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Les récits de Caroline - Les routiers

Chapitre 1

Trash
Je m’appelle Caroline et j’ai 31 ans, je vis en couple avec Guillaume depuis 18 mois. C’est un garçon sérieux, respectueux et peu inventif au lit mais d’une certaine manière cela fait partie de son charme. C’est le gendre idéal: il a un bon travail, de bonnes manières et fait preuve d’élégance en toute occasion; Mes parents l’adorent et j’imagine qu’il en était de même avec ceux de ses conquêtes précédentes.
Il y a quelques années je ne me serais pourtant jamais imaginée avec un homme comme lui: J’avais découvert et accepté mes envies; Il me faut des partenaires capables de m’amener vers les plaisirs inavouables qui me font tant vibrer.
Malheureusement, je n’ai jamais rencontré de compagnon qui sache faire la part des choses: me faire l’amour avec tendresse la plupart du temps tout en étant capable de se lâcher quelque fois par mois. De la même manière, avoir parfois envie de me faire gifler pendant le sexe ne voulait pas dire que je n’attendais pas respect et attentions romantiques de la part de mes petits-amis dans la vie normale.Je n’ai pas trouvé d’homme qui sache réellement me comprendre et me combler alors j’ai fini par trouver mon équilibre dans ma relation avec Guillaume: Il est prévenant, il s’occupe de moi comme si j’étais une princesse mais régulièrement je m’autorise loin de ses bras les soirées de décadence qu’il ne peut m’offrir.
Est-ce le tromper ? Sûrement mais de toute façon sexuellement je suis incapable de me contenter de lui alors c’est aussi une façon d’œuvrer pour la pérennité de notre couple.Je crois que d’une certaine manière il sait que j’ai une sexualité annexe mais nous n’en avons jamais parlé. Tout juste a-t-il parfois ce sourire triste lorsque je lui débite un de mes mensonges habituels pour me libérer le temps d’une soirée ou d’un week-end. Quand nos regards se croisent, il s’en suit un échange non-dit qui me ferait presque renoncer... mais je suis la femme que je suis et j’ai choisi de l’accepter.
Depuis quelques temps, je ressens le besoin d’écrire cette double vie. Sans doute est-ce le fait de ne pouvoir en parler à personne qui me pousse à me livrer de cette manière.
Comme à chaque fois avant d’aller m’installer face au clavier de mon ordinateur, je passe à la salle de bain et je me déshabille devant la glace. Je regarde la jeune femme blonde face à moi, 1m58, les cheveux raides jusqu’aux épaules, une poitrine lourde mais qui commence à souffrir de la gravité, des fesses un peu plus larges que je ne le voudrais mais pas de ventre. Je suis mignonne et sexy mais je ne suis pas une bombe.
Le manque de maintien de mes seins me complexe un peu alors je remets vite un soutien-gorge avant d’enfiler une nuisette. Même dans cette tenue, mon regard est sage, on me donnerait "le bon dieu sans confession" comme aurait dit feue ma grand-mère.
Je sors de la salle de bain pour rejoindre mon bureau; Il est temps d’aller coucher un nouveau pan de ma vie sur le papier.
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Cela s’est passé il y deux ans alors que je revenais d’un week-end de débauche partagé avec ma comparse Nadia: Elle était comme moi, très ouverte d’esprit et nous commencions à nous prendre d’amitié. Nous avions été conviées dans le château d’un noble décadent près d’Orléans et après deux jours de luxure, nous étions dans sa voiture sur le chemin du retour.
C’était une très jolie black, avec peu de formes mais cela n’empêchait pas les hommes de craquer pour elle. Comme moi, elle cachait sa vraie nature à ses proches et elle m’avait présentée comme une copine de la salle sport quand j’avais croisé ses parents et son frère par hasard. Il était plus jeune que nous et très beau garçon mais Nadia avait été claire: "Pas touche! C’est mon petit frère et c’est un garçon bien. Il sera médecin et ce sera un mec fidèle, fiable et tout ce qui va avec, pas un tordu comme ceux que je fréquente".
A cent kilomètres de Paris, nous avons quitté l’autoroute puis nous nous sommes arrêtées sur une petite aire de repos pour grignoter les sandwichs que nous avions acheté. Je suis allé aux toilettes mais quand je suis revenu mon amie avait changé de visage: Nadia tenait mon portable à la main, il avait vibré à l’arrivé d’un message de son frère qui me suppliait de le rappeler, il ne dormait plus depuis la nuit que nous avions partagé, il m’aimait et toutes ces conneries.
Nadia m’a jeté mon téléphone au visage en me traitant de tous les noms et elle m’a planté là au milieu de nulle part. Je suis restée immobile comme une conne, il était 20 heures, il commençait à faire nuit et mon sac était resté dans sa Golf que je voyais s’éloigner au loin.J’ai ramassé mon portable pour appeler mon père, une copine ou même Guillaume en imaginant déjà le bobard que j’allais lui raconter mais mon iphone s’était cassé lorsque mon ex-amie l’avait balancé.
J’étais seule, sans papiers, sans argent et sans téléphone. Je portais des spartiates, un petit short blanc court et un top moulant très échancré turquoise. Il n’y avait qu’un camion arrêté dans cette aire. Je suis allé frapper à la porte et j’ai expliqué la situation aux deux chauffeurs avant de leur demander s’ils pouvaient me déposer au prochain patelin ou à la station service la plus proche. Ils m’ont fait de monter sans hésiter en acceptant volontiers de m’aider.
Toute heureuse de trouver une solution si rapide à ma situation pourtant mal embarquée, je me suis assise entre ces deux bonhommes à qui j’aurais eu bien du mal de donner un âge . Ils étaient gros aussi bien l’un que l’autre, facilement 110 kilos mais ce n’était pas le moment de faire la fine bouche.
Lorsque j’ai été installé et que les portières se sont refermées, leur visage a vite changé. Mes deux sauveurs se sont regardés en se marrant et le type au volant m’a balancé: "Évidemment ça ne va pas être gratuit. .. et comme tu n’as rien sur toi, il va falloir donner de ta personne".
Ils tentaient leur chance, c’était difficile de leur en vouloir. J’aurais dû les rembarrer; si cela se trouve ils m’auraient peut-être tout de même déposée et au pire je serai descendue pour attendre qu’un autre véhicule veuille bien m’emmener. Mais voilà, c’était glauque à souhait, la cabine sentait la sueur, les deux compères avaient sans soute des horreurs en tête alors pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ?
Pour seule réponse, je me suis contentée d’un silence qui en disait long. Il fut salué par leurs rires gras puis le plus vieux des deux commença à tirer des sortes de petits rideaux devant les fenêtres et le pare-brise pour qu’on ne voit plus l’intérieur de la cabine depuis la route.
Trop heureux de la tournure des événements, le second chauffeur m’a demandé de leur montrer mes seins.— "Après vous m’emmènerez vraiment à la ville ?". — "C’est promis et on t’appellera même un taxi".
J’ai ôté mon débardeur entre peur et excitation avant de m’appuyer contre le dossier en levant mes bras par dessus ma tête. Ils m’ont chacun attrapé un sein avec leurs grosses pattes et m’ont peloté en même temps. C’était loin d’être sensuel mais je sentais que malgré le dégoût la chaleur que je connais si bien commençait à monter dans mon ventre. Ils ont insisté sans en faire plus dans un premier temps en semblant me jauger pour évaluer jusqu’où ils pourraient aller avec moi.
Maintenant que nous avions commencé, il était hors de question que cela s’arrête là. Je devais leur faire comprendre que j’avais du tempérament alors j’ai fermé les yeux et poussé un soupir discret mais qui ne pouvait leur échapper. Le résultat fut immédiat, ils amplifièrent le pétrissage de ma poitrine puis tirèrent mes tétons et enfin le type sur le siège passager m’attrapa par les hanches pour m’asseoir à califourchon sur ses cuisses. Il sembla avoir une seconde de doute puis il me força à me pencher en arrière pour plonger son visage au creux de ma poitrine.
Sa grosse langue largement sortie de sa bouche il entreprit de me lécher lobes, mamelons et pointes goulûment. C’était plutôt agréable alors je pris mes seins à pleine main en les resserrant pour lui faciliter les choses.
Mon partenaire a grogné de plaisir en comprenant que je participais et il ma cramponné les fesses en continuant de se faire plaisir comme cela plusieurs minutes.
Au bout d’un moment, l’autre s’est impatienté et a fini par gueuler que c’était à son tour de s’amuser. Il avait déjà sorti son sexe pour se branler en me regardant me trémousser sur son collègue mais il avait envie de plus.
Sentant mon partenaire me libérer, je me suis penchée pour me déplacer vers l’impatient. Celui qui venait de jouer avec mes seins en a profité pour tirer mon short et ma culotte: en une seconde, je me retrouvais les fesses à l’air.
Le type au poste de conduite me fit passer une jambe de chaque côté de ses cuisses et plongea son regard dans le mien en tirant mon ventre vers lui pour présenter son sexe à l’entrée de ma grotte sans plus de préliminaires.
Les attouchements précédents, la situation et la folie qui s’empare de moi dans ces moments m’avaient rendue lisse et humide; Je crois qu’il le sentit lorsque nos chairs se touchèrent. Il n’hésita plus et il tira sur mes épaules pour me pénétrer. Je miaulais comme une chatte en sentant sa queue me remplir petit à petit abandonnant ainsi mes dernières onces de dignité.
Une fois au plus profond se moi, il tira une poignée qui fit avancer son siège: Je me retrouvais coincée entre mon amant et le volant, incapable de me libérer de son étreinte.
Il se mit a me peloter les seins avec les deux mains tout en me faisant sauter sur ses cuisses; Je volant frottait ma colonne vertébrale lorsque je retombais brutalement à chaque mouvement. C’était dégoûtant mais je sentais que mon corps en redemandait.
J’ai dit "oui" deux ou trois fois ce qui encouragea mon partenaire à continuer ainsi. Je sentais son gros ventre contre moi, c’était crade et laid, pourtant j’avais du mal a me retenir de gémir.
Il s’est de nouveau avancé en restant enfoncé dans ma chatte; le volant me faisait mal au dos tant j’étais coincée, je ne pouvais vraiment plus bouger du tout cette fois.
Le conducteur en profita pour passer sa main sous mes fesses et enfoncer sans ménagement le début d’une phalange dans mon cul. Il avait des doigts énormes et malgré mon expérience pour ce genre de jeu, ce n’était vraiment pas agréable.
— "Aie ! Pas comme ça, putain ! Vous me faites mal".— "Si tu veux, tu peux me lécher les doigts pour que ça passe mieux"
Je n’avais pas le choix, j’ai baissé les yeux et accepté. En se marrant, l’homme a amené sa main près de mon visage et j’ai lapé ses doigts un par un avant de les sucer consciencieusement.
Quand j’ai eu fini, il a remis sa main sous moi et m’a enfoncé son index entre les fesses. J’ai ouvert la bouche et fermé les yeux; cela l’a excité encore plus. Je sentais le double frottement de sa queue dans ma chatte et son doigt dans mon rectum: ce salaud se faisait plaisir et ne me ménageait pas. Cela pris un peu de temps avant de devenir agréable mais, comme toujours, mon fondement finit par s’habituer et même plus que ça.
J’essayais de ne pas montrer trop d’entrain mais un instant d’inattention a suffi: en sentant la verge qui me prenait se caler en moi, j’ai gémi et passé ma langue sur mes lèvres. Le routier en a profité et il s’est mis à me doigter le cul encore plus brutalement. Je poussais des cris à chaque fois qu’il forçait pour s’insinuer en moi devant et derrière en même temps. J’avais envie de lui dire que c’était bon, que j’aimais ça, que j’étais une garce et qu’il pouvait me baiser autant qu’il voulait.Je me suis tout de même retenue: à la merci de ces deux hommes, ce n’était pas la peine d’en rajouter, il ne fallait pas non plus que cela dérape trop.
Je serrais les dents et je fronçais les sourcils dans un rictus étrange mais quand j’ai ouvert les yeux, j’ai vu que mon amant s’était bavé dessus tellement il prenait de plaisir. Ma fierté mal placée m’enivrait: j’étais la meilleure pour ces jeux et je n’avais pas de remords à n’être qu’un jouet dans les bras de cet homme.
— "J’adore ton cul".
Pour le remercier du compliment, j’ai mis mes mains sur mes fesses et je les ai écartées autant que je pouvais; Le majeur de mon partenaire s’est enfoncé de trois centimètres supplémentaire d’un coup, j’ai répondu en couinant pendant que lui se léchait les lèvres.
Il m’a défoncé avec son gros doigt pendant vingt secondes de plus puis il a éjaculé en moi. J’ai sentie son sperme me dégouliner à l’intérieur, c’était dégueulasse et pourtant tellement bon.
J’avais à peine eu le temps de revenir sur terre lorsque l’autre gars m’a attrapé par les cheveux et et m’a tiré jusqu’à lui. Il s’était branlé en regardant son collègue me sauter et était fin prêt à me baiser à son tour. Dans le mouvement j’eus le temps d’apercevoir une verge aux jolies proportions mais surtout ornée d’un gland étonnamment proportionné.
L’homme m’a assise sur ses genoux comme l’autre venait de le faire mais il a passé ses mains sous mes cuisses et m’a basculé en arrière; Je devais me tenir à la cabine pour ne pas me cogner l’arrière du crane contre le pare-brise.
Au début, je ne comprenais pas ce qu’il voulait faire mais tout est devenu limpide quand il a ramené mes hanches vers lui et qu’il a mis la pointe de son sexe contre ma rondelle. J’ai gigoté pour me dégager mais cela a produit l’effet inverse de ce que je voulais: Le bout de sa queue a commencé à se visser dans mon cul et je l’ai senti écarter mes muscles déjà assouplis.
J’ai gueulé: "non, non, non" en comprenant ce qu’il voulait faire mais il a lâché mes cuisses d’un coup: Je suis tombé sur lui ou plutôt sur sa queue qui m’a transpercé le cul jusqu’à ce que mes fesses cognent contre ses cuisses. Sa verge s’était vraiment enfoncé à fonds et ce, sans que je ne m’y sois préparée psychologiquement. Je sentais son gros gland tout au fonds de moi et pendant un instant j’étais comme en état de choc, au bord des larmes et incapable de dire un mot.
Je suis revenue à moi pour le voir sourire du mauvais tour qu’il venait de me jouer. Dans ma tête j’ai remercié l’autre gars de m’avoir préparée: Je ne sais pas dans quel état cela m’aurait mise si j’avais subi cela sans les "caresses" précédentes.
J’ai essayé de me dégager, j’ai réussi à m’extraire un peu en m’accrochant à des trucs dans la cabine puis presque à faire sortir le pieu de mon anus. Malheureusement pour moi, le routier a tiré mes cuisses brutalement et m’a ré-empalée aussi profondément que la première fois.
J’ai crié pour qu’il me lâche et machinalement j’ai recommencé à tenter de me sortir de cette étreinte en répétant la manœuvre mais cela s’est terminé de la même façon: il m’a presque laissé m’échapper puis il m’a saisi et ré-enculée à fonds. Il m’a fallu dix essais infructueux pour comprendre que cela ne marcherait pas et qu’il était en train de se moquer de moi.
En retombant la dernière fois sur sa verge j’ai regardé autour de moi: j’étais en train de me faire bourrer le cul par un routier obèse, le sperme de son pote coulait de ma chatte, tout cela dans une cabine crade décorée de photos de meufs à poil. J’avais vraiment le chic pour me mettre dans des situations impossibles.
Perdue pour perdue j’ai regardé le mec qui m’enculait dans les yeux et j’ai changé de méthode.— "Je vais te faire jouir comme jamais. Tous les soirs tu repensera à mes reins avant de t’endormir".
J’ai inspiré plusieurs fois pour me calmer puis toujours empalée sur sa bite, je me suis mise à faire des petits cercles avec mon bassin et à contracter puis relâcher mon rectum.
Il a ouvert de grands yeux et a grogné de plaisir. Voyant que cela marchait, j’ai pris mes seins à pleines mains et je les ai serrés sans quitter le routier des yeux. J’ai commencé à gémir à mon tour en simulant tout en continuant à onduler sur lui.
Je voyais qu’il prenait un pied monumental; Il faut dire qu’on lui avait sans doute rarement fait les caresses que j’étais en train de lui prodiguer.
J’ai ouvert la bouche en lui disant que sa bite était la meilleure qui ne m’ait jamais pénétrée. C’était sans doute "too much" mais il était dans un tel état que la vraisemblance n’était plus sa première préoccupation. Le voir autant apprécier m’a fait perdre les pédales: j’ai continué à me trémousser sur sa bite puis lorsque je l’ai senti à point, je me suis accrochée a la cabine comme au début de notre étreinte pour extraire sa verge presque entièrement, jusqu’à n’avoir plus que son gland à l’entrée de mon rectum.
— "Empale moi à fonds comme tout à l’heure, Tu vas me faire jouir en me défonçant".
Même pour moi c’était franchement grivois mais il fallait y mettre du cœur.J’ai gémi comme une chienne quand il a tiré sur mes hanches; mon amant n’a pas résisté et il a éjaculé lorsqu’une dernière fois mes fesses ont claqué contre ses cuisses.
— "T’aimes vraiment ça, j’ai jamais sauté une fille comme toi."Cela m’a comblée d’orgueil d’être le meilleur coup qu’il ait connu. J’ai tourné le visage vers l’autre routier, il avait l’air stupéfait de ce qui venait de se produire juste à côté de lui.
C’est à ce moment que j’ai levé les yeux et que j’ai vu un troisième type en train de me mater depuis la couchette au dessus des sièges. Il me regardait en souriant, sans doute avait-il assisté au spectacle depuis le début. Comment avais-je fait pour ne pas remarquer sa présence jusque là ?
J’étais en mode "incontrôlable" et je lui ai lancé un regard de pute auquel il ne put s’empêcher de répondre:— "Et moi alors, je n’y ai pas droit ?"
Il m’a attrapé par le bras en même temps que ses collègues me poussaient sous les fesses pour me faire grimper dans la couchette. Je me suis retrouvée allongée sur le ventre, les cuisses écartées comme une grenouille, une position qui ne semblait pas déplaire à mon nouveau camarade de jeu.
-"Je veux bien mais je suis crevée. Il va falloir que tu te débrouilles".
Cette promesse de passivité l’enchantait, il s’en est léché les lèvres avant de s’étaler sur mon dos de tout son poids. Il était sans doute un peu moins gros que ses collègues mais pas de beaucoup, j’ai cru que le sommier allait céder.
Je sentais son haleine contre mon cou en même temps qu’il m’embrassait dans la nuque, il était excité et en sueur en faisant glisser sa langue sur ma peau avec gourmandise.
L’instant d’après il empoignait sa queue à la base pour lui aussi s’enfoncer dans mon petit trou. Il m’a fait mal, j’avais déjà beaucoup été visitée de ce côté mais je ne me voyais pas lui refuser ce que j’avais offert sans rechigner aux deux autres garçons.J’essayais de garder la position, les cuisses écartées et les fesses tendues. C’était hard, vraiment hard: je me cambrais pour qu’il me la mette bien profond et je sentais son gland progresser dans mon anus déjà défoncé; J’en avais la chatte toute baveuse de me comporter ainsi en pute d’autoroute. Le bougre était endurant et mes simagrées pour tenter d’abréger l’exercice n’eurent aucune efficacité alors je le laissais m’enculer autant qu’il voulait. Il me bourrait le cul sans ménagement, uniquement concentré sur son plaisir de mâle égoïste. Je jouais le jeu, je lui disais des horreurs pour conforter son fantasme; Il semblait me croire et je voyais comme un jeu le fait de découvrir jusqu’où j’étais capable de me rabaisser.
Il a fini par passer ses bras sous mon buste pour cramponner ses mains à mes épaules par en dessous. J’ai compris qu’il s’était mis en tête de m’achever alors je me suis ouverte au maximum et j’ai ronronné pour qu’il n’hésite pas.
Il ne s’est pas fait prier et m’a sodomisée aussi brutalement qu’il pouvait. J’avais le visage dans le matelas et les bras contre la paroi pour ne pas me cogner la tête à chaque coup de butoir. En sentant ma rondelle distendue accepter ce traitement sans broncher, je me disais que j’étais quand même une sacrée salope de m’exciter d’une situation pareille.
La fin arrivait, ce type dont je ne connaissais même pas le nom a grogné près de mon oreille avant de se raidir tel un cycliste qui attaque un sprint. Il m’a mis quatre énormes coup de queue qui m’ont révulsé les yeux puis il a gueulé de plaisir en arrachant sa bite de moi pour répandre sa semence sur le bas de mon dos.
Épuisée et repue de sexe, je suis restée allongée sur le ventre, cul tendu et cuisses ouvertes. Je sentais mon postérieur souillé, du sperme coulait le long de ma raie en même temps que des gouttes du jus des deux premiers s’échappait encore de mon anus béant et de mon vagin.
J’ai entendu le mec sur la couchette parler. Il me regardait et s’adressait aux deux autres: "Qu’est-ce qu’elle est bonne".
J’ai compris qu’il prenait des photos de moi avec son téléphone mais je m’en foutais, j’avais le visage caché contre le matelas.
Je me suis rhabillée; ils m’ont donné de l’eau et des gâteaux secs avant de démarrer et de me déposer vingt kilomètres plus loin. Ils avaient tenu parole et m’ont même appelé un taxi.
Je ne les jamais revu mais parfois je regrette d’avoir jeté le papier sur lequel ils avaient inscrits leurs numéros de portables: passer de nouveau quelques heures avec des routiers aussi prévenants ne serait pas pour me déplaire.
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