Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 2 Commentaires

Les marins

Chapitre 1

Gay
Je pris un jour le bateau pour faire le trajet de Tunis à Gênes. J’étais obligé d’emprunter ce moyen de transport, car je rapportais ma voiture en France. Nous quittâmes Tunis en début de soirée. Après avoir pris un repas au restaurant, je me dirigeai vers ma cabine. J’avais fait un long trajet en voiture, dans la journée pour rejoindre Tunis, et avais besoin de sommeil. Par manque de chance, je trouvai mon compagnon de cabine, un tunisien, déjà endormi, poussant des ronflements sonores. Je me mis en petite tenue, tee-shirt et petit short, et essayai de trouver le sommeil. Pas facile, à côté d’un ronfleur. De plus, on était en été, et il faisait une chaleur étouffante dans la cabine.
Enervé, je me levai, et sortis, toujours en tenue légère, prendre l’air sur le pont. En arrivant, je trouvai trois jeunes marins italiens, dans leurs uniformes blancs, contre le bastingage. Non loin de là, il y avait une rangée de transats, et je m’allongeai sur l’un d’eux. J’observai distraitement les marins qui bavardaient. Deux d’entre eux étaient adossés au bastingage, mais le troisième, celui du milieu, était accoudé, légèrement penché en avant. De ce fait, il avait le cul légèrement arqué en arrière, et son pantalon blanc laissait deviner une croupe appétissante. Il me sembla qu’un des deux autres marins m’observait de façon discrète. Et je le vis passer légèrement la main au cul du marin du milieu. Celui-ci repoussa la main en rigolant. L’autre revint à la charge, et posa à nouveau la main sur le cul de son camarade. Cette fois-ci, le marin ne repoussa pas la main. L’autre lui chuchota quelque chose à l’oreille, et le marin du milieu, tourna son visage vers moi. Je sentis ma bite bien dressée dans mon short.
Le marin du milieu quitta alors ses camarades, et passa devant moi, en me regardant. Quand il m’eût dépassé, je le vis continuer sa marche, d’une façon chaloupante, faisant bien ressortir les ondulations de ses muscles fessiers, sous son pantalon. Je me levai, et le suivis, à quelque distance. Je le vis ouvrir une porte et entrer dans une coursive. Le temps que je le rejoigne dans la coursive, je le trouvai, toujours marchant, mais ayant eu le temps d’ôter son pantalon. Le haut de son uniforme ne couvrait que partiellement ses fesses. Il avait un petit cul splendide. Il se retourna, pour vérifier que j’avais bien suivi, et me fit un large sourire.
Il entra dans une cabine. Je l’y rejoignis peu après. Je le trouvai, me tournant le dos, jambes bien écartées, ses bras et sa tête appuyés sur la couchette du haut. Dans cette position, il dévoilait entièrement son cul. J’attendis un instant. Il ne bougeait pas. Je m’approchai et lui caressai doucement les fesses. Il se laissait faire, passivement. Je mouillai un de mes doigts de salive, et l’introduisit dans son trou du cul. Je le trouvai bien accueillant. Il devait se faire sodomiser régulièrement. Je ressortis mon doigt, lubrifiai ma bite de salive et la présentai à son trou du cul. Ça rentrait facilement, et, en douceur, je la lui mis bien à fond. Il eût, enfin, une réaction : un long soupir de plaisir. Je me mis à l’enculer, lentement, tout en douceur, mais bien à fond à chaque fois, mes couilles battant contre le bas de son cul.
J’entendis alors la porte de la cabine s’ouvrir, et vit entrer les deux autres marins. L’un d’eux s’agenouilla derrière moi. Comme j’avais baissé mon short pour enculer le marin plus commodément, j’avais le cul à l’air. Le marin se saisit de mes fesses, les écarta et se mit à me lécher lentement la raie du cul. Il faisait des arrêts sur la rondelle, en appuyant avec la langue, comme pour pénétrer. Pendant ce temps, le troisième marin s’était hissé sur la couchette sur laquelle s’appuyait le marin que je baisais. Il sortit sa queue et l’autre la happa dans sa bouche et le suça. Le mec derrière moi s’était redressé, et appuyait sa bite contre mon trou de balle. Comme il m’avait copieusement lubrifié en me léchant, ça rentra tout seul. D’un commun accord, implicite, nous nous sommes enculés à un rythme lent, pour bien faire durer les choses.
Après nous être rhabillés, ils m’invitèrent à prendre une bière au bar, sur le pont. Ils parlaient un peu français, moi un peu italien, et nous pûmes communiquer. Je leur dis être de retour de Tunisie, en route pour la France, à petite vitesse, car j’étais en vacances. Ils me demandèrent si j’étais « amateur de marins ». Je leur répondis que, depuis de soir, je me sentais amateur de marins... italiens ! Ils s’esclaffèrent et l’un d’eux me griffonna une adresse sur un bout de papier. C’était celle d’un hôtel modeste à Gênes, près du port, fréquenté par les marins et ... les amateurs de marins ! Je le remerciai et les quittai. Fourbu, je m’endormis immédiatement sur ma couchette malgré la chaleur et les ronflements de mon voisin.Le lendemain matin la sortie du navire, en voiture, la douane et la police furent d’une lenteur exaspérante. Je n’en sortis qu’à une heure de l’après-midi, pour me précipiter dans une pizzeria. Le serveur me renseigna obligeamment, avec un petit sourire, sur la localisation de mon hôtel qui était tout près. Je déduisis du sourire que la réputation de l’établissement était bien connue.
Je garai ma voiture dans un parking longue durée, et muni de quelques affaires, gagnai l’hôtel. Le patron, derrière son bar était un petit italien grassouillet, dans la quarantaine. Il me fit un large sourire, quand je lui précisai que son hôtel m’avait été recommandé par des marins. Sur ce, je pris les clefs de la chambre et lui annonçai que j’allais faire une petite sieste.
Bien entendu, je ne fermai pas la porte à clef, me déshabillai complètement, et me jetai à poil, à plat ventre sur le lit, cuisses bien écartées. Je ne tardai pas à entendre frapper à la porte. Je ne répondis pas. La porte s’entrouvrit et, entre mes yeux mi-clos, je vis le visage du patron. Ma tenue, et ma position étant sans équivoque, il entra en refermant la porte à clef. Il ne tarda pas à se débarrasser de son froc et de son slip, et s’allongea sur moi. Il frotta d’abord sa queue entre mes fesses, puis, la mouillant de salive, me pénétra, sans difficultés, après mon entrainement de la nuit passée. Je poussai un petit soupir de plaisir, auquel il répondit en accélérant le rythme de sa pénétration. J’entendais les grincements du lit, que j’accompagnais de grognements appréciateurs. A l’allure où il allait, il ne tarda pas à jouir. Un rapide ! Il me quitta, en me fourrant deux doigts dans le cul, en signe d’au revoir.
Je sommeillai un peu, puis descendis au bar. Peu de monde à cette heure. Trois ouvriers et deux marins. Je m’accoudai au comptoir. Il m’était venue une idée vicieuse en tête. Je demandai au patron où je pouvais trouver une tenue de marin. Il me sourit et m’indiqua un magasin tout proche. Je demandai un uniforme blanc, et partit l’essayer. Délibérément, je ne mis pas de slip sous le pantalon. Je me regardai dans la glace. Le tissu épousait parfaitement les formes de mon cul et de mes cuisses. Je fis emballer mes affaires, et regagnai l’hôtel, mes fesses bien en valeur dans mon pantalon blanc.
Le patron me fit des compliments sur ma tenue. La clientèle était la même : les trois ouvriers et les deux marins. Le patron me chuchota qu’il les connaissait bien. Des mecs venus rechercher une rencontre, pour se faire baiser ou, au contraire, enculer un mec. Il leur louait la chambre à l’heure. Avec un sourire vicelard, il me demanda si je serais d’accord pour les exciter un peu. Après tout, j’étais là pour ça, et j’acceptai. Le patron me fit passer à côté de lui derrière le bar. Là, il me plaqua contre le comptoir, défit mon froc, qui glissa à mes chevilles. Il passa derrière moi, se mouilla la bite de salive, et se mit à m’enfiler. Je voyais les regards narquois et excités des ouvriers et des marins. A notre position et aux mouvements du torse du patron, il était évident qu’il m’enculait, le bas caché par le comptoir, mais au vu et au su de la clientèle. Quand le patron eût terminé, je réajustai mon froc sur mes fesses, sortis de derrière le comptoir, passai devant les clients, et pris soin de monter lentement l’escalier, car c’était de là qu’ils avaient la meilleure vue de mon cul.
Après le repas du soir, je demandai au patron où aller faire une « promenade digestive ». Il comprit tout de suite mon intention. Il me dit de descendre vers le port, tout près, puis de tourner à gauche vers les docks, beaucoup moins éclairés. C’était en fait tout près. Je n’aperçus que deux marins, appuyés à une rambarde, et une dizaine d’ouvriers, probablement des dockers, en train de déambuler. Je m’installai contre la rambarde, à quelque distance des marins, sous un lampadaire, et m’accoudai, cul arqué en arrière. Un mec passa derrière moi, en effleurant mes fesses du dos de sa main, comme par inadvertance. Je ne réagis pas. Il rebroussa chemin, et, cette fois, me mit la main franchement au cul. Je défis mon pantalon qui glissa à mes chevilles. L’homme fût prompt à m’embrocher. Les deux marins nous regardaient en rigolant. Comme nous étions sous le lampadaire, bien en vue, des mateurs approchèrent. Me faire limer le trou du cul en public, j’adorais ! Quand le mec eût déchargé dans mon cul, un des mateurs vint presser sa bite contre mon cul. Nouvelle baise. Je refusai le troisième, car ils étaient bien cinq ou six à attendre leur tour. Je trainai à la recherche d’autres marins mais n’en trouvai pas.
Je regagnai donc l’hôtel que le patron était en train de fermer. J’étais surpris de l’affluence à l’heure de la fermeture. Je comptai six marins et dix dockers. Le patron m’expliqua que c’était une soirée « privée », et, avec un clin d’œil lascif, m’invita à participer.
La séance commença par un jeu de loto. Ce fût un marin qui eût le plus haut score. Il bondit aussitôt sur une table. Le patron alluma des spots pour bien l’éclairer. Le marin commença à se déhancher lascivement au son d’une musique arabo-musulmane. Il enleva d’abord le haut, puis fit, très lentement glisser son pantalon sur ses hanches. Quand les poils de son pubis apparurent, et que, de l’autre côté, la raie du cul était visible aux deux tiers, il laissa glisser son pantalon aux chevilles et s’en débarrassa. Il continua ses déhanchements, bite bandée et cuisses bien écartées. Il salua, avec une profonde courbette, en écartant au maximum les fesses avec ses mains.
Le patron organisa aussitôt une nouvelle séance de loto. Le vainqueur fût un docker. Le patron rechercha ensuite le « perdant », celui qui avait le plus faible score. C’était un marin. Les deux hommes, habitués des règles du jeu, montèrent ensemble sur la même table. Le docker sortit sa bite, déjà bien bandée. Le marin laissa glisser son froc à ses chevilles, et se penchant en avant, offrit son cul. Le docker l’embrocha d’un coup, faisant sursauter le marin. Au cours de la baise, pour mieux voir, les autres participants au jeu se levèrent et firent cercle autour de la table. Le pantalon du docker glissa à ses chevilles. Il avait un bon gros cul, bien poilu. Les deux hommes, sur la table étaient surélevés par rapport aux spectateurs, qui, de ce fait, avaient une bonne « vue de dessous », en particulier sur celle de la bite du docker allant et venant dans le cul du marin.
La promiscuité des spectateurs amena des mains à s’égarer sur les braguettes ou les culs des voisins. Je vis deux mecs déculotter un marin, et le coucher sur le dos sur une table, un des deux mecs, lui leva les jambes bien en l’air, et le tira vers lui. Le trou du cul du marin se retrouva au bord de la table, juste face à la bite du mec, qui le pénétra. L’autre mec grimpa sur la table, et s’accroupit au-dessus du visage du marin, en écartant bien les fesses avec ses mains, et le marin se mit à lui lécher la raie. Ailleurs, un marin avait plaqué un docker contre une table, lui avait baissé son froc, et l’enculait en donnant de grands coups de boutoir. Le patron vint me chercher, me fit grimper sur une table, et m’encula. Après ça, j’étais fourbu, et regagnai ma chambre.
Le lendemain, je remis mes clefs et annonçai mon départ au patron, qui prît l’air navré. Je le consolai, en lui disant que je vivais à Nice, juste de l’autre côté de la frontière, et réservai une chambre pour le prochain week-end.
Fin
Diffuse en direct !
Regarder son live