Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 17 J'aime
  • 5 Commentaires

Les plaisirs nouveaux d'un couple mature

Chapitre 6

Divers
Le printemps arabe.
C’était le 19 mars 2018 et pourtant c’était hier encore– Il y a 8 jours… Il est 18.00. En France, après avoir connu la tempête, les inondations, la neige ici bien qu’il fasse 21 °, c’est une tout autre tempête qui se fait entendre. L’épaisseur des murs n’est pas en mesure d’atténuer le cataclysme présent depuis presque 1 heure et j’aime ça. . De mon fauteuil où je récupère, j’observe. Nicole agenouillée sur le bord du lit se fait véritablement démonter par Selim, notre Tunisien de service.
C’est un souhait souvent reporté à cause des événements que cette fois-ci, sur un coup de tête, nous avons réalisé. Il y a 3 jours que nous nous sommes jetés dans le bras de la Tunisie et pas seulement… Etait-ce le charme de l’exotisme, le sentiment d’une quiétude retrouvée avec la liberté de faire ce que l’on veut quand on veut ? Toujours est-il que dès le début de notre séjour à Hammamet nous avons ressenti un tel bien-être que le diable qui sommeille en nous s’est de nouveau manifesté.
C’est donc avec cet état d’esprit qu’il y a 48 heures à peine, nous avons fait la connaissance dans la discothèque de l’hôtel, de Selim un jeune Tunisien d’une trentaine d’années le sourire ensorceleur et le regard sombre comme sa peau.
Après une soirée fort sympathique au cours de laquelle Selim lui avait servi de cavalier Nicole n’avait pas tu l’intérêt qu’elle lui portait. Aussi lorsque plus tard, il nous a proposé de nous servir de guide, nos regards se sont croisés et sans même trop nous interroger, nous avons saisi avec enthousiasme sa proposition.Ce matin nous nous sommes revus. Direction la Médina, la Khasba puis les ruines Pupput (ça ne s’invente pas). A cette époque de l’année il y a très peu de touristes et nous nous sommes sentis privilégiés.Bien qu’intéressée de ce que nous découvrions, les odeurs de jasmin et les faïences romaines Nicole ,sans trop en faire, a dévoilé tout son charme pour se rapprocher de Selim, accrochée à son bras sous prétexte de l’interroger sur les us et coutumes, la liberté des femmes …Nous avons passé la journée ainsi avec moi, dans le rôle du mari crédule faisant mine d’ignorer cette communion qui entre eux, s’installait.
Deux heures se sont écoulées depuis notre retour et après la visite de toutes ces beautés, c’est au tour de notre hôte de visiter les fesses de Nicole. Une spécialité locale que manifestement, elle apprécie. Accroché à ses hanches, il la pilonne et elle en redemande…Comment ce petit être à l’air chétif puise-t-il autant de ressource ? La résistance réputée des Berbères n’est pas usurpée !Alors que moi j’en suis en mode récupération lui, pour la troisième fois, l’honore. Elle ne demandait pas mieux. Depuis Javier, elle s’était montrée sage. Trop sage et j’en étais le premier à le déplorer et même, je l’avoue, à m’interroger. Bien sûr, nous étions toujours en contact avec notre ami canadien mais, sait-on jamais… J’aime le contraste de cette peau brune avec la sienne. Raciste ? Pas du tout. A part de la bêtise… Je connaissais la curiosité de Nicole pour les hommes de couleur aussi n’ai-je pas été surpris qu’elle grille les étapes. Lorsqu’après une douche rapide nous nous sommes retrouvés à la terrasse de l’hôtel, c’est d’un avis commun que nous nous sommes accordés pour dire que le soleil brillait trop, que la climatisation de notre chambre nous apporterait une fraicheur salutaire…Je ne connais pas les pratiques sexuelles des Tunisiennes aussi Selim a t-il pu être surpris lorsque Nicole, la porte à peine fermée, a jugé bon le temps de lui faire une démonstration du french kissUn baiser échangé pendant une poignée de secondes, un temps suffisant à la compréhension de Selim pour saisir l’opportunité qui s’offrait à lui. Une vacancière peu farouche… Un mari permissif…Le temps pour lui de caresser la poitrine que nous devinions libre de toute entrave et de se saisir du fessier de Nicole pour la plaquer contre son ventre pour lui faire sentir ses dispositions.Trois ou quatre pas à reculons les avaient couchés sur le lit. Le temps pour moi de sentir monter l’excitation et de créer l’ambiance d’une lumière tamisée, ils n’ont pas perdu de temps non plus. Quelques minutes à peine et la voilà ma chérie qui s’attaque à sa braguette. Lui n’est pas en reste, Nicole est là : la robe relevée sur son ventre, les cuisses ouvertes, il découvre la belle chatte rasée de Nicole. Elle est belle ainsi, les yeux mi-clos, les lèvres coulissant sur ce cylindre très sombre avec un air de satisfaction lorsque nos regards se croisent. Moi qui pensais aux Antilles…C’est le troisième amant que je lui connais (et elle n’a pas de raison pour me cacher quoi que ce soit) et pour la première fois, c’est moi qui offre ouvertement ma femme à un homme.
Dieu sait ce que peut en penser Selim…mais il a compris ce que j’attendais de lui lorsque la boite de préservatifs atterrit à ses côtés.En un tour de main, je me déshabille. Je présente une belle érection qui n’échappe pas à Nicole lorsque je m’approche d’eux.
Que c’est bon cette manière qu’elle a de sucer et c’est un fait, elle le fait de mieux en mieux. Avec moins de retenue ; plus de vice. Je n’ai plus la même vigueur que ses jeunes amants mais elle me gratifie de la même science. Une bouche chaude, gourmande que soudainement Selim m’arrache lorsque la queue protégée, il la pénètre. Quelques mouvements lents et profonds qui suffisent à la détourner de ma personne. D’elle-même, elle se redresse, cherche sa bouche et échange un profond baiser tandis qu’il découvre sa poitrine pour se saisir des pointes dures qu’elle exhibe.C’est ma première fois, même si j’ai pu allégrement participé indirectement au libertinage de Nicole. Ecouter ses récits ou observer sa débauche jamais, je n’ai participé.Son bassin ondule, ses cuisses s’ouvrent, les grincements du lit se mêlent aux souffles entrecoupés des deux amants. Elle est de plus en plus expressive, Elle qui pendant des années s’était montrée si discrète, l’encourage. Miaule…
— Vas-y , Vas-y , Oui, Vas-y, C’est bon…
Elle s’étend :
-Chéri, C’est bon…
Nos regards se croisent. Elle a les yeux larmoyants, la bouche ouverte. C’est sûr, elle prend son pied. Selim la secoue de plus en plus. Ses seins ballottent. Elle crie.En un tour de passe-passe, il la retourne, glisse entre ses fesses et l’éperonne de nouveau. Elle crie ! La tête entre ses bras, elle s’abandonne. Elle se tend vers lui, elle en redemande, Selim a compris qu’elle était à lui et n’en reste pas là. Accroché à ses fesses, il les écarte, crache et après quelques instants de tâtonnement s’enfonce de nouveau en elle. Elle hurle… Il vient bel et bien de la sodomiser.
— Ma petite Salope ! Ma femme chérie se fait enculer. — Oui… Oui…
Les coups de reins de Selim sont violents. Le regard de Nicole que je croise est embué mais n’exprime pas la douleur, au contraire, et c’est la jouissance qui la gagne et qui s’exprime lorsque Selim se lâche et qu’elle s’effondre sur le lit. Je la sens vulnérable et je suis dans un état d’excitation extrême.Je m’approche et la retourne sur le dos pour plonger ma tête entre ses cuisses. Elle mouille incroyablement. Voici le temps de la tournante si souvent évoquée. De la baise à la chaîne. Je me glisse sur elle, ses cuisses s’écartent et je m’enfonce dans son ventre. Ma petite salope en veut encore (et dans un langage imagé...)
— Tu aimes te faire baiser devant moi ! Tu mouilles comme une salope. Il t’a bien défoncée ?— Oui mon chéri ! Oui, vas-y c’est bon Oui, au fond, fort…— T’en veux encore salope  ?? Dis le … Tu as aimé ?— Oui.. C’est bon ! Oui, j’aime, c’est bon ! Oui, encore… encore !— Il t’a bien enculé Salope ! Tu aimes te faire baiser comme ça ?— Oui…Oui, j’aime … dans mon cul— Tu vas tout prendre…
Et c’est ce qu’elle a fait quand les doigts de Nicole se sont enroulés autour du cylindre noir de notre nouvel ami tout proche. Une queue bien raide et toute gluante de sperme qu’elle a avalé. Nicole nous fait un remake de gorge profonde. Les joues creusées ou déformées par la queue de Selim, elle le torture délicieusement. Lui, tout en lui maintenant la tête, baragouine. J’imagine qu’il devait faire les louanges des Européennes et leurs vices…De la voir sucer un autre et balancer les hanches pour mieux s’offrir, je n’ai pas tenu longtemps et pendant que je me vidais dans son ventre, je la voyais accrochée à la bite de Selim qu’elle suçait avec gourmandise.A peine avais-je quitté la place que Selim la recouvrait de nouveau.Installé dans mon fauteuil, je les ai regardés baiser. Nicole était insatiable et l’attention qu’elle avait pu me porter s’est peu à peu atténuée. Elle a fait valoir le blanc-seing que nous avons signé et s’est affranchie de toute retenue, libérée probablement de bien des années de frustration. Tout comme Selim qui de son côté ne s’est pas privé de notre complicité et lorsqu’il nous a quittés, près de 3 heures s’étaient passées, laissant une Nicole éreintée mais heureuse du plaisir qu’elle avait reçu.Plus tard dans la soirée, en pleine conversation avec les gens formant notre table, je n’ai pu m’empêcher d’imaginer quelles seraient leurs pensées s’ils savaient que cette femme bien sous tous rapports souriante et très aimable ne portait pas de culotte et que chacun de ses orifices était encore irradié d’une douce brulure comme elle me l’avait confié.Lorsque nous avons repris l’avion, le 22 mars, nous avons eu cette pensée nous disant que nous aussi avions connu le printemps arabe avant l’heure.
Diffuse en direct !
Regarder son live