Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 86 J'aime
  • 4 Commentaires

Les nièces jumelles

Chapitre 2

Inceste
Chapitre 2 : Tonton Eric.
   Cela fait plusieurs semaines maintenant que je couche avec ma sœur jumelle. Nous ne sommes pas spécialement amoureuses, ni même lesbiennes, nous voyons plutôt cela comme une façon particulière de nous masturber ensemble. Les gens ne comprendraient pas. C’est notre petit secret honteux, ce qui rend la chose encore plus excitante.
   Puisque nous ne nous considérons pas comme étant ensemble, Lucy continue de sortir avec Thomas. Elle a beau me raconter tout ce qu’ils font, cela ne m’aide pas à ne pas me sentir jalouse. Moi aussi je voudrais un copain, mais il ne suffit pas de le vouloir, il faut aussi trouver un homme avec qui on se sent bien, et ça, pour ma part, ce n’est pas gagné.
   Après avoir longuement hésitée, Lucy s’est finalement sentie prête et a perdu sa virginité. J’en étais malade lorsqu’elle me l’a rapporté. Le plaisir qu’elle m’a procuré cette nuit-là pour essayer de se faire pardonner ne m’a pas aidée à passer ma frustration. Je déprime à l’idée que cela ne m’arrive jamais. Même si je me trouvais un amoureux, il me faudrait du temps pour que je me sente assez à l’aise pour oser sauter le pas. Je vais finir vieille fille.
   Alors que je lui parle de tout cela, ma sœur est désireuse de m’aider et me propose de faire la liste de tous les garçons que je connais et qui m’intéresseraient. Je ne sais pas trop quoi lui répondre, je n’avais jamais songé à ce genre de question auparavant. Je réfléchis un instant, et me retrouve qu’avec un seul nom en tête ; mais non, je ne peux pas lui dire ça, c’est idiot, et surtout très honteux. Je ne comprends même pas comment j’ai pu oser y songer. Lucy voit bien que je pense à quelqu’un, elle cherche à me tirer les vers du nez. Je tente de résister un peu, mais c’est ma sœur jumelle, je ne peux rien lui cacher.
— Et bien... il y a bien tonton Eric... lui dis-je.— Tonton Eric ?! s’esclaffe-t-elle de surprise. Tu es sérieuse ?!— Bah quoi, il n’est pas si vieux, et il est plutôt mignon. — Mais c’est le frère de maman ! Tu es folle ?!— Je sais ! Je ne disais pas ça sérieusement ! Oh, et puis tu m’embêtes avec tes questions ! Laisse-moi tranquille ! 
  Je la quitte fâchée, elle, plutôt amusée. C’est bon, on ne va pas en faire toute une histoire, c’était juste un truc stupide qui m’est passé par la tête l’espace d’une seconde, ce n’est pas la peine d’approfondir le sujet. Pourtant, dans les jours qui suivent, je réalise que ce nom ne m’est pas venu totalement par hasard. Quand j’étais petite déjà, je crois que j’avais déjà flashé sur lui, une espèce de syndrome d’Electra, et depuis que nous vivons avec lui... Malgré tout nos différents et nos disputes, je l’ai toujours admiré. Il a toujours été mon modèle masculin et une sorte de héro à mes yeux. Je dois bien l’admettre, aussi dégoutant que cela puisse paraître, s’il y a un homme sur terre que j’aime plus que tout et qui me fait sentir bien, c’est lui. M’enfin, je me vois mal coucher avec un homme qui a quinze en plus que moi, et qui en plus est de ma famille. Quoique... je ne sais pas. Plus les jours passent, plus l’idée fait son chemin. Quand je me masturbe avec Lucy, c’est souvent à lui que je pense. Quelque chose en moi voudrait que cette folie se concrétise, je ne sais juste pas trop quoi faire pour que cela se réalise. Du moins, pas encore.
***
  Cela fait six ans maintenant que mes nièces sont venues habiter chez moi depuis que ma sœur et son mari sont mort dans un accident de voiture. J’ai honte de le dire aujourd’hui, mais à l’époque, je ne voulais pas d’elles. Oh, ce n’est pas que je ne les aimais pas, au contraire, j’étais fou de mes adorables petites jumelles, mais j’étais très proche de ma sœur et j’étais aveuglé par mon deuil. J’avais besoin d’être seul, qu’on me laisse du temps, au lieu de cela, j’ai dû porter le fardeau de la charge de deux jeunes adolescentes turbulentes. Je n’étais pas prêt à accepter ça. Pas seulement à cause de ma peine, mais aussi parce que j’étais trop jeune à mon gout. Il y avait une grande différence d’âge entre moi et ma sœur. J’avais à peine trente ans quand le drame est arrivé, je n’avais aucune idée de comment m’occuper d’enfants aussi âgés. J’avais plus l’âge d’être leur cousin qu’un père de remplacement. Mais quel choix avais-je ? Je ne suis pas un monstre ! C’étaient mes nièces, je ne pouvais pas non plus les abandonner comme ça ! Donc forcément, je les ai prises avec moi.
  Les premiers mois de cohabitation furent horribles pour tout le monde. C’est ma faute, au lieu de chercher à renforcer nos liens afin de mieux supporter le deuil tous ensemble, je fis tout le contraire. J’ai cherché à m’isoler autant que possible, et je n’ai pas pris bien soin d’elles. Je m’en veux à mort aujourd’hui. Je n’ai pas été là quand elles en avaient le plus besoin. J’essaie tous les jours de me faire pardonner, mais je crains que je ne puisse jamais effacer cette blessure. On a beau être adulte, on peut tout de même être con.
  Aujourd’hui, les choses vont heureusement bien mieux. Cela n’a pas été simple, mais j’ai appris à endosser le rôle du tuteur. J’ai tenté de les éduquer du mieux que je le pouvais et de m’occuper d’elles comme seul un père le ferais. Au fond de moi, je les considère comme mes propres filles. Je leur donne tout l’amour que je puisse leur donner. Je n’imagine plus vivre sans elles. Avec les années et le recul, je peux même le dire : elles ont illuminé ma vie. Je ne sais pas si c’est approprié de penser ça vu les circonstances qui les ont menées à vivre sous mon toit, mais elles me rendent heureux.

  Bon par contre, le gros point noir, c’est que je suis toujours célibataire. Pas facile de trouver le temps pour rencontrer quelqu’un quand on a deux enfants à charge. Sans parler que cela a de quoi rebuter les prétendantes. J’ai bien eu une ou deux aventures, mais cela n’a pas duré. Cela me frustre énormément, et même me désespère. J’ai peur de ne plus jamais pouvoir trouver quelqu’un. Grâce à mes petites nièces, je ne me sens pas seul, mais j’ai aussi besoin d’amour plus adulte, de vivre une relation amoureuse. Je ne cherche pas une femme qui joueraient les mères de remplacement, juste quelqu’un avec qui faire ma vie. Mais j’imagine que c’est un peu naïf d’espérer pouvoir séparer les deux. La personne que je trouverais va devoir adopter mes jumelles, et vice-versa. Ce n’est pas gagné.
  Dans ma liste des frustrations, il y a bien évidemment la frustration sexuelle. Je reste un homme avec des besoins. Du coup, il n’est pas rare que, tard le soir, je m’installe devant la télé devant un porno pour me masturber. C’est humain, j’ai besoin de me soulager. Je fais juste bien attention à ce que les petites ne me surprennent pas. Je ne préfère pas penser à l’image qu’elles auraient de moi si cela devait arriver. Je crois que je perdrais toute crédibilité à leurs yeux.
  J’ai parfois des pensées... honteuses à leur encontre. Disons que ce n’est pas facile d’être un homme célibataire et de vivre sous le même toit que deux jeunes filles qui se transforment peu à peu en femme. De gamines, je les ai vues prendre des formes, gagner de la poitrine, pour devenir aujourd’hui deux superbes bombes de dix-huit ans. Mon dieu, elles vont faire des ravages. Si je n’étais pas leur oncle et que j’avais leur âge, je n’hésiterais pas une seconde. Je suis jaloux. Jaloux à l’idée qu’elles ne vont pas tarder à avoir une vie sexuelle bien plus active que moi. Jaloux de ces hommes qui vont avoir la chance de profiter de leur corps. Je chasse cette idée impure de ma tête, j’ai honte de penser comme ça.
  Une nuit, j’ai du mal à dormir. Je me réveille et vais aux toilettes. En passant devant la chambre des jumelles, j’entends de drôles de bruits. Elles devraient être couchées à l’heure qu’il est. Intrigué, je vais voir ce qui se passe. Je n’entrouvre que très légèrement la porte pour ne pas les réveiller au cas où j’ai rêvé. Ce que je découvre me laisse sans voix : mes deux petites nièces, nues, sur un des lits, en train de se faire un soixante-neuf. Je suis choqué ! Qu’elles soient lesbiennes passe encore, même si je pensais que Lucy avait un copain, je les aimerais peu importe leur orientation sexuelle, mais faire ça entre sœur... c’est immoral, et surtout illégal ! Je ne sais pas comment réagir. Dois-je entrer et y mettre fin tout de suite ? Ou partir et faire comme si je n’avais rien vu ? Je suis confus. Je devrais être furieux, mais au lieu de ça, je suis... excité. Je sais que ne devrais pas, que c’est mal, mais j’ai envie de rester là à les mater. Mon dieu, ce qu’elles sont belles. Je n’ai jamais assisté à quelque chose d’aussi érotique. Je bande, je bande devant mes nièces. Je ne peux pas m’empêcher de sortir ma queue et de me masturber. L’une sur l’autre, elles se broutent le minou avec dévotion. Je ne sais pas laquelle est laquelle, je n’ai jamais su les différencier. Il y a tellement de passion dans leur étreinte que ne peux trouver cela que magnifique. Leurs gémissements me donnent envie de me branler plus fort. Je les observe en train de se lécher et de se doigter. Elles ont des chattes rasées. Je regrette de ne pouvoir avoir une meilleure vue sur leurs seins imposants. Leurs corps ondulent de plaisir, leurs soupirs sont de plus en plus oppressants. Au bout de quelques minutes, elles crient, toutes les deux, ensemble. Je n’arrive pas à croire que je sois témoin de leur orgasme. C’est incroyablement beau, j’aurais bien envie de les rejoindre. Je n’en peux plus, je referme la porte et m’enfuis aux toilettes. Je m’astique comme un malade devant la cuvette en repensant à ce que je viens de voir. J’y ajoute quelques autres pensées que je n’aurais jamais dû avoir. Il ne me faut pas longtemps pour gicler et expulser mon sperme hors de mes couilles. Putain, j’en avais besoin.
  Une fois soulagé, je reprends tout de suite mes esprits. Merde ! Mais qu’est ce que je viens de faire ? Qu’est ce qui s’est passé ?! Je me sens complètement perdu. Je ne sais toujours pas quelle mesure adopter au sujet de leur inceste. Je pourrais leur en parler demain matin en les engueulant, mais alors, elles pourraient me demander pourquoi je ne les ai pas interrompues lorsque je les ai trouvées en pleine action. Mais même sans ça, que dois-je faire ? Ce n’était peut-être rien de sérieux, je risque peut-être de faire un scandale pour rien. Mais si c’était le contraire ? Je fais quoi ? Je ne peux pas non plus les séparer, ni les surveiller en permanence. Mais finalement, tout cela importe peu ; le véritable problème, c’est que je ne sais même pas comment je me sens réellement par rapport à ça. Une fois la surprise passée, je ne suis pas fâché ni révolté par ce que je viens de voir. Au fond, je trouve ça plutôt mignon. J’ai besoin de temps pour y réfléchir.
   Les jours passent et je ne sais toujours pas quoi faire. Les choses s’empirent quand  je réalise que cet événement n’a fait qu’alimenter mes fantasmes. Il m’arrive de me masturber en repensant à ce que j’ai vu, ou en m’imaginant ce qu’elles font d’autres dans leur chambre. Parfois, je dépasse la limite en m’imaginant faire des choses avec elles. J’ai honte d’être aussi pervers. Merde, ce sont mes nièces, je suis leur tuteur, je ne devrais pas avoir ce genre de pensées. Il faut absolument que je reprenne le contrôle, ou les choses vont dégénérer.
***
   Aujourd’hui, ma sœur est partie faire la fête toute la nuit. Je ne l’ai pas accompagnée, je ne suis pas comme elle, je ne suis pas une fêtarde. Du coup, je me sens seule. Je n’ai pas l’habitue d’être séparée de Lucy. Je commence à regretter mon choix.
   Il est tard. J’essaie de dormir, mais je n’y arrive pas sans Lucy. Sa chaleur me manque.
Depuis que nous couchons ensemble, nous avons pris l’habitude de dormir dans le même lit, collée l’une à l’autre. Nous avons hésité au début en craignant que cela poserait des problèmes si tonton nous voyait comme ça, puis on s’est dit qu’on aurait qu’à lui expliquer que c’est normal entre jumelles qui s’aiment très fort, c’est juste un câlin. Il faudrait être pervers pour s’imaginer autre chose.
  Je me décide de me lever. Demain, c’est le weekend, je peux me réveiller quand je veux de toute façon. Oncle Eric est censé être dans le salon à regarder la télé en attendant qu’il soit l’heure d’aller rechercher Lucy. C’est quand-même un super tonton de faire ça ! Il ne nous empêche pas de vivre notre jeunesse. On a de la chance de l’avoir. Je descends les escaliers pour aller lui dire coucou et lui tenir un peu compagnie. En arrivant dans la pièce, je le surprends en train de mater un porno. Je suis choquée ! Mais intriguée aussi. Il ne s’est toujours pas aperçu de ma présence, j’en profite pour l’épier. Je ne le vois pas bien, je suis derrière le sofa, mais j’imagine qu’il est en train de se branler. J’ai une meilleure vue sur l’écran de la télé. Un couple est en train de baiser. La fille est à quatre pattes et l’homme lui donne de violent coup de reins. Je suis gênée par l’obscénité de la chose, mais aussi honteux que cela puisse paraître, je trouve ça aussi excitant. Je ne sais pas ce qui me passe par la tête, je passe une main sous ma culotte et commence à me caresser la chatte. Il y a un gros plan sur la bite énorme du mec qui s’enfonce dans son vagin. Cela me donne envie, j’en voudrais une comme ça tout de suite. Quand je pense que Lucy a déjà fait l’amour alors que je suis toujours vierge, cela me rend malade. Moi aussi je voudrais qu’un homme me prenne de cette façon. Ils sont si beaux tout les deux, ils gémissent de bonheur. Je voudrais connaitre le même plaisir.
  Mes doigts se font plus insistants et je me suis même mise à me peloter les seins. Je ne peux retenir un râle un peu trop bruyant. Je panique en me souvenant que tonton n’est pas loin et qu’il peut m’entendre, je me fige sur place quand il se retourne et s’aperçoit de ma présence.  — Megan ?! sursaute-t-il, manifestement aussi gêné que moi. Que fais-tu ici ?!
  Il fait des bruits qui me font comprendre qu’il est en train de remettre vite fait son pantalon avant de se lever. Je fais de même en replaçant ma culotte et en la cachant sous ma nuisette.
— Je suis désolée tonton ! Je ne voulais pas t’espionner ! Je voulais juste voir comment tu allais. — Je... heumm... Ça va, j’étais juste en train de... enfin... Il faut vraiment que tu retournes dans ta chambre maintenant !
  Je devrais être raisonnable, l’écouter, et m’enfuir sur le champ rouge de honte, mais je ne sais pas quelle force mystérieuse me pousse de lui répondre à la place :
— Tu es sûre que je ne peux pas rester ? Je... voudrais regarder moi-aussi...
  Il est aussi rouge que moi. Je pensais que cela le mettrait en colère, au lieu de cela, il a l’air d’hésiter et de réfléchir sérieusement à la question.
— Je... Je ne sais pas. J’imagine que c’est de ton âge. Heumm, pourquoi pas après tout Tu es sûre ? C’est un peu bizarre quand-même. — Oui, je suis sûre, fais-je fébrilement.
  C’est un mensonge, je suis à la fois terrifiée et excitée, je ne sais pas ce que je fais. À mon avis, lui non plus. Il se réinstalle sur le sofa et je m’assieds à l’autre extrémité. Les lumières sont éteintes, il fait sombre. Nous regardons tous les deux le film dans un silence gêné. Nous avons envie de nous masturber, mais aucun d’entre nous ne semble oser. Je finis par me décider en voyant la fille en train de chevaucher elle-même le garçon. Elle s’empale sur cette longue bite en soupirant de plaisir. Je glisse une main sous ma culotte en m’imaginant être à sa place. Je voudrais moi aussi pouvoir rebondir sur lui à mon rythme pour me faire du bien.
  Timidement, tonton Eric redéfait son pantalon pour en extraire son sexe. Curieuse et perverse, j’y jette un coup d’œil. J’hallucine en voyant sa taille ! Elle est plus grosse que celle de l’acteur ! Et tout aussi longue ! C’est un véritable mat de bucheron. Je mouille en l’observant se branler, je détourne rapidement le regard vers l’écran avant qu’il ne s’en aperçoive et me prenne pour une perverse. J’ai honte de ma réaction, mais je ne contrôle pas mon corps. Je l’ai toujours trouvé séduisant avec sa grande carrure musclée et ses court cheveux blonds, alors le savoir si près de moi avec son énorme sexe bandé... Je chasse cette pensée, la situation est déjà assez tordue comme ça.
  Je me masturbe comme une folle en regardant le film, c’est vraiment trop excitant. Je laisse échapper mes gémissements sous mes attouchements. Mon oncle aussi me fait partager ses grognements, cela me fait couler encore plus ma chatte. Je me détends et commence à me sentir bien. La honte s’évapore peu à peu par le plaisir qui la fait taire. Je me perds dans un monde où toutes pensées rationnelles n’est plus possible. Je me dénude un sein et me pince le téton. Je jette un regard en biais vers la bite de mon oncle. Elle me fait envie, elle m’excite, j’ai envie de la voir jouir. Je remarque qu’il lance de petits regards furtifs en ma direction. Je suis sûre qu’il aime aussi me voir en train de me toucher. Dans le doute, je me donne en spectacle. Je retire ma culotte pour mieux écarter les cuisses, et je me tourne de façon à ce qu’il puisse avoir une meilleure vue s’il décide de me reluquer. Nous nous branlons de plus en plus fort, en cadence. Nos gémissements se sont de plus en plus oppressants. Nous ne sommes plus loin de jouir tous les deux. Il se branle frénétiquement, puis il pousse un râle avant d’éjaculer. Je n’en rate pas une miette. De grosses quantités de sperme giclent dans le vide en jets puissants. Je suis emportée par mon propre orgasme en voyant cela et je crie à mon tour. Je suis frappée par une vague électrique qui me traverse tout le corps. Nous jouissons ensemble, oncle et nièce, devant un film porno. Quand je reprends mes esprits, il a fini lui aussi. On dirait que sa bite pulse encore, mais que plus rien n’en sort. Il attrape un rouleau de sopalin sur la table de basse pour nettoyer les dégâts. Il m’en tend une feuille au cas où j’en aurais besoin, je l’accepte volontiers. Nous ne parlons pas, nous sommes tous les deux trop gênés par la situation. Surtout que ce n’est pas le porno qui m’a faite jouir, mais bien lui en le regardant se masturber. J’ai si honte, j’ai fantasmé sur sa bite en m’imaginant ce que je voudrais qu’elle me fasse. Je n’oserais jamais l’avouer à personne, ni même à ma sœur. Je prie qu’il ne s’en rende jamais compte, jusqu’à ce que je réalise une chose horrible : quand j’ai jouie, la scène érotique était terminée. Il n’y avait absolument rien de coquin ou d’excitant à l’écran. Il n’est pas idiot, il a dû comprendre. Je panique comme une folle et m’enfuit après lui avoir dit bonne nuit l’air de rien. En atteignant ma chambre, je réalise encore une chose qui étrangement me rassure : cela veut dire que lui aussi a éjaculé en pensant à moi.
***
  J’espérais que les choses s’améliorent et que je regagne le contrôle. Au lieu de cela, elles se sont empirées. Une de mes nièces m’a surpris en train de me masturber devant un porno. J’ai eu peur qu’elle me traite de gros dégueulasse, au lieu de cela, il s’est passé une chose encore plus étrange : elle s’est jointe à moi pour mater le film. Et moi qui aie cru un moment qu’elle était lesbienne...
  Nous nous sommes fait jouir tous les deux. J’ai honte de l’avouer, mais ce n’est pas le film qui m’a fait éjaculer, mais les pensées salaces que j’ai eu pour elle. Je suis un pervers, mais comment puis-je résister à l’attrait d’une jeune fille aussi séduisante ? Je suis qu’un homme ! Merde ! Je perds les pédales, au point que j’en suis venu à m’imaginer qu’elle aussi s’est faites jouir en pensant à moi. Je me fais sans doute des illusions, mais au fond de moi, l’idée me plait alors... je l’entretiens malgré moi.
  La semaine suivante, alors que sa sœur est de nouveau de sortie le vendredi soir, je me réinstalle dans le salon avec un film porno. Je ne sais pas ce que j’espère. Qu’elle revienne et qu’on recommence ? Ou au contraire me rassurer en réalisant qu’il ne s’agissait que d’un délire d’un soir ?
  Mon cœur bat la chamade lorsqu’elle fait son apparition. Elle me demande si elle peut encore regarder avec moi. Ce n’est pas sage, je devrais agir comme un père et ne pas l’encourager sur cette voie là. J’accepte pourtant et elle vient s’assoir près de moi. Nous nous masturbons, comme la fois précédente. J’ai encore trop de mal à me concentrer sur le film et ne fais que penser à elle. Je jouis en m’imaginant éjaculer dans sa jeune chatte que j’espère encore vierge. Elle me suit tout de suite après, comme si nous jouissions ensemble. C’est pervers, c’est mal, mais bon sang, j’aime ça. C’est ce qui se rapproche le plus près d’une relation sexuelle que j’ai eu avec une femme depuis des années. Je suis trop en manque.
  Les semaines passent et c’est devenu systématique, comme une sorte de rituel. Quand sa sœur est en vadrouille le soir, nous mettons un porno et nous nous masturbons. Avec l’habitude, nous sommes de plus en plus détendus ; je déculpabilise. C’est devenu presque quelque chose de normal. Je me convaincs que nous ne faisons rien de mal, et je laisse libre cours à mes fantasmes.
  Un jour pourtant, elle franchit une limite lorsqu’elle me demande :
— Tonton, ce film est trop bon, je n’en peux plus, tu ne veux pas m’aider à me faire jouir ?!
 Qu’est ce qu’elle raconte ?! Elle délire ou quoi ?
— Comment ça ?— Je voudrais... que tu me touches... — Tu es folle ?! Nous ne pouvons pas faire ça voyons. — S’il te plait, j’ai envie que tu me lèches, j’ai besoin de jouir, tonton. — Se masturber devant un film, c’est quelque chose, mais là, c’est tout à fait différent ma chérie, on ne peut pas faire ça.
  Putain, je dis ça, et pourtant, qu’est ce que j’en ai envie. Si cela ne tenait qu’à moi, je serais déjà en train de lui brouter la chatte. Si elle continue d’insister, je ne vais pas pouvoir tenir.
— Je ne vois pas en quoi, ce n’est pas comme si on faisait l’amour. Puis je te promets de te faire la même chose après.
  Je me dis non, c’est clairement de l’inceste, qu’elle le réalise ou non. Puis j’ai à nouveau cette image de ce que je l’ai vu faire avec sa sœur. C’en était aussi, et pourtant, je n’ai rien fait contre. Je me mets à hésiter, mon esprit ne raisonne plus clairement, il essaie de me convaincre de passer à l’acte. Je me dis que si elles le font déjà entre elles, quel est le mal à ce que j’en profite aussi ? Je le veux, au plus profond de mon être, pourquoi est-ce que je me fais tant de mal à résister ainsi ?
— D’accord ma chérie, lui dis-je, mais rien que cette fois.
 Elle écarte les cuisses pour m’inviter à venir, souriante mais tendue. Je ne sais pas ce que je fais, je referme mon pantalon et me lève pour la rejoindre. Je m’agenouille devant son entrejambe, j’ai une vue splendide sur sa délicieuse petite chatte déjà pleine de mouille. J’en profite pour l’admirer. Elle est si belle, la foufoune de ma petite nièce adorée, celle sur laquelle je fantasme depuis maintenant plus d’un mois. Je n’en peux plus, j’ai besoin de la gouter. Je me précipite pour la lécher, je récolte son jus d’amour avec ma langue. Elle est délicieuse, il m’en faut plus. Je joue avec ses lèvres avant d’aller titiller le clitoris. Il est déjà très gonflé. Elle gémit, cela m’excite de lui faire du bien. Je veux aller plus loin, je veux la rendre folle avant de la faire jouir. Je veux qu’elle se souvienne de ce moment pendant longtemps, car moi, je sais que je ne risque pas de l’oublier. Je redescends pour la pénétrer avec ma langue, je vais aussi loin que je peux aller comme si c’était une bite. J’aspire pour avaler sa cyprine qui coule abondamment, puis je ressors pour parcourir à nouveaux les parois de son vagin. J’évite autant que je peux les zones érogènes, je cherche à la frustrer un peu. Je tourne autour de son clito sans jamais le toucher. Lorsque je le sens à l’agonie, je la prends par surprise en le lui pinçant avec mes lèvres avant de le sucer ; son corps ondule sous les sensations. Je fais monter son plaisir avant de l’abandonner pour lui laisser le temps de se calmer. Je répète mon manège plusieurs fois en m’assurant de lui refuser l’orgasme. Elle me laisse entièrement faire. Elle ne dit rien, ne m’encourage pas, ni ne se plaint ; elle me fait entièrement confiance.
  Je lève les yeux pour observer ses réactions. J’ai d’ici une vue splendide sur sa poitrine. Je peste de voir ses seins prisonniers de ses geôliers de dentelles. Je tuerais pour les voir dénudés et pouvoir jouer avec. Je cesse mes caresses buccales et passe à l’étape supérieure. J’enlève une de mes mains qui lui caressait les cuisses pour enfoncer des doigts dans son con. Je démarre doucement, en faisant du va-et vient, puis j’accélère le rythme au fur et à mesure. Je les courbe comme pour lui chatouiller l’intérieur de la chatte. Je vais super vite comme pour la chercher à la baiser. Elle mouille si fort que mes allers-retours font des bruits de clapotis.
— Aaaah ! Oui ! s’exclame-t-elle. Tontoooooooooon !
  Elle n’arrive plus à tenir en place, elle gigote dans tous les sens. Je me réattaque à son clito de nouveau avec la bouche. Je le fais vibrer violemment avec ma langue tout en la fouillant avec mes doigts. Je ne cherche plus à jouer avec elle, mais à la finir ; je sens qu’elle n’en peut déjà plus. Elle semble lutter quelques instants, son corps se fige pendant quelques secondes, puis elle explose soudainement en poussant un cri de jouissance.
— Aaaaaaaaah ! Ouiiiiiii ! Tonton Eriiiiiiiiiiiiic !
  Je suis assez fier de moi, je n’ai pas perdu la main. Je suis si heureux d’être l’instigateur de cet orgasme. Elle convulse tellement que je n’arrive plus à maintenir mon visage sur sa vulve, je parviens à peine maintenir mes doigts dans son conduit.
— Jouis, ma chérie, jouis, tu le mérites, dis-je. Tu es si mignonne.
 Je finis par les sortir pour la laisser profiter entièrement de ce moment. Lorsqu’elle se calme, elle me regarde d’en haut, à moitié étourdie.
— Oooh, tonton... c’est pile ce dont j’avais besoin, tu as été incroyable ! — Ce n’est rien ma chérie, cela m’a fait plaisir à moi aussi.  Tandis que je me redresse, elle m’attrape par la ceinture. — C’est à ton tour maintenant. Je l’ai promis.
  Je me sens gêné.
— Tu n’es pas obligé ma puce, ce n’est rien, j’ai été ravi de te donner du plaisir. — Mais je le veux moi, je veux t’en donner moi aussi. S’il te plait, laisse-moi te sucer à mon tour.
 Si j’étais quelqu’un de raisonnable, ou si j’avais toute ma tête, je la repousserais et en restera là, sauf que ce n’est pas le cas. Merde alors ! Ma délicieuse petite nièce me propose pas moins qu’une pipe, comment pourrais-je résister à une pareille offre ? J’en fantasme depuis trop longtemps.
  Les rôles s’inversent rapidement. Je m’installe dans le divan alors qu’elle défait mon pantalon. Elle en sort timidement ma verge qui n’a cessé de bander. Elle n’arrête pas de le fixer. Cela doit être la première qu’elle doit voir en vrai, du moins, je l’espère au fond de moi.
— Mon dieu, ce qu’elle est grosse, tonton ! — Je sais, dis-je.
 Je n’ai rien trouvé de plus intelligent à répondre...
  Elle me branle doucement. Je gémis pour lui faire comprendre que cela me fait du bien. La phase de découverte passée, elle s’active plus franchement. On dirait que cela lui plait, elle a le sourire d’une gamine qui vient de trouver un nouveau jouet. Mon cœur s’arrête lorsque je la vois se redresser pour porter ses lèvres à mon gland. Je frémis au premier contact. Lentement, très lentement, elle le fait glisser dans sa bouche pour en avaler le plus possible, elle ne remonte qu’une fois qu’elle a atteint sa limite ; elle répète ensuite le mouvement. Je ne parviens pas à y croire, je me fais vraiment sucer par Megan, ma nièce, une des plus jolies filles qu’il m’ait été donné de voir. Elle est si jeune, aux airs si innocents, cela m’excite au plus au point de la voir faire un truc pareil. Je ne suis plus en train de regarder un film porno, c’est bien ma queue qui est en train de disparaitre entre ses lèvres. Cette vision obscène restera à jamais gravée au fond de ma mémoire. Je veux en voir plus, je veux la voir femme, je veux être le premier à lui faire l’amour.
***
  Je n’arrive pas à croire ce que je suis en train de faire. Je suis en train de sucer un homme. Pas n’importe lequel en plus, mon tonton sur qui je fantasme depuis que je suis adolescente. Je ne ferais pas un truc pareil en temps normal, mais les histoires que me raconte Lucy m’a trop donné envie d’essayer. Sa bite est vraiment énorme ! J’ai du mal à la garder dans ma bouche. Je ne sais pas trop ce que je fais mais il a l’air malgré tout d’apprécier.
  Il m’a follement faite jouir, je désire de ton mon cœur lui rendre la pareille. Je ne pensais pas d’un homme pourrait connaitre aussi bien le vagin d’une femme. C’est comme si, à l’instar de Lucy, il connaissait tous mes points faibles, c’était incroyable.
  Je commence à me faire à sa grosseur et accélère la cadence. J’ose enfin toucher son gland du bout de ma langue. Je me mets même à le lécher, il gémit en guise de réponse.
— Ooh, Megan, me dit-il, tu t’y prends si bien mon ange.
  Il doit dire ça pour me flatter, mais je prends bien le compliment. Je joue avec ses bourses pendant que je continue de le pomper. Mes joues se creusent comme si je cherchais à lui aspirer son sperme. Je veux le faire jouir, je veux le faire éclater jusqu’à ce qu’il se vide entièrement les couilles. Je veux être une femme digne de lui, qu’il ait envie de moi, qu’il se branle seul en pensant à moi, je ne veux pas juste être une petite vierge effarouchée sans intérêt qu’il oubliera demain. Je m’applique autant que je peux. Il glisse une main dans mes cheveux comme un signe d’approbation. Comme dans les films que nous avons regardés ensemble, je bave sur son sexe afin de mieux le faire glisser. C’est autant plus agréable pour lui que pour moi.
  Je ne suis pas une experte, je ne cherche pas à jouer avec son plaisir, juste le faire éjaculer. J’hallucine quand j’ai l’impression que sa bite grossit encore, ou du moins se raidit. Je me dis que je dois être sur la bonne voie. Son souffle devient de plus en plus court. Il n’a pas détourné une seule seconde son regard de moi. Je le fixe droit dans les yeux pour scruter la moindre de ses réactions. Je me délecte de chaque indice de plaisir.
— Megan, ma chérie, tu vas me faire jouir si tu continues comme cela.
  Je m’interromps juste une seconde pour lui répondre :
— C’est ce que je veux. S’il te plait, tonton, jouis pour moi. Donne-moi tout ton sperme, je le veux pour toi.
  J’engloutis son chibre dans ma gorge. Je me démène sur sa tige pour essayer de lui offrir un max de sensation. Il pousse des grognements et des râles, je pense qu’il n’en a plus pour longtemps.
— Hmm, aaah, Megan, je ne vais plus pouvoir me retenir !
 J’ai envie de lui dire "ne retient pas", mais je n’ai pas envie de m’arrêter à nouveau, je lui lance alors un regard qui en dit autant que des mots. Cela semble lui faire de l’effet, car il se met soudain à crier mon nom :
— Megaaaaaaaaaaaaaaan ! Aaaaaaaaah !
 Je sens quelque chose gicler au fond de ma gorge. C’est du sperme, je suis si fière d’avoir réussir à le faire éjaculer. Je continue de le branler fermement pour essayer d’en faire sortir un maximum. Je réalise sur le coup que je ne sais pas trop quoi faire de sa semence. Dois-je avaler, ou recracher ? J’étais tellement dans mon trip que je ne me suis même pas poser la question avant. Sur l’impulsion du moment, je me dis que ce serait dégueulasse d’en avoir partout, je décide donc la première solution. C’est seulement après avoir dégluti que je me rends compte de ce que je viens de faire : j’ai avalé du sperme. Je suis trop excitée pour trouver ça dégueulasse, quand je sens le second jet m’envahir la bouche, je lui fais subir le même traitement. Ce n’est pas si terrible après tout ; ce n’est pas vraiment bon, mais pas particulièrement mauvais non plus. Il continue de se déverser en moi, j’accueille chacune de ses salves avec amour et dévotion. Elles sont la preuve que c’est moi qui le fait jouir. Je suis ainsi collée à sa queue tel une gamine sur une sucette jusqu’à ce que plus rien n’en sort. Ne sachant pas ce que je suis censé faire maintenant, je continue de le sucer. Je la sens peu à peu se ramollir. Je trouve ça drôle ; c’est comme si sa bite était un animal avec une volonté propre, et qu’après avoir joui elle était épuisée et avait besoin de repos. Je la recrache enfin de ma bouche, satisfaite de mon travail.
— Megan ? Tu as tout avalée ? me demande-t-il.
 Je fais oui de la tête.
— Aaah ! Salope ! geint-il. Je ne le crois pas !
  Je devais peut-être me sentir offensée, mais au lieu de ça, je trouve ça flatteur. Cela doit vouloir dire que ça lui a vraiment plu.
— Tu as aimé mon tonton chéri ? fais-je.— Oh oui, tu as été merveilleuse. C’est la première fois que tu fais ça ? — Oui.— Soit tu mens, soit tu as un don inné. Tu es très douée. — C’est vrai ? — Oh oui ! J’ai vraiment adoré.
  Il remet son pantalon en place puis nous faisons ensuite un câlin. C’est bizarre, après les cochonneries que nous venons de faire, il est redevenu brusquement le tonton de tous les jours, et moi, sa petite nièce sage. Je crois que je préfère ça ainsi, cela aurait été trop gênant sinon. Peu après, Lucy téléphone pour prévenir qu’elle désire rentrer plus tôt que prévu. Il m’abandonne pour aller la chercher, et je file dans ma chambre pour aller me coucher. J’ai hâte d’être la semaine prochaine que Lucy sorte faire la fête à nouveau.
Diffuse en direct !
Regarder son live