je casse.– C’est OK, ne te fâche pas et il démonte son installation et tend la cassette à Nelly.– Et l’autre ? Dit-elle– Celle qui est en doublure.– Ah ! Vraiment tu es trop perspicace pour moi et il démonte un peu la lampe qui surplombait le lit pour retirer la deuxième caméra miniature Zeiss (les japonais n’avaient pas encore envahi le marché.) Objectivement, je pense qu’il n’y en a plus d’autres.– Et si on changeait de chambre, ce serait plus sur ! Va demander à ton copain la chambre d’à coté, celle qui est de l’autre coté du miroir sans teint.– Bon OK, tu as vraiment vite appris toutes les ficelles dit-il en décrochant le téléphone interne.– Didier tu peux venir pour ouvrir la chambre d’à coté, elle a tout découvert.– Dommage répond-il je me réjouissais de me faire ma petite séance filmée.
Nelly entendant cela a tout d’un coup une idée :
– Ou il y a de la place pour un, souvent il y a de la place pour deux, ce sera plus marrant, mais je ne veux pas de cinéma ou alors on y va au cachet et là je vais vous ruiner.– Tu as entendu ? Alors magne-toi, viens ouvrir la chambre et rebobine l’enregistrement commencé et efface le. On va mieux s’amuser comme cela.
La suite de l’après-midi au motel, je le passe sous silence et fera peut-être l’objet d’un autre post. Il faut juste savoir que Nelly a eu de la peine à s’asseoir pendant 3 jours tant son trou duc était tuméfié. En rentrant à la maison, elle prend son mari à part et lui exprime son ressentiment.
– Voila Auguste, cela fait 25 ans que pour moi, tu fus le seul homme, mais depuis ton téléphone d’Osaka, où la communication ne fut pas coupée, j’ai compris que tu me trompais avec ta secrétaire. Depuis, j’ai essayé de bon coeur de refaire mon retard.Ça c’est pour la situation, comme tu lui as bien expliqué, un divorce à tes torts signifierait la fin de la prospérité ou le début de l’indigence. J’ai pris mes dispositions pour que tu ne puisses réfuter ma demande, si tu n’acceptes pas mes conditions de ne pas divorcer, j’ai des preuves photographiques. J’estime que le divorce serait une perte pour tout le monde. Nous transformons notre mariage de communauté de biens et fortunes séparées. Je garde la maison à 100% libérée de toute hypothèque. Pour l’usine, elle est transformée en SA.
¼ des actions me revienne,¼ des actions te revienne,¼ est pour GustaveLe reste est en réserve pour d’éventuels prises de participation ou intéressement.
Dans l’organisation, je prends la présidence de la SA et toi la direction de l’usine, je choisis le fiduciaire en te prévenant que les vacances avec la secrétaire ne se feront pas sur le dos de l’usine, même si pour les impôts ce sera le cas.
– Je te laisse réfléchir et digérer et demain, je prends contact avec un notaire pour tout légaliser ceci si tu n’y vois pas d’inconvénient.– Aïe, tu n’y vas pas avec le dos de la cuillère.– Je voulais encore t’annoncer que désormais nous faisons chambre à part et tes affaires seront déménagées dans ton bureau, le trou dans la parois rebouché et la glace sans teint remplacée.– Je commence à regretter ma légèreté.– Et tu n’as pas fini. Je te conseille les boule Quies dans les nuits à venir.
Le soir venu, Gustave s’annonce dans la chambre de sa mère, mais exceptionnellement, elle déclare qu’elle a son sexe hors service et qu’elle ne peut le traiter qu’à la main.
– C’est triste, mais pourquoi ?– C’est le prix de ma liberté à venir, comme je te l’ai expliqué, maintenant je tiens ton père par les couilles. Ce n’est plus lui qui commande ou c’était le divorce et il se retrouvait pratiquement à la rue.– Tu es dure avec lui !– Justement, c’est ce que je lui ai reproché de n’être dur que pour la secrétaire. Mais viens, même si j’ai aussi un peu mal à la mâchoire, je vais m’occuper de toi.
Le lendemain, elle passe chez la doctoresse pour atténuer ses douleurs suite à ses folies à Échallens.
– Salut, lui dit-elle en lui collant un patin bien baveux, j’ai besoin de tes services, j’ai exagéré dans ma vengeance hier et je souffre un peu beaucoup.– Viens, déshabille-toi et place tes pieds dans l’étrier.– Oh ! C’est pas possible, mais tout est tuméfié. Qu’est-ce que tu as du dérouillé !– Oui, mais eux aussi sont ressortis sur les rotules, les roustons complètement essorés.– Bon on ne va pas exciter cela davantage, je vais te mettre une pommade un peu anesthésiante et tu remettras cela le soir.– Au fait qu’est-ce que tu dirais de nous accompagner dans 2 mois à la foire de Bâle, je vais essayer d’y aller sans mon mari, mais avec Gustave et la secrétaire et le chef d’atelier pour les questions précises.
Quelques jours plus tard, Nelly annonce à son mari (directeur), que cette année, l’usine doit y être représentée et qu’elle a besoin de soutien, notamment le chef d’atelier pour les détails techniques et il faut voir avec un publiciste pour faire une brochure pour présenter l’usine et ses produits, il faut encore réservé un stand.Personnellement, elle y participera avec Gustave, la secrétaire, le chef d’atelier et le mari restera à la maison pour cette année.Avant d’aller trouver les militaires japonais, on pourrait essayer de se diversifier avec les entreprises européennes.

Prochain chapitre la foire de Bâle.
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