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Les mauvais génies

Chapitre 3

Divers
VENGEANCE…
Nicolas et Isabelle cherchent un moyen pour punir le couple Sébastien et Céline de les avoir manipulé. — On pourrait leur dire qu’on a compris leurs manigances et qu’on cesse toutes relations avec eux, suggère-t-il. — Euh… Avec lui il n’y aurait pas de problèmes… Bien que… — Que veux-tu dire ? — Je peux pas oublier que j’ai quand même eu avec Seb de bonnes jouissances… Oh ! Purement physiques crois moi, c’est toi que j’aime tu sais… Mais… Mais il fait bien l’amour… Et toi, ça ne te fait rien de renoncer à Céline ? — Euh… Elle baise bien… Tu disais qu’avec Seb ça ne ferait pas de difficulté, parce qu’avec sa femme… ? — J’avoue qu’elle m’a fait découvrir une façon d’aimer que je ne connaissais pas… Avec elle, j’avais pas l’impression de te tromper… — Et tu aimerais pouvoir poursuivre cette relation. — Ou-oui… Tu m’en veux pas ? — Non. Moi c’est la même chose avec Seb. J’ai beau me dire que c’est contre nature mais j’y peux rien, j’ai envie de recommencer. — Comme tu l’as dit : nous sommes pareils. Ils nous ont fait découvrir un aspect de l’amour qu’il nous sera difficile d’oublier… Mais on ne peut les laisser impunément nous manipuler. — Non tu as raison. On doit trouver quelque chose pour nous venger. Ils se replongent dans leurs pensées. — Ça y est, je crois que j’ai trouvé ! s’écrie Nicolas. — Qu’est ce que tu proposes ? — Voilà ce que nous allons faire… — Qu’en penses-tu ? interroge-t-il après avoir exposé son idée.— Tu me demandes de… ? s’étonne Isabelle. — Tu proposes autre chose ? — Euh… Non… Tu crois pas que tu joues avec le feu ? — Je te fais confiance. — Si c’est ce que tu veux…
Sébastien est joyeux : Isabelle lui a fait parvenir un mot l’invitant à passer au début de l’après-midi, elle espère bien qu’il pourra se libérer. Il est satisfait : il a bien accroché l’épouse de son ami puisqu’elle le relance. Il regarde avec commisération Nicolas « S’il savait que je me paye sa femme et qu’elle en redemande… ». Comme il doit sortir pour une course, il en profitera pour rejoindre son amante, tout le monde n’y verra que du feu. — Je dois passer à la FNAC, ils ont reçus le nouveau logiciel, annonce-t-il à la cantonade, « je passerai ensuite chez Isabelle qui est impatiente de me voir ».Nicolas sourit en l’entendant, « Le plan marche, c’est bon ». Il quitte le bureau sur les talons de son ami et s’empresse de rejoindre son logis où l’attend sa femme. — Il arrive ! la prévient-il. Je me cache dans l’armoire. Quelques minutes après Sébastien débarque. Isabelle lui saute au cou. — Mon chéri, j’ai hâte de te recevoir, viens vite dans la chambre. Il est étonné de son empressement, elle était plus discrète les autres fois : « Nico n’a sûrement pas été gentil avec elle, elle veut se venger. Je suis là pour ça ». Une fois la porte refermée, elle se colle à lui et commence à le déshabiller. — Mon chéri, dépêche-toi. Il s’active pour lui obéir et la dévêt entre deux baisers. Une fois nus, elle l’attire à elle sur le lit. Il regrette un peu l’absence de préliminaires mais se persuade qu’elle a raison : ils sont pressés, il n’y a pas de temps à perdre. Il l’embroche d’un sexe vainqueur. — Mmh !— Tu l’attendais… Han !… Ma queue hein ! — Ouiii ! — Prépare-toi… Han !… à jouir ! — Ouiii ! La porte de l’armoire s’ouvre sans bruits. Nicolas qui s’est désapé entre temps sort, le sexe pointé en avant. Il ne pensait pas que voir Isabelle dans les bras d’un autre l’excite autant. L’érotisme de la scène suffit pour le faire bander, il n’a nul besoin de se masturber. Il émerge de sa rêverie, « Euh… Faut y aller ! » Sébastien est à sa merci le cul offert. Un coup d’œil à son épouse l’averti que les choses importantes vont commencer. La jeune femme noue ses jambes sur les cuisses de son amant et le serre contre elle. — Aaaah !… Je jouiiis ! s’exclame-t-elle. — Je suis meilleur… Han !… Que ton mari… Han !… N’est-ce pas ? Nicolas s’avance « Meilleur que moi ? Tu vas voir ! » Il l’encule d’un coup décidé. — Aouhhhh ! Sébastien veut se dégager mais Isabelle qui s’attendait à sa réaction l’empêche de se relever. Nicolas peut s’enfoncer à fond jusqu’à ce que son pubis rencontre les fesses. — Aouhhhh !… Lâche-moi, implore-t-il Isabelle. — Si tu croyais pouvoir impunément niquer ma femme, tu te fous le doigt dans l’œil, lui dit Nicolas. — Tu me fais mal ! — Ah oui ?… Han ! Nicolas donne un violent coup de rein — Aouhhhh ! — On pense plus à la baiser ma femme hein ! — Tu… Aïe !… Tu te venges de ce que je t’ai fait ? — De ce que tu nous as fait à tous les deux… Han ! — Aïe ! J’étais plus doux… Aïe !… Avec toi. Malgré la souffrance Sébastien commence à ressentir du plaisir. Sa verge qui avait débandé, grossi dans la chatte d’Isabelle. Les coups de rein dans son cul sont moins douloureux. Nicolas ahane dans son dos et le pilonne avec régularité. — Han !… Han !… Han !… Aarrgghh !Le foutre se répand dans les intestins. Sébastien sent presque avec regrets la queue diminuer de volume dans son cul et sortir. On le tire en arrière. Son sexe turgescent fait « plop » en sortant du vagin. — Tu peux partir maintenant, que cela te serve de leçon. « Nico a déchargé trop tôt, quelques minutes de plus et je jouissais dans le con d’Isabelle », Sébastien ramasse ses affaires et s’habille dans le couloir. Il quitte la maison sans les revoir. Que leur aurait-il dit ?
A son arrivée au travail, le PdG du groupe le convoque. Un peu inquiet il ouvre la porte du bureau directorial. — Ah ! Vous voilà Sébastien. Asseyez-vous… Je suis très content de vous. Vous faites du bon travail. Vous méritez de l’avancement. Vous vous plaisez ici ? — Euh… Oui ! — Cela vous gênerait-il de déménager. — Euh… Si vous me le demandez, pas du tout. — Que diriez-vous de rejoindre la direction de notre filiale en Allemagne ? L’adjoint du directeur actuel fait faux bonds. — Euh… Cela me ferait grand plaisir. — Bon, ben, rassemblez vos affaires et gagnez au plus vite votre nouveau poste. Votre épouse vous rejoindra quand vous aurez trouvé un logement. En attendant, vous coucherez à l’hôtel. — Elle ne pourrait pas m’accompagner ? Elle pourra chercher une location pendant que je me consacrerai à mes nouvelles fonctions. — C’est d’accord, emmenez là avec vous. Bonne chance pour votre job. Faites que je n’ai pas à regretter de vous avoir choisi. — Merci Monsieur, je ferai mon possible pour vous satisfaire. Ainsi il s’en va pour une autre affectation. Cela vaut mieux, il n’aura pas à supporter plus longtemps la mauvaise humeur d’Isabelle et de Nicolas. C’est dommage, il aimait bien la jeune femme et il regrettera le cul du jeune homme. Reste à annoncer la nouvelle à Céline.
Après la sortie de Sébastien de la chambre, Isabelle apostrophe Nicolas : — Tu es content, hein ? — Ça ne s’est pas mal passé non ? Avoue que tu l’as subit sans déplaisir. — Qu’est-ce que tu crois ! Sébastien a toujours su me faire jouir. Ce n’est pas de m’avoir jeté dans ses bras qui diminue son habileté. Tu aurais pu attendre avant de le retirer, j’al… Euh… Il allait jouir. — Justement. De l’avoir interrompu augmente notre vengeance. — La tienne peut-être, mais moi je suis frustrée. — Ma pauvre chérie, ne suis-je pas là pour ça ? Il l’enlace et l’embrasse. Elle soulève du doigt la verge encore molle. — Ce n’est pas cet engin qui va me dédommager. — Attend un instant… Qu’est-ce qui te prend ? Isabelle s’agenouille devant Nicolas et prend la queue entre les lèvres. — Ben tu vois… Mmmh… Je la rends… Mmmh… Apte à son rôle… Mmmh… Mmmh. — Tu ne me l’avais jamais fait… Aah !… C’est Seb qui te l’a appris ? — Mmmh… Oui… Mmmh… Tu n’aimes pas ?… Mmmh. — Oh si ! Quand la verge a atteint son plein développement elle la présente devant sa chatte.— Tu peux y aller ! — Han ! — Aaah ! — Je vaux bien Seb hein ? — Aaah !… Ouiii !… Je viens !… Ouiiii !… Je t’ai-ai-ai-ai-ai-aime ! — Aarrgghh !… Les deux époux gisent cotes à cotes sur le lit. Nicolas repense au plaisir malsain qui l’a envahit au spectacle de sa femme aux prises avec Sébastien. Ira-t-il jusqu’à favoriser leur liaison pour mieux les épier ? Il se secoue. — Je dois retourner au travail. — Qu’est-ce que tu diras à Seb si tu le rencontres ? — Je sais pas. Pendant quelques jours je l’éviterai. Il ouvre la porte de l’armoire et remet ses vêtements. Il embrasse sa femme. — Je te laisse. A ce soir. — A ce soir. Une fois seule Isabelle soliloque : — Est-ce une bonne chose cette vengeance ?… Et si Seb était fâché ? S’il nous faisait la gueule ?… Il pourrait interdire à Céline de me fréquenter… Ce serait dommage, elle m’a fait découvrir qu’on pouvait avoir du plaisir entre femmes… Est-ce que j’éprouverai autant de plaisir avec une autre ?… Non, je n’oserai jamais… C’est bizarre ce que j’ai ressenti tout à l’heure, quand il s’est remis à rebander lorsque Nico l’enculait… Sa verge vibrait d’une drôle de façon… Jamais elle faisait ça avant… Ni celle de Nico… C’est parce qu’il était enculé en même temps ?… Peut-être… Si Nico n’avait pas été si pressé j’aurais joui, mais joui, j’en suis sûre… Faudra réessayer avec lui quand il se fera, comment il a dit ? Ah ! Sodomisé pas Seb… J’exigerai d’être présente… Mais s’ils sont fâchés… Parlons pas de malheur ! Elle enfile un déshabillé et sort de la chambre… Le soir, au retour de Nicolas, elle voit tout de suite que quelque chose ne va pas. — Tu as parlé à Seb ? Il est fâché ! — Je ne l’ai pas vu mais on ne parlait que de lui au bureau. Il nous quitte : Il est nommé adjoint de direction en Allemagne. — C’est pas à cause de nous j’espère. — Je ne sais pas. Demain je crois qu’il sera encore là, je lui demanderai…
— Ne te donne pas une importance que tu n’as pas, lui déclare Sébastien le lendemain. Tu n’as rien à voir dans mon affectation. C’est le grand patron en personne qui me l’a proposé quand je suis revenu de chez toi. Tu penses bien que je n’allais pas refuser une telle promotion. C’est dommage, j’avais l’intention de concocter une petite vengeance pour vous faire payer la petite séance d’hier après-midi. Céline m’aurait prêté main forte. Les circonstances ne l’ont pas voulu. Dis à ta femme que je la regrette et que Céline est désolée de ne pouvoir lui dire au revoir.
Sébastien et sa femme partis, Isabelle trouve l’appartement bien calme…Trop calme. Les étreintes avec Nicolas lui laissent un goût d’inachevé. Elle ne retrouve plus l’étrange sensation éprouvée lorsque Sébastien était entre eux deux. — Peut être que s’il avait quelque chose dans le cul… Elle fait l’acquisition d’un godemiché avec vibreur et du gel pour l’utiliser : - C’est pour toi, annonce-t-elle à Nicolas. Tu me feras l’amour en même temps. — Tu veux que je mette ce truc dans le cul ! Je refuse ! — S’il te plaît chéri… Je promets de te caresser le sexe avec la bouche si tu acceptes. La perspective d’une douce fellation le fait réfléchir. — Euh… Tu… Promets ? — Oui. Et pour te faire plaisir je commence tout de suite. Elle s’agenouille à ses pieds et commence à ouvrir la braguette. Elle sort le sexe qui se met immédiatement au garde à vous. — On dirait que tu apprécies ! Elle suce la tige et embouche le gland. — Mmmh ! gémit-il.Elle le masturbe et le suce conjointement. — Aaah… Je vais jouir ! « Ah non, pas ça ! C’est pas là qu’il doit finir ! » Elle arrête la masturbation. — Si on se déshabillait mon chéri, tu crois pas qu’on serait mieux pour faire l’amour ? Ils quittent leurs vêtements. Le sexe de Nicolas, qui avait perdu sa raideur, la retrouve dès que les doigts d’Isabelle se referment dessus. Elle prend le godemiché. — Tu veux bien chéri ? Il n’est pas chaud mais n’a-t-il pas accepté en se faisant sucer ? Il se met à plat ventre les cuisses écartées. Isabelle pose le sexe factice sur l’anus et pousse. -Aïe ! Tu me fais mal ! — Excuse-moi. — Euh… Si tu massais le trou du cul avec ton doigt et du gel, peut être qu’après… « C’est une idée ça. » Elle introduit un doigt emplis de gel et le fait aller et venir. — Je crois que tu peux essayer, maintenant. Isabelle présente le godemiché. Effectivement, il rentre plus facilement. Malgré une fugitive douleur qui le fait grimacer, Nicolas retrouve avec plaisir la dilatation délicieuse dans son cul qu’il avait découvert avec Sébastien. Tout à coup une vibration le fait sursauter. — Ooh ! Isabelle a mis en marche le vibreur. Elle se glisse au-dessous de lui empoigne la verge raide et la dirige vers son vagin. — Prends-moi maintenant mon chéri. — Han !… Han !… Han ! Il est aux anges. De baiser sa femme avec cette… Euh… Chose qui vibre dans le cul et qui se transmet à son sexe, est une expérience inoubliable. De son coté Isabelle retrouve en partie l’émotion procurée par une verge qui tremblote. — Aaah… Ouiii… Je Jouiiiiis… Ouiiiiiiii ! Nicolas satisfait d’avoir mené son épouse au Nirvana la rejoint dans la jouissance. — Aarrgghh ! Ils restent enlacés quelques secondes. Le sexe factice vibre toujours dans le cul de Nicolas. — Je crois que tu peux m’enlever ça. — Tout de suite chéri. Elle arrête l’engin et le sort de l’anus de son mari. — Qu’en penses-tu mon chéri ? — Euh… C’était bizarre… Ça vibrait… Et en même temps comme je te faisais l’amour, c’était merveilleux. — On pourra le refaire alors ? — Euh… Si tu veux. Isabelle nettoie le godemiché avant de le placer dans sa boite. L’expérience est concluante, le sexe de Nicolas vibrait au rythme du sexe factice. C’est meilleur qu’une étreinte normale mais il reste un sentiment d’inachevé. « Peut être qu’une vraie queue dans son cul serait mieux ». Sébastien ferait bien l’affaire, malheureusement il n’est plus là et pas question de demander à un tiers…
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