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Les plaisirs nouveaux d'un couple mature

Chapitre 2

Sa première fois

Histoire médaillée
Divers
Je m’appelle Nicole (pseudo) et c’est avec une certaine appréhension et toute à la curiosité de Siméon que je me livre à votre lecture. Mon côté exhibitionniste (révélé…) explique sûrement l’idée que j’approuve de partager avec vous ce qu’est désormais notre vie de couple.A l’aube de la cinquantaine c’est vrai, jamais je n’aurais cru possible que nous en arrivions là. Mère de famille mariée et heureuse, l’hypothèse de vivre une sexualité aussi peu orthodoxe ne me semblait possible qu’au travers les fantasmes que nous partagions avec Siméon .Sans les aléas de la vie jamais probablement, cela ne serait arrivé.
J’étais vierge lorsque j’ai rencontré Siméon et jamais alors, je ne me serais sentie capable de coucher avec un homme sans éprouver de sentiment. Je me trompais et c’est ainsi que tout a commencé.
Après plusieurs années de relâche, en raison du problème de santé de mon mari, j’ai repris une activité professionnelle chez un courtier en assurances mais après une longue période d’inactivité, il m’a fallu remettre le pied à l’étrier. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de mon manager. Celui qui devait m’y aider, mais celui aussi qui allait être, l’objet de mes turpitudes. Dès que je l’ai vu, j’ai tout de suite senti qu’avec son aisance et son physique c’était un homme à femme mais avec ses vingt-sept ans à peine, je me croyais à l’abri …David était là pour me mettre en relation avec une clientèle déjà fidèle que je devrais démarcher régulièrement. Mission bien plus difficile qu’il n’y paraît (sauf si à l’heure où l’on en parle on ne s’offusque pas du harcèlement sexuel) et bien vite, je me suis sentie dépassée par l’ampleur de la tâche.Lui, bien rodé et intégré dans le circuit faisait preuve d’un professionnalisme qui, au fil des jours, étalait de plus belle mon inexpérience. Le monde du travail avait considérablement changé et je m’en rendais compte.Il en fut ainsi pendant plus de trois semaines, où chaque soir lorsque je rentrais, je me sentais au bord de la crise de nerfs, pleurant parfois sur mon statut qui me paraissait de plus en plus précaire.C’est vrai que financièrement, c’était assez motivant et le fait d’apporter moi aussi, ma contribution à l’amélioration de notre vie familiale, affirmait un peu plus mon autonomie.
Puis un jour, à l’occasion du déjeuner que nous partagions, j’ai fait part à David de mon sentiment. J’étais au bord de la rupture. J’étais à des années-lumière de ce que j’avais professionnellement connu, etc.Gentiment sa main se posa quelques instants sur la mienne et un frisson traversa mon corps. Simple geste amical ou première approche ? Je ne savais que penser. Sans que je m’en rende compte, cela il me l’avoua plus tard, il le remarqua. Nous nous tutoyions déjà, aussi je pris parti de le considérer comme un simple geste d’encouragement et nous avons continué à converser, mais autant que je m’en souvienne, j’étais déjà troublée.
Nous étions en retard lorsque nous avons regagné notre voiture de société et c’est sans méfiance aucune que je lui ai tendu les clefs qu’il me demandait. J’étais plongée dans mes pensées, lorsqu’arrêté à un « Stop », il s’est soudainement penché sur moi et ses lèvres se sont posées sur les miennes.Je me sentais mal à ce moment-là, mais c’est vrai, j’ai mal réagi. Peut-être est-ce inconsciemment ce que je souhaitais. Je n’ai pas eu la force, le courage ou l’envie e le repousser. Notre étreinte a duré quelques secondes et sans un mot, il a redémarré.
Je ne savais plus où me mettre, j’étais comme dans un brouillard.
Il conduisait en silence puis de nouveau sa main s’est posée sur ma cuisse. Je me souviens avoir pensé à mon mari, à mes enfants… de son sourire ravageur, lorsqu’il a quitté la route principale pour s’engager dans un chemin creux. Sa main était là bien présente sur ma cuisse, curieuse. Je n’ai rien dit.
Là, nous nous sommes embrassés. Sa bouche, de passionnée, s’est faite vorace. Mon cœur battait « la chamade ». Ses lèvres posées sur mon cou m’affolaient tout autant que l’effluve de son parfum que je respirais. Progressivement mon corps y répondait et il le découvrait.
Glissant sa main dans l’échancrure de mon chemisier, il a découvert ma poitrine, caressant le galbe de mes seins, s’amusant de la réaction de mes mamelons.
Lorsqu’il a glissé sa main entre mes genoux, j’ai eu une pensée pour ma tenue. Pour m’en désoler… Sous ma jupe, élément de base d’une bonne représentante, paraît-il, rien de sexy. Non, juste un collant et une simple gaine-culotte !
Sa main remontait, caressait. Et je sentais son contact maintenant entre mes cuisses. Mon ventre se liquéfiait sous la pression de ses doigts et je n’y pouvais rien. Lorsque subitement il a souhaité sortir de la voiture, j’ai suivi.Sur un imper jeté au sol, nous nous sommes allongés. La voiture nous dissimulait des vues et en cette fin d’automne, même s’il faisait encore agréablement bon, les promeneurs devaient être rares…
Il caressait mes fesses, frôlait mon ventre. Sa bouche embrassait mes seins, m’embrassait. Je ne l’avais encore jamais fait avec un autre homme, mais lorsque David s’est attaqué à mon collant, j’ai laissé faire.J’ai bien eu cette pensée que j’allais commettre l’irréparable. Que ce ne serait plus comme avant… Que j’étais en train de tromper mon mari… Mais dans le même temps, je plaisais encore, même à de très jeunes hommes. La preuve, je sentais son sexe contre ma cuisse. J’ai soulevé les fesses pour l’aider à me délivrer de mes dessous.
— Tu aimes ?
Que répondre ? J’ai un sexe assez fourni et j’imaginais dans quel état je devais être. J’ai senti ses doigts écarter mes lèvres intimes, sa langue s’y glisser, me pénétrer.
Eh oui ! J’aimais ce qui était en train de se passer ! Les rondeurs de ma taille et les quelques traces de cellulite contre lesquelles je luttais désespérément n’entamaient en rien le désir de David. Mes doigts agrippaient à ses cheveux, je me suis livrée à sa bouche, à ses doigts.
C’est lorsqu’il s’est relevé que j’ai aperçu son sexe. J’ai pensé à mon mari…A nos rapports… Nous vivions des moments difficiles…A sa dernière proposition. … Même si nous en avions souvent parlé, je n’avais jamais fait l’amour avec un autre homme.
Curiosité ou recherche d’une contenance à me donner … M’inquiétant du préservatif qu’il devait avoir, je saisis son sexe et le caressai. Je remarquai la douceur de ses bourses, les poils courts de son pubis Il était chaud. Dur . Des années que je n’avais caressé un petit ami. J’enfilai moi-même le préservatif et l’accompagnai vers l’avant de la voiture où déjà il m’entraînait. J’ai compris que c’était maintenant et j’en avais envie !La tôle était chaude et je l’étais tout autant… J’écartai les cuisses et les pieds calés sur le pare-chocs, je l’attirai vers moi. Positionné à l’entrée de mon ventre il resta ainsi quelques instants puis d’une pression lente et progressive il força mes chairs pour m’envahir, doucement, profondément. Je m’accrochai à lui, tout contre lui. Cela faisait des semaines que je n’avais pas ressenti cette sensation. Un homme en moi. Pendant quelques instants, il est resté au fond de moi, sans bouger .J’avais l’impression de sentir battre son cœur au plus profond de moi et doucement il a commencé à me faire l’amour. Lentement au début puis de plus en plus fort.
Accroché à mes hanches, mon ventre l’accueillait, le réclamait. Il soufflait, me parlait, mais je n’entendais rien. J’obéissais. Je relevais les jambes. J’écartais, Il était doux et violent à la fois et j’aimais cela. Cet homme, connu depuis si peu, faisait monter en moi un plaisir ravageur.Si je n’étais pas nue, je n’en étais guère moins exposée et c’est bien plus tard que j’ai réalisé qu’on aurait pu nous surprendre, Même avec mon mari je n’avais été aussi désinhibée. Seul un éclair de lucidité m’empêchait de jouir pleinement du plaisir et j’étais moi-même sous ses assauts violents, au bord de l’orgasme lorsque David explosa en moi. Jamais je n’avais ressenti un plaisir aussi violent en si peu de temps..J’eus un moment de flottement avant qu’il ne me tire de ma gêne. J’avais cédé … J’essayai de retrouver une contenance tandis qu’il me tendait un mouchoir. Je n’osais pas le regarder ni même son sexe qu’il débarrassait du préservatif.C’était bon…. Oui, merci… Combien cela avait été bon ? Nettoyant ma toison des traces humides de mon plaisir, je n’avais pas à lui dire…… Merci, Oui, pour la femme qu’il avait fait revivre….Nous sommes remontés dans la voiture comme si de rien, pour un long moment sans parler puis, je me justifiai….Mais je n’étais pas la seule à avoir des faiblesse !. Des femmes il en connaissait, il était célibataire. Des femmes mariées, et pas seulement de son âge. Il aimait les femmes matures…Il aimait les rendre heureuses…. J’essayai de me rassurer….Ce soir-là, c’est vrai je n’ai rien dit !
La suite ? Le week-end passé ne m’a pas porté conseil…La semaine suivante, j’acceptais de le suivre à l’hôtel. Une première fois suivie d’autres. Et à chaque fois, j’en ressortais chamboulée.Depuis des mois, nous ne faisions plus l’amour normalement avec mon mari. Même si j’avais des orgasmes, je mesurai là combien je demeurais alors insatisfaite. Le temps de nos escapades, mon jeune formateur se montrait un amant particulièrement doué et je trouvai plaisir à faire l’amour avec lui. Ce n’est que lorsque le courage m’est venu que j’ai osé tout avouer. Nous avons parlé avec Siméon. De notre situation actuelle… De nos sentiments… Sans rien nous cacher.De mon ressenti. Du sien… De la crise de la quarantaine qu’il avait lui aussi connue et d’une brève aventure qu’il avait alors eue….De l’excitation qu’il éprouvait. Du désir qu’il avait de m’offrir à un autre.Il n’en fallait pas plus et c’est une toute autre femme qui, le lundi suivant partait au travail…
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