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Les réfugiés

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Les réfugiés 2ParticipantsDr Ali Ben Jalloud le père 50 ans, une belle prestance, parlant couramment le français.Wouarda, la mère, Femme soumise à son époux de 45 ans. Alicia, l’ainée 21 ans, étudiante en lettres orientales à Beyrouth. Akim, 20 ans, étudiant au lycée technique en agriculture. Lilia, 18 ans la cadette vient de finir son bac.Jean Dutrou, Agriculteur, 49 ans, adepte de José Bovet. Viviane son épouse 48 ans.Julot son fils aîné 22ans prévu pour reprendre l’exploitation familiale. Lolette, la cadette 19 ans, un peu fofolle.
Résumé : La famille Ben Jalloud, après un long périple à travers l’Europe arrive dans un village de la Beauce, accueillie par la famille Dutrou. Après quelques petites frictions culturelles, les deux familles commencent à bien vivre ensemble et les paires se mélangent un peu, on est à la veille d’une expérience échangiste voulue par les deux femmes.
Le soir venant, les deux familles se retrouvent autour du dîner et cela papote dur, les enfants s’étant très vite mis au français. On assiste à des joutes verbales très intéressantes. Les adultes plus réservés, mais néanmoins tout aussi enclin à traiter leurs problèmes commencent à préparer la soirée. (et les femmes leur nuit coquine)
— Prochainement, pour la suite des récoltes, il y aura des ouvriers temporaires, est-ce que cela vous gênerait si on réunissait les deux familles dans le bâtiment principal et qu’on laisserait le bâtiment actuel où vous êtes logés aux nouveaux venus. Je pense qu’on est suffisamment proche pour le réaliser, propose Jean. — Pour moi, c’est tout à fait ok répond Ali.— Pour nous aussi répondent les enfants. — On déménage ce soir, demande Wouarda qui a peur que son plan tombe à l’eau. — C’est une excellente idée remarque Viviane qui voit tout de suite l’intérêt de la chose. Les hommes et les enfants déménagent les affaires et nous avec Wouarda on prépare les chambres.
C’est ainsi que les deux familles sont réunies sous le même toit, la famille Ben Jalloud au 2ème étage et les Dutrou au premier.
La nuit étant déjà bien avancée, les enfants sont envoyés au lit à 10 h environs, la journée de demain s’annonçant longue et pénible. Les adultes se réunissent au tour d’un dernier verre et exceptionnellement, Ali et Wouarda prennent un alcool, pensant que s’il fait nuit, Allah ne voit pas, surtout qu’on a baissé les lumières. Ali et Liliane ont sorti leurs instruments de musique et les deux ont interprété la messe en Si dure et non pas en La molle. Wouarda et Jean sont assis l’un à côté de l’autre et subitement, Wouarda saisit la main de Jean dans la sienne :
— C’est beau à entendre, si différent de notre musique, dire que c’est une musique religieuse et dans la nôtre on est loin d’atteindre une telle intensité. Nos anges sont moins beaux que les vôtres. — Je croyais que c’était le même Dieu. — Certainement, mais je commence à penser qu’il y a plus d’amour dans la vôtre que dans la nôtre. — Nous avons eu aussi nos périodes sombres, par exemple, cette messe a été composée par quelqu’un qui n’était pas de notre religion, mais de la religion réformée qui n’a pas de messe, mais des cultes. Qu’est-ce qu’on s’est battu il y a quelques siècles pour des interprétations différentes. — Tout comme la nôtre, il n’y a pas un Islam, mais beaucoup, avec deux grandes tendances qui ont été décidées plus par politique que par religion. Sur ce, elle appuie sa tête contre l’épaule de Jean, se laissant un peu aller, l’alcool aidant quand on n’a pas l’habitude. — J’aime bien quand tu t’appuies contre mon épaule et que je sens le parfum de tes cheveux noirs.
De l’autre côté de la pièce, Ali lève un œil un peu curieux en voyant sa femme, la tête appuyée contre l’épaule de Jean et se tourne vers Viviane : — Ils sont mignons ces deux là, heureusement que je ne suis pas jaloux comme la plupart de mes concitoyens. — Moi non plus, s’ils trouvent un moment de bonheur en écoutant cette musique sublime. Mais j’aimerai aussi bien un petit câlin. — Je vois qu’on en revient à notre discussion de l’autre jour, ce soir, cela a bien évolué.
À ce moment-là Wouarda remarque :— Il fait horriblement chaud, que penseriez-vous de se mettre déjà en tenue de lit et on se retrouve dans un moment ici pour continuer notre soirée, on aurait moins chaud. — Bonne idée, j’ai aussi très chaud, on pourrait aussi se rafraîchir sous la douche si les enfants nous ont laissé un peu d’eau chaude. C’est ainsi que les quatre se retrouvent un peu plus tard dans le salon et Viviane demande : — Wouarda, on vous a joué un extrait de notre musique, mais à savoir en Syrie, votre spécialité, c’est la danse et j’ai toujours rêvé de l’apprendre. — Je veux bien te montrer comment cela se danse, je pense qu’Ali peut jouer la musique arabe aussi bien que l’occidentale, mais je n’ai pas mis les vêtements qui conviennent. Il faut que je me change et si tu veux apprendre, il faudra aussi que tu te changes chez moi, je dois avoir ce qu’il faut. Attendez-nous. — Mais je pense que les hommes dansent aussi séparément et que ce n’est pas la même chose, Jean, tu ne serais pas intéresser d’apprendre, je tâcherai de comprendre leurs musiques et me mettrait au piano. — au violon, c’est aussi bon. — Est-ce qu’il faut qu’ils se changent aussi ? — Non, je pense que s’ils enlèvent la veste de pyjama, cela pourrait aller. Attendez-nous, on revient.
Les deux femmes se retrouvent dans la chambre de Wouarda et Ali pour se changer et naturellement, il y a une bouche et un sein qui par hasard traîne sur le passage, quand ce n’est pas une moule qui écope pas un petit coup de langue. — Tu penses que notre plan va marcher ? Demande Wouarda. Comme c’est parti, c’est 50 50. — Là, comme cela, cela va ? — oui, c’est parfait. Je m’habille maintenant pour commencer. Les deux femmes, excitées comme des puces sur le pubis d’un SDF, redescendent au salon. — Ali, joue-moi la musique de Sadie Marquard
— Avec plaisir mon trésor. Elle se lance et avec une suite de déhanchement, de mouvement du pubis qui sont des véritables appels au viol, sans dépasser une certaine limite, elle captive son public— Viens Viviane, essaye !Viviane commence aussi à se lancer dans cette danse oh combien érotique. Son mari voyant ce qui se passe, a la bave qui lui coule au coin de la bouche et son pyjama ressemble à un chapiteau de cirque. C’est à ce moment là qu’ Viviane lance : — J’ai oublié de dire que dans trente secondes, il y a une panne de lumière générale annoncée par EDF. J’espère qu’on retrouvera nos pénates. — Quoi, disent les deux hommes un peu surpris.
D’un coup la lumière s’éteint et les deux femmes mettent en pratique leur plan, Viviane monte à l’étage et Wouarda reste sur le même étage et se dirige vers la chambre de Jean et Alicia.Jean jurant comme un charretier trouve finalement ses repères et son lit, il se tourne vers celle qu’il croit Viviane.
— Tu m’as épatée ce soir, j’ai une trique, viens, mets-toi sur le dos. J’ai envie de toi. — Hmmm. Répond Wouarda, ne voulant pas se trahir trop tôt.
Récit de Wouarda. J’étais prévenue, Jean ne fait pas de préliminaires. Heureusement qu’on a un peu joué avec Alicia et que ma moule est prête. Ça y est, il est sur moi, Oh le monstre qu’il m’enfile à sec, normalement, il faudra que je l’éduque un peu, Ouille, d’un coup jusqu’au fond sans transition. Je la sens bien cette bonne grosse queue et en dessous, ses billes de billard qui frappent mes cuisses. C’est bon, je vais me laisser aller dans un premier temps après il faudra que je lui fasse compléter. Il lime bien par contre, je me sens partir, cela doit être l’inconnu et dire que mon mari fait de même à l’étage, j’aimerai bien savoir demain. Tiens, il commence à me titiller les seins c’est bon, il n’est quand même pas complètement ignorant, ses grosses mains sur mes seins, c’est quelque chose, il palpe sans trop de délicatesse. Tiens, il descend sa main dans mon entre jambe. Aie, le moment de vérité. Récit de Jean. Qu’est-ce que ces femmes qui m’ont excité au maximum ont encore inventé. Couper le courant. Avec ma trique qui tape de partout, c’est pas vraiment facile. Voilà mon lit, il faut que je me décharge, que je décompresse toute cette excitation qui est en moi, je demande à Alicia de venir que je puisse la couvrir. Voilà, j’y suis, j’ai l’impression qu’elle est plus étroite que d’habitude, mais c’est vraiment bon, chaud et bien humide, je vais lui tâter un peu les nichons pour qu’on vienne ensemble, c’est toujours meilleur. Bizarre, je n’ai pas l’impression de connaître cette poitrine, les seins en poires de mon épouse ne sont plus en poire, c’est quoi ça. Je glisse ma main sur son pubis pour caresser un peu son bouton, même si elle m’a l’air de prendre un pied du tonnerre. Mais où est donc passé la douce forêt de mon Alicia, il n’y a plus rien, elle a dû faire les foins. Ou bien.... J’ai un doute. Ne serait-ce pas que nos femmes ont changé de partenaires sans rien nous dire ? Jouons le jeu comme si je n’avais rien remarqué. J’y prends un plaisir incroyable, mais je me demande de que cela va donner demain.
Récit d’Alicia.Il faut que je me dépêche avant qu’Ali voie la substitution. J’ai oublié de lui demandé s’il dort vers la porte ou vers la fenêtre. Bon, je me mets vers la fenêtre, je verrai bien s’il fait le tour. Ça y est, le voilà dans le lit, du bon côté. Mais qu’est-ce qu’il fait, pourquoi il va sous les draps et va lécher mon minou, Hmmm c’est aussi bon qu’avec Wouarda, même meilleur, avec sa barbe d’un demi jour, le frottement de son menton sur mes lèvres, je sens que je ne vais pas trop résister. Tiens, il arrête, c’était pourtant bien parti, ha ! Le voilà qui joue au bébé maintenant et il me suce les seins, j’ai rien perdu au change, surtout que sa main a pris le relais plus bas, Il me prend maintenant ma bouche, sa langue est délicieuse, j’aime son contact, enfin, il se glisse en moi, c’est vraiment différent qu’avec Jean, ma figue est tellement excitée que je me sens partir tout de suite, c’est si bon, ce doit être le côté interdit qui doit m’exciter si fort. Il ne faiblit pas, je vais partir encore une fois. Qu’est-ce qu’il fait, il se met comme on s’est mis avec Wouarda, me voilà avec son sexe en face de ma bouche. Que faire, on n’a jamais fait avec Jean, tant pis, je me lance et je prends sa bite dans ma bouche, c’est chaud et encore plein de mon odeur, je me sens un peu maladroite. Le voilà qui me met son doigt sur mon trou du cul, Je ne peux pas rompre notre contrat avec Wouarda. Je me dois de le laisser faire. Mais il y met le doigt maintenant, il passe de ma grotte à mon cul, sans arrêt, j’aime bien, hé ho, il vient de m’en mettre deux, il me masse l’oignon de plus en plus intensément et j’ai toujours cette bite qui ne veut pas cracher son venin dans la bouche. Pourquoi il se retire ? Il me demande de me mettre à quatre pattes, comme les vaches qui vont au taureau. Mais le salaud, il me plante son dard dans le cul et je ne peux pas protester, sinon je romps le pacte avec Wouarda et cela va faire un drôle de bordel, je suis obligée de ne rien dire, du reste, c’est pas si mauvais que cela, même que c’est de meilleur en meilleur, aïe cela part une troisième fois, surtout qu’enfin il me lâche sa mayonnaise. Oh ! Comme j’ai aimé. Mais il faut que je retourne bientôt dans le lit conjugal. Je vais me lever quand tout d’un coup j’entends :
— Reste encore un peu Alicia. J’ai trop apprécié ! Et toi ? — Aie ! Tu as deviné le subterfuge. Tu n’es pas jaloux j’espère. Non, après ce que j’ai vécu, c’était si nouveau et bon. — Tu encules souvent Wouarda ?— Non, jamais, mais comme j’avais deviné très rapidement que ce n’était pas elle, je me suis dit que c’était l’occasion de satisfaire ce fantasme. — Tu es un salaud, mais j’ai bien aimé, surtout à la fin, c’était mieux que bien, mais je me demande ce que cela donne avec Jean, il est moins raffiné que toi. C’est un peu la force brute. — Je pense qu’elle a aussi apprécié, c’était aussi son fantasme. — Et si on leur faisait une surprise en allant leur rendre visite ? — Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, laissons cela pour la prochaine fois. — Parce que tu envisages une prochaine fois. — Pas toi ? Tu n’as pas eu de plaisir ou plutôt est-ce que ton plaisir n’a pas été plus fort qu’habituellement ? Pour moi, je peux te le dire. — Oui, mais comment va être la relation des autres ? — Je pense qu’avec Wouarda, cela ne devrait pas poser de problème puisque l’idée était votre, quant à Jean, s’il n’a rien vu, on verra demain, ne forçons pas tout de suite. — Bon avec Wouarda, on doit s’échanger en allant à la douche. Je vais y aller.
À la douche, Wouarda est déjà sous le flot d’eau et Alicia se déshabille pour la rejoindre. Elles se savonnent bien mutuellement et Alicia : — Ali a découvert le pot aux roses. Mais je pense qu’il l’a bien pris, en tout cas, j’ai pris un plaisir très grand, mais j’ai eu deux grosses surprises, j’ai dû le sucer, ce que je n’avais jamais fait et ensuite, il m’a enculée et comme je ne voulais pas trahir notre pacte, je l’ai laissé faire, je ne regrette pas, il avait bien préparé la place. — Oh ! Le profiteur. Ça, je ne lui ai jamais donné. C’était bon au moins ? — Mieux que bien ou bon, des sensations que je ne connaissais pas.
Récit d’Ali :C’était une super idée, on s’est fait cocu mutuellement avec Jean, mais quel plaisir, c’est vrai que la soupe du voisin est toujours meilleure que la sienne. Je l’ai bien roulée Alicia, son petit cul, quelle merveille et son suc, si différent de ma Wouarda. Je me demande comment va se passer la chose avec Wouarda, et surtout avec Ali. Tiens, la voilà qui revient.
— Tu dors mon chéri ? — Ah ! Tu es là femme infidèle ! — Oui mon petit mari infidèle aussi. Comment tu as apprécié la substitution ?— C’était une super idée, j’ai adoré et toi ?— C’était aussi très bon, je l’ai sentie passé, il a un zob beaucoup plus gros que le tien. C’était la surprise, mais il faut dire qu’il ne s’embarrasse pas de fioritures, c’est un peu : J’arrive, je me plante et je mouline. Heureusement qu’Alicia m’a un peu préparée. — Comment cela ? — Avant on s’est donnée un peu de plaisir mutuel. Tu ne vas pas me dire que tu n’as rien remarqué ? — Oui, au début j’ai été surpris que tu sois partie tout de suite sans trop de caresses, mais quand j’ai compris qu’il y avait substitution, j’ai mis cela sur la nouveauté et l’attrait de l’interdit. Qu’est-ce qu’on fait ? On dort ou on fait encore un round. — Je suis un peu fatiguée, il est très endurant Jean et infatigable, avec le côté nouveau, je suis partie un nombre de fois incroyable. Demain matin en se levant, si tu veux bien. — Oui, je suis aussi un peu fatigué, même si je n’ai joui qu’une fois, dans son cul. Viens dans mes bras, mon amour. — Je t’aime Ali encore plus qu’avant.
À l’étage inférieure, Alicia se glisse timidement dans les draps, se penche sur son mari et l’embrasse :
— Bonne nuit, mon amour !— Mais ma chérie, c’est la douche qui t’a tant fatiguée, tu m’as dit : Attends-moi, je vais juste me nettoyer. — Oui, cela doit être cela.— C’est vrai que j’avais l’impression de revivre notre nuit de noce, tu étais démontée, je ne t’avais jamais vu comme cela. Mais c’est pas grave, Par contre, tu pourrais me refaire ce que tu m’as fait juste avant de partir te doucher. Je reste avec le poireau qui est monté en tige. J’ai bien aimé ta bouche. — Oui mais toi, par contre tu ne m’as pas rendu la pareille. — Tu veux ? — Évidement, il faut des fois savoir partager. — Qu’est ce que tu entends par partager ? — Les bonnes expériences.— Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi tu as plusieurs fois mentionné Ali, je sais que vous êtes très proche, mais toujours quand tu perdais pieds, tu parlais soit d’Ali soit de moi. Ça tu ne me l’avais jamais fait, tu as fait tellement de choses nouvelles cette nuit que je ne m’y retrouve plus. — Tu as aimé au moins. — Pas aimé, mais adoré. J’aimerai bien le refaire souvent comme cela. — Je dois t’avouer quelque chose, chéri, ce n’était pas moi. — Comment cela ?— Avec Wouarda, suite à nos discussions, on a décidé de temps en temps d’échanger nos époux. À ce qu’elle m’a dit, elle a bien apprécié ton gros gourdin, — Ah ! Ah ! Et toi pendant ce temps là ? — Je suis retournée à l’école pour apprendre et j’ai bien aimé les cours.
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