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Les nièces jumelles : saison 2

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Chapitre 3 : La punition de Lucy
   Je sors de la douche. Ça m’a fait un bien fou après une baise pareille. J’en avais bien besoin : j’avais du sperme partout. Je vais dire bonjour à tonton en bas. Je sais qu’il a tout vu ; je suis surprise qu’il ne dise rien. Il fait l’innocent genre "il vient de rentrer et ne savait pas que j’étais là". C’est ça ouais... et le foutre sur ma porte, il était a qui ? Au voisin peut-être ? Je ne lui en parle pas, je voudrais que ce soit lui qui aborde le sujet, mais cela ne vient pas. Je suis étonnée, j’aurais cru qu’il aurait envie de me passer dessus après avoir été témoin d’un truc pareil. Il sait qu’il peut me prendre à tout moment.
  Le reste de la journée passe jusqu’au diner. Megan, qui est rentrée un peu plus tôt, quitte la table en disant qu’elle a des devoirs à finir. Je lui dis que je la rejoindrais après avoir aidé tonton à faire la vaisselle. Ce n’est qu’un prétexte : puisqu’il refuse d’en parler en premier, c’est moi qui vais me lancer. Alors que je lave une assiette, je lui lance un sourire coquin et prends un ton d’aguicheuse :
— Alors tonton, ça t’a plu ce que tu as vu tout à l’heure ?— Je ne vois pas de quoi tu parles, ment-il, très mal en plus. — Tu sais très bien de quoi je parle, tu as laissé un petit souvenir.
  Il rougit, je l’ai acculé et il ne peut plus nier maintenant. 
— Tu as aimé ? Me voir me faire baiser par deux garçons ? — Non, me dit-il sèchement. — Ce n’est pas ce que me dis ton sperme sur ma porte.— Tu es une pute et une trainée, Lucy. Je pensais que tu valais mieux que ça.
 Flute, il a l’air fâché, je ne m’y attendais pas. Ça a dû quand-même l’exciter, il ne se serait pas branler en nous matant sinon. Je pense comprendre ce qu’il se passe :
— Tu es jaloux, c’est ça ?
  Il ne dit rien, il fait genre qu’il se concentre sur son essuyage, mais son silence en dit long. C’est mignon, cela me touche. Cela veut dire que malgré qu’il soit avec Megan, je ne suis plus qu’un simple coup à ses yeux et qu’il tient beaucoup à moi.
— Je suis désolé, tonton Eric, je ne pensais pas que cela t’affecterait à ce point-là. Qu’est ce que je peux faire pour me faire pardonner ?— Rien, c’est trop tard, boude-t-il. Laisse tomber, ça va passer, c’est tout.

  Je me sens mal de le voir comme ça, je ne le supporte pas.
— Il ne faut pas être jaloux. Ces deux garçons, c’était juste pour m’amuser, ils ne représentent rien pour moi. Toi, tu peux toujours me baiser quand tu veux, tu le sais ça, non ? Je serais toujours ta petite nièce, rien ne changera jamais ça.
  Il ne dit toujours rien. Je tiens trop à lui pour qu’on reste en froid. Il dit peut-être que cela va prendre du temps, mais j’ai une petite idée pour accélérer le processus. Je sors les mains de l’eau savonneuse, les essuient, et m’agenouille devant lui pour m’attaquer à sa braguette.
— Lucy ? Mais qu’est ce que tu fais ?! — Je veux me faire pardonner. Je serais une gentille fille, promis.
 Je sors son dard de son pantalon et le prends dans ma bouche. Il ne me repousse pas, c’est déjà ça. Il arrête ce qu’il fait et soupire de plaisir. Il durcit comme du fer, je commence moi-même à mouiller. Je le fixe de mes petits yeux de chien battu pour lui faire comprendre que je suis désolée lui avoir causé de la peine.
— Lucy...
  Je le suce du mieux que je peux, je veux lui montrer toute ma dévotion. Je fais tout pour l’exciter à mort. J’ouvre grand pour faire glisser ma langue sur sa tige et son gland afin qu’il n’en rate rien tout en jouant avec ses bourses que je compte bien vider. Sa queue est si grosse, elle me rend folle ; c’est un vrai monstre, rien ne pourrait jamais la remplacer. J’adore la pomper jusqu’à en avoir la bouche pleine, et encore plus la regarder en face quand elle me crache son sperme à la figure.
  Je sais qu’une simple pipe ne sera assez pour qu’il cesse de m’en vouloir. Je retire rapidement mon haut et mon soutien-gorge afin de pouvoir mettre sa queue entre mes nichons et le branler. Il pousse un râle. J’ai tellement bavé dessus qu’elle glisse toute seule. Son bout rose apparait et disparait d’entre mes seins.
— Tu aimes, tonton Eric ? Ça va mieux ?
 Il grogne en guise de réponse.
— Je suis désolé d’avoir été si vilaine. Tu as raison, je suis une salope. Je mérite une punition. Tu peux me faire tout ce que tu voudras, me demander tout ce que tu voudras, je le ferais, je te le jure. Tu dois avoir envie de me baiser depuis tout à l’heure, non ? Alors fais-le !— Aaah putain, ça oui alors. Allez, suce, salope !
 Il m’attrape par les cheveux et me force à faire une gorge-profonde. Il me baise la bouche. Je me laisse faire, je veux qu’il passe sa frustration sur moi, qu’il fasse tout ce qu’il a envie. Ce soir, je serais sa soumise. Il est et sera jamais le seul garçon que je  laisserais me faire ça. Le seul qui me donne envie de le faire.
— Pitié, punis-moi tonton Eric. — Ça, pour te punir, je vais te punir, salope ! Je vais te montrer ce qu’il en coute de me faire un truc pareil !— Oui ! Oui !— Debout ! Penche-toi sur le plan de travail !
 Il est aussi autoritaire que lorsque j’étais petite et que je faisais des bêtises. Il est réellement en colère. Je m’exécute. Il m’arrache la jupe et déchire ma culotte. J’en frisonne d’angoisse et d’impatience.
— Ce que tu vas prendre ! Salope !   
 Il me donne une fessée, puis m’encule d’un coup sec. Je crie sous la surprise et la violence de l’assaut. Il me ravage le cul avec force. Il me plaque d’une main pour m’empêche de me redresser. 
— Tu es devenue une sale petite pute, Lucy ! Tu devrais avoir honte !— Je suis désolée ! Je suis désolée ! — Ça t’a plu ? De jouer les trainées qui se fait tringler par deux mecs ?! — Oui, j’ai adoré ! — Ils t’ont faite jouir ?!— Plusieurs fois !— Salope ! répète-t-il en me donnant une nouvelle fessée.
  Il me prend encore plus fort. Il est d’une brutalité sans précédent, il me saute vraiment comme un mâle. Il veut me posséder me faire sienne à coups de bite, et je dois dire que ça marche du tonnerre.
— Qu’est ce qui a bien pu t’arriver, Lucy ! Cela ne te dérange pas d’être devenue une salope comme ça ?! Tu me dégoutes !— Aaaah ! C’est ta fauuuute ! C’est toi qui m’a fais aimé la bite ! Je suis accro maintenant !
 J’en veux tout le temps ! Il m’en faut toujours plus !
— Petite putain !
  Il m’attrape par les cheveux et me ravage bestialement. Il sort sa bite jusqu’à n’en laisser plus que le gland avant de me pénétrer à chaque fois. Il me l’enfonce plus profondément que jamais, avec une force à m’en déchirer l’anus. Le bruit de ses claquements de couilles m’excite. Il me fait mal, mais il me fait aussi du bien à la fois. Il a beau dire que je le dégoute, sa façon de me baiser me prouve le contraire. Ça lui plait que je sois devenue une pute, ce qu’il doit craindre, c’est de ne plus pouvoir en profiter. Faut que je le rassure sur ce point :
— Ils ont voulu me baiser le cul, mais j’ai refusé, j’ai tenu ma promesse. Mon cul n’appartient qu’à toi ! Je le jure !— Je sais, j’ai vu. — Mon cul sera toujours qu’à toi. Je suis désolée d’avoir été vilaine. Je t’aime tonton Eric. Eux, ils ne pourront me baiser qu’une fois, mais toi, tu pourras toujours me faire ce que tu veux, toujours. Même lorsque je serais vieille et mariée, tu pourras toujours me prendre quand tu veux, je te veux ! — Raah ! Sale pute ! — Oui, mais ta pute à toi ! À personne d’autre ! Je te le promets !— Aaaah ! MA pute !
 Il se penche vers moi et me mord l’épaule. Je crois qu’il n’a jamais eu autant envie de moi. Je ne pensais pas qu’un homme pouvait autant désirer une femme. Plus que ces coups de butoir, cette passion qu’il me transmet me fait chavirer. Cela me donne envie de me donner à lui, sans limite, sans condition. J’ignorais que je pourrais ressentir ça, me laisser autant aller. Il est en train de faire de mon cul un cratère béant, et j’en redemande. Je nr pourrais sans doute plus marcher demain, mais je m’en fou. Si on me pose des questions, je serais fière de crier au monde que je me suis faite défoncée par mon oncle. Il m’utilise comme sa chose, mais en même temps, il me fait sentir précieuse, unique. Comme si j’étais la plus belle femme du monde, la plus désirable, la plus bandante. Si Megan nous regardait en ce moment, elle en serait jalouse.
— Je suis désolée ! Je suis désolée ! fais-je en pleurant.
  Ce ne sont pas des larmes de douleur, ou de tristesse, mais de bonheur. Le plaisir de connaitre une baise aussi intense, et un amour aussi profond. J’ai dis que j’étais désolée, mais je ne le suis pas. Si c’est ce qu’il lui faut pour qu’il me refasse sentir ça à nouveau, je recommencerais à baiser avec un autre juste devant son nez, rien que pour le plaisir qu’il me punisse encore. Je veux le rendre fou, et qu’il me fasse partager sa folie à coups de bite et de cris rauques.
***
 Salope ! Salope ! Salope ! Comment peut-elle me faire un coup pareil ? Ne voit-elle pas combien elle me fait du mal ? Ne ressent-elle rien pour personne ? Je veux lui ramoner le fion comme jamais jusqu’à qu’elle comprenne ce que je ressens. Je voudrais qu’elle éprouve la même chose, ne pas être seul. S’il n’y a que comme ça qu’elle comprend, alors je l’enculerais aussi fort qu’il faudra. Je veux lui perforer un trou si grand qu’il ne se referma jamais, afin que les autres mecs qui le verront sachent qu’elle appartient déjà à un autre mâle. Je suis fou, complètement fou, je ne sais pas ce qui me prend. Elle n’est pas ma femme, mais je n’arrive pas à supporter qu’un autre puisse profiter de son magnifique corps. C’est une déesse, tout m’excite chez elle. Même en la voyant comme ça, de dos, les seins écrasés, elle est juste sublime.
  Je lui donne une nouvelle claque sur les fesses en lui tirant les cheveux, elles commencent à rougir. Je suis collé contre elle, j’ai besoin de sentir sa chaleur. C’est un besoin vital, je pourrais en mourir. Je lui embrasse et mordille le cou, je lui fais partager mes soupir, qu’elle entende l’effet qu’elle me fait. L’intérieur de son cul est si bon, il est à moi, rien qu’à moi, c’est ma grotte secrète. 
  Je n’ai jamais baisé comme ça. Après avoir vu ce que j’ai vu, j’ai besoin de la punir, qu’elle n’oublie jamais combien elle m’a blessée. Je ne devrais pas ressentir ça, je ne devrais pas agir comme ça, mais je n’y peux rien. J’ai perdu toute trace d’humanité pour devenir cet animal. Je devrais me comporter comme un père effrayé de soir sa fille devenir femme et lui apprendre à maitriser ses pulsions, mais tout ce que j’éprouve, c’est de la jalousie et une peur profonde ne plus pouvoir profiter d’elle. Que dirait ma sœur si elle pouvait me voir enculer son enfant comme une chienne sur le plan de travail de la cuisine ? N’aurait-elle pas honte de nous deux ? Sans doute n’aurait-elle jamais cru ça de moi.
  Malgré ma violence, je ne veux pas lui faire du mal. Je veux la faire jouir si fort qu’elle en oublie les autres garçons. Qu’elle vienne à jamais me réclamer des coups de reins et qu’elle vénère ma bite comme le seul pieu de chair capable de lui donner du plaisir. J’ai une folle envie d’éjaculer, mais je veux lui faire enchainer les orgasmes. Elle en a déjà eu plusieurs, mais ce n’est pas encore assez. Elle ne cesse de crier "Je suis désolée ! Je suis désolé !" et "Punis-moi ! J’ai été vilaine !". Lucy la farouche, je ne l’ai jamais vu aussi soumise. Je ne sais pas si cela se reproduira un jour alors il faut que j’en profite. Je veux la rendre folle et qu’elle s’en souvienne toute sa vie.
  Je lui tire les bras dans les dos et les lui maintient pour l’empêcher de bouger. Elle est ma prisonnière, et manifestement, elle aime ça. Je prends moi-même un pied monstrueux, le sexe n’a jamais aussi si bon depuis que je baise avec mes nièces. Je réalise que si je suis resté célibataire si longtemps, c’est parce que la femme idéale n’existait pas encore. Elles étaient deux, elles vivaient sous mon toit, et il a fallu attendre qu’elles grandissent pour que je sois enfin heureux. Ça en valait la peine.
  Je la redresse juste assez pour jouer avec ses seins, sa délicieuse paire de nichons qui me fait rêver. Je n’en ai jamais vu d’aussi beau, d’aussi parfait. J’ai toujours envie de les presser et d’en sucer leurs merveilleux tétons. Je suis un obsédé : À chaque fois que je vois une de mes nièces avec un décolleté, je bande, et j’ai l’envie insoutenable de la déshabiller pour les voir. Le pire, c’est que maintenant qu’elles le savent, elles s’amusent à en jouer.
 Elle jouit une nouvelle fois par le cul. Elle m’épate, je ne savais même pas que c’était possible de jouir par là, alors jouir autant... J’estime qu’elle a eu son compte, c’est mon tour maintenant, je n’en peux plus. Si je m’étais laisser aller, je lui aurais éclaboussé la gueule de foutre au moment où elle m’a sucé, mais j’avais trop besoin de l’enculer et de lui faire ressentir ce que je ressens. Je sors de son anus et lui ordonne de se mettre à genoux. Elle s’exécute, mais lentement. Elle est épuisée, c’est à peine ou elle sait où elle est. Elle reste néanmoins assez lucide pour continuer à jouer les chiennes : elle s’assied sur le sol, les bras entre ses jambes écartés, et ouvre grand la bouche en fermant les yeux pour m’inciter à me finir sur elle.
— Vas-y tonton, salis-moi, me lance-t-elle. — Je vais te souiller ! Salope ! — Oui je suis la salope de mon oncle, je veux être recouverte de son sperme.
  Je m’astique devant son visage, ma queue hurle à l’agonie. La voir dans cette position en train de m’attendre à raison de mes dernières résistantes. Mes couilles sont en train d’éclater. Je lui gicle une première grosse trainée en plein sur la figure, cela coule sur son nez. D’autres aussi copieuses arrivent. Je jouis comme un tuyau d’arrosage. Je me sens comme un animal qui a besoin de souiller sa femelle pour marquer son territoire ; que les autres mâles sentent l’odeur de mon sperme et comprennent qu’elle est déjà prise, qu’elle est ma chose. Je vide tout ce que j’ai sur elle, je beugle tout le long tellement c’est bon.
   J’éjacule comme si mon foutre était un poison, et que j’expulsais toute ma colère et ma frustration. À chaque jet, je m’apaise un peu plus, la quantité monstrueuse que je lui envoie au visage est là pour lui démontrer combien elles étaient grandes. Ma queue continue de pulser alors que plus rien n’en sort. Je me sens mieux, soulagé dans tous les sens du terme. Je m’étais pas rendu compte que j’en avais tant besoin. Une chance que nous ayons eu cette "conversation", je ne sais pas dans quel état j’aurais été le lendemain.
— C’est bon ? J’ai été une bonne fille tonton ? Je suis pardonnée ? me demande-t-elle avec son air faussement innocent dégoulinant de sperme— Oui, tu es pardonnée. Ça ira pour cette fois, mais ne recommence pas.
***
 Waow, cette baise. Il m’a enculée si fort que mon cul ne s’est toujours pas refermé. Je suis complètement souillée. Il m’a giclé dessus comme pour marquer son territoire. J’ai en tellement sur le visage qu’on ne doit presque plus voir ma peau. Je suis obligée de me dégager les yeux avant de pouvoir les rouvrir. J’ai même du foutre qui coule de mon menton sur mes seins comme une vraie cascade. Cela me glisse jusqu’au bas du ventre. Ce n’était plus une éjaculation, c’était une douche de sperme. J’adore ça, être couverte de jus d’homme, le corps gluant. Il m’a traité comme sa pute, et j’en ai joui comme jamais. Je ne pensais pas qu’un truc pareil pourrait me plaire ; il n’y a bien qu’avec lui que c’est possible, je ne pourrais pas avec un autre. Il a fait de moi une trainée accro à sa bite. Sa queue est comme mon maitre je ferais n’importe quoi pour avoir le droit de jouer avec et me l’enfoncer dans tous les orifices. Comme pour la remercier, je lui fais des petits bisous, puis la nettoie avec ma bouche. La pauvre, elle ramollit, elle doit être toute épuisée d’avoir éjaculer autant.
 Pour être sure d’exciter encore un peu mon tonton, je joue avec son foutre pour m’en répandre sur tout le corps comme si c’était de l’huile. Il me traite une nouvelle de fois de salope quand je me suce des doigts pour m’en régaler. Il est trop craquant. J’ai envie de rester comme ça sans prendre de douche. Je le ferais sans doute un jour, mais pas ce soir. Je l’abandonne pour me débarbouiller, avant de rejoindre Megan qui doit se demander ce que je fais depuis tout ce temps. Enfin, non, elle n’est pas idiote, elle s’en doute bien. Je lui donne alors tous les détails quand elle me demande ce qu’il m’a fait. Elle s’en est masturbée devant moi.
  Le sexe avec tonton redevient plus normal après ça, mais j’ai encore envie qu’il me reprenne aussi fort. Maintenant que je sais ce qu’il lui faut pour le rendre fou, je m’arrange pour séduire un garçon, et cache la caméra qu’on utilise pour faire nos sex-tape dans ma chambre. Il ne m’intéresse pas, il a de la chance que j’ai besoin d’un appât, sinon il n’aurait jamais eu la chance de pouvoir ne fut ce que me peloter. Je le suce pour bien l’exciter, puis je le laisse me prendre en levrette. Je hurle comme une chienne non pas à cause du bien qu’il me fait, mais pour être sûre de rendre jaloux mon oncle quand il verra la vidéo. Je le chevauche de dos de façon à ce qu’on me voit bien à l’écran, je me fais jouir sur sa bite, puis je le fais éjaculer sur mes seins. Je me débarrasse rapidement de l’heureux élu pour envoyer tout de suite la preuve que j’ai été une très vilaine fille à tonton Eric. Je suis cruelle, à cette heure-ci, il doit être encore au boulot, avec une sacré trique désormais. J’espère qu’il n’ira pas se soulager dans les toilettes. Je ne me rhabille pas et attends. Lorsqu’il débarque dans ma chambre bien plus tard, je suis encore couverte de sperme séché.
— Lucy, tu es vraiment une salope ! dit-il en débouclant la ceinture de son pantalon.— Ooh, je suis désolé tonton, j’ai encore été vilaine. Tu vas devoir me donner une punition.
  Mon plan marche à merveille, je lui ai fais si mal qu’il en est fou. Il me donne une nouvelle fois la meilleure enculade de ma vie.
— Combien de fois faudra-t-il que je t’encule pour que tu comprennes que tu n’as pas le droit de me faire ce genre de chose ?! beugle-t-il en me donnant des fessées.
 Je ne trouve rien d’autre à répondre que des "Aaah ! Oui ! Oui ! Encore !" tellement je suis excitée. Il me saute comme sa chose plaquée sur le lit, en m’arrachant les cheveux et me coinçant les mains dans le dos. Sa queue me perfore l’anus comme s’il cherchait à élargir définitivement mon trou de balle. J’enchaine tellement les orgasmes que je ne sais plus quand l’un finit et que l’autre commence. Au bout d’un bon quart d’heure, je sens du liquide me remplir les intestins :
— Prends ! Prends sale chienne ! Aaaah ! crie-t-il en se soulageant enfin.
  Une fois qu’il a bien tiré son coup et que j’ai le cul débordant de sperme, il remet son pantalon, et s’en va sans un mot en me laissant là. Je reste immobile un long moment, béate de ce qu’il m’a fait.
  Le lendemain, j’ai marché tellement en pingouin que tout le monde a dû se douter que je me suis bien faite enculée. J’ai lancé un sourire coquin à mon amant de la veille pour qu’il comprenne qu’un autre homme m’est passé dessus après lui, et qu’il a eu bien plus de chance.
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