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Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 13

Divers
13 - Notre retour.
Il a ouvert la vitre de la 2 CV de son côté pour faire des signes mais, dès que nous avons été hors de vue, dans une petite partie déserte de rue, il m’a dit:— Arrête-toi deux minutes, s’il te plaît.Je me suis tournée vers lui d’un air interrogatif :— Pourquoi veux-tu que nous nous arrêtions.— Tu vas voir. Soulève ta robe, s’il te plaît. Je vais mettre ma main sous toi et tu vas d’asseoir dessus. Je n’en peux plus de te savoir nue et de ne pouvoir rien faire.— Tu es fou!— Oui... de toi!Finalement, je lui ai fait ce petit plaisir. Lorsque, peu de temps après, nous sommes arrivés devant mon garage, sa main gauche était trempée, il avait mis son majeur et son annulaire dans mon sexe, je coulais autour de lui. Heureusement que ma belle robe était remontée, j’aurais dû en changer!
J’ai regardé dans la rue, il n’y avait personne. J’ai ouvert ma portière et j’ai fait un geste dont je ne me serais jamais crue capable, j’ai ouvert la porte du garage et, en revenant pour m’installer, j’ai ôté ma robe et je l’ai jetée sur ses genoux. J’étais toute nue.Il a émis un petit sifflement et m’a dit:— Tu es vraiment une merveille! Comme je rentrais la voiture, il m’a dit:— Attends, tu vas voir.J’ai rentré la 2 CV dans le garage. A peine descendu, il s’est mis nu à son tour. Il a fermé la porte du garage puis celles de la 2 CV tandis que je le regardais faire, interloquée. Il m’a ensuite dit:— J’ai trop envie,.Il a pris nos vêtements et les a roulés en boule, il a placé nos chaussures dedans, il m’a mis le tout dans les mains et il m’a dit:— Je vais te porter jusque chez toi.
Il m’a fait reculer doucement jusqu’à ce que mes fesses touchent la carrosserie de la 2 CV, puis il m’a soulevée dans ses bras en me disant d’une voix rauque:— Guide-moi dans toi.J’ai fait comme il me demandait. Je me suis ouverte au maximum avec une main tandis que, de l’autre, je le faisais s’enfoncer dans moi. Bientôt, il a pris mes fesses à pleines mains, il a plié les genoux et il s’est enfoncé dans moi jusqu’à buter contre le fond de mon utérus. J’ai encerclé ses reins avec mes jambes, je l’ai pris par le cou et je l’ai embrassé à pleine bouche. Entre nous deux, nos vêtements et nos chaussures ne risquaient pas de tomber tellement nous étions soudés l’un à l’autre.
Il m’a ainsi fait monter l’escalier jusqu’à la chambre. Là, il a jeté nos vêtements et nos chaussures à terre, dans un coin. Ensuite, il m’a conduite en face de l’armoire à glace qui était au pied de mon lit, que je commençais en moi-même à appeler « notre lit » et il m’a dit:— Regarde comme tu es belle!Je nous ai regardés dans le miroir. Il m’a soulevée et j’ai vu, peu à peu, apparaître une partie de plus en plus grande de son sexe qui sortait, trempé, du mien.D’un seul coup, il m’a renfoncée sur lui, me faisant émettre un petit gémissement de contentement, puis il s’est allongé sur le lit en me tenant très serrée. Il m’a dit:— Nous allons faire l’amour en nous regardant.
Il m’a fait tourner sans quitter l’abri de ma féminité. Je n’avais jamais ressenti ça, je tournais autour du gros pivot de chair, tout raide, que j’avais dans le ventre. Il me faisait tourner tout doucement, en me prenant tantôt une jambe, tantôt une fesse. J’ai commencé à jouir en sentant mes parois internes frottées par l’énormité qu’elles contenaient.
Il a mis deux oreillers derrière son dos, puis, lorsque j’ai été juste face au miroir, il m’a dit: — Maintenant Sylvie, à toi de jouer, tu montes et tu descends au rythme que tu veux. Et n’oublie pas de nous regarder dans le miroir.(à suivre)
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