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Les passions de Virginie

Chapitre 1

Hétéro
(L’histoire se passe au XIXe siècle, en France.)
Virginie soupirait. Assise dans la voiture qui la mènerait au palais du Duc, elle songeait à toutes ses soirées et bals ennuyeux auxquels elle avaient assistés depuis son enfance. Sa mère, en voyant la mine boudeuse de sa fille, lui lança un regard chargé de reproches, mais Virginie n’y prêta aucune attention. Elle pensa aussi que, même si elle avait participé à de nombreuses réceptions, c’était la première fois qu’elle se rendait chez le Duc de Bourgogne.
La voiture s’arrêta devant l’impressionnant bâtiment et Virginie pénétra dans l’entrée luxueuse où un magnifique escalier donnait sur les étages au-dessus. Elle accéda dans le grand salon où une foule de monde était déjà présente. Toutefois, une seule personne retint son attention : le fils du Duc, Marc. Son regard se perdit alors dans ses brillants yeux bleus. Elle vit que lui aussi la fixait et ils restèrent ainsi tous les deux pendant un moment qui lui parut une éternité.
Virginie contempla ensuite son visage à la peau lisse et claire, non nez droit et ses boucles blondes qui surmontaient le tout. Quant au reste du corps, il émanait de ce dernier une force virile impressionnante et ses muscles enfermés par ces vêtements somptueux semblaient fermes et puissants. Virginie se sentit troublée à la vue de ce jeune homme qui suscitait un certain désir en elle. Soudain, elle remarqua qu’il s’approchait d’elle et sortit de ses rêveries.
Il lui demanda alors son nom et elle le sien et tous deux sortirent de la salle bruyante. Ils vagabondaient dans les couloirs quand Marc déposa un baiser brûlant sur ses lèvres. Elle sentit la chaleur se répandre dans son corps ; elle eut ensuite des pensées érotiques envers cet homme et souhaitait de tout son cœur qu’elles devinssent réelles.
Animés par un désir indicible, Marc l’emmena dans sa chambre et l’étendit sur les draps de soie couvrant le lit majestueux. Il l’embrassa de nouveau et commença à retirer ses vêtements jusqu’à ce qu’elle fût complètement nue. En temps normal, jamais Virginie n’aurait accepté une telle chose et se demanda ce que sa mère penserait si elle voyait sa fille vierge se donner un homme auquel elle n’était pas mariée. Ces pensées intensifièrent son plaisir et elle s’abandonna sous les caresses de cet homme viril.
Marc effleura tout d’abord sa poitrine de taille modeste dont les tétons se dressaient, puis il les lécha, les baisa, les mordilla. Il poursuivit ses caresses jusqu’à son entrejambe humide et imberbe et il frôla sa vulve de sa langue enflammée : une onde de plaisir parcourut le corps de la vierge qui n’avait jamais ressenti une pareille sensation. Il recommença plusieurs fois tout en stimulant son clitoris bouillant. Ensuite, il pénétra sa langue dans son antre ardente et humide, puis il y fit coulisser ses doigts ce qui déclencha chez Virginie un orgasme dévastateur, le premier qu’un homme lui avait jamais donné.
Marc l’embrassa de nouveau, ravit de l’avoir fait jouir. Il retira ensuite ses propres vêtements et découvrit ses muscles impressionnants tels que Virginie les avait imaginés. Cette dernière vit alors, au niveau de son bassin, son phallus tendu, gorgé de sang, chaud et ferme qui lui semblait d’une taille imposante. Ses instincts lui disaient d’aller caresser ce membre ardent et à peine l’avait-elle effleuré que Marc soupira. Elle parcourut de sa main la hampe ce qui suscitait le plaisir de cet étalon qui soufflait comme un taureau en rut. Il lui demanda de la prendre en bouche et Virginie commença donc à aspirer ce membre goulûment dans sa gorge — elle ne pouvait pas l’avaler entièrement du fait de sa longueur considérable — et Marc poussa un long râle. Quelques minutes plus tard, le phallus gonfla et déchargea son foutre abondant dans sa bouche accompagné d’un souffle de jouissance. Virginie fut tout d’abord surprise lorsqu’elle sentit ce liquide sucré et chaud se répandre au fond de sa gorge, mais elle l’avala volontiers.
Après d’autres baisers brûlants, Marc la jeta sauvagement sur le lit et dirigea son membre viril en direction de son vagin dégoulinant. Il pénétra ces chairs ardentes une fois qu’il réussit à outrepasser la résistance exercée par l’hymen et Virginie poussa un cri strident. La verge épaisse et puissante continua de la transpercer de toute sa longueur et frappait le fond de son antre ce qui provoqua un autre orgasme à la pucelle devenue femme. Quelques minutes de pénétrations fougueuses et jouissives plus tard, Marc déversa de nombreux, longs et puissants jets de spermes dans son con tandis que tous deux hurlaient de plaisir.
Marc mit Virginie à quatre pattes et, avec son membre toujours vigoureux, pénétra son vagin puissamment ce qui lui arracha un autre cri. Elle avait enfin assouvi ses désirs : se faire pénétrer par la grosse verge de Marc et jouir grâce à ce dernier. Je lui appartient à présent, songea-t-elle, tandis qu’il l’enfonçait de plus belle et provoquait sa jouissance de nouveau.
Soudain, la porte s’ouvrit à la volée et une jeune femme de chambre apparut à la porte, le regard épouvanté en voyant le fils du Duc, nu, la verge à l’intérieur d’une femme à quatre pattes, elle aussi nue, qui lui était inconnue.
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