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Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784)

Chapitre 15

SM / Fétichisme
Année 1784 - Deux personnalités révélées -
Tandis que sa tendre complice apprend à ressentir dans sa chair le poids de ses pêchés, le jeune homme nu et enchaîné, a été emmené par les membres de la garde Du Seigneur d’Evans. Arrivés au corps de garde, les deux colosses projettent le frêle jeune homme sur le sol. Les autres gardes, qui sont au repos dans cette vaste salle dédiée à leurs moments de relaxation. Ce garçon, encore sous le choc des évènements récents, chute lourdement sur son épaule... son visage s’écrasant brutalement contre le parquet de bois poussiéreux, provoquant les rires gras des hommes de sac et de corde réunis là, dans de vieux fauteuils éventrés mais confortables.Alors qu’il tente maladroitement de se redresser, il sent une lourde botte ferrée qui se pose sans ménagement sur ses épaules et appuie durement, plaquant le haut de son torse contre le sol, tandis que s’appuyant sur ses genoux, il a partiellement relevé sa croupe...
— "Qui t’a dit de te relever ?" tonne une voix rocailleuse, loin au-dessus de lui...
il n’a ni le temps de réagir, ni même celui de répondre que déjà, un coup de pied frappe violemment ses fesses, il ressent violemment ce coup d’autant que le reste de son corps est immobilisé par ce pied qui pèse et contraint son visage et ses épaules contre le sol...
— "Notre Maître, Le Marquis, t’a confié à nous ! (poursuit la voix sourde) Désormais tu ne bouges, tu ne parles, tu n’agis que lorsqu’un de nous te l’ordonne, sinon il t’en cuira ! Compris ?"— "ou... oui... " balbutie le jeune homme qui se sent soudain perdu, loin de ses pourtant si récents rêves d’escapade amoureuse en compagnie de sa jeune compagne...
Le poids de la botte s’allège et disparaît... mais il n’ose cependant pas ciller, à peine respirer aussi discrètement que possible, devant pourtant lutter contre l’irrépressible envie d’éternuer que suscite en lui l’épaisse couche de poussière qui recouvre le vieux plancher au lattes disjointes. Une longue conversation débute alors entre les hommes présents... Ce sont pour la plupart d’anciens soldats, qui ont servi de longues années dans la troupe royale, au sein d’un régiment financé par Le Marquis, qui a ensuite gardé à son service les meilleurs éléments, les plus dévoués.
Ces hommes, qui ont sillonné l’Europe et combattu sur de nombreuses terres étrangères ont trouvé sur les terres Du Marquis d’Evans un havre de paix et de repos. Dévoués jusqu’à la mort à Leur Maître, ils le suivent fidèlement, comme ils ont, à ses côtés affronté la mitraille. Le Marquis a tenu ainsi à marquer Sa Reconnaissance pour ces jeunes qui parfois, très jeunes, ont quitté familles et champs ou troupeaux pour lui offrir, ainsi qu’Au Roy, leur service et parfois leur vie. Désormais, connus de tous, ils sont chargés de faire respecter La Loi Du Marquis et ne dérogent jamais à ce devoir sacré.
C’est donc à eux que Le Marquis a confié la garde du jeune fugitif... durant de très longs instants, ils discutent de la meilleure façon d’en disposer... Lui n’entend rien... à peine un brouhaha... toujours le visage dans la poussière, la croupe relevée, enchaîné... il a été recouvert d’une couverture qui ne laisse passer que des bribes de conversations et de nombreux éclats de rire... Finalement la couverture est soulevée, une main épaisse se saisit d’une touffe de cheveux et le force à se redresser. il est libéré de ses chaînes et entraîné hors de la pièce, plus traîné que marchant, il se retrouve dehors et jeté dans un vieil abreuvoir empli d’une eau glacée. Toujours aussi brusquement, il en est ressorti tout dégoulinant et débarrassé de ses chaînes. On lui jette un chiffon, afin qu’il sèche son corps entièrement nu et glabre. il s’essuie sous le regard goguenard des gardes qui tous le dépassent d’une bonne tête et présentent un impressionnante carrure.
— "Mets ça !" lui intime le plus grand et large de tous... Avec cette voix rocailleuse qui terrifie le jeune homme qui reçoit à hauteur de poitrine une boule de tissus. Il déplie celle-ci et découvre une robe ... il pâlit et sent l’air quitter sa poitrine... mais pas le temps d’hésiter, déjà la longue lanière de cuir d’une longe vient frapper son dos... la sensation est celle d’une longue brûlure qui cingle son corps... lorsque la deuxième frappe, il a déjà commencé à enfiler la robe, provoquant des rires de plus en plus appuyés.
— "Et ça !" exige la voix, tandis qu’une sorte de boule de poils atterrit entre ses bras.
Il comprend et avant même qu’un nouveau coup vienne marquer son corps, il place la perruque sur sa tête, sentant l’étrange sensation de cheveux qui tombent sur ses épaules... il demeure là, immobile, la tête baissée, maintenant rouge de honte... mal attifé dans sa robe froissée un peu trop courte et sous cette chevelure brune qui couvre sa tête...
— "Et voilà ! Tu es Manon la souillon ! Compris ?" l’interroge une voix dure et qui n’admet qu’une sorte de réponse...
— "Oui... Monsieur"... soupire-t-il en baissant encore plus la tête...— "C’est bien, (l’homme s’approche et tapote la croupe à travers la robe) Alors Manon, tu vas faire le ménage dans cette porcherie ! et puis tu nous prépareras à manger..."— "Oui... Monsieur" bredouille-t-il...— "Et bien sur... (poursuit le chef des gardes) tu es à la disposition de chacun ici !"— "Oui Monsieur"... parvient à peine à prononcer Manon dans un sanglot......Dans le même temps, sa compagne est toujours entre les mains du curé, bien décidé à extirper de cette effrontée toute trace de l’influence du Malin !
— "Tu dois être punie par là où tu as fauté !" (s’est exclamé le prêtre en entraînant par la tignasse la jeune femme vers le sous-sol de la sacristie) j’ai purifié ta bouche pécheresse, mais ce n’est qu’un début. Une... mise en bouche (il ricane) ce sont tous tes orifices qui doivent s’ouvrir à la Foi ! c’est en étant plongée dans les plus viles positions que tu apprendras à t’élever vers la vérité... Plus humble tu seras, plus avilie et plus tu auras l’espoir d’être purifiée. Alors et alors seulement, je pourrai te livrer à Nos Divins Marquis, qui pourront disposer de ta chair nettoyée de toute souillure, par les souillures même que tu auras subies !"
elle n’a pas tout compris de ce discours, d’autant que le curé, depuis leur arrivée, n’a guère cessé de faire honneur aux bouteilles de vin de messe que, régulièrement, le Marquis d’Evans lui fait livrer.
C’est écartelée entre quatre piliers, son dos reposant sur un petit autel de pierre rêche qu’elle est désormais installée... les yeux bandés, elle n’ose songer à ce qui l’attend... jamais elle n’a été ainsi livrée sans aucune pudeur à un homme. Avec son jeune compagnon, leurs jeux étaient bien innocents. Et pourtant ils leur ont valu ce destin ... est-ce mérité ? Elle ne saurait dire. Se sentant bien sur fautive d’avoir désobéi à sa famille, mais convaincue de la pureté de ses sentiments; mais cette pureté ? n’était-elle pas inspirée par le Malin ?
Ses réflexions sont interrompues par l’introduction brutale d’un objet long et doux entre ses cuisses. Elle se cabre, mais la façon dont elle est entravée ne lui laisse aucune possibilité de se soustraire à cette pénétration...
— "Une carotte, catin diabolique ! Une simple carotte" lui susurre l’abbé tandis qu’il fait aller et venir le légume de belle taille dans le sexe béant de la fille...
Une fois le tubercule de belle taille profondément enfoncé, le curé l’y abandonne et choisissant une autre carotte, un peu plus effilée celle-ci, commence à en titiller l’anus de sa captive
— "Daucus carota, hips ! (dit le prêtre d’un ton docte embrumé par le vin) cette plante est de la famille des apiacées... c’est un , hips ! tubercule (il pousse et enfonce la carotte dans l’anus) et c’est donc ce tubercule qui t’encule ! catin du Diable !" lance-t-il en titubant...
la fille s’est à nouveau cabrée, désespérément et si inutilement, car elle ne dispose d’aucune liberté de mouvement et ne peut que subir cette double pénétration légumière... Le curé s’approche et commence à faire aller et venir les légumes dans les deux orifices... de plus en plus vite d’abord, puis alternant ralentissements et accélérations... brefs instants de pause et violentes poussées... Il prend un plaisir pervers à voir que peu à peu le corps se couvre d’une fine pellicule de sueur...
— "Oui, vas-y...,dit-il, cette transpiration c’est le mal qui te quitte, la chaleur ce sont les flammes de l’enfer qui te lèchent !" hurle-t-il avant que de s’agenouiller et, retirant les deux carottes de leurs gaines de chairs, plonge son visage entre les cuisses de la tourmentée et la lèche avidement...
Le curé se repaît du flot de plaisir qui dégouline entre les cuisses de la fille. Sa langue épaisse et molle glisse au plus intime des chairs féminines, lape la mouille, mord le clitoris, puis passe à la rosette... s’immisce entre ces humeurs odoriférantes... Le prêtre gémit de plaisir et le son se mélange aux râles de la fille, comme la salive de l’un se mélange à la cyprine de l’autre...
Le prêtre se dresse alors, il soulève sa robe de bure et dévoile à nouveau son sexe aux veines turgescentes. Sans plus de retenue, il s’enfonce d’un seul coup de reins entre les cuisses, glisse dans le trou béant de la fille et commence à la baiser... il s’enfonce en elle puis va et vient... surpris lui même par la facilité qu’il éprouve et par l’abondance des fluides de la femelle...
— "AAAh salope ! chienne diabolique ! Sens tu comme: je te purifie ! Il t’en faut et il t’en faudra encore ! encore plus !" lance-t-il... s’attendant à une supplique de la fille dont il a pu juger l’attachement pour son jeune compagnon... mais il est surpris...— "Oui, ouiiiiii !!!, hurle-t-elle, Oui ... purifiez moi, encore et encore... Oui, par pitié, sauvez mon âme ! enfoncez Votre Sainte Lance au plus profond de mon être, débarrassez-moi du mal" hurle la fille...
Déconcerté, le curé parvient cependant à maintenir l’érection qui l’anime... il se retire brusquement...
— "Ooh non, non mon Père ! par pitié ! Encore ! je veux encore être purifiée ! Pitié !!! Encore !!!"— "le Malin est dons si profondément entré en toi !, rage le prêtre, alors je n’ai d’autre choix que de la combattre là où il se terre... prie, catin de Lucifer, car je vais te faire hurler !"
Et d’un brutal coup de reins, il pénètre à nouveau la femelle par l’anus, bien décidé à ne pas ménager ses efforts pour sauver l’âme de la femelle"......Du côté du corps de garde, il en est "une" qui découvre également ce qui se cachait en "elle"... "Elle" c’est Manon la souillon, livrée par le Marquis d’Evans à ses fidèles guerriers. Toujours vêtue de sa robe et perruquée, manon a balayé, lavé, frotté tous les sols du bâtiment, puis lessivé les murs et épousseté les sièges et tapis... travail long et difficile, surtout avec les nombreuses interruptions lorsqu’un garde ou l’autre, passant à proximité, s’est amusé à la peloter, la lutiner, parfois même à profiter de ses caresses buccales avant de la renvoyer à ses travaux domestiques...
Pourtant, au fil de cette longue, longue journée... manon en est venue à oublier presque celui qu’elle était, quelques heures auparavant, seulement. manon est troublée et profitant d’un bref instant de répit, tente de comprendre ce qu’elle ressent... l’humiliation de la perruque et de la robe n’a pas duré... supplantée d’abord par la peur d’être battue par ces hommes durs et brutaux si elle ne donnait pas satisfaction... mais à la peur a succédé un sentiment totalement inattendu... manon s’est mise à se sentir mieux dans cette robe...
‘’elle’’ s’est prise, aussi, à ressentir autre chose que du dégoût lorsqu’un sexe forçait ses lèvres... elle a même savouré le flot épais du plaisir de l’un de ces hommes qui ne la considèrent que comme une souillon offerte à leurs besoins... et maintenant, troublée, bouleversée, manon se prend à attendre la nuit... le moment où libérée des travaux les plus vils, elle va devenir une chose dont on usera sans ménagement, plus catin de souillon pour ces hommes qui ne verront en elle qu’un trou à bourrer, qu’un cul à remplir !! De telles idées... alors qu’elle est privée de la présence de sa douce compagne, manon ne les comprend pas... "il" n’était donc qu’une illusion ? ce serait "elle" sa vérité ? manon n’y comprend plus rien... la bouche humide, elle regarde furtivement les muscles saillants des gardes qui se reposent... et son regard, déjà, pétille d’un désir jusque là inconnu...
(A suivre …)
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