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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les 7 pêchers

Chapitre 1

Divers
Je me présente, Ystid jeune homme de 20 ans poursuivant tranquillement ces études à la fac de Marseille. Je suis assez grand (1m84), sportif (76 kg), brun aux yeux marron clairs. Voici donc quelques-unes de mes ’ aventures ’ en espérant qu’elles vous plairons autant que celles que vous avez écrit m’ont plus (un grand bravo à Ulysse en passant !).
Chapitre 1 : La Paresse.
Dur le réveil, encore une gueule de bois, la tête qui tourne : J’aime les soirées mais décidément je devrais pas me lever le lendemain car j’ai toujours la tête prête à exploser. Je me réveille doucement regardant autour de moi. C’est bon, je suis toujours chez fred (l’organisateur de la soirée), affalé sur un sofa dans son salon. C’est toujours lui qui organise les soirées car il vit dans une grande villa proche de Marseille et que ces parents sont toujours par mont et par vaut à cause de leur boulot. Je fini donc par me lever encore ensuccé, manquant de peu de marcher sur un autre copain qui dort encore par terre. Je regarde ma montre, 12 h 30, décidément il était temps de se mettre debout, c’est que je commence à avoir faim moi. Tranquillement je sort dans le jardin où une dizaine de personnes discutent et s’amusent près d’un buffet assez bien garni. Je salut deux trois personnes, me dirigeant d’un pas alerte vers ce dernier. Soudain Fred me saisi par le bras, encore mal réveillé je comprend pas tout mais à force de me concentrer je devine ce qu’il essaye de me dire, hier soir je suis sorti avec une fille. Aie, faut jamais faire ça lorsqu’on est bourré, c’est toujours une mauvaise surprise... Et comment se nomme-t-elle ? Julie, connais pas. Pas le temps d’en demander plus, Fred me dis qu’elle arrive. Voua, heu.. hurm gardons notre calme, c’est elle Julie ? Ben dis donc, tout compte fait je devrais me prendre des cuites plus souvent. Ou je suis encore dans le pâté ou cette fille est vraiment très mignonne. Brune, cheveux longs, taille fine, pas très grande, beaux yeux gris au visage frai et un air à la fois timide et sur d’elle. Peut être pas assez de poitrine à mon goût mais bon, on ne peut pas tout avoir non plus. Elle s’approche de moi et en guise de salut, elle m’embrasse passionnément, glissant sa langue entre mes lèvres pour l’enrouler autour de la mienne. Humm, la je retrouve tout mes esprits ! C’est donc joyeux et en bonne compagnie que j’atteins le buffet. L’après-midi se passe, très agréable, au soleil avec ma nouvelle copine. Bougre, ça me manquer comme compagnie, depuis près d’un mois que j’étais célibataire, je retrouve avec plaisir la compagnie du beau sexe. Et elle plus d’être jolie elle est intéressante et marrante, le rêve ! On parle de tout de rien, d’elle, de moi, de nous, des autres... on prélasse, on lézarde sous le soleil de printemps. Parfois je l’embrasse dans le coup, je la chatouille, lui carrasse sa cuisse ferme. On rigole bien quoi ! En fin d’après-midi, le soleil se faisant moins oppressant, Fred propose une petite promenade près de la mer. Houlà, une promenade ? que d’effort ! On n’est pas bien là tranquille à demi allongé, sans rien à faire ? Non ? tout le monde y va ? Ben temps pis, moi je suis crevé, je vais me taper un petit roupillon à l’ombre de pin, tranquille sur un transat. Allez bye tout le monde, à tout à l’heure ! A peine installé je ferme les yeux et tombe paresseusement dans les bras de Morphée bon un repos pas mérité mais très agréable quand même... Hum ? On me parle ? Dix secondes, ouverture de l’oeil droit, de l’oeil gauche, voilà voilà, je sort de mon sommeil. Tiens c’est ma Julie, il est qu’elle l’heure ? vous êtes déjà rentré ? Ah non, juste toi, finalement tu n’avais pas envie de marcher. Oh, un p’tit 51 frai, volontiers... hum c’est agréable ! C’est que même à l’ombre il fait chaud, ça donne soif ! Bien reposé ? ah oui, ça fait du bien.. étrange ce petit éclat malicieux dans son regard... Que je ferme les yeux ? pourquoi pas. Elle m’embrasse langoureusement, je sens ces mains descendre sur mon torse, lentement mais inexorablement, de plus en plus bas, je me laisse faire, devenu totalement passif. Les mains de Julie atteignent mon short qu’elle fais glisser doucement le long de mes jambes dévoilant mon sexe qui a un début d’érection. Elle abandonne mes lèvres pour descendre à la suite de ces mains, courant mon corps de baisés. Ces mains me branle tout doucement donnant peu à peu toute se vigueur à mon sexe. Finalement, lorsque se bouche pose son premier baisé sur celui-ci, mon corps tout entier est en alerte, électrisé. J’ouvre les yeux pour la voir enfourner ma bite dans ma bouche, qu’elle douce sensation. elle descend et remonte, tranquillement frottant ainsi ces lèvres humides sur mon membre tétanisé. Je sursaute lorsque sa langue entre en contact avec mon gland qu’elle commence à lécher avec plaisir et savoir-faire. N’ayant plus la force de me retenir, je jouis avec force, lui remplissant la bouche de mon sperme. Elle l’avale goulûment et nettoie mon sexe avec sa langue pour ne pas en perdre une goutte, me fixant de ces magnifiques yeux gris. Quel bonheur. Et d’après son sourire ça ne fait que commencer ! Debout à coté du transat, elle déboutonne lentement son chemisier, dévoilant peu à peu sa poitrine qui soudain me parait pas si petit que ça. Elle dégrafe ensuite son soutiens-gorge me permettant d’admirer sa poitrine élancée. Puis c’est au tour de son jeans de glisser sur le sol le long de ces fines jambes musclées. Mon sang ne fait qu’un tour et rapidement mon sexe retrouve une taille honorable. Elle me tourne alors le dos, baissant sa culotte et se penchant en avant avec un rire coquin pour l’enlever. Ses fesses fermes près de mon visage me donnent un aperçu du paradis ! Cependant, je ne bouge pas, après tout faut que je me repose moi, c’est le moment de la sieste et je suis trop paresseux pour faire le moindre mouvement. De toute manière, vu son sexe gonflé de désir et ses tétons durcis je n’aurais pas à attendre longtemps pour qu’elle prenne les choses en mains. Me comprend d’un regard, elle lance un ’ Comme tu voudras ’ malicieux, et s’allonge doucement sur moi, m’embrassant toujours avec la même passion. Finalement, elle passe à califourchon, son pupile contre mon corps, près du nombril, ma queue se reposant sur ces fesses moites à cause de la chaleur. Elle me fait fasse, ces cheveux bruns ondulés cachant légèrement sa belle poitrine. J’admire avec envie sa toison brune assez fournie. Elle m’embrasse, se relève, m’embrasse de nouveau, frotte son petit cul contre mon sexe impatient, faisant monter en moi et en elle le désir. Elle se décide enfin s’écarte de mon corps transpirant, recule au-dessus de mon membre dressé. De ces deux mains délicates, Julie écarte les lèvres de son sexe humide de plaisir et laisse enfin nos deux corps s’unir en redescendant doucement dans un long râle de plaisir provoqué par l’intrusion tant attendue de ma bite dans son ventre. Ce premier bonheur passé, elle commence des vas et viens plaisant, montant et descendant au rythme de ces envies. Que c’est bon ! La sensation des ces lèvres inférieures glissant sur mon membre mêlé à la vue des cette petite poupée les yeux mi-clos, haletante, poussant parfois des petits cris de plaisir, ces seins en mouvement, ces hanches fines que je tiens fermement entre mes mains... Elle accélère, ralenti, réaccélère, elle cherche l’orgasme, ses mains serrent les miennes de plus en plus fortement. Moi non-plus je ne tiendrais plus longtemps, je finis par lâcher mon sperme dans son ventre chaud provoquant sa jouissance, un grand cri de plaisir et de surprise, de bonheur. Son corps crispé reste un moment immobile, profitant le plus longtemps de ce moment d’extase. Je la câline gentiment, allongée à mes cotés elle reprend son souffle. On reste là, tous les deux cotes à cotes pendant un moment, se regardant comme ci on se découvrait pour la première fois. Hélas il se fait tard, les autres ne vont pas tarder. Rapidement, nous allons prendre une douche fraîche pour reprendre nos esprits. Julie me quitte ensuite pour aller faire deux trois courses. Je me retrouve donc tout seul de nouveau, regagnant mon transat épuisé. Je me rendors heureux. ’ Debout paresseux ’ me lance Fred pour me réveiller ! Il est tard tout le monde est rentré ! Ah moi paresseux ? s’il savait ! Julie viens m’enlacer amoureusement. Quelle fille formidable !
A la prochaine fois,
Ystid
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