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Les plaisirs nouveaux d'un couple mature

Chapitre 3

Episode2

Divers
Nicole vous ayant dévoilé sa première expérience, il m’appartient de vous rapporter ce qui s’en est suivi.C’est avec une certaine appréhension que je passai le Lundi suivant à l’attendre. Nous avions passé un weekend end agréable et même si nous n’y avions pas fait allusion, lorsque je la regardai partir ce matin-là chacun de nous savait maintenant que tout était possible.Mon attente fût longue et décevante lorsque le soir de retour elle me confia qu’il ne s’était rien passé. Comme souvent le Lundi était une journée de bilan et de stratégies de vente.   Je rongeai mon frein et m’abstins de toute approche sensuelle. Je calculai que depuis jeudi dernier il ne l’avait pas touchée et donc que peut être demain…C’est ce qu’avait dû penser Nicole car effectivement le lendemain alors qu’elle montait dans la voiture, l’exercice dévoilait la lisière d’un bas. Ainsi s’y préparait-elle, elle aussi.
Le midi, elle ne rentrait pas et partagé entre mon imagination et la lecture de témoignages d’autres hommes comme moi (nombreux semble-t-il), je piaffai d’impatience de la revoir .20.00 sonne quand elle  rentre. Tout sourire. Tu rentres bien  tard !Oui, je sais. Attends me dit-elle devant mon empressement je vais prendre une douche, courant vers les escaliers menant à la chambre avant que je ne l’attrape.La coquine n ‘a plus de culotte !Ce n’est pas la première fois.  C’est un de nos petits  jeux habituels  auquel elle répond sans peine mais là ?...
 Il t’a baisée Coquine ? C’est plus une affirmation qu’autre chose, plongeant  ma main entre ses cuisses mes doigts rencontrent ses lèvres humides.Allez, raconte !Oui, Oui, Attends, viens à la douche !La jalousie n’est  pas de mise. Je la regarde quitter ses bas. Des Dim Up bien pratiques. Simples à enfiler et sexy ; Elle dégrafe  son corsage, quitte son soutien -gorge J’admire…Elle a une poitrine superbe. Lourde, ronde. Ses mamelons aux aréoles brunes sont dressés. Joue-t-il avec comme je le fais ? Comme elle aime ?J’aime ses hanches et leurs petites rondeurs contre lesquelles elle lutte obstinément. C’est décidemment un quinqua bien conservée. Et puis son ventre, tapissé d’une broussaille brune et épaisse qui après avoir abritait les fruits de notre amour se révélait être source de plaisir intarissable. Mieux, avec l’apparition de la ménopause  qu’elle a vécue comme une délivrance jamais auparavant, elle n’avait été aussi demandeuse. Et elle le prouve.
Elle ne résiste pas lorsque je la pousse vers le lit. La douche peut attendre, moi pas. Et puis c’était alors mon seul plaisir. La dysérection n’empêche pas d’avoir des désirs.Je la couche, l’embrasse, mordille un téton, caresse son ventre (elle adore). Mes doigts fouillent son buisson et trouvent l’entrée de sa grotte d’amour. Elle écarte les cuisses.  Oh que  Oui, elle est mouillée ! Il s’est bien occupé de toi ? Oui……Elle relève ses genoux. Se cambre. S’offre à mes doigts. Elle gémit quand je la pénètre. Quand ?  Tout à  l’heure … A l’hôtel ? Au bureau… Mon pouce sur le clito, deux doigts la fouillant, je la baise. J’imagine la queue de l’autre…
Au bureau ! Et tu n’as pas eu peur ? Plus personne…..
 Il se protège ? Oui..Quel plaisir  j’aurais à retrouver sur ma langue les traces de son amant ? Je l’ignore. Je glisse entre ses jambes, ma bouche trouve son sexe à la recherche de son puit  d’amour.Sous ma langue, c’est bien le goût du lubrifiant que je reconnais.J’écarte ses lèvres, trouve son clitoris. Il est gros. Ma langue l’agace  Mes doigts baignent dans son jus, Je me hasarde entre ses fesses, elle se laisse faire. Je sais ce qu’elle aime. Deux doigts devant, un doigt derrière.
Je fantasme à ce sujet. Elle le sait .Lui faire l’amour pendant qu’un autre la baiserait. C’est cru de parler ainsi, mais cela fait partie de nos petits jeux !Certains penseront que Nicole cache bien son jeu et que c’est une femme facile ! Sur ce premier point, sûrement. Elle ne laisse rien transparaître de ce qu’elle est au lit. Une femme très sage pour qui la croise.  Pour le reste, non. Nous avons des fantasmes communs. Dès le début de notre union, à l’occasion de nos premières vacances passées ensemble j’ai aimé qu’elle se fasse reluquer sur la plage et plus tard, lorsque faisant l’amour j’ai évoqué cette scène, j’ai compris que cela l’excitait aussi. C’est dès lors devenu un  jeu complice que ce soit  sur la plage où sans trop de difficulté je suis parvenu à l’attirer dans des lieux naturistes  ou même lorsqu’au bal du camping un danseur la serrait d’un peu trop près. Ces épisodes  ont toujours accompagné notre sexualité et j’ai toujours fait en sorte qu’elle en jouisse. Ce qui a changé entretemps c’est que si à l’époque ses amants virtuels avaient plutôt les tempes grisonnantes aujourd’hui il n’avait pas 30 ans..Mais aujourd’hui aussi,   les circonstances faisaient qu’elle n’avait pas seulement besoin de tendresse.Et lorsque je lui demande : Tu  as joui ? Oui
Et c’est ce qui lui manquait à Nicole. Je n’assurais plus. Plus assez !  Pas assez longtemps.Pendant des années, elle s’était crue clitoridienne jusqu’au jour où elle a découvert le plaisir autrement et  son amant remplaçait honorablement les artifices que nous utilisions habituellement. Je sens sa main qui cherche ma queue. Oui, je bande ! Elle me branle.Montre-moi comment tu l’as sucé ! Je sais qu’elle n’y résiste pas.Je quitte son ventre et approche ma queue de sa bouche. Elle avale tout de suite. Salope comme j’aime ! Avec persévérance, au fil des années j’ai fini par la libérer de ses préjugés et si elle pratiquait la fellation avec un certain talent et  appréciait que sa poitrine soit  généreusement arrosée, elle ne rechignait  pas à aller jusqu’au de mon plaisir. Peut-être même celui de son amant. Je n’en doutais pas. C’est bon mais j’ai besoin de savoir ! Je l’embrasse, mes lèvres courent sur sa gorge, sa bouche. Elle ondule, contracte  son ventre autour de mes doigts. Elle n’est pas rassasiée, je sais.
La culotte ? Il l’a gardée. Il lui rendrait la prochaine fois...  Pour penser à elle ! Elle lui a donné juste avant de rentrer, Il l’a accompagnée un bout de chemin. Là, pas loin.Il vient de te toucher ? Oui… Baisée ? Non… Caressée. Non, il ne savait pas que j’étais au courant…Et le test ? Pour être sûr… (C’est elle qui a demandé). C’est mieux sans…Et ce midi ? Tout le monde était parti…Oui, j’avais envie aussi …
Ils avaient profité de l’heure du déjeuner pour discrètement s’isoler dans un coin de la salle des archives. C’était une étreinte rapide sur un coin de table.  Elle n’avait eu le temps d’avoir d’orgasme .Pas tout de suite…Et ce soir ? Oui . Pourquoi, l’avait-il raccompagnée ?  En sortant du centre de dépistage, il lui avait dit vouloir discuter…Dans sa voiture.  Lorsque elle est parie sous la douche, j’étais heureux la  journée  ne lui avait pas suffi et j’étais parvenu à mes fins. Avec moi aussi, elle avait joui. Autrement. Différemment. De partager cette complicité redonnait vie à notre couple !
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