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Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784)

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Année 1784 - Le mariage -
Le jeune d’Anglard, voudrait tant être ailleurs ! Mais il est bien là, nu, prostré, couvert des ecchymoses des corrections subies et ressentant encore les douleurs des abus dont il a été le jouet de la part des esclaves Du Marquis la veille au soir. Il est bien là, agenouillé aux pieds de Ceux qui sont donc ses Juges, humilié devant Celui dont il a souillé Le nom et L’honneur, conscient qu’il n’aura pas d’échappatoire, effrayé à l’idée qu’il pourrait être envoyé aux galères, autrement dit à une mort certaine, après sans aucun doute avoir subi les pires humiliations. Tremblant, prêt à tout accepter, il entend Le Marquis d’Evans décrire Celle dont il va donc devoir partager le quotidien et la couche. Cette vieille aristocrate édentée qu’il n’a aperçue qu’une fois et dont il connaît la réputation perverse et plus que sulfureuse.
Son dernier mari, un noble désargenté qui s’était comme vendu à Elle pour sauver son domaine, n’était après quelques mois plus que l’ombre de lui même. Il se murmurait derrière les murs épais des châteaux que La Duchesse exigeait de son époux les ébats les plus vils, qu’il se devait de La satisfaire et que, lorsqu’elle avait été déçue de ses assauts, Elle le livrait à ses palefreniers qui en faisaient leur chose et pouvaient, durant toute la nuit, en abuser comme de la dernière des catins.
Le nobliau devenu Duc consort était parfois même contraint à se grimer comme une putain, à revêtir les atours d’une femelle, et à offrir ses services à des hommes dans les pires bordels des villages alentour. Là, il était contraint à s’exhiber aux yeux de tous, buvant sur les genoux des hommes qui troussaient ses jupons et souvent devant passer sous les tables, où il contentait de sa bouche outrageusement maquillée tous les sexes mâles qui se tendaient vers lui...
Dans ces soirées plus dégradantes les unes que les autres, il n’était pas rare que les participants ne saisissent le petit duc pour l’allonger sur une table et le trousser, afin d’offrir son cul aux plus diverses pénétrations, les manches d’ustensiles et autres objets les plus divers venant en renfort lorsque la virilité des mâles présents venait à s’épuiser de trop d’allées et venues dans le ducal fondement.
Au petit matin, c’est toujours épuisé et bien souvent totalement nu que l’époux de la duchesse devait regagner le château de sa Dame afin d’être lavé et dispo pour l’aller réveiller et Lui tenir compagnie tandis qu’elle savourait viennoiseries, mignardises et autres chocolat chaud tandis qu’il lui faisait tremblant le récit de tout ce qu’il avait subi au cours des si longues heures de la nuit écoulée.Elle riait aux éclats, à la pensée de l’avilissement sexuel de ce piètre mari qui ne savait pas toujours la contenter et à chaque hoquet, un peu de chocolat coulait de ses lèvres sur son menton, glissant lentement sur la peau fripée, entre les quelques poils qui décoraient sa galoche...Elle avait alors coutume de faire approcher son époux et de lui passer la main entre les cuisses, tâtant fermement ses attributs jusqu’à obtenir enfin que le vit conjugal atteigne enfin la vigueur qu’elle appréciait. Malheureusement pour le petit duc, les avanies nocturnes et le peu d’attrait de sa femme ne l’incitait guère à l’érection, ce qui le menait bien souvent à de nouveaux avilissements sous les yeux vengeurs de La Duchesse...
Pendant quelques mois, ainsi, le petit chevalier qui avait cru faire une bonne affaire en épousant la supposée duchesse mourante devint le jouet des vices de cette dernière. La duchesse vivait encore, même si parfois entre eux les valets la surnommaient la momie. Tandis que son mari, le dernier en date d’une longue série de mâles épuisés à la tâche et avili toujours plus cruellement, avait fini par choisir l’ultime libération en se pendant à la plus haute poutre de l’écurie du château.Expédiée la cérémonie, La Duchesse porta une nouvelle fois le deuil pour la seule raison qu’elle jugeait que le noir mettait mieux en valeur les débris de sa beauté passée... Puis, après quelques semaines, elle se mit à nouveau en chasse d’un nouvel époux. Mais les nobles célibataires de la région, avertis de ses turpitudes, évitaient de la croiser car un refus de leur part aurait entraîné la colère et la vengeance de la harpie dont le grand âge n’avait fait qu’avancer le pouvoir de nuisance, grâce notamment aux subsides généreux que son immense fortune lui permettait de distribuer auprès des personnages les plus influents de la province.
Seul Le Marquis d’Evans, qui n’était pourtant point marié, échappait à la chasse acharnée de La Duchesse... Il était Son Suzerain et la duchesse avait une haute idée des hiérarchies nobiliaires. et d’autre part, amusé par le caractère particulièrement pervers de cette vieille amie de la famille, Le Marquis d’Evans s’appliquait à lui prodiguer parfois Ses aides et conseils. Ainsi, lorsque le cocufié baron d’Esglières était venu réclamer justice, Le Marquis avait promptement échafaudé le plan qui allait infliger la pire des punitions au coupable d’Anglard et combler les appétits voraces et vices féroces de la duchesse. C’est donc un jeu fort subtil qui avait commandé au destin du sieur d’Anglard et allait faire de lui le huitième époux de la Duchesse.
Les deux Marquis, depuis leurs fauteuils et le baron debout et fort agité, l’observent amusés... Mais voici que dans un grand vacarme, la vieille Duchesse Eglantine de Besse fait son entrée dans le salon ! Faisant froufrouter les dentelles dissimulées par sa robe de grand deuil toute en soie noire irisée, elle s’approche malgré son grand âge et effectue une révérence des plus ridicules devant Le Marquis :
— "Soyez la bienvenue duchesse !" lance le Marquis d’Evans "Vous savez les raisons de la convocation qui vous a été adressée. Je sais votre haine de la solitude et Votre goût pour les époux vigoureux... Figurez vous que j’ai là quelqu’un pour vous" et de désigner d’Anglard, prosterné...
La duchesse s’approche, se penche un peu pour toucher la peau du jeune homme, promène sa main perverse sur les reins, le cul... et sans crier gare enfonce prestement son majeur dans le fondement offert, puis le ressort et le hume avec délices.
— "Eh bien Monsieur Le Marquis, voilà qui me semble fort bien venu... l’individu m’a l’air robuste et, une fois effacées les traces de coups, devrait être plutôt plaisant à regarder. Mais, mon cher Suzerain, est-il de naissance digne d’être accouplée à mon glorieux patronyme ?"— "Duchesse ! Pouvez vous seulement imaginer qu’il n’en soit pas ainsi ? (réagit promptement Le Marquis d’Evans) Ce jeune homme est de bonne famille, petite noblesse, mais ancienne et fidèle à la couronne... Ce fieffé coquin a cependant sali les armoiries de sa famille en se comportant de la plus fourbe des manières avec le baron d’Esglières que vous connaissez déjà. C’est pourquoi il m’a semblé judicieux de vous l’offrir en justes noces. Puisque le jeune faquin aime à se laisser gouverner par ses désirs, il est juste qu’il soit puni par là où il a péché. Je Vous l’offre, Duchesse, à charge pour vous d’en faire le plus aimant des époux et de lui apprendre à rester obéissant et fidèle..."— "Marquis, je suis à nouveau votre débitrice... Soyez assuré que je vais prendre en mains le jeune marié et lui faire découvrir les plus inattendus des devoirs conjugaux. Après quelques mois de mariage, je puis vous garantir qu’il ne pensera plus même à poser ses yeux sur une autre donzelle que moi, son épouse ! Et si d’aventure il s’égarait, je ne manque pas d’idées ni d’arguments pour le ramener sans fléchir à ses devoirs..."
Le Marquis d’Evans se lève, et son compère de Sade fait de même...
— "Bien... alors puisque les consentements sont acquis, nous allons pouvoir passer à la rédaction des actes, puis à l’échange des anneaux qui scelleront cette si plaisante union"...
(A suivre ...)
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