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Les nièces jumelles : saison 2

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Chapitre 4 : Tentation
   Le monde est mal fait. Je vis le parfait amour avec un homme, mais je suis obligée de le cacher. Les gens sont trop bêtes et ne comprendraient pas. On me jugerait et il pourrait aller en prison, juste parce que c’est mon oncle et mon tuteur. L’amour ne devrait pas avoir ce genre de limite. Il me rend heureuse, et le sexe avec lui est torride, qu’est ce qu’il a de mal à cela ?!
  Mon histoire est encore plus compliquée car il couche également avec ma sœur, juste pour le plaisir. Cela ne me dérange pas, au contraire. Nous allons jusqu’à dormir tous les trois dans le même lit toutes les nuits. Si les gens savaient, je perdrais mes amies, et on me pointerait du doigt comme la dernière des salopes. Cela me tue.
  À l’école, les gens se posent parfois des questions. Non, ils n’ont pas de soupçons, ce n’est pas ça, mais ils se demandent pourquoi une fille comme moi est toujours célibataire ; tout le monde me croit encore vierge. C’est sûr que s’ils savaient, ça leur ferait un choc que découvrir que je ne suis plus une petite fille prude et vierge, mais une chienne qui aime se faire enculer et qui adore le sperme. Ça réveillerait les instincts de tous les garçons de la classe, et même des profs ; surtout s’ils voyaient nos vidéos. Si l’acteur principal n’était pas tonton, Lucy aurait été capable de les vendre sur internet. Elle, c’est vraiment une salope, ça ne la dérangerait pas de savoir que toute l’école la voit se faire baiser et que les mecs se branlent devant ses films. M’enfin, je l’aime quand-même, c’est ma sœur jumelle. Aucun de ses travers ne pourrait changer ça.
  Si je n’ai pas de problème pour me faire des copines, me faire des copains, c’est plus compliqué. La plupart des garçons qui me tournent autour veulent sortir avec moi, et je ne suis pas intéressée. Parfois, je tombe sur un que je pense réglo, jusqu’à ce qu’il gâche tout en m’avouant qu’il est amoureux de moi. C’est à croire que ce n’est pas possible de rester simplement ami avec un garçon. Si je n’étais pas avec Eric, j’avoue que je me serais bien laissé tentée par certains d’entre eux. Ils sont beaux, ils ont mon âge, et leur façon d’essayer de me séduire est adorable, mais je suis prise, c’est comme ça, et je ne peux même pas le leur dire.
  Depuis quelques temps, Lucy traine avec deux garçons d’une autre classe. Ils sont plutôt mignons. Tel que je la connais, elle les jettera une fois qu’elle aura couché avec, quel gâchis. Si elle continue comme ça, elle va finir par se taper toute l’école. M’enfin, elle prend son temps, elle pourrait s’offrir à eux qu’ils la prendraient tout de suite, mais elle aime surtout les faire languir pour les exciter à mort. Quelle allumeuse !
  Comme j’ai du mal à me séparer de ma sœur, je passe aussi un peu de temps avec eux. Je fais connaissance, ils me draguent aussi de temps en temps. On dirait que ce qu’ils veulent, c’est se taper une jumelle Trojan, peu importe laquelle. Ils sont lourds, je suis obligée de les repousser. Vivement que dans quelques jours, je n’en entende plus jamais parlé.
***
  J’ai beau sortir avec Megan, Lucy me fait vraiment perdre la boule. Elle a cette façon de me provoquer... Elle s’envoie en l’air avec des mecs puis m’envoie la vidéo juste pour que je m’énerve afin que je la "punisse". Elle ne s’imagine pas le mal qu’elle me fait à chaque fois ; pourtant, je dois avouer que le sexe qui en découle après est terrible ; au point que quelque part, j’aime qu’elle me fasse souffrir. Tant que je peux me venger, me soulager sur elle, je peux le supporter. Si un jour venait où elle venait à me repousser après un de ces coups foireux, là... je crois que je pèterais un câble.
 Je ne comprends pas comment j’en suis arrivé là. Pourquoi je ne peux pas vivre une histoire simple ? Ma femme, c’est Megan, point ! Ça ne devrait pas aller plus loin. Et encore, "simple", il s’agit tout de même de ma nièce. Je ne sais pourquoi je me suis embarqué dans cette sorte de ménage à trois. Au final, nous sommes heureux tous ensemble. Notre trio marche très bien, nous serions tous très triste si la moindre chose devait changer.
  Le changement, c’est devenu une phobie. Je suis tellement heureux depuis que je couche avec mes adorables jumelles que j’ai peur qu’il se passe quelque chose et que je ne les perde. Je ne sais pas pourquoi, je vis avec la conviction que cela ne va pas durer. C’est juste trop beau pour être vrai, il VA arriver quelques chose, c’est obligé. Alors en attendant, je vis chaque seconde avec intensité, et profite de chaque moment d’amour et de câlin avec ma Megan.
  Un jour, les filles ramènent deux garçons de l’école pour étudier. L’un d’eux à l’air de tourner autour de ma chérie, je n’aime pas trop ça. Mais bon, je n’ai pas à être jaloux, j’ai confiance en elle. Cela se reproduit à plusieurs reprises. Ils ne viennent pas que pour étudier, mais il passe aussi du temps à maison pour s’amuser, jouer à la console, ou autre. Ils ne font rien de mal, mais je les observe de près. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que Lucy ne va pas tarder à m’envoyer une nouvelle vidéo. Rien que d’y penser, ça me fou en rogne. Qu’elle s’envoie en l’air avec qui elle veut, mais qu’elle arrête de me faire partager ça. Ou alors non, qu’elle continue, je ne sais pas ce que je veux.
  Ils m’énervent. Il a toujours ce garçon, Gregory, je crois, avec ses cheveux bouclés ridicule, qui fait du bringue à Megan. Je remarque qu’elle le repousse, mais je note aussi qu’elle est à l’aise avec lui et qu’elle rit à ses blagues. Ce n’est rien, je me dis que ce n’est qu’un ami, que c’est son droit après tout, jusqu’à ce que je vois un jour cet éclat dans son regard tandis qu’ils parlent ensemble. Soudain, je comprends tout. C’est le déclic ; et mon cœur se brise en mille morceaux. Je saigne, mais je ne peux pas lutter, je savais que cela devait arriver. Elle le veut, mais elle le repousse uniquement par respect pour moi. Je ne peux pas lui en vouloir, c’est normal à son âge. Il est temps que je discute avec elle et que je lui rende sa liberté.

— Megan, il faut qu’on parle en privé, lui dis-je une fois qu’ils sont partis.
  Lucy comprend que c’est important en voyant mes yeux de chiens battu et nous laisse un peu d’intimité. Je sens de l’inquiétude chez Megan. Elle ne devrait pas s’en faire, c’est une bonne nouvelle pour elle, c’est pour moi que c’est difficile. J’y ai cependant beaucoup réfléchi et je m’y suis résigné. Il n’y a pas de colère dans ma voix, juste de la tristesse et du désespoir. — Qu’est ce qu’il y a Eric ? s’enquit-elle d’un ton anxieux. — Megan, je... je t’ai vu avec ce garçon. J’ai bien compris qu’il te plaisait. Je voulais te dire que... si c’est ce que tu veux, je ne me mettrais pas en travers de ton chemin.— Quoi ?! Mais qu’est ce que tu racontes ! s’emporte-t-elle incrédule. — Je suis un vieil homme, mais toi, tu es jeune, c’est normal que tu aies envie de t’amuser un peu. C’est égoïste te de demander de me rester fidèle alors que dois avoir envie de vivre plein de nouvelles expériences. — Qu’est ce que ca veut dire, Eric ? Que tu veux rompre avec moi ? me demande-t-elle d’une voix tremblante. — Non, je ne veux pas. Mais si toi, c’est que tu veux, alors je veux que tu saches que je comprendrais, je l’accepterais, je ne ferais pas de vague.— Mais Eric ! Je t’aime ! pleure-t-elle. Je me fous de ce garçon. C’est toi que je veux.   Ses paroles me vont droit au cœur et me redonne espoir, je reste néanmoins blessé. — Je t’aime aussi, mais ne me mens pas. Je sais que tu as envie de lui. Je le vois bien à ton regard, à ton sourire, s’il te plait, tu ne peux pas le nier, je sais reconnaitre quand deux personnes ont envie de l’autre. — Je... je... mais c’est toi que j’aime !
  J’avais raison, elle n’a pas cherché à démentir. Je me retiens moi-même de ne pas verser de larmes. C’est dur. C’est comme si une partie de moi était en train de mourir.
— Ce que j’essaie de te dire c’est que... Si tu as envie de coucher avec lui, alors... va. Tu as ma bénédiction. Amuse-toi, vis ta vie, soit heureuse. Quoiqu’il arrive, je serais toujours là pour toi. Je t’aimerais toujours.
  Elle cherche à répondre, mais je l’en empêche. Ça risque d’être trop dur à entendre. Je l’embrasse tendrement et met fin à la conversation en m’enfuyant. J’ai dis ce que j’avais à dire, maintenant, j’ai besoin de m’isoler pour pleurer.
***
 Cette nuit-là, nous n’avons pas dormi ensemble tous les trois. Lucy et moi avons passé la nuit dans notre chambre. J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Quand je lui ai tout raconté, Lucy était tout aussi perdue que moi.
— Mais qu’est ce qu’il lui a pris ?!
  Je n’en sais rien, je n’ai rien compris. Qu’est ce qui s’est passé ? A-t-il rompu avec moi ? A-t-il juste peur que je le trompe avec Greg ? Qu’est ce que j’ai fais ? Je suis paumée...
   Je n’ai pas su fermer l’œil. Ma jumelle m’a prise dans ses bras pour me réconforter, mais j’étais trop mal. Le matin, je n’ai pas croisé Eric, nous nous sommes évité mutuellement. C’est le weekend, mais il doit exceptionnellement bosser aujourd’hui. Je ne sais pas si c’est mieux ainsi. D’un côté, j’ai envie de lui parler pour crever l’abcès, d’un autre, j’ai trop peur pour l’affronter.
  Lucy est vraiment une sœur géniale, elle fait tout pour essayer de me remonter le moral, mais je ne vois pas ce qu’elle peut faire pour y arriver.
Je n’ai jamais compris ce qu’Eric fait vraiment dans la vie, juste qu’il gagne plein d’argent au point de pouvoir vivre dans une grande maison avec une grande piscine. Puisqu’il fait bon, ma jumelle insiste pour que nous nous y baignions un peu. Je la rejoins après avoir mis mon bikini. Cela me fait du bien, mais je ne peux m’empêcher de penser à ma peine. Pour me changer les idées, Lucy appelle les garçons pour les inviter à la maison en leur précisant d’apporter leur maillot. Je ne suis pas convaincue que ce soit une bonne idée. Si tonton voyait Greg dans le coin, ça risquerait de faire du remue ménage.
  Étonnamment, passer du temps avec des gens de mon âge, discuter, délirer, me fait un peu oublier mes problèmes. Greg est adorable et ne cesse de chercher à me faire rire depuis qu’il a vu que je n’allais pas bien. Après s’être amusé à faire une bataille d’eau dans la piscine, nous nous séchons à la chaleur du soleil, tranquillement allongé sur des transats. Ben est collé à Lucy tandis qu’ils commencent à flirter ensemble. Greg, plus timide, et surtout plus gentleman, me parle de sujets divers. Alors que je l’écoute, je commence à comprendre ce dont me parlait Eric. C’est vrai, j’ai des chatouillis dans le ventre en sa présence. Il est beau, il est gentil, il me plait, mais il n’est pas Eric ! Il ne pourra jamais remplacer Eric !
  Notre conversation est interrompue par de drôle de bruits à côté de nous. En me retournant, je découvre que Ben est en train de rouler des patins à Lucy. Il est enfin passé à l’action, il a choisi le bon jour. Nous sommes un peu gênés par la situation mais préférons en rire pour détendre l’atmosphère. Greg me regarde dans les yeux. J’ai le cœur qui bat. Il s’avance et vient m’embrasser sur la bouche. Je ne sais pas pourquoi, je ne l’ai pas repoussé. J’ai même aimé ça. C’est le bordel dans ma tête, je suis envahie de pensées contradictoires. Qu’est ce qui m’arrive ? Qu’est ce que je veux vraiment ?
  Ben devient de plus en plus entreprenant. Il pelote ma sœur devant nous et une bosse commence à se former à travers son maillot. Je ne peux pas lui en vouloir, on doit être sacrément bandantes mouillées ainsi dans nos bikinis. C’était d’ailleurs dans le but d’exciter des garçons que nous les avons achetés à l’époque : ils mettent nos seins et nos fesses en valeur.
  Greg me dévore des yeux, ceux-ci ont d’ailleurs souvent tendance à dévirer vers ma poitrine depuis la minute où il m’a vue dans cette tenue, cela me flatte. Il tente une nouvelle approche pour me mettre la langue cette fois, et je n’arrive toujours pas à le repousser. Eric avait raison, j’ai envie, je m’en rends compte à présent. Il me connait mieux que je me connais moi-même. Je me sens mal, honteuse de mes propres sentiments. Comment je peux aimer Eric et avoir aussi envie de quelqu’un d’autre ? Je dois être la pire des copines. Je chasse ces pensées, je n’ai pas envie de ressasser tout cela encore une fois, je pourrais en pleurer. Le but de Lucy en ayant fait venir les garçons, c’était de m’aider à penser à autre chose, non ?
— Oh putain !
  La voix de Ben interrompt mes réflexions, je me tourne vers lui pour comprendre ce qu’il se passe. Je n’en crois pas ce que je vois : ma jumelle s’est penchée sur lui et est en train de le sucer ; comme ça, devant nous, sans aucune gêne. Ben sourit à son pote comme pour se vanter. Ça n’a pas l’air de le déranger lui non plus. Greg a les yeux écarquillés tout comme moi, nous ne savons plus où nous mettre. Nous détournons le regard, comme par peur de paraitre indiscret, comme si c’était nous qui étions en faute. Nous ne disons rien, puis nos yeux se croisent, je comprends ce que les siens disent. J’hésite. Je suis sans doute folle mais au fond de moi, j’en ai envie moi-aussi ; il me faudrait sans doute bien ça pour me faire aller mieux. Je me rappelle ce que m’a dit Eric. J’ai sa bénédiction, non ? Alors pourquoi tergiverser ? Je doute encore une seconde, puis tout à coup, je dis merde à tout. J’en ai marre de trop réfléchir, j’en ai marre d’avoir pleurée, j’en ai marre d’avoir mal. Je chasse tout, et mes barrières et mes inhibitions cèdent. J’ai la chatte qui mouille à regarder Lucy comme ça. Alors, timidement, je lance à Greg :
— On... devrait peut-être s’y mettre nous aussi, non ?
  Il a l’air plus que ravi. Tu m’étonnes.
  Il baisse lentement son pantalon pour faire apparaitre sa trique déjà en érection. Ce n’est pas le beau gros sexe de mon Eric, mais elle est pas mal quand-même. Je pose ma main dessus et me mets à le branler. Je n’arrive pas à croire ce que je fais. Je branle une queue, et ce n’est pas celle de mon homme. C’est la deuxième vraie bite que je vois de ma vie, et je m’apprête à la sucer.
  De mon propre chef, je me penche et la prends dans ma bouche. Je la pompe comme je sais si bien le faire. Elle me fait envie. Ma sœur me lance un regard approbateur, comme si c’était son plan depuis le début. J’ai du mal à réaliser dans quoi je viens de m’embarquer. Ce n’est que le commencement, nous n’allons pas en rester là. Nous allons baiser, tous les quatre, comme ça, sur le bord de la piscine. Il n’y a plus de retour en arrière.
— Oooh putain mec, s’exclame Ben, je ne sais pas pour la tienne, mais la mienne, c’est une pompeuse hors pair. — La mienne aussi, elle sait ce qu’elle fait ! — Qui aurait cru que les sœurs Trojan étaient si douées pour sucer des bites.
  Ils parlent comme si nous n’étions pas là. Je m’en fou, je m’amuse bien avec mon sexe dans la gorge moi. Je le lèche et lui bave dessus pour le lubrifier. Je sens une de ses mains passer sous la culotte de mon maillot pour jouer avec ma chatte. Il me met un doigt, c’est bon.
  En regardant ma sœur en train de pomper sa queue, je me dis que nous sommes vraiment des chiennes. C’est une chose de coucher toutes les deux avec Eric, mais là, avec deux gars qu’on connait à peine... l’une devant l’autre... Cela me fait mouiller.
  La terrasse est envahie de bruit de succion et des soupirs de nos hommes, quelle incroyable scène érotique. Nous prenons tout notre temps, nous pourrions sucer pendant des heures sans nous lasser. Nous adorons ça, jouer avec un beau mandrin de chair, avec son délicieux gros bout rose, c’est la meilleure des friandises. Nous ne sommes pas du genre à sucer juste pour faire plaisir à notre partenaire, nous le faisons car cela nous excite tout autant.
  Lucy et moi échangeons quelques regards complices, les garçons sont totalement à notre merci, ils feraient n’importe quoi pour que nous prenions soins de leur bite. Greg me fouille maintenant littéralement le vagin avec ses doigts. Ma cyprine coule le long de mes cuisses, pas moyen de cacher l’effet qu’il me fait. Je le lèche en le fixant des yeux, je fais tourner ma langue sortie autour de son méat avant de passer dessus, le tout en lui massant les couilles pleines de sperme que je compte bien lui faire cracher. Mon nectar à moi, emprisonné dans ces boules, je le veux, je vais l’en libérer.
  Lucy se redresse et enlève son haut. Ben se régale de la vision de seins nus et ne résiste pas à les empoigner.
— Putain, ma belle, tu as vraiment une de ses paires de nichons...— Ils te plaisent, hein ?
  Il plonge en avant pour lui sucer les tétons, elle soupire de bonheur. Il va vite comprendre qu’ils sont très sensibles. Il lui bouffe les mamelles comme s’il n’avait jamais vu des nibards de sa vie. Comme je connais ma jumelle, cela doit la faire mouiller comme une folle. Lorsqu’il lui laisse enfin une seconde de répit, elle lui grimpe dessus en lui attrapant la verge. Elle la pointe vers son entrée puis se laisse retomber dessus. Elle commence ensuite son va-et-vient en posant ses mains sur ses épaules. Toujours penchée sur la queue qui n’a pas quitté ma bouche, j’ai une vue sublime sur ce sexe qui entre et ressort de son vagin. Je n’arrive plus à me détourner de ce couple en train de baiser devant mes yeux. Ils sont beaux, ils ont l’air de vraiment prendre leur pied tous les deux.
— Oh, putain, oui ! Ce que t’es bonne ! s’exclame Ben.
  Moi aussi j’ai envie d’avoir un bon pieu dans la chatte. J’arrête ma fellation et demande à Greg :
— Tu veux me baiser toi aussi ? — Et comment !
  Je m’allonge dos sur le transat en relevant les cuisses. Je m’offre à lui sans aucune pudeur. Il vient me rejoindre en caressant les lèvres de mon vagin avec son dard. Soudain, il me pénètre enfin ; nous gémissons tous les deux. Il me maintient par les genoux et commence à me besogner. Ça y est, c’est fait, je trompe mon amoureux et me fait baiser par un autre homme, mais le plaisir est tellement intense que je n’arrive pas à y penser assez fort pour me faire culpabiliser. Je veux me faire sauter, je veux jouir, en ce moment, c’est tout ce qui compte.
 Nous échangeons nos soupires, on entend le claquement des couilles des garçons. Ben s’est coincé la tête entre les nichons de Lucy, Greg ressemble à un puceau qui se tape une fille pour la première fois, j’espère qu’il n’est pas déjà près d’éjaculer.
  Cela me rend toute chose de participer à cette espèce d’orgie improvisée. Nous baisons tous les quatre, pas parce qu’on s’aime, juste parce que c’est bon de s’envoyer en l’air. Lucy a peut-être l’habitude de ce genre de choses, mais pour moi, c’est une nouvelle expérience. J’ai laissé un garçon que je connais à peine s’insérer en moi, et je veux qu’il continue de me prendre. C’est comme si nous avions cessé d’être des êtres humains pour devenir des animaux en chaleur. Ma sœur et moi sommes des juments qui ont besoin d’être saillies par de beaux étalons.
— Putain mec, tu le crois qu’on est vraiment en train de baiser les sœurs Trojan ? fait Ben. Les plus belles filles de l’école ?— C’est trop bon ! Je n’arrive pas à y croire, déclare Greg. — Le plus délirant, c’est que je ne sais même pas laquelle je suis en train de baiser ! — Hey ! Je suis Megan, connard !   Lucy... ce mensonge... Je ne sais pas pourquoi, j’ai bien envie d’entrer dans son jeu. — Aaah ! Lucy ! Lucy ! s’exclame Greg en me pilonnant. Si tu savais depuis combien de temps j’attendais ça.
 Je suis un peu déçue. Que son abruti de copain ne sache pas faire la différence, c’est une chose, mais lui ? Depuis le temps qu’il cherche à me séduire. Est-ce qu’il n’a juste jamais su mon nom ? Ou est-ce qu’il cherchait juste à se taper une des jumelles sans se soucier de laquelle ?
— C’est ça que tu voulais, hein ? lui fais-je. — Oui ! — Me baiser ?— Oh putain oui ! — Profite-en, c’est ton jour de chance. — Oh oui !
  Il se penche vers moi pour m’embrasser. Je ne sais pas pourquoi, je le lui rends. Tout ce que voulait ce con, c’était tirer son coup, pourtant je le laisse faire car j’en ai envie moi aussi. Je suis train de devenir une salope comme ma sœur. Je ne l’aime pas, j’ai juste envie de me faire ravager par la bite d’un beau garçon qui me désire.
  Il joue enfin avec mes seins, je l’aide à enlever ce stupide bikini. Il me les presse et joue avec mes tétons.
— Vas-y, continue, ils sont très sensibles.— Vraiment ?— Oui, j’adore ça.
  Il me les pince et me les tire, pile comme j’aime. Il les suce après comme un bébé. Je l’enlace pour le garder près de moi. Il augmente le rythme de ses coups de reins pour me baiser comme sa chose. À côté, Lucy coulisse frénétiquement sur son mandrin de chair. Elle a l’air perdue dans son plaisir. Ben a les mains posées sur ses hanches et il l’aide à maintenir le rythme. Il doit se sentir l’homme le plus heureux du monde, avec une belle jumelle Trojan qui rebondit sur lui en raffolant de sa bite. Il a les yeux rivés sur ses seins qui se balancent. Il profite des sensations qu’elle lui procure, je crois qu’il est au paradis :
— Putain, Megan, t’es la meilleure, soupire-t-il. — T’aime ma chatte, petit salaud ?— Oh la vache ! Tu n’as pas idée ! — Ta queue est pas mal non plus.
 Greg commence à devenir fou, il se colle contre moi en me maintenant par les épaules. Sa joue contre la mienne, il me fait entendre ses soupires. Il me lime avec désespoir comme si sa queue le démangeait.
— Putain Lucy, je fantasme sur toi depuis que la première fois que je me suis branlé, me sort-il.
 Mouais, moi ou ma sœur, peu importe pour lui je suppose. Ça m’excite quand-même de me savoir aussi bandante.
— C’est vrai ? Tu te branles en pensant à moi ?
  C’est idiot, mais ça me touche.
— Tout le temps ! J’ai des pensées salaces à chaque fois que je te croise à l’école. J’ai envie de te prendre et de te ravager !   — Quel gâchis de sperme, dis-je. Fais-moi ce dont tu as toujours rêvé.
 Il me dit qu’il veut me prendre en levrette, je me mets alors en position et il me pénètre en m’attrapant par les hanches.
— Ça te tente aussi ? demande Lucy à son partenaire. Tu as envie de me sauter comme une chienne ?— Oh, ça, tu vas prendre, salope !
 Lucy bouge un transat pour le placer à côté du mien, elle se place à quatre pattes et attends de se faire fourrer à nouveau. Ben ne tarde pas à la rejoindre et s’enfonce dans son vagin. Il ne retient pas ses coups de bassin après avoir passer tout ce temps à être passif.
— Regarde-moi ça, commente-t-il à son pote. Elles font les fières en classe, mais en vrai, ce sont des vraies salopes qui aiment la bite. — C’est clair, je ne pensais pas qu’elles seraient aussi chaudes pour oser faire un truc à quatre comme ça. Je pensais qu’il en avait une qui était encore vierge.— Bah la mienne, elle ne l’est pas, je peux te l’assurer.— La mienne non plus. — Putain de salopes ! Elles cachent bien leur jeu ! Nos potes ne vont pas le croire !
  Ils parlent encore de nous comme si nous n’étions pas là. En tant normal, Lucy leur feraient ravaler leurs paroles, mais faut croire qu’elle est vraiment entrée dans mon rôle. Je n’arrive pas à entrer dans le sien, je suis trop au septième ciel pour être dérangée parce qu’ils disent. Et puis ils n’ont pas tort, on est de sacrées salopes à faire un truc pareil. On est là, à quatre pattes, à se faire tirer par des mecs qu’on connait que depuis quelques semaines au bord de la piscine, et on aime ça. Je suis certaine que même dans leurs fantasmes les plus fous, ils n’auraient jamais imaginé que ce soit possible. Ils doivent vivre la baise de leur vie ; ils ne l’oublieront sans doute jamais.
  La bite de Greg me fait un bien fou, je pense sentir qu’il disait la vérité à mon sujet : il me veut depuis un bout de temps. Il doit se retenir d’éjaculer comme un malade. Je me demande pourquoi : parce qu’il veut m’impressionner en étant un bon amant, ou pour profiter un max de ce moment sur lequel il fantasmait depuis si longtemps ? Un peu des deux sans doute. Peu importe, il se débrouille bien, je ne vais pas tarder à jouir à ce train là.
  Lucy me se tourne vers moi et me fait un sourire. On dirait qu’elle est heureuse de partager une de ses activités de salope avec moi. J’ai honte, mais finalement, je ne suis pas sa sœur pour rien. Je sens de la luxure dans son regard, et pas pour la bite qui lui bourre le vagin. Je comprends ce qu’elle a en tête, je sens que ça va faire un sacré effet sur les garçons. Nous nous penchons l’une vers l’autre, et nous nous embrassons.
— Putain, mais regarde-moi ces salopes ! balance Ben. Elles sont lesbiennes en plus !— Je le crois pas ! — Si vous saviez ce que nous faisons lorsqu’on est que toutes les deux... enchérit Lucy.
  Cela ne rate pas : ils ne prennent plus fort. Greg m’enfourne son manche de coups sec jusqu’à raz des couilles. Nous continuons notre show en se faisant rejoindre nos langues sorties pour qu’ils puissent avoir une belle vue. Ça commence à être difficile vu comment nos corps se balancent dans tous les sens. Ils cherchent à nous posséder, ils ne vont plus tenir très longtemps.
— Es-pece-de-sal-o-pe, prononce Ben à chaque coups de reins. Il attrape Lucy par les cheveux qui se met à crier son plaisir.
 Quand elle les a invités, je doute que les garçons se doutaient qu’ils participeraient à une telle orgie ; moi non plus, c’est vraiment divin. Ben commence vraiment à arriver à bout de force. Je reconnais cette cadence erratique qu’Eric a aussi juste avant de jouir. Soudain, il hurle :
— Aaaah  ! Je vais jouir dans ta chatte ! Salope !
 Il se fige au fond et se met à trembler. Il doit être en train d’éjaculer.
— Ouiiiiiiii ! crie Lucy.  
 Elle est venue avec lui tandis qu’il la remplit de sperme. C’est beau un couple qui jouit ensemble. Lucy a les yeux fermés, perdue dans son propre monde de plaisir. Elle voulait connaitre ce moment d’extase qui ne dure jamais assez longtemps, et elle l’a eu, je l’envie. Ben se vide en elle comme dans un sac à foutre. Connard comme il l’est, c’est exactement ce qu’elle doit être pour lui. Il lui donne quelques derniers va-et-vient comme si cela pouvait l’aider à expulser ses dernières gouttes, avant de sortir d’elle.
  Durant ce temps, Greg ne s’est jamais laissé distraire et continue de me besogner. Son endurance m’épate, j’aurais vraiment cru qu’il aurait fini en premier. Ben et Lucy, repus, s’installent tranquillement dans un autre transat pour mieux nous observer. Elle s’allonge sur lui et il la prend dans ses bras comme si c’était sa copine. Le fait d’avoir un public ne semble gêner nullement mon partenaire, moi je me sens un peu honteuse de m’exhiber ainsi, j’ai l’impression d’être une actrice porno. Je prends malgré tout trop mon pied pour vraiment m’en soucier. Tout ce que je veux, c’est me faire baiser jusqu’à en jouir. Je ne sais plus où je suis, je me mets à crier. Comme si ce n’était pas suffisant, nos spectateurs nous gratifient de commentaires :
— Allez Greg ! l’encourage son pote. Défonce-la cette salope ! Tu vois bien qu’elle aime ça ! Vide-toi les couilles en elle ! — Hey ! Pas trop vite ! le contredit Lucy. Tu as intérêt à faire jouir ma sœur avant, ou je te la coupe.
  Greg me saute encore pendant plusieurs minutes, mais je sens qu’il est vraiment à bout.
— Aaah ! C’est trop bon ! C’est trop bon ! geint-il.
  Pour moi aussi, mais rien que pour l’emmerder, je me retiens de jouir. Je vois bien qu’il essaie d’écouter Lucy. Il me baise comme un bucheron, chacun de ses assauts est agrémenté de "han !" "han "! "han !". Sa bite me perfore les entrailles de façon remarquable, il doit offrir un beau spectacle pour les deux autres.
— C’est trop ! C’est trop ! répète-t-il.
  Je sens soudain du liquide se déverser en moi. Il n’a pas su m’attendre, il éjacule. Il me fourre de son foutre, il me remplit de sperme, il râle comme une bête. Cela déclenche mon propre orgasme et je jouis avec lui. Il me voulait depuis des années, il a enfin la chance de réaliser son fantasme, il m’a prise comme sa pute, et savoir tout cela m’a faite jouir. Notre public pousse un cri triomphant en nous regardant. Moi, je profite de chaque seconde de mon bonheur. Il se vide en moi comme s’il n’avait pas éjaculé depuis des années, je suis sans doute le meilleur coup de sa vie. Je prends chacune de ses giclées comme un compliment, comme une preuve du désir qu’il a toujours eu pour moi. 
  Quand il a enfin fini, il se retire. J’ai du mal à réaliser ce qu’il vient de se passer. Je me suis faite ramonée par un garçon qui n’était pas mon homme, je suis pleine de son sperme, et j’ai aimé ça. Ça y est, c’est officiel, je suis désormais une salope comme ma sœur.
  Nous parlons pas beaucoup après cela, il n’y en a pas besoin. Nous sommes chacun installé en couple dans notre coin en train de récupérer. Nous sommes bien, léger, et heureux d’avoir passé un bon moment. Ben embrasse Lucy, Greg veut me faire la même chose, mais je le repousse. Non, nous avons fait l’amour, nous avons eu ce que nous voulions, c’est fini maintenant ; c’est Eric que j’aime. Les choses deviennent plus claires à présent. J’ai plus que jamais besoin de lui parler.
  Plus tard, les garçons s’en vont, et j’ai un peu plus de temps pour penser à tout ce qui s’est passé depuis une journée. Eric avait raison, j’avais envie de Greg. J’essayais de le nier au fond de moi car je savais que c’était mal de tromper son homme, mais c’était vrai. Il était mignon, il était charmant, et j’ai aimé sa façon de me séduire ; même si à la fin il s’est révélé être un abruti qui voulait juste m’enfoncer sa queue dans ma chatte. Pourtant, même si j’ai couché avec lui, c’est Eric que j’aime au plus profond de moi. Je dois être une personne horrible, aimer quelqu’un, mais avoir tout de même envie d’un autre. Je ne me l’explique pas, j’ai honte, mais je pense comprendre pourquoi Eric m’a dit ce qu’il m’a dit. Après tout, ne fait-il pas exactement la même chose avec moi ? Il m’aime, mais il se tape aussi Lucy. Bon, c’est différent, c’est ma sœur, je n’en ai jamais été jalouse, mais peut être se sentait-il mal par rapport à ça et qu’il penserait que ce serait plus juste si je pouvais moi aussi coucher avec quelqu’un d’autre. Enfin, je ne sais pas, c’est pour ça que je veux lui parler. Je veux tirer toute cette histoire au clair, et j’espère qu’il veuille encore que je sois sa copine.
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