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Les plaisirs nouveaux d'un couple mature

Chapitre 4

Résumé par Nicole

Divers
J’avoue être conquise par l’initiative prise par Siméon de vous conter notre histoire. J’en ai lu d’autres sur ce site et je mesure que la nôtre peut sembler banale. Elle a cependant pour moi, le mérite d’être le défouloir de ce que je n’oserais pas forcément dire. Parce que, quoique vous lisiez, je suis pudique et il n’est pas toujours facile de livrer abruptement son ressenti.Je confirmerai pour commencer les propos de Siméon s’agissant de ma personne : Je ne suis pas une femme facile. Je suis une simplement  femme. Une femme qui avance dans la vie et qui sent les années qui passent. Une femme qui aime la vie, qui aime l’amour.Jamais je n’avais trompé mon mari et tout ce que j’avais pu imaginer moi aussi,  n’était que chimère.David a été mon premier amant. Il était jeune et attirant. Il a révélé une autre moi. Siméon l’a compris et faire l’amour avec l’un n’a rien entamé de l’amour que j’ai pour l’autre. Au contraire.
C’est donc dans un de ces  hôtels d’étapes qu’avec David  nous avions nos habitudes. Un lieu d’une totale discrétion sans personnel à l’accueil et avec un accès direct. Un refuge bien plus rassurant que notre lieu de travail où malgré mes craintes je cédais parfois à sa demande.  J’étais sa maîtresse et le fait que mon mari le sache m’avait totalement libérée. Lui n’en savait rien (du moins, pas encore) et de dévergonder une femme mariée n’était pas pour lui déplaire. Il était toujours prêt (c’est d’ailleurs cette appétit qui m’avait conduite à l’accompagner pour pratiquer  un dépistage Hiv). Là, à l’abri de toute mauvaise surprise,  la porte à peine fermée, par bravade sûrement mais plus par envie quand même,  c’est moi qui prenais l’initiative de l’enlacer, d’épouser son corps. Une manière à moi aussi, de le dominer.J’étais tout contre lui. Contre mon ventre, je sentais la vigueur de son sexe. Je m’en amusais. Ses mains glissaient sur mon corps, caressaient ma poitrine, suivaient les courbes de mon corps. Ses lèvres couraient sur mon cou. Il m’abreuvait de paroles .L’abandon des collants  l’avait enthousiasmé et  plus encore,  la découverte de fines lingeries. Il aimait la rondeur de mes fesses, la coquine que j’étais finalement...
Etait-ce prémédité ? Oui, chaque matin depuis le jour où Siméon m’y avait invité et sous le regard duquel, je me parais de mes atours les plus affriolants. Ceux qu’il aimait que je revête. Que mon amant fût si jeune ne me culpabilisait finalement plus. De même que les risques que j’encourais de croiser une connaissance lorsque, la tête basse, je courais presque sur le parking pour me réfugier dans l’hôtel.Dans notre alcôve ses doigts s’affranchissaient de la barrière de mon slip, me visitaient et je sentais une onde de chaleur gagnait mon ventre ;  glissaient entre le sillon de mes fesses. Avant même qu’ils ne s’aventurent là où je pressentais son intérêt, je me glissais à ses genoux pour le dégrafer. Sous mes doigts se tendait son sexe que je libérai.  Pour répondre à la question de Siméon : Était-il différent ? Oui. Plus court. Plus épais aussi. Était-ce  cette différence que j’avais ressentie la première fois qu’il m’avait pénétrée ? Du fait de la maternité, je n’avais jamais vraiment  joui autrement qu’en stimulant mon clitoris et souvent mes fantasmes avaient été habités par des hommes fortement membrés, en l’occurrence des hommes  de couleur dont on vantait régulièrement cette particularité.
A ses genoux, je réalisais alors  l’un de mes fantasmes. J’étais une Putain !Une situation souvent imaginée que je n’avais jamais  accomplie avec tout autre que Siméon. Sucer un inconnu ! Même si David ne l’était plus vraiment. Un homme de passage.  Comme çà, parce que l’occasion était-là  !Avec Siméon, j’avais acquis au cours des années une certaine expérience  quand il s’agissait de lui donner du plaisir avec ma bouche. Devenue experte en la matière selon lui, je me flattais de cela en entendant David soupirer de plaisir lorsque ma bouche prenait possession de son sexe. Délicatement j’entourai de mes lèvres son gland pour l’aspirer avant de l’avaler de toute sa longueur  et de recommencer ainsi méthodiquement. A l’affût de ses réactions.A mesure que je le caressais, je sentais sous mes doigts  ses bourses pleines, la contraction de ses fesses. Un instant muet, il réagissait. Les doigts crispés dans ma chevelure, il murmurait et plus il se lâchait, plus je m’activais. Lui qui disait que les femmes  de mon âge avaient (paraît-il), un savoir-faire qui nous était propre,  ne se privait plus de me mettre à l’épreuve.  Parfois à quelques mètres derrière la porte, des gens passaient dans le couloir, discutaient (d’autres couples illégitimes peut-être...) et  Moi, celle que l’on jugeait si sage, je me comportais et m’imaginais être une prostituée. Un rôle que j’aimais jouer à la maison. J’étais l’une de ces putains qui selon Siméon font parfois leur passe dans ce genre d’hôtel. Comme David  devait le penser lorsqu’il m’invectivait de mots orduriers.J’étais alors une  sacrée salope ! Une chienne qui cachait bien son jeu …Entendre des mots crus ne me choquais habituellement pas, au contraire j’aime plutôt cela  Là,  mes sentiments étaient confus. C’était le premier homme autre que Siméon à me traiter ainsi. C’était humiliant et excitant à la fois.  Plus je l’écoutais et plus il était outrancier, plus je me débridais, plus j’obéissais. Il me guidait, forçait ma bouche pour s’y enfoncer loin. Son sexe glissait alternativement entre mes lèvres ou mes doigts. Je le branlais d’une main, le caressais de l’autre, j’avalais ses testicules. J’aimais la bite ! Pensait-il vraiment ce qu’il disait ?  C’est vrai que depuis  que j’étais devenue sa maitresse je n’avais refusé aucune de ses sollicitations et avant lui, à diverses occasions, il m’était parfois arrivé de jouer de la séduction. Même si je n’avais  jamais franchi le pas. Le plus souvent cela s’était  fait avec la complicité de Siméon. L’été sur la plage  où il avait développé mon côté exhibitionniste et quelquefois,  dans le métro quand je feignais d’ignorer le contact  pressant  d’un homme  contre mes fesses.De là, être soumise à un amant  en âge d’être mon fils, m’était apparu comme inconcevable et pourtant je l’étais. Je n’étais pas toujours très fière le soir lorsque je poussais la porte du domicile mais comme ça convenait à Siméon...
C’est seulement quand David était au bord de l’orgasme qu’il décidait de s’occuper de moi. Il m’entrainait sur le lit.En un tour de main, il troussait ma jupe et s’escrimait sur mon slip. J’obéissais : J’écartais les cuisses. Je n’étais plus moi. J’étais une autre, celle  qui maintenant des deux mains, ouvraient son ventre  pour mieux l’offrir à cette bouche vorace, A ce moment-là, Oui je devais être cette Salope que Lui et Siméon (et d’autres sûrement) voulaient tant que je sois.Je sentais sa langue qui m’affolait, ses doigts qui me fouillaient. Je le sentais partout. Devant, derrière à la fois. Je perdais toute pudeur. Il m’insultait, commentait, me questionnait. Non je n’étais pas comme il disait et pourtant j’écartais les cuisses et je mouillais. Il savait où et comment me caressait et je m’offrais. Oui j’avais envie de sa queue !Après toutes ces années passées à être fidèle, je vivais en partie  mes fantasmes. Siméon avait raison : Faire l’amour avec un autre homme n’était physiquement guère différent et l’amour n’avait à voir là-dedans. David était beau certes, mais surtout  il m’offrait une symphonie de caresses, un tourbillon sexuel auquel je ne pouvais résister. J’étais libre. Dans un autre monde.   J’oubliais mes états d’âme, les possibles qu’en dira-ton. Je redécouvrais un regain de jeunesse. Le plaisir de plaire. Un plaisir qui s’était trop longtemps tu. Une manière de faire différente. Un corps différent.Quand  deux heures après nous quittions la chambre, j’étais repus et endolorie des orgasmes qu’il m’avait fait connaitre.  Chacun de nos intermèdes à l’hôtel ou ailleurs étaient source de plaisir. Je ne connaissais plus de limites.J’avais  cette image de nous captée dans le miroir lorsqu’il me prenait comme une chienne (sic). Ses assauts puissants, le bruit de nos deux corps s’entrechoquant. De mes efforts pour ne pas crier. Du plaisir que provoquait sa  présence entre mes reins.Cela me paraissait inimaginable et pourtant ce que je croyais impossible, s’était révélé : je faisais l’amour uniquement pour le plaisir du sexe. J’étais sortie d’une sorte de léthargie. David étant sexuellement sain,  nous n’avions plus de rapports protégés  et  parfois, Siméon en était le témoin.Parfois parce que le planning de la journée ne nous avait pas permis de nous rencontrer, je faisais des heures supplémentaires …  et parfois c’est encore pleine de la jouissance de mon  amant  que je regagnais  la maison.Il appréciait ce petit coup de jeune que vivait notre couple et ne s’est pas étonné du petit rafraîchissement pubien qui s’est opéré. Il y voyait là un affranchissement total de ma part.Susciter leur désir m’était plus qu’agréable au point qu’avec Siméon nous parlions librement de ma relation avec David. Notre relation qui aurait pu encore durer a finalement pris fin au terme de ma mission.David n’est pas rentré dans la confidence. Nous nous sommes quittés comme deux bons collègues qui s’apprécient. En nous promettant de donner de nos nouvelles…. Un leurre car sincèrement, je ne souhaitais pas que notre relation que j’ai vécue comme un ballon d’oxygène,  ne s’entérine et n’altère la relation de notre couple. Ça reste un agréable souvenir.
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