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Les réfugiés

Chapitre 1

Lesbienne
Les réfugiés
Après avoir traversé en voiture, la Turquie, la Grèce, la Macédoine, la Serbie, la Croatie, l’Italie, La Suisse, la famille Ben Jalloud arrive enfin en France, le pays des libertés. Toutes ces tribulations et revers de la vie ont soudé les membres de cette communauté. Le père, bien que médecin réputé dans son pays cache son identité et se déclare propriétaire terrien, ce qui n’était pas un mensonge, vu que sa famille possède de grands territoires, terrain de luttes fratricides.
Rapidement, la famille est dirigée vers une ferme familiale dans la Bauce ou la famille Dutrou l’accueil à bras ouvert, les moissons pointant le bout du nez et des bras en plus ne sont jamais mal venus.
J’en profite pour faire les présentations Dr Ali Ben Jalloud le père 50 ans, une belle prestance, parlant couramment le français.Wouarda, la mère, Femme soumise à son époux de 45 ans. Alicia, l’ainée 21 ans, étudiante en lettres orientales à Beyrouth. Akim, 20 ans, étudiant au lycée technique en agriculture. Lilia, 18 ans la cadette vient de finir son bac.Jean Dutrou, Agriculteur, 49 ans, adepte de José Bovet. Viviane son épouse 48 ans.Julot son fils aîné 22ans prévu pour reprendre l’exploitation familiale. Lolette, la cadette 19 ans, un peu fofolle.
— Bien venue chez nous dit Jean, vous tombez on ne peut mieux, on arrive en plein dans la récolte et vos bras pourront bien nous aider.— Merci de ton accueil, répond Ali. Notre famille t’aidera le mieux possible, mais laisse nous d’abord nous installer.
La ferme qui est énorme comprend 4 bâtiments et la famille Ben Jaloud s’en voit attribuer une avec un confort acceptable dans un premier temps. Les premiers jours sont durs, le travail n’attend pas et très rapidement quelques petits problèmes arrivent avec le premier repas. La mère refuse de manger de la viande car elle n’est pas sûr qu’elle soit Hallal. Le mari ne voulant pas trop la brusquer, après ce long voyage, prend Jean à part :
— Excuse là, mon ami, mais elle vient d’une famille un peu trop à cheval sur les traditions, mais déclare que tu l’as achetée chez le boucher juif. — Merci de trouver des solutions très soft, je pense que malgré tout, on rencontrera encore pas mal de problèmes, il faudra qu’on en discute avant qu’ils explosent et qu’on se braque sur des positions inutiles. C’est quand même le choc de deux cultures.
— Wouarda, tu peux manger ta viande sans problème, la bête provient d’une boucherie kascher, tu sais que les juifs et nous, faisons la même boucherie.
C’est ainsi que le repas se déroule normalement, les musulmans acceptant que le boucher qu’il soit halal ou kascher soit suffisant, le principal étant que la bête soit égorgée proprement.
L’après midi, le travail reprend et on peut dire que toute la famille Ben Jalloud y met du cœur et la récolte avance bien, si ce n’est un inconvénient qui faillit tourner au drame et ce n’est qu’à un réflexe exceptionnel de Jean que tout s’est bien passé, avec leurs voiles lourds, la plus jeune des filles a été happée par une machine et le voile était complètement déchiré et une partie des habits arraché, découvrant une magnifique fille à la vue de tous. Jean, éprouvé par ce qui aurait pu être un drame appelle Ali.
— Désormais, je veux que tout le monde soit dans une tenue adaptée au travail, je fournirai les habits, si nécessaire. Je ne veux pas risquer un autre accident qui ferait trop plaisir aux cons qui ne voient en l’étranger qu’un ennemi. C’est plus une question de religion, ce que je m’en fous comme de l’an quarante, mais une question plus générale de politique dans la région. Ces imbéciles incultes seraient capables d’y voir la main de Dieu. (qui de toute façon est le même)
— On fera comme tu le souhaites et je te remercie encore de faire tout ce que tu fais pour nous. — Oh ! Les filles et ma femme, vous rentrez illico à la maison et vous vous mettez dans une tenue de travail et pas dans une tenue pour aller à la mosquée. Les voiles et autres, vous les laisser dans la chambre, je veux tout le monde en chandail et pantalon court.— Mais, commence l’aînée, la cadette étant toujours sous le choc d’avoir failli passer dans la moissonneuse batteuse lieuse et d’en être ressortie sous la forme d’une botte de foin ensanglantée. — Mais quoi ? Rugit le père, on conteste mon autorité ! — Oui père, que va dire l’Imam ? — C’est pas lui qui nous nourrit, loge, etc.. Exécution !
Insidieusement, Julot, apprécie d’un regard intéressé, les jolies formes dévoilées de Lilia, son père le voyant
— Julot, va dans la réserve de linge et essaye de trouver des tenues qui conviennent à tout le monde. On se dépêche, avant que le soir ou l’orage arrive. — Venez avec moi, dit Julot en tendant la main à Lilia pour l’aider et la soutenir après ces émotions.
Rougissant comme une tomate trop mûre, elle accepte l’aide proposée et les femmes de la tribu Ben Jalloud se dirigent vers la ferme. L’aîné aussi.
— Akim, tu veux aussi te changer ? Je te rappelle qu’on est pressé par le temps. — Non, père, mais c’était pour surveiller. — Je ne te l’ai pas demandé, on nous a demandé de continuer à travailler et pas à fainéanter. — Oui père, excuse-moi, je pensais bien faire.
Le soir venu, les deux familles se réunissent. C’est alors que le père Ben Jalloud prend la parole.
— Mes enfants et ma femme chérie, j’aimerai faire une déclaration : Nous avons abandonné la terre de nos ancêtres, nous avons été accueilli par Jean et sa famille qui ont d’autres traditions que nous. Pensez- vous que c’est à eux à s’adapter aux nôtres qui sont rattachées à un passé qui s’éloigne à grand pas ou à nous à nous adapter à cette nouvelle terre, nouvelle culture. Je ne vous dis pas de renoncer à votre foi, mais entre la foi et les habitudes, il y a un fossé énorme. Si vous prenez une décision se rattachant à notre culture qui est en opposition avec celle d’ici, je veux qu’elle soit clairement motivée par le Saint Coran et non pas une élucubration d’un soi-disant imam qui sait à peine lire et qui écoute radio Salafiste. Un émigrant qui réussit, et c’est notre but, c’est un émigrant qui sait s’adapter.
Jean, quelque peu éberlué par ce discours qu’il n’attendait pas réalise qu’il a devant lui un personnage assez exceptionnel.
— Ali, c’est une mise au point qui me va droit au coeur, nous ferons tout, pour qu’il y ait concordance. Les enfants, les miens et ceux d’Ali, voilà des paroles pleines de bon sens que nous allons nous efforcer de réaliser.
Une fois les récoltes rentrées et le fruit négocié, les affaires se calment un peu et on a plus de temps pour faire plus connaissance. C’est ainsi qu’Ali et Viviane se découvrent un goût commun pour la musique et une communion de pensées s’installe entre eux. Jean, qui avait fait des études de pédagogie avant de reprendre la ferme familiale, passe son temps à approfondir les connaissances de la culture française de Wouarda.Elle s’est bien décrispée à la vue de ce gaulois avec une fière moustache qui grâce à ses réflexes lui a évité de devoir dire Inch Allah lorsque sa fille cadette a failli passer dans la machine. Si dans un premier temps, elle était quelque peu méprisante pour ce péquenot, elle réalise qu’il est plein de ressources et d’idées, a un charme fou et dans ses pensées secrètes, ce blond Apollon, force de la nature, d’une tranquillité calme et rassurante la séduit de plus en plus, surtout quand elle a vu lors du travail, alors que Jean dans un effort important n’a pas réalisé que ses attributs masculins flottaient au vent. Cette vue souvent venait la troubler lorsque son mari faisait son devoir conjugal et elle s’imaginait de plus en plus souvent que c’était Jean qui lui faisait l’amour, surtout quand elle voyait avec quelle délicatesse il s’occupait de son épouse. C’est ainsi que dans la suite des travaux aux champs qui suivent la récolte, son paquetage s’allège de plus en plus et devient à la limite provoquant. Jean qui le remarque, remarque aussi que son épouse bave devant son musicien préféré. D’un côté, le charme oriental lui chatouille de plus en plus le bas ventre et d’autre part, il ne voit pas pourquoi il prendrait le risque de faire exploser son ménage. Finalement, complètement étiré entre ces deux tendances, il se décide de réunir les tenant de ce problème pour l’ouvrir.
— Mes amis, cela fait déjà quelques mois que l’on vit ensemble dans une bonne harmonie, tellement bonne qu’elle est à la limite de déborder. Je suppose que vous voyez ce que je veux dire. — Je suppose que tu veux parler de notre intérêt commun pour la musique avec ton épouse et du coeur que met la mienne à compléter sa culture occidentale. — C’est à peu près cela, mais je me pose la question s’il n’y a pas un intérêt plus fort qui nous régit. — C’est vrai que quand je suis avec Ali, je me sens en parfaite fusion, ce que je n’ai pas avec toi, vu ton goût très modéré pour la musique. — Soit honnête, est-ce qu’une question musicale ou si son charme oriental et sa culture n’a pas d’impact physique sur toi ? Il me semble qu’une partie de ton attachement à moi a subi un transfert. — C’est vrai que j’ai beaucoup d’affections pour lui et que je me sens très bien dans sa compagnie, lui répond sa femme. — Et toi Ali, qu’en est-il ? — Pourquoi se mentir, j’ai aussi constaté que mon épouse a bien changé à ton contact, elle se met dans des vêtements de plus en plus attractifs et je vois aussi son intérêt pour toi a changé totalement, elle boit tes paroles. Quant à moi, je dois reconnaître que je ne suis pas insensible au charme de ta femme et que si tu n’étais pas mon ami, je ferai volontiers un faux pas. — Et toi Wouarda ? Tu ne t’es pas exprimée. Tu sais qu’ici, la femme a le droit à la parole. — Je n’ose m’exprimer et je peux cependant dire qu’il y a conflit entre mes convictions religieuses et mes sentiments qui sont troublés par Jean. — Bon je vois qu’on en est un peu tous au même stade, de plus en plus je suis sous le charme de Wouarda également et c’est la raison pour laquelle je me suis dit qu’il faut qu’on fasse le point. Faut-il laisser aller ses sentiments ou pas. — Je proposerai de continuer sans forcer le destin un certain temps, répond Ali. Nous verrons à l’avenir. — Je pense que c’est très sage.
Cependant, Wouarda qui était en pince de plus en plus pour Jean, se dit que peut-être il fallait trouver la solution vers sa femme et elles sont devenues amies de plus en plus intimes, Partageant les tâches ménagères et leurs états d’âme.
— Tu sais Wouarda, avec Jean, cela fait 25 ans qu’on est ensemble, on se connaît sur le bout du doigt, mais quand je suis avec ton mari, je découvre un autre univers qui m’attire énormément. — Pour moi tout pareil, mon éducation religieuse très stricte est en conflit avec mes désirs charnels. — Tout comme moi et j’en suis un peu frustrée. — J’ai une idée folle, si un soir où il fait bien nuit, on changeait nos places, il faudrait d’abord rendre aveugle les chambres et ainsi on pourrait faire un échange de maris. — C’est pas si fou que cela, depuis le temps que je freine mes élans naturels.— Mais malgré tout, il faudrait un peu diminuer leur sens du devoir avec un peu d’alcool. — Je n’ai jamais bu d’alcool, c’est interdit par ma foi. — Je comprends, mais ton mari ? — Oh lui, il prend la religion que ce qui est bon pour lui et le reste, il le laisse aux imbéciles qu’il dit, ce qui n’est pas très gentil pour moi. Ton mari est beaucoup plus respectueux à ce niveau. — Viens dans ma chambre, on va voir s’il n’y a pas trop de différences pour pas qu’ils le voient du premier coup. — Oui, c’est une bonne idée !
Là-dessus, les deux femmes se rendent dans la chambre de Viviane, elles se déshabillent et constatent que Viviane a un bas ventre très habillé avec un magnifique tablier de sapeur alors que Wouarda a un sexe absolument glabre. — Première différence, je n’arriverais pas à faire pousser mes poils si vite, alors il faudra que je te rase, j’ai un peu l’habitude avec ma sœur qui est restée en Syrie. — C’est une idée, cela ne m’est jamais venu à l’esprit. Mais pour les cheveux, cela peut faire illusion, il faudra juste que nous ayons le moment venu, la même coupe, au moins au niveau de la longueur, les miens sont plus courts que les tiens et s’il passe la main, il va tout de suite s’en apercevoir. — Ce que l’on va couper au niveau du bas ventre, il faudra que je le fasse au niveau de la tête. On le fait tout de suite ? — Oui, mais je n’ai pas le matériel ici. — Je vais chercher le mien pour l’épilation, on commence au rasoir et on finit à la cire. C’est un peu douloureux, mais après c’est assez agréable.
C’est ainsi que les deux femmes se retrouvent dans la chambre en train de faire leurs toilettes intimes. Wouarda, armée d’un blaireau et d’un rasoir bien affûté s’approche du sexe de Viviane. Elle embardoufle la forêt nordique d’une montagne de crème à raser et commence à lui racler les poils. Pour débarrasser les poils sur les grandes lèvres, elle est obligée de mettre un doigt sur les petites lèvres et pincer un peu les grandes lèvres pour bien les tendre, après avoir nettoyé complètement des deux cotés, il reste le reste de la touffe et là, il faut aussi faire attention de ne pas abîmer le bouton d’amour qui suite aux attouchements est bien sorti de sa coquille. Wouarda le pince légèrement pour le faire rentrer dans sa coquille, mais c’est le contraire qui se produit plus elle le touche, plus il grandit.
— Je vois que de t’avoir rasé et de t’avoir touché le sexe, cela t’a excitée, tu n’es pas habituée ? — Non, à part moi, personne ne me touche là-bas. — Ton mari ne te touche pas le sexe. — Si peu, c’est pas trop dans nos habitudes. — ouille ouille ouille, moi je suis habituée à avoir un gros câlin avant pour humidifier. Je me demande si Ali ne va pas voir la différence de clito, le mien est tout petit et le tien est de taille respectable. — Bah ! Ce sera trop tard à ce moment pour faire le difficile, s’il le remarque. Par contre, j’espère que toi tu n’auras pas de problème si tu n’as pas ton petit câlin avant.— Tu pourrais éventuellement me préparer avant. — Voilà encore un chapitre où je ne suis jamais allée, mais pourquoi pas. — Si tu veux, je peux te montrer, maintenant que tu as un beau sexe tout lisse.— Pourquoi pas, je suis toute excitée et cela va probablement bien me plaire. — On pourrait se mettre en trois-vingts-neuf !— tu veux dire quatre-vingt-neuf. — non, soixante-neuf on dit aussi. — Essayons !— J’aime bien le goût de ton sexe et surtout j’aime bien sucer ton bouton, c’est délicieux proclame Wouarda.
Viviane, précautionneusement avance sa tête entre les cuisses musclées de Wouarda et voit tout son petit matériel de camping. Il s’y dégage une odeur suave un peu épicée au goût oriental. Timidement, Viviane tire sa langue et se souvenant du plaisir qu’elle a eu quand elle se faisait triturer le bouton, aspire cette excroissance, le nez planté au milieu du sexe de Wouarda.
— J’aime aussi bien quand tu me caresses avec ta langue mon bouton chéri, mais tu peux aussi le faire plus bas. — J’y arrive.
Faisant fi de ses préventions, Viviane avance sa bouche vers la rose (Wouarda en arabe) et plonge sa langue entre les petites lèvres, provoquant un abondant flot de liquide savoureux.
— Je crois que je sais maintenant comment faire pour que tu sois à point, dit-elle en se relevant un peu puis elle replonge sa tête pour continuer à déguster cette moule venue d’un autre monde. — Encore un petit peu, je pense que je vais partir, éructe Wouarda en pleine succion de cette moule également très goûteuse. — Moi aussi, riposte Viviane le visage barbouillé de ce jus si savoureux. C’est la première fois que j’ai un plaisir avec quelqu’un d’autre qu’avec mon mari, c’est vraiment différent, mais presque plus fort.
Le soir venant, les deux familles se retrouvent autour du dîner et cela papote dur, les enfants s’étant très vite mis au français. On assiste à des joutes verbales très intéressantes. Les adultes plus réservés, mais néanmoins tout aussi enclin à traiter leurs problèmes commencent à préparer la soirée. (et les femmes leur nuit coquine)
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