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Les nièces jumelles

Chapitre 5

Avec plusieurs femmes
Chapitre 5 : Crise
   Merde ! Merde ! Je n’arrive pas à y croire. C’était Lucy, je viens de coucher avec Lucy ! Je suis en stress, je panique. Qu’est ce que je viens de faire ? J’ai du mal à raisonner, il faut que je réfléchisse. Bon, bon, concentre-toi Eric ! Déjà, si elle s’est faite passée pour sa sœur, ça veut dire qu’elle était au courant pour notre liaison. Mais comment ? Megan n’est pas assez stupide pour lui avoir tout raconté tout de même.
— Tonton, ce n’est pas grave voyons, essaie de me rassurer Lucy.
 Elle est nue, couverte de mon sperme. Elle essaie de s’approcher, je recule pour l’éviter.
— Merde ! Merde ! crie-je. Tu te rends pas compte de ce que nous avons fais ?! Tu es ma nièce !
— Et alors ? Cela ne te dérangeait pas avec Megan ! Faut pas avoir peur tonton, ce n’est pas comme si j’allais raconter ça à tout le monde, ne t’inquiète pas.
— Et Megan ?! Qu’est ce qu’elle va dire Megan quand elle va apprendre qu’on a couché ensemble ?
 Je vois déjà ici sa réponse "mais elle n’a pas besoin de savoir voyons", comme si c’était mon genre de mentir, je pourrais jamais lui faire un truc pareil. Sauf qu’au lieu de cela, elle me surprend :
— Mais elle le sait déjà, pourquoi tu crois qu’elle est sortie faire un tour ? — Quoi ?! Parce que c’était arrangé en plus ?! — Tonton, laisse-moi t’expliquer...
  Je bouillonne intérieurement de colère. Je suis maintenant certains que si Lucy est au courant pour moi et Megan, c’est que cette dernière a dû tout lui raconter. Sale petites pestes ! Qu’est ce que je suis au juste pour elles ? Un sextoy qu’on se partage comme ça ? Elles se foutent de moi depuis le début ou quoi ?
— Non ! Tais-toi ! Fiche le camp ! Tu en as assez fait ! Et va prendre une douche ! Tu es toute dégoulinante, tu vas en mettre partout !
  Elle essaie de m’attraper le bras, mais je la repousse. Je m’enfuis, elle n’essaie pas de me suivre, tant mieux. Je m’enferme dans ma chambre comme un gosse, je réfléchis à ce qui s’est passé, à quelles sont les conséquences que cela va avoir, et à ce que je vais devoir faire. Je m’en veux, jamais je n’aurais dû commencer à coucher avec Megan. Non, en fait, dès ce premier soir où elle a voulu rester avec moi pour se masturber devant le film porno, j’aurais dû la congédier dans sa chambre. Qu’est ce qui m’a pris ?!

  Le temps passe et je continue de cogiter. Je finis par essayer de penser à autre chose. Il faut que je me détente. Je vais avoir du mal à rester dans la même pièce que mes nièces durant un bon moment. La colère passée, c’est surtout la tristesse et la déception qui m’envahit. Megan... pendant l’espace d’un instant, je me suis senti heureux, aimé. Tout ceci n’était qu’une illusion.
  Quelqu’un toque à la porte trois fois, puis l’ouvre sans attendre que je réponde.
— Tonton ? fait-elle.
  Je ne sais même pas si c’est Lucy ou Megan qui viendrait de rentrer.
— Tonton, c’est Megan, précise-t-elle. Lucy m’a raconté ce qui s’est passé.
   Elle entre et referme derrière elle. Elle a l’air inquiète, mais je m’en fiche.
— Vas-t-en. Laisse-moi tranquille s’il te plait. — Laisse-moi au moins t’expliquer. S’il te plait.
 Est-ce vraiment Megan ? Ou Lucy qui rejoue la comédie pour tenter une nouvelle fois de parler avec moi ?
— Tu t’es fichue de moi, dis-je. Toi et ta sœur. On ne joue pas avec les gens comme ça. — Mais je ne me suis jamais moquée de toi ! s’indigne-t-elle.— Tu me vends comme ça comme un objet, et tu oses dire que tu ne te moques pas de moi ?
Elle n’aurait jamais dû être au courant pour nous d’ailleurs, comment a-t-elle su ?
— C’est moi qui lui en ai parlé. Eric... c’est ma sœur, ma sueur jumelle. Je ne peux pas avoir de secret pour elle, même quelque chose d’aussi gros. Tu comprends ?
  Non, je ne comprends pas.
— Ce qui est arrivé est un accident, poursuit-elle, tu n’aurais jamais dû te rendre compte que ce n’était pas moi.— Parce que c’est censé me faire sentir mieux peut-être ?!
  Franchement, c’est ça son excuse ?!
— Non, ce que je veux dire, c’est... Raah.
  Elle soupire, elle cherche ses mots.
— Laisse-moi tout te dire. Lucy et moi nous racontons tout, même nos expériences sexuelles. Quand je lui ai parlé de ce que nous faisions, elle était un peu jalouse. Elle a un copain et ils couchent ensemble, mais ce n’est pas pareil, il est inexpérimenté. Je lui ai dis combien tu étais un amant merveilleux, et cela lui a donné envie. Elle n’a jamais flashée sur toi comme moi, mais elle t’a toujours beaucoup aimée et trouvé séduisant.
— Alors tu lui as dit que j’étais disponible et qu’elle n’avait qu’a me sauté dessus. Vraiment charmant ! fais-je en boudant. — Eric ! C’est ma sœur, je l’aime, et je t’aime toi-aussi. Je vous veux tous les deux heureux. Je voulais juste partager avec elle... le bonheur que tu me donnes. On se doutait que tu réagirais mal, donc on a pensé que ce serait mieux qu’elle se fasse passer pour moi. — Bah oui, vu que je suis trop bête pour vous reconnaitre ! Cela montre tout l’estime que vous avez pour moi. Merci. Tu dis que tu m’aimes, mais si c’était vraiment le cas, tu n’aurais jamais pensé faire ce genre de chose. Tu aurais voulu me garder pour toi tout seul. — Je te veux pour moi toute seule ! Mais Lucy, c’est différent, c’est ma sœur, je ne peux pas être jalouse de ma sœur ! On fait tout ensemble, on partage tout ensemble, même... ça. — Qu’est ce que je dois comprendre ? Que tu as toi-même déjà couché avec son copain, comme ça, juste pour "essayer" ?— Quoi ? Non ! Jamais ! Je ne t’ai jamais trompé ! Cela ne me viendrait même jamais à l’esprit ! Je t’aime Eric ! — Là, en ce moment, j’ai dû mal à te croire, Megan. — Tant qu’on est dans les confidences, j’ai autre chose à t’avouer.— Bah voyons.— Je ne t’ai jamais trompé mais... parfois, Lucy et moi... Nous couchons ensemble. Nous ne sommes pas lesbiennes, ni même amoureuses, mais, on s’aime très fort et... cela nous fait du bien.
   Je ne dis rien. J’étais déjà au courant de toute façon, mais bon, je ne peux pas le lui dire, elle se demanderait pourquoi je n’en ai pas parlé avant. Je n’ai pas envie d’en parler, je recentre la conversation sur le sujet initial :
— Tout ceci est ma faute, Megan, je n’aurais jamais d$u laisser les choses prendre cette tournure, et encore moins laisser libre court à mes sentiments comme ça. C’est normal, tu es jeune, tu as envie de t’amuser, j’ai pris notre relation trop sérieusement, c’était une erreur. Laisse-moi maintenant, je m’en remettrais, mais j’ai besoin de temps. 
— Eric...— Va-t-en ! S’il te plait !
  Elle reste quelques secondes sans rien dire à me regarder, les yeux perlant, puis elle quitte enfin la pièce.
***
  Je suis en pleur dans les bras de Lucy. C’est fini ? C’est vraiment fini ? Je savais qu’il le prendrait mal s’il apprenait la vérité, mais... je ne sais pas... au fond, j’espérais qu’il comprendrait. Nous vivons chez lui depuis tant d’années, je pensais qu’il serait capable de comprendre la relation unique que peut partager une sœur avec sa jumelle.
— Je suis désolée, Megan, me dit Lucy, c’est ma faute. Je n’aurais jamais dû te demander pour coucher avec lui
  Je ne lui en veux pas. Moi aussi j’aurais été jalouse dans sa situation, et j’aurais sans doute voulu faire pareil. Je lui ai donné mon accord sans hésitation tant cela me semblait naturel. C’est contre moi que je suis fâchée, j’aurais dû lui dire non. Elle l’aurait compris, elle. Elle m’en aurait peut-être voulu un moment, mais elle l’aurait compris.  
  Les jours qui suivent sont très difficiles. Eric nous évite, et honnêtement, je fais pareil. Lucy essaie de me réconforter par tous les moyens. Elle me dit qu’il lui faut juste un peu de temps, que ça va s’arranger, ce genre de choses, mais je n’y crois pas. Parfois, elle veut me faire plus qu’un câlin pour me faire sentir bien, mais je n’ai plus trop envie de sexe avec ce qui est arrivé, je suis en pleine dépression. Elle me fait pourtant un cunni à une occasion, après m’avoir convaincue qu’un orgasme pourrait m’aider à me faire sentir mieux. C’était bon, je l’avoue, elle m’a bien excitée et ça m’avait manqué, mais une fois le plaisir passé, tout mon désarroi est revenu à la charge.
   Je suis quand-même heureuse que Lucy soit là pour moi. Nous avons toujours su nous soutenir dans les moments difficiles. Si nous nous n’avions pas l’une l’autre, je n’imagine pas ce que nous serions devenues à la mort de nos parents. La nuit, j’aime sentir son étreinte lorsque nous dormons collées l’une à l’autre, elle arrive à me sentir rassurée.
  Les choses s’améliorent doucement avec le temps. Tonton et moi arrivons à rester dans la même pièce et à s’échanger quelques mots ; mais l’échange est encore froid. Je le sens blessé, je ne sais pas quoi faire pour me faire pardonner. Lucy est exaspérée par tout ceci, elle en a marre de vivre dans cette maison avec une telle tension, elle propose qu’on aille lui parler.
— Pour lui dire quoi ?— Pour mettre les choses à plat, pour lui dire ce qu’on ressent. Il n’a pas voulu l’entendre sur le coup, mais maintenant, il sera peut-être plus enclin à nous écouter.
  Je n’y crois pas trop, mais je pense que ça pourrait me faire du bien de lui partage ce que j’ai sur le cœur. Je suis hésitante, mais Lucy décide pour moi lorsqu’elle me tire par le bras. Nous allons le trouver. Il est occupé dans sa chambre, mais ce que nous avons à dire n’attend pas. Quand il nous voit arrivé, il a l’air dépité. Il sent que nous sommes là pour une raison importante.
— Quoi ? Qu’est ce qu’il y a ? dit-il un brin inquiète.  — Nous somme venu te dire quelque chose, amorce Lucy. — Quoi ?— Nous t’aimons, tonton ! Nous t’aimons toutes les deux très fort, et nous en avons marre de cette situation ! — Je suis désolé, dit-il d’un ton assertif, mais après ce qui s’est passé... — Qu’est ce qui s’est passé ? l’interrompt-elle. Tu ne comprends pas que Megan est amoureuse de toi et qu’elle souffre autant que toi dans cette histoire ?! Vous vous aimez, ça crève les yeux ! Vous avez follement envie l’un de l’autre, je le vois tous les jours. Alors pourquoi vous vous faites du mal comme ça ?! Qu’est ce qui te dérange ? Que ce soit ta nièce ? Cela n’était pas un problème avant ! Que je sois au courant ? Vois le bon côté des choses : cela veut dire que vous n’auriez plus à vous cacher. Vous pourriez vivre pleinement votre relation sans vous soucier de moi.— Lucy ? Je... — Son seul crime est de m’aimer assez fort pour être prête à te partager avec moi, le coupe-t-elle à nouveau. C’est ma faute, je n’aurais pas dû en abuser. Sois fâché contre moi si tu veux, mais ne la punis pas elle, ne vous punissez pas tous les deux. Alors si tu l’aimes, embrasse-la !
  Elle a fini de parler, le silence se fait soudain. Eric et moi nous regardons dans les yeux surpris parce qui vient de se passer. Moi-même, je ne m’attendais pas à ce qu’elle fasse un tel discours. J’en suis profondément touchée. Je ne sais pas quoi faire, et encore moins quoi dire.
  Tonton me fixe d’un air triste. Lentement, il pose ses mains sur mes joues, et m’attire vers lui pour me donner un baiser sur les lèvres. Mon cœur s’enflamme. Que dois-je comprendre ? Qu’il m’a pardonnée ? Je lui rends son étreinte avec la langue, il l’accepte, je sens un poids dans ma poitrine fondre brusquement. Je ne m’étais pas rendu compte qu’il était si pesant.
— Elle a raison, je t’aime Megan. Je t’aime mon amour. Tu peux me pardonner ?
  C’est lui qui demande pardon ? Je ne comprends pas. Je ne lui réponds pas, je l’embrasse. Il m’enserre dans ses bras pour me faire sienne. Je suis tellement heureuse. J’ai envie de lui, j’ai envie de lui maintenant. Tous les sentiments que j’éprouve pour lui et que j’ai retenu depuis trop longtemps ressortent tout à coup et j’ai besoin de les exprimer charnellement. À sa façon de me caresser, je pense que lui aussi. Pour m’en assurer, je m’agenouille et m’empresse de lui défaire son pantalon.
— Megan ! s’indigne-t-il.
  Oui, je sais, Lucy est toujours là et nous observe. Je m’en fou ! J’extirpe sa queue molle et le branle pour le faire bander. Il ne me repousse pas, il se laisse faire. C’est la preuve qu’il me veut. Je n’ai plus aucun doute que nous allons faire l’amour.
  Quand il commence à durcir, je le prends en bouche. C’est la première fois que je suce alors qu’il est encore à moitié-mou. Je n’aime pas ça, je préfère avoir une bonne bite bien raide au fond de la gorge. Je vais tout faire pour qu’elle le devienne.
— Vas-y, suce-le bien, commente Lucy. Montre-lui combien tu l’aimes.
  Elle pose une main sur ma tête pour m’encourager. Je m’applique comme si je lui obéissais. J’entends Eric gémir de plaisir, je suis surpris qu’il accepte qu’elle reste. J’ai trop besoin de me caresser, je glisse une main vers ma chatte pour jouer avec. Son sexe grossit pour atteindre sa taille normale, enfin, je suis toute excitée. Le gros sexe de mon chéri, je l’adore, je pourrais le pomper pendant des heures.
— Megan, mon amour, soupire mon homme.
  Il glisse lui aussi ses doigts dans mes cheveux noirs en guise d’approbation. Cela me fait un peu bizarre qu’ils me fassent ça tous les deux.
— Alors, elle n’est pas belle ? poursuit Lucy. Elle ne te suce pas bien ?— Oh si, putain, c’est la meilleure. — Tu as intérêt à la faire jouir pour la remercier. Elle le mérite. — Je sais. Je le ferais.
  Je joue avec son chibre qui m’a tant manqué. Je lui lèche le gland et le lui montre pour le rendre fou. Je coulisse le long de sa tige pour en engloutir le plus possible sans cesser de le branler. Il est si dur, pour moi, cela me fait défaillir.
— Hmm, vous êtes trop mignon tous les deux, j’espère que nous ne m’en voudrez pas, mais j’ai besoin de me masturber. Cela ne vous dérange pas si je regarde ?
  Moi, non, mais je ne sais pas pour Eric. J’imagine que son silence est une réponse en soi. Lucy grimpe sur le lit en écartant les jambes, puis glisse une main sous sa culotte pour se doigter furieusement. Elle n’a vraiment aucune pudeur... Enfin, nous non plus, vu la situation. Je continue de profiter de mon gros bâton d’amour, mais je me sens un peu gênée pour ma sœur. Nous allons baiser, et elle va rester là à nous mater sans participer, cela va être dur pour elle. Je ne peux alors pas m’empêcher de lui proposer : 
—  Tu veux le sucer toi-aussi ?
 Je m’en veux sur le coup. Je n’aurais pas dû dire ça. J’ai peur de déclencher un nouveau cataclysme chez tonton. 
— Non, répond Lucy. J’ai compris. C’est ton homme, ton homme à toi, je ne voudrais pas te le voler. — Non, intervient Eric. C’est moi qui ai compris. J’ai compris ce que cela voulait dire pour vous d’avoir une sœur jumelle. Lucy, ma chérie, si tu en as envie, tu peux venir nous rejoindre.— C’est vrai ? dit-elle, les étoiles pleins les yeux. Je peux ?— Oui. J’ai envie de toi moi-aussi.
  Sa réaction me surprend, mais me ravit. Lucy vient s’agenouiller à côté de moi. Je sors le sexe d’Eric de ma bouche pour le lui tendre. Elle l’avale sans tarder et se met à le pomper. Tonton soupire de bonheur. Tu m’étonnes, il a deux filles rien que pour lui. Nous jouons avec sa queue chacune à notre tour, parfois même en même temps. C’est une nouvelle expérience pour nous deux, mais je me sens assez à l’aise de sucer une bite avec une autre fille. Faut dire aussi que c’est Eric et ma sœur, je ne pourrais pas mieux tomber. Nous faisons preuve d’une grand complicité toutes les deux. Nous le léchons ensemble pour le rendre dingue, nous lui lançons des regards pour le faire fondre. C’est comme un jeu pour nous. Il doit avoir une sacrée envie de nous éjaculer dessus en ce moment. J’espère qu’il sait se retenir parce que j’ai follement envie qu’il me baise. J’ai besoin de sentir son gros chibre au fond de moi.
 ***   Je deviens fou, j’ai l’impression de rêver, j’ai mes deux nièces en train de me faire une pipe. Même dans mes fantasmes les plus chauds, je ne m’étais jamais autorisé d’imaginer un truc pareil.
— Alors, tonton Eric, cela te plait de te faire sucer par tes nièces ? me fait Lucy.— Oh, putain, oui, vous êtes fantastiques mes chéries. — Tu vas nous baiser toutes les deux alors ? me sort Megan.— Oh oui...
  J’ai une sacrée vue sur leur décolleté d’ici. Elles sont de si gros seins pour leur âge, je me demande quand ils vont s’arrêter de prendre du volume. Je glisse mes mains sur l’arrière de leur cou, en dessous de leur longue chevelure noire. À voir ces deux petites cochonnes à genoux devant moi en train de prendre soin de ma queue, j’ai l’impression d’être le prince d’un harem.
  Elles arrêtent un instant ce qu’elles font pour se tourner l’une vers l’autre. Elles se sourient, puis s’embrassent. Wow, ça c’est du spectacle. Je rêvais de voir ça depuis la fois où je les ai surprises à coucher ensemble dans leur chambre. Il faisait sombre et je ne voyais pas très bien, or, ici, je suis au première loge. Je suis content qu’elles n’aient pas honte de faire ça devant moi, tant mieux.
  Elles continuent de me branler chacun d’une main tandis qu’elles échangent leurs baisers. Elles ne font pas semblant, leurs langues s’entremêlent. Le plus bandant, c’est de savoir qu’elles ne font pas ça juste pour m’exciter, je sais qu’elles aiment ça.
— Ça va, tonton ? me demande soudain Lucy. Cela ne te dérange pas ? Megan m’a dit qu’elle m’avait tout raconté pour nous deux. Tu n’es pas un peu jaloux que nous faisons l’amour ensemble? — Du tout, ma chérie. J’ai même hâte d’en voir plus.— Vraiment ? s’exclame Megan. Tu voudrais nous regarder en train de faire l’amour ? — Oh oui, alors.
 Elle me sourit, puis elles s’embrassent à nouveau. Elles ont lâché mon sexe pour s’enlacer. Si je ne les connaissais pas si bien, je jurerais qu’elles sont lesbiennes et amoureuses. Leurs poitrines sont pressés l’une contre l’autre, leurs mains glissent sur leur peau douce, leur étreinte est si tendre et passionné. Elles sont magnifiques, je n’en rate pas une miette.
— Viens, dit Megan à sa sœur. On va lui montrer ce que nous faisons que nous sommes seules toutes les deux. 
  Elles se relèvent et sautent sur le lit. Lucy s’allonge, la tête vers moi, vers le bord, tandis que Megan la surplombe dans le sens opposé. Elles sont chacune la tête entre les cuisses de l’autre et se mettent à jouer mutuellement avec leur clitoris. Je ne dis rien, je n’interviens pas, je me contente de les regarder en me branlant d’une main. Lucy enfonce deux doigts dans ma chatte. Celle-ci mouille abondamment.
— Hmm, elle n’a pas une superbe belle chatte, tonton ? me dit Lucy.— Oh oui. Ça donne envie de la défoncer.
  De là où je suis, je vois Megan baisser la tête vers l’entrejambe de sa sœur. À la façon dont Lucy frémit, j’en devine qu’elle est en train de la brouter. J’ai besoin de voir ça de plus près. Je me déplace silencieusement comme que si elles pouvaient s’arrêter si je venais à les déranger. Je me sens comme un spectateur invisible qui peut les mater sous tous les angles, je profite un maximum du moment.
 Je suis enfin en position. Hmm... Ma Megan a les mains sur les fesses de sa sœur et elle lui titille le clito avec la langue. Soudain, elle lui enfonce deux doigts dans le vagin et la fouille comme pour la baiser. Je change une nouvelle fois de place pour prendre du recul. Elles sont si belles, on dirait des anges. C’est terriblement érotique de voir leurs jeunes corps superposés, leurs seins écrasés contre le torse de l’autre, et d’entendre leurs gémissements de plaisir. Si je pouvais filmer ça, je n’aurais plus jamais besoin d’un autre film porno. Bon sang, ces nanas ne sont pas n’importe quelles filles, ce sont mes nièces, mes petites nièces devenues femmes. Je suis peut-être un pervers, mais cela me fait bander à mort. Elles ont des courbes si parfaites.
  Je retourne près de Lucy. Elle a maintenant la tête plongée en avant pour pénétrer la chatte de Megan avec sa langue. Je n’en peux plus, il me faut participer. Je m’approche pour lui présenter mon sexe. Elle comprend tout de suite ce que je veux. Elle s’arrête et ouvre la bouche. Je lui enfonce ma queue dans la gorge. Elle fait ce qu’elle peut pour me sucer du mieux possible. Je fais un léger va-et-vient dans sa bouche tandis qu’elle me branle d’une main. C’est tellement bon que j’en pousse un grognement. Je suis épaté de voir comment elle s’en sort bien malgré sa position qui n’est pas très pratique, surtout en sachant qu’elle était vierge il y a encore à peine quelques semaines. Cette fille est une suceuse née....
— Tonton, fait-elle, j’ai follement envie de voir ta grosse bite s’enfoncer dans la chatte de ma sœur. — Tu veux me mater pendant que je baise Megan ?— Ouiii... répond-t-elle sur un ton salope.
  Putain, elle promet celle-là.
  Elle n’avait pas besoin de me le proposer, je l’aurais fais de toute façon. Megan a un cul sublime, avec des fesses bien rebondies. Sa chatte dégoulinante m’est offerte sur un plateau, c’est comme si elle suppliait de se faire pénétrer. Qu’est ce qu’elle croit ? Que sous prétexte qu’elle m’a pompé, je pourrais résister à fourrer sa sœur alors que j’ai son vagin à peine à quelques centimètres de moi ?
  Je lui tapote le visage avec mon sexe comme pour la punir d’être à la fois si vilaine et stupide, puis je le dirige vers le fruit de mon désir. Ma pauvre petite femme doit bien se sentir délaissée depuis que Lucy s’est arrêtée de s’occuper d’elle pour me sucer. Je l’attrape par les hanches et m’enfonce en elle jusqu’au raz des couilles, elle soupire de bonheur. Je la lime fort, toutes ces préliminaires m’ont beaucoup trop excité pour jouer les hommes doux et attentionnés. Je suis un animal qui a envie de baiser sa femelle. J’ai besoin d’elle, j’ai besoin de la sauter. Chaque coup de queue est comme une preuve d’amour, et leurs intensités témoignent de mon envie d’elle.
  Lucy doit avoir un gros plan de la chatte de sa jumelle en train de se faire défoncée par mon énorme queue de là où elle est, j’espère qu’elle s’en régale.
— Alors, ça te plait ce que tu vois ? lui fais-je.— Oh mon dieu ! Tonton ! Comment nos vagins si étroits peuvent contenir ton gourdin si imposant ?! C’est incroyable ! — Je te baiserais comme ça après, si tu veux. — Oh ! Oui !
   Tout à coup, je ne comprends pas, je sens comme une langue sur ma tige. Je réalise que Lucy est en train de lécher le clito de sa sœur et dérape de temps en temps sur ma queue ; à moins qu’elle ne le fasse exprès. Quoiqu’il en soit, elle nous donne du plaisir à tous les deux. Megan en a même du mal à poursuivre son cunni et s’effondre pour profiter uniquement de son bonheur à elle.
— Aaah Eric, c’est bon, fait-elle. Ça m’avait tant manqué ! — Moi aussi, ma chérie. J’aime tellement baiser avec toi. — Baise-moi, Eric, baise-moi comme ta femme. J’ai besoin de ta grosse queue au fond de moi.
 Je la ramone ainsi durant plusieurs minutes, puis elle finit par exploser en orgasme.
— Aaaaaaaaaaah ! crie-t-elle.
  J’aurais bien envie de la rejoindre, mais nous ne sommes pas seul, je veux m’occuper de Lucy aussi. Je sors mon sexe de la chatte de Megan et le lui tends.
— Goûte, ma puce, goûte ta sœur sur ma bite.
  Sans hésiter, elle m’avale avidement et m’aspire comme pour récolter toute la cyprine dont elle est enduite. Lorsqu’elle a fini de me nettoyer, je grimpe de l’autre côté du lit pour rejoindre Megan. Elle a récupéré ses esprits. Je lui présente ma verge pour qu’elle me suce un peu elle aussi. Elle fait usage de toute son expertise pour me faire du bien. Au bout d’un moment, je la force à arrêter et lui dis :
— Je vais baiser ta sœur, maintenant. — Vas-y, dit-elle pour me donner son consentement.
 J’attrape Lucy par une jambe et la pénètre sans tarder. Elle en pousse un petit cri.
— Oh oui ! Enfin ! Une bonne bite !
  Je la baise comme j’ai baisé sa jumelle il y a peu : fougueusement. Megan lui caresse le clito en fixant avec de gros yeux les aléas de mon sexe en train de disparaitre dans son vagin.
— Mon dieu, Eric, ma chatte ressemble à ça quand tu la baises ?
  Je ne réponds pas, c’était une question rhétorique. Elle se redresse vers moi et je me penche pour l’embrasser. Ce que c’est bon de baiser avec deux femmes en même temps. Je n’oserais jamais le leur avouer, mais ce n’est pas ma première fois. J’étais jeune, deux amies et moi avions envie de nous amuser, nous avons tenté l’expérience rien qu’une fois, pour ne pas mourir idiot. J’ai trouvé ça fantastique, je ne pensais pas pouvoir revivre un jour une chose aussi extra. Et pourtant, ce n’était rien comparé à maintenant, c’était tout à fait différent. Déjà, mes copines n’avaient aucune tendance lesbienne, ça rend les choses incroyablement plus érotiques. Ensuite, ce ne sont pas juste deux étudiantes de ma classe que je suis en train de sauter, ce sont mes nièces ultra canon, des jumelles, mon fantasme depuis toujours. Je les connais depuis qu’elles sont bébés, je les ai portées dans mes bras. Je les ai vues grandir, je les ai accueillies chez moi quand elles sont devenues adolescentes, et aujourd’hui, ce sont des femmes, et j’ai ma queue dans leurs chattes. C’est encore plus bandant de penser que puisque nous vivons ensemble, nous pourrons recommencer quand nous le voudrons.
— Tonton ! Tonton ! me crie Lucy. Aaaah ! Plus fort ! J’ai besoin de me faire tirer ! — Aaaah  ! Putain de salope !
  Elle est vraiment en train de devenir une grosse perverse. En tant que tuteur, je devrais essayer de la calmer un peu, mais j’aime trop ça. J’augmente la puissance de mes coups de reins, elle gémit de bonheur.
— Megan, fais-je, aide-moi à faire jouir ta sœur comme elle t’a aidée à jouir.— Hmm, oui...
  Elle se penche et se met à lui lécher le clitoris, Lucy en devient folle : 
— Oooh putaiiiiin, c’est trop boooooooon !
 Je me fais plaisir dans sa petite chatte étroite, ma queue y est si bien. Megan ne peut détourner le regard de mon chibre en train d’entrer et sortir. Je ne réalise pas ma chance : combien de femmes vous laisseraient non seulement coucher avec sa sœur, mais en plus aurait le nez collé sur votre bite pendant que vous êtes en train de la baiser ? Je la sors pour qu’elle me suce, ce qu’elle fait sans tarder. Son ardeur me fait penser qu’elle n’attendait que ça. Ça me rend fou de penser que je peux me taper les deux sans que l’autre ne soit jalouse.   Je retourne dans Lucy, je veux la finir. Megan m’aide autant qu’elle peut en jouant avec son bouton d’amour. Il ne faut pas longtemps avant qu’elle ne soit à son tour frappée d’un orgasme :
— Aaaaaaaaaaah ! Ouiiiii ! Je vieeeeeeeeeeens ! Tontoooooooon !
 Je me sens empli d’une certaine fierté à l’idée d’avoir réussi à satisfaire deux femmes en même temps. Ça va être mon tour maintenant, je me suis retenu car j’avais envie qu’elles m’aident toutes les deux à éjaculer.
— Eric, j’ai encore envie, me dis soudain Megan.— Encore ? Mais tu viens de jouir il y a quelques minutes. — Je sais, mais te voir baiser Lucy m’a redonné envie.
  Changement de plan, tant pis, je ne peux pas lui refuser ça. Je m’installe sur le dos, la tête sur l’oreiller, la verge dressée.
— Viens alors, ma puce, fais-toi plaisir.
  Elle s’approche et me grimpe dessus. Au lieu de me regarder de face, elle se retourne. Elle attrape mon manche et se l’enfourne sans aucune hésitation. Je pose mes mains sur ses hanches pour accompagner ses va-et-vient qu’elle démarre immédiatement. Nom de dieu... Je suis ébahi de voir combien elle a changé en si peu de temps. Ce n’est plus la petite vierge timide que j’ai dépucelée il y a quelques semaines, c’est une coquine qui n’a pas honte d’aimer la bite.
  Elle coulisse sur ma queue à grande vitesse. Elle ne plaisante pas, elle a vraiment envie de se faire jouir une seconde fois. J’empoigne ses seins que j’imagine balloter dans tous les sens. Je suis frustré de ne pas pouvoir la voir, mais éviter le contact visuel à quelque chose d’excitant aussi, elle l’a manifestement bien compris. Sa sœur se relève seulement maintenant, elle semble avoir retrouvé ses esprits. Elle vient vers moi pour m’embrasser.
— Hmm, merci pour cet orgasme tonton. C’était fabuleux.— De rien, ma chérie, mais je suis un peu occupé avec ta sœur en ce moment. — Je vais vous aider un peu.
  Elle me quitte pour aller embrasser sa sœur à son tour. 
— Hmm, merci à toi aussi Megan. Tu connais si bien mon clito.
 Elle ne lui répond pas, elle est en transe, son bassin bouge tout seul. Elle a besoin de s’empaler sur ma queue. Lucy se penche sur ses seins et lui lèche les tétons. Je retire mes mains avec déception pour lui laisser le champ libre. Elle les presse et joue avec. Je suis un peu jaloux, je voulais moi aussi. Megan semble en tirer beaucoup de plaisir. Sa jumelle lui caresse le clito tout lui échangeant de nouveaux baisers. Je regrette vraiment de ne pas pouvoir filmer la scène, cela doit être vachement excitant vu de devant. Lucy l’abandonne pour se mettre à quatre pattes devant nos entrejambes en train de s’emboiter.
— Je peux le sucer un peu ? demande-t-elle.
  Aussitôt, sans même dire un mot, Megan se soulève suffisamment pour me faire sortir d’elle. Sa sœur attrape ma bite et se met à me pomper. Raah, les petites salopes ! Elles vont me rendre dingue ! Je pousse un râle. Peu après, elle replace ma bite à la hauteur de la chatte de ma petite femme, qui se laisse retomber dessus pour s’enfourcher. C’est si brutal que j’ai failli en gicler. Elle reprend sa cadence comme si elle ne s’était jamais arrêtée.
  Lucy, de son côté n’en reste pas là. Elle titille du bout de la langue de bouton d’amour de sa sœur, je la sens mouiller encore plus sur ma queue. Parfois, elle l’abandonne pour s’occuper de mes boules et de ma tige. Je n’en peux plus, cette fois, c’est moi qui soulève Megan pour lui donner ma bite à sucer. Elle plonge dessus comme une affamée durant quelques secondes, puis m’aide à repénétrer ma partenaire. 
  J’ai beaucoup de mal à me retenir d’éjaculer. Elle me masse la queue avec son vagin, c’est terrible. Je me mets à la limer, nos sexes vont à la rencontre l’un de l’autre comme s’ils avaient désespérément besoin de fusionner.
— Hmm, vous êtes trop mignon tous les deux, s’exclame Lucy, j’ai besoin de me branler.   Je ne vois rien, hélas, mais elle arrête ce qu’elle fait et je l’imagine en train de se masturber. On va lui offrir un spectacle qu’elle n’oubliera pas de si tôt. J’augmente mon rythme de façon frénétique. Je lui défonce sa ridicule petite chatte avec mon énorme chibre. Mes couilles claquent sur son pubis. Megan crie, elle pleure de bonheur en m’encourageant à continuer. Je prends sa chatte pour un vulgaire trou à bite. Je la ramone de toutes mes forces. Je m’arrête brusquement quand celles-ci m’abandonnent. Elle est tout aussi épuisée que moi alors qu’elle n’a pas eu d’effort à fournir. Elle prend instinctivement le relais, elle remue plus fort et plus vite que jamais. Elle ne va pas tarder à venir, je le sens. Je la laisse faire pour qu’elle se fasse jouir toute seule.
— Vas-y, Megan, fais-toi jouir ma chérie. — Ooh, Eric, putain, ta queue est vraiment trop bonne....— Elle est à toi, utilise-la. — Oooh Eric, Eric, je viens.. je viens. Aaaaaah ! — Oui, vas-y, mon amour ! Jouis pour moi ! — Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
  Ça y est, elle est au septième ciel. Je sens les soubresauts de son vagin m’inviter à la rejoindre. Je refuse en sortant d’elle.
— Aaah, c’est trop, je jouis moi aussi, putaiiiiiiiiiiiiin !
  C’était Lucy qui vient de crier. Elle s’est faite jouir rien qu’en nous regardant. Megan s’effondre sur moi, son orgasme doit être puissant. Je la laisse retomber sur mon torse et l’enlace amoureusement en lui embrassant le cou. Je lui caresse les seins et glisse une main sur sa chatte pour prolonger ses vagues de plaisirs.
— Mon amour, je t’aime, lui dis-je à l’oreille en susurrant.
  Je suis si heureux.
  Un moment passe qui me semble être une éternité, je n’en débande néanmoins aucunement.
— Tu n’as toujours pas joui ?! s’exclame Lucy. — Non, je voulais que vous me suciez toutes les deux et que vous me fassiez jouir dans vos bouches. — Hmm, avec plaisir tonton.— Et toi Megan, tu veux bien ?— Oh oui, j’adore le gout de ton sperme.
  Nous sautons hors du lit et mes deux adorables petites nièces se mettent à genoux devant moi. Elles me pompent toutes les deux sans tarder. Cette sensation d’avoir deux langues qui prennent soin de ma bite est tout bonnement incroyable. Elles sont entièrement dévouées à mon plaisir, elles me branlent, me lèchent le gland et me font même quelques gorges profondes. Je suis au paradis. Surtout qu’il ne s’agit plus de préliminaires maintenant, je n’ai pas à me retenir, je n’ai qu’à les laisser me faire jouir.
— Vas-y, tonton, m’exhorte Lucy. Éjacule pour nous, souille-nous. — Oui, Eric, vas-y, enchérit Megan.— Megan ? fais-je surpris. Tu es sûre ? Nous n’avons jamais...— Oui, Eric, je le veux, je veux que tu me recouvres de ton foutre. Allez, viens !
  Je n’en peux plus, comment pourrais-je résister à la vision de ces deux petites jumelles me suppliant pour que je leur gicle dessus ? Je sens que je vais éclater, je les préviens en leur disant :
— Aaah, ça y est ! Ça vient ! Ça vient !
  Instantanément, elles pressent leur visage l’un contre l’autre en ouvrant la bouche pour me recevoir. Elles sortent la langue pour m’exciter encore plus, bande de petites salopes ! Elles me branlent chacune d’une main comme pour me traire. Je perds la tête en sentant mon jus grimper le long de ma verge. Je grogne quand j’expulse un premier jet. Il atterrit sur Megan, une belle trainée, des cheveux au menton. Un second tout aussi copieux sort pour salir Lucy. Elles dirigent ma bite de l’une à l’autre pour répartir mon sperme équitablement. Je n’avais pas joui depuis des jours et je me suis retenu pendant si longtemps que je n’arrête pas de gicler. Je me vide entièrement les couilles sur elles. Je pousse le râle d’un male heureux de souiller ses femelles. J’ai l’impression de marquer mon territoire. Mon sperme qui coule sur leurs figures est une façon de dire : "pas touche, celles-là, elles sont à moi". Je n’en reviens pas de la quantité de foutre que je leur donne, je n’ai jamais éjaculé autant, ni aussi fort.  Elles continuent de me branler en riant comme si c’était amusant. Elles ralentissent quand mes jets deviennent moins puissants. Ma queue continue d’avoir des soubresauts même quand plus rien n’en sort. Elles me pressent la verge comme pour l’essorer, puis me sucent encore un peu. Il doit ne plus avoir une seule goute de jus dans mes bourses. Je suis en train de ramollir lentement, comme un sportif qui se repose après avoir couru un marathon.
— Alors tonton, ça t’a plu ? me demande Lucy.— Oh putain, oui.— Tu aimes voir ton sperme dégouliner sur moi ? me demande Megan à son tour. Ça te plait ?— Oh ça oui, tu es magnifique comme ça.
  Ça, pour dégouliner, ça dégouline, elles en ont partout sur le visage. Il y en a même qui coulent sur leurs gros seins. Elles en rigolent, comme si c’était un jeu.
— Je crois que tonton est un gros pervers qui aime éjaculer sur ces nièces, commente Megan.   Je ne peux pas le nier.
  Je me dis qu’elles vont avoir besoin d’une bonne douche quand, complice, elles s’embrassent entre elles. Je n’en crois pas mes yeux, elles se partagent mon sperme avec leurs langues. Il y en a tellement que des filets les relient lorsqu’elles s’écartent un instant. Elles ne s’arrêtent pas là et vont jusqu’à faire leurs toilettes. Comme des petites chattes, elles se lèchent le visage pour récolter mon foutre. Elles se caressent, et se nettoient mêmes les seins. Putain, mes petites nièces sont des salopes accros au sperme. Si je ne venais pas de me vider entièrement les bourses, je rebanderais et je les rebaiserais. Lorsqu’elles ont fini, il n’en reste plus rien, elles ont tout avalé. Elles rient en voyant ma réaction abasourdie.
  Nous avons fait une petite sieste après cela, tous les trois dans mon lit, serrés l’un contre l’autre. Je ne me suis jamais senti aussi bien de ma vie. Ensuite, nous nous sommes levés et nous nous sommes rhabillés. Ça me rend fou, elles ne sont même pas passées par la salle de bain, elles doivent être encore toutes collantes. Je sens que les jours qui vont suivre vont être très intéressant.
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