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Les pieds de Clara

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Les pieds de Clara IIJe viens d’être affecté pour 2 mois comme stagiaire auprès de la belle "Chef Clara" aux jolis pieds. Elle a vite compris mon fétiche et , passé la première surprise, elle a décidé de s’en amuser.
Je travaillai donc toute la matinée et sautai même le repas de midi pour pouvoir terminer la tâche. Lorsque ma chef, la délicieuse Clara, revint vers 14H30, elle passa en trombe devant le bureau en criant:— Tu veux un café Germain?— Oui s’il vous plait!Quelques minutes plus tard elle revenait avec deux gobelets et m’en tendit un.— Merci, fis-je avec un grand sourire. (Il n’y avait visiblement pas de sucre pour moi, mais j’avais eu ma dose de douceurs...)— Tu en es où de la saisie?— J’ai tout fini! annonçai-je fièrement. Je suis juste en train de vérifier qu’il n’y a pas d’erreurs...Clara fronça un peu les sourcils et ajouta:— Oh! Déjà? ... très bien, voyons ça, ok?Elle s’installa sur son propre PC et ouvrit le logiciel pour contrôler mon travail. J’en profitai pour glisser un regard sur ses jambes et ses pieds... Je sirotais mon café lorsqu’elle se tourna vivement vers moi:— Germain?— ...Oui?— Tu as fait un excellent travail, je suis contente de toi!— Merci! (Grand sourire)— Si tu fais aussi bien jusqu’à la fin de la semaine, tu auras droit à une petite récompense, dit-elle enfin avec une expression coquine dans le regard. Je fus parcouru d’un frisson et répondis:— Merci, je vais faire tout mon possible, Madame.— Tu peux m’appeler Clara, mon petit Germain...— Merci Clara, vous êtes... une chef fantastique!— Tss...tss... trêve de flatterie, je vais te monter les possibilités du logiciel de comptabilité. Tu pourras ainsi m’aider pour d’autres tâches. Ne te réjouis pas trop vite!Nous travaillâmes d’arrache-pied (évidemment) tout l’après-midi, je découvris que la charmante et menue Clara était en réalité un véritable bourreau de travail... Vers 18H elle me donna congé.
La jour suivant, un mardi je constatai avec déplaisir qu’elle avait mis des baskets, mais ne laissai rien paraître de ma déception. Clara était souriante et nous abattîmes un travail important, jusque vers 19H. Les locaux étaient pratiquement déserts maintenant.
Clara ordonna:— Arrête les ordinateurs, nous avons à parler un moment, s’il te plait.— Oui... pas de problème.Une fois les PC éteints, je m’assis en face d’elle au bureau principal.— Bien.. Germain... je suis très satisfaite de ton investissement dans ton stage, et pour te le prouver, (sourire) je me suis un peu renseignées sur ton fantasme hier soir sur internet!— Ah heu... je vous remercie... fis-je en rosissant un peu.— J’ai pu apprendre pas mal de choses, même, ajouta-t-elle avec un sourire carrément narquois. Et ce que j’ai lu me plait bien, d’ailleurs!-...— Oui je comprends maintenant parfaitement que tu es prêt à beaucoup de choses pour pouvoir assouvir ton penchant... lubrique... penchant que beaucoup de femmes ne comprennent pas, n’est-ce pas?J’acquiesçai silencieusement. Ma verge commençait à durcir par saccades comprimée dans mon pantalon.— Évidemment tu es prêt à faire de très gros efforts pour pouvoir accéder aux pieds d’une femme. On est bien d’accord?-... (ma rougeur valait pour assentiment tacite).— Quitte d’ailleurs à passer pour un minable ou un loser. Car les situations humiliants te stimulent, j’en suis certaine. Je me trompe?— N..non, soufflai-je d’une voix étouffée. Mon bas-ventre me brûlait de plus en plus.— Je n’ai pas très bien entendu, tu peux me répondre???— V..vous avez raison , les situations... embarrassantes me stimulent... Fis-je en articulant bien fort, alors que mes joues et mes oreilles flambaient intensément. Je bandais comme un âne.— Va fermer la porte et viens à genoux près de moi, Germain.— Oui... je filai à la porte, la fermai puis revins sur les genoux en direction du bureau. mon sexe comprimé était douloureux.— Ohhh... je vois que tu es déjà bien excité, mon petit Germain. Ca te plait tant que ça d’être à genoux devant moi?Mon visage était pourpre, je baissai les yeux pour éviter les siens.— Enlève-moi mes baskets, je les ai portées pour toi toute la journée, alors que ce n’est pas mon style.— Oh.. m..merci.. Clara...Je dénouai fébrilement ses lacets pour lui retirer ses chaussures. Elles étaient déjà bien usagées et une forte odeur de pied vint chatouiller mes narines sensibles. Sans attendre d’y être invité je me courbai en avant pour embrasser le dessus de ses chaussettes, puis humer ses orteils odorants à travers le coton humide. Soudain elle retira ses pieds en arrière:— Stooop! Regarde moi! Oui... bien. A quoi tu penses? Hein? Dis-moi?— Je pense que je vous remercie... fis-je, frustré par ce retrait.— Mmm... et tu ne penses à rien d’autre?" ironisa-t-elle alors que son pied droit vint s’appuyer à l’endroit de mon pénis et le comprima fortement à travers mon pantalon. "Tu n’as vraiment envie de rien? Germain?"— Si... m’étranglais-je...(ma gorge se serrait alors qu’une envie irrépressible émanait du membre qu’elle caressait lentement...)— Je t’écoute alors! Je veux que tu t’ouvres à moi sans pudeur...— S’il ... vous plait... m’autoriseriez-vous à... les mots se bloquaient, mon cerveau se grippait.— A quoi donc Germain? susurra-t-elle en allongeant son autre pied pour couvrir mon nez de ses orteils gainés de tissu...— Mhhfff... aaahh.. jjee... (je respirai une odeur enivrante à travers sa chaussette)— Je t’écoute! Germain? Allo?— ...à...j.. jou... à jouir.. s’il vous plait... implorai-je, lui lançant un regard suppliant.— Eh bien? Tu vois? C’est pas si difficile de me dire qui te fait envie! Allez! Répète-le avec plus de conviction!!!— S’IL VOUS PLAIT, Clara pouvez-vous me laisser... jouir!!! me lâchai-je soudain en une seule tirade.— Tsss... C’était pas mal... Oui, oui, pas mal du tout même! Mais c’est trop tard, Germain! ... Désolée, mais l’envie vient de me passer! Alors la prochaine fois il faudra t’exprimer vite et bien!... j’aime les garçons spontanés et ouverts, tu as compris? finit-elle en retirant ses pieds divins. Nous verrons cela demain, là il est fait tard, ok?Je restais pantelant de désir, et ma mine déconfite la mit en joie.— Fais pas cette tête Germain, il n’y a pas mort d’homme, d’accord?— Oui... finis-je par répondre, je vous prie de m’excuser!
Elle se leva et remit ses chaussures pour me congédier. Frustré et humilié, je me relevai et la remerciai malgré tout. Je venais de vivre une expérience nouvelle et passionnante, j’étais furieux après moi-même de ne pas avoir su m’ouvrir à elle comme elle m’en donnait la possibilité. Je la saluai aimablement et filai de l’entreprise.
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