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Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784)

Chapitre 32

SM / Fétichisme
Année 1784 : L’initiation d’une jeune aristocrate (11) - Le bal masqué de ’’Monsieur’’ - Emma de Fontanges -
La foule se presse dans l’antichambre de la gentilhommière de Madame... Nous sommes un mois après qu’Emma de Fontanges ait vécu sa première expérience de sublime catin avec la roue de l’infortune. La voici de retour pour une deuxième expérience, plus riche encore ! Et l’on se presse devant la porte de la grande pièce, gardée par deux colosses ottomans. Déserteurs de la classe des Janissaires, ils ont été recrutés par la Maîtresse de Maison et Dame maquerelle qui règne sur ce petit royaume du vice et du libertinage. Et chacun sait que les larges sabres qu’ils brandissent ne sont pas qu’ornements ... Aussi, si l’on se presse, on le fait avec une certaine retenue ... Car c’est aujourd’hui une soirée particulière ... Il est en effet une tradition. Quelques fois au cours de l’année, il est Un très haut Personnage qui vient en la maisonnée et donne un dîner puis un bal... Somptueux ! Nul ne sait qui Il est... et nul d’ailleurs ne s’aventurerait à poser la question. Pour le dîner, une vaste table a été dressée... A la place d’honneur, le Seigneur organisateur entouré de quelques hôtes de marque, dont la richesses des atours prouve la fortune, mais dont d’élégants masques vénitiens dissimulent aux curiosités du commun l’identité et les titres.
A Droite du "Roi de la soirée" que l’on désigne par le mot de "Monsieur", une vieille connaissance en La Personne du fameux Marquis d’Evans, et à Sa gauche, Madame, la propriétaire des lieux... de part et d’autres de ces deux invités prestigieux, se tiennent deux autres Hommes, manifestement grands Seigneurs... Tous occupent un côté de la table et font face à la petite foule qui se tient au-delà du "cordon de sécurité" assuré par les deux janissaires. Une petite foule de personnages secondaires, petite noblesse, riches bourgeois, ayant revêtu leurs plus riches tenues et dissimulant également leur identité sous des masques de soie ou de dentelle... Parmi ceux là, triés sur le volet et qui ont déboursé une lourde somme, évoluent quelques donzelles entièrement nues, juchées sur des chaussures à très hauts talons et surmontées de hautes et nobles perruques aux reflets gris... Elles portent de petits plateaux de vermeil et sillonnent l’antichambre afin d’offrir petits fours et mignardises à ceux qui n’ont pas été conviés au dîner de "Monsieur". Fréquemment, des mains encore grasses des portions saisies viennent caresser leurs croupes rebondies, ou s’égarer entre leurs cuisses, les doigts se glissant incontinents dans leurs fentes dociles... Le dîner touche à sa fin... Potages, rôts, entremets, hors d’oeuvre, se sont succédés et les convives semblent rassasiés.
Pourtant, la Maîtresse de maison claque dans ses mains et, tandis que les esclaves nus qui ont assuré le service s’empressent de débarrasser la table, une porte s’ouvre en retrait, laissant passer quatre hommes aux corps musclés et huilés, intégralement nus aussi sans le moindre apprêt mais au sexe épais et pendant, et portant un grand plateau à hauteur d’épaule sur lequel se tient, tout aussi nue que les quatre mâles, une jeune femme au visage masqué de dentelle, allongée, les reins cambrés, les cuisses largement écartées... les quatre colosses déposent délicatement le plateau sur la table, le sexe offert de la femelle directement orienté face à "Monsieur" qui savoure le spectacle ainsi offert. Au-delà de la limité symbolisée par les deux janissaires, le silence a envahi l’espace... Plus un bruit, plus un mot... le rire gras d’un invité et les gloussements d’une catin stoppés net, sous le lourd regard de ceux qui les environnent... Dans la pièce d’honneur, "Monsieur" observe ce dessert qu’on Lui présente :
— "Que voici un plat original !" (dit-il en souriant)— "Nous en devons le plaisir à Votre voisin de droite, Monseigneur", glisse langoureusement Madame, tandis que "Monsieur" avance la main et enfonce lentement un doigt dans la fente de la femelle... Il la fouille un peu, puis retire son doigt qu’il porte à Ses lèvres et suçote lentement...— "Mhhh délicieuse ! Quelle suave douceur... cette cyprine est absolument excellente !" s’exclame Le Grand Seigneur, qui replonge les doigts entre les cuisses frémissantes de la femelle offerte puis les lèche avidement "Oui, vraiment... avez-vous de ces fruits délicieux... comme l’autre soir ?" demande-t-il à la Maîtresse...— "Des bananes Monseigneur, oui, bien sur ! (elle claque des mains) Que l’on apporte des bananes à "Monsieur" ! Et promptement !"
Quelques secondes suffisent pour que trois filles couvertes seulement de fins voiles transparents, portant chacune une couleur différente, apportent de somptueux paniers de fruits, dont un grand nombre de bananes... Sans attendre, "Monsieur" s’empare de l’un des fruits, le plus long et épais qu’il trouve, en retire la peau et plonge d’un seul coup le fruit bien profond entre les cuisses de la femelle esclave, lui imprimant un long va et vient, afin d’imprégner la chair ferme du fruit d’un maximum de sécrétions, puis la retire et la savoure à pleine bouche, enfonçant à nouveau le fruit déjà mordu afin d’en garnir de cyprine le morceau restant, qu’il fait goûter à sa voisine :
— "Que voilà une délicieuse idée (lance Le seigneur) Et puisque je vois que vous ne manquez pas de ces fruits exquis, pourquoi ne pas inviter vos hôtes à partager cette savoureuse association entre le fruit sucré et le petit goût salé qu’exhale la chatte de cette catin ? Allons, ma chère, que la fête commence !"
Et "Monsieur" se lève, donnant ainsi le signe pour les invités plus modestes de la ruée... Tous veulent pouvoir y goûter... Et tandis que les trois jeunes femmes aux voiles de couleur distribuent force bananes, chacun s’empare d’un fruit et s’en va au plus vite le plonger entre les cuisses largement ouvertes de la femelle offerte... On se presse, on se bouscule, et il ne faut pas moins que les quatre colosses qui portaient le plateau pour préserver le minimum nécessaire d’ordre... ainsi donc, une file se forme, chacun tenant une banane afin de venir la plonger dans le sexe moite et dégoulinant de la chienne exposée, avant que de savourer ce mariage parfumé. Il a fallu un long, très long moment pour que les appétits de tous soient satisfaits...
"Monsieur" s’approche alors de la table et l’on s’écarte respectueusement sur son passage tout en faisant courbettes en son honneur, tandis qu’il rejoint la femelle et lui tend la main afin de la faire lever du plateau sur lequel elle a été offerte... Puis il l’entraîne en lui tenant galamment la main vers le grand salon voisin. Là une estrade a été dressée dans le fond et à l’entrée de l’étrange duo, des musiciens aveugles démarrent une passacaille et "Monsieur" entraîne la femelle nue dans son mouvement... tous les invités forment cercle autour du couple qui virevolte... les invités, masqués et vêtus de leurs plus beaux atours des luxueuses toilettes des femmes et beaux et raffinés habits de hommes qui dansent ainsi comme on danse à la Cour du Roi sous les plafonds décorés, aux lustres éclatants et volumineux. Les esclaves de la demeure, femelles et mâles, seulement vêtus de fins voiles colorés et transparents, courts pour les mâles, plus longs mais très hautement fendus pour les femelles restent tous sur les côtés à disposition. Seule esclave à danser, Emma de Fontanges qui donne la main avec ‘’Monsieur’’ ... A l’issue de cette première danse, "Monsieur" salue sa cavalière qui lui fait profonde révérence, Le Seigneur fait alors signe et la musique reprend pour une sarabande dans laquelle se lancent tous les convives tandis que "Monsieur" entraîne "SA" femelle un peu à l’écart, où l’attendent Madame et le Marquis d’Evans :
— "AAh mes amis ! Quelle belle danse ! Et cette catin m’a parfaitement suivi ! Belle éducation Mon cher Marquis !" lance-t-il— "Monsieur est trop bon (remercie Le Marquis) je suis fort honoré que cette femelle soit à Votre goût"— "Je n’en ai pas douté un instant, lorsqu’on m’a dit que Vous Vous étiez chargé de son éducation, je n’ignore rien de Vos talents,
insiste "Monsieur", tout en forçant la soumise à se pencher en équerre, afin de bien dégager sa croupe... "Monsieur" la saisit alors prestement par les hanches et défait d’un geste leste sa culotte, dégageant sa queue déjà extrêmement tendue :
— "Ah la bonne salope ! Comme elle m’a excité ! Je ne puis patienter, il me la faut, je dois la fourrer, maintenant, tout de suite" lance-t-il et, joignant le geste à la parole, il encule brusquement la femelle qui ne laisse échapper qu’un bref petit couinement tandis qu’il commence à la besogner ardemment, tout en poursuivant sa conversation... - "Dîtes moi cher Marquis, est-ce vraiment une Dame de qualité ?"— "Petite mais de fière noblesse, "Monsieur", digne du plus grand respect" répond le Marquis d’Evans heureux qu’Emma de Fontange plaise à ce Grand Seigneur du Royaume de France.
"Monsieur" va et vient dans le fondement de la jeune femme, calquant le rythme de ses coups de boutoir sur celui de la musique sur laquelle des dizaines de nobles couples sillonnent désormais la piste de la vaste salle si richement décorée, tandis que déjà, certains se regroupent aux quatre coins de la pièce et que dépouillés de leurs fins voiles, des esclaves qui attendaient le bon vouloir des Nobles, offrent leurs divers orifices aux plaisirs de Celles et Ceux qui le veulent... A l’écart, toujours les deux Seigneurs poursuivent leur dialogue, Madame s’étant écartée d’un pas tandis que la femelle-dessert s’applique à demeurer dans la bonne position pour que son cul soit agréable à fourrer...
— "Et qui est elle donc ?" s’enquière "Monsieur"— "Je ne le révèle qu’à Vous seul Monseigneur (répond Le Marquis d’Evans) car je sais La Noblesse de Vos Intentions et connaît Votre Grandeur Royale ... Il s’agit d’Emma de Fontanges, la pupille de ma cousine"...— "MMhhh oui ! (savoure "Monsieur") Je connais sa famille, son Père a combattu pour Nous ! Un homme courageux et fier... Et sa fille est une fieffée catin ! Quel bonheur que Vous l’ayez faite Votre mon cher Marquis. ! Mais dites-moi, sait-elle qui la fourre en cet instant ?"— "Bien sur que non, "Monsieur", nul ne saurait se permettre de révéler Votre Identité" rétorque Le Marquis d’Evans…— "Nul, moi excepté ! (s’amuse "Monsieur")" il cesse d’enculer Emma et se retire, puis il la force à s’agenouiller et lui fourre directement son sexe gonflé et dégoulinant entre les lèvres et s’enfonce - "Mmmhh vas-y, suce bien chienne ! Et saches, catin, qu’ainsi tu rends un profond hommage à Ma Royale Famille... Car saches que tu as en bouche la Noble queue de Louis Stanislas Xavier de Bourbon, Frère du Roi de France. Mon si estimé Frère Louis XVI en perdrait la tête, s’il me savait ici d’ailleurs, ha ! ha ! ha ! (il éclate de rire et appuie sur la nuque d’Emma) Allons, point trop d’émotion ! Suce bien et surtout avale toute ma royale semence ! Je daignerai te faire l’honneur de ce présent !"
Madame s’approche...— "Monsieur, souhaitez Vous une danse particulière ? En quoi puis-je Vous être utile, Vous savez que rien ne saurait Vous être refusé..."— "AAAarhhhhh !!! OOh la putain m’a essoré !! Dieu qu’elle suce bien ! Divinement bien, Marquis, mon ami, Je Vous en félicite"— "Il m’est agréable de combler Votre Noble Personne, Monsieur... et cette catin est toute à Vous, s’il Vous en plait ainsi"
"Monsieur" se retire, mais d’une main négligente appuie sur la tête d’Emma afin de la maintenir en position agenouillée...
— "Soyez en remercié, Mon cher Marquis... mais je ne veux point Vous priver d’un tel joyau ... Il m’a plu d’en user, son cul et sa bouche sont de velours et j’en ai délicieusement joui... Mais je Vous la rends, j’aperçois par là bas un petit cul de mâle qui me semble fort ferme... Eh bien Madame, menez-moi donc à cette proie là !"
dit-il en éclatant d’un petit rire aigrelet... Et de s’éloigner en compagnie de Madame en direction du giton qui, déjà dépouillé de toute pièce de tissus, se prosterne devant l’anonyme Invité d’honneur de la soirée... Le Marquis d’Evans se dégrafe à son tour, et enfonce son sexe durci entre les lèvres d’Emma... Elle l’accueille avec dévotion, ses lèvres se serrent à la base de la tige, tandis que sa langue titille le gland avec finesse, faisant monter encore l’excitation de son Maître... Elle avale la queue tendue, sent le gland qui heurte le fond de son palais, et commence à Le sucer... lentement, avec application, avec passion...
— "Mmh oui, ma chienne... tu as contenté Un Personnage de très haute Lignée Royale et je t’en félicite... Maintenant satisfais ton Maître... Et ensuite, je daignerai peut-être te faire danser"...-"Bravo et félicitations" dit une voix amicale venant de derrière, voix accompagnée d’applaudissements admiratifs.
Tout en se faisant sucer, le Marquis d’Evans tourne la tête pour apercevoir et reconnaître, grâce au son de la voix, son vieil ami, masqué, le Marquis de Sade …
(A suivre...)
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