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Les Robinsons de Bohème

Chapitre 3

Divers
Chapitre 3
Résumé des deux chapitres précédents.
La famille Konopiste suite à la bataille de la Montagne Blanche décide d’émigrer dans le nouveau monde, un orage détruit le bateau et seuls les Konopiste sont sauvés, mais le père se trouve avec le dos bloqué et son fils chargé de tous attrape froid dans un ruisseau et lutte pour sa vie, sa mère voulant lui tenir chaud succombe à ses charmes et commet l’adultère sous les yeux du patriarche qui miraculeusement à la vue de son épouse fricotant avec son fils retrouve un semblant de santé.
Après de cet incident, la famille en entier sauve deux indigènes qui étaient prévus pour un sacrifice que les Konopiste ont effrayé avec des fusils. Suite à ceci, Vlasta, la mère se prend d’affection pour le jeune homme et continue dans sa recherche du plaisir et simultanément la jeune indigène est prise par le fils Jan. On se trouve à la veille de la deuxième nuit, où le jeune homme dont on a simplifié le nom en Arrac se prépare à s’initier aux délicatesses du cunnilingus.
Suite coquine puis constructive:
Remontant les cuisses musclées de Vlasta, d’une belle couleur pâle, Arrac arrive avec sa bouche juste à la fourche et son nez s’imprègne de cette odeur excitante et simultanément, il voit un jus sourdre en dessous d’un petit bout de chair, il sourd au milieu d’une splendide balafre entourée d’une forêt de poils roux flamboyant bien dense. Curieux, il tire la langue, aidé par les phéromones distillées et il la plonge dans la dite balafre pour déguster ce liquide un peu poisseux, mais très excitant.
— Oui, c’est bien, comme cela.
— Moi, bohémien pas comprendre répond Arrac.
Alors d’un geste auguste, Vlasta descend ses deux mains et entoure la tête qui est en train de lui lécher la pastille et la maintient fermement, ainsi elle lui fait comprendre qu’elle apprécie ses efforts linguistiques. Finalement, elle se dit : « si tout le monde peut se goinfrer dans ma fontaine de Trévise, pourquoi moi je ne pourrais pas avoir ma sucette à la viande, arrosée d’une bonne rasade de sauce coucougnette. Sans plus attendre, en laissant son entrejambe à disposition de l’élève, elle lui prend le manche en main et l’amène vers sa bouche pour déguster ce magnifique bâton de berger.
— Hum pas mal, dit-elle, cela a un petit goût de sauvage bien agréable. Voyons ce que donnera la sauce qui vient avec, j’ai les papilles qui frétillent.
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin, le jeune Arrac, pris d’un tremblement lui arrose les amygdales d’une crème abondante qui transite sans autre dans son estomac. Vlasta pense qu’il a bien eu son plaisir, mais qu’il faudra qu’il apprenne à retenir quand oh surprise, surprise et merveille de la jeunesse, il n’a pas débandé, il reste bien ferme et ils se disent que c’est le moment de mettre le bâton de berger au chaud. Se remettant dans le même sens, dans la position du missionnaire, (normal pour une famille qui a fuit l’obligation d’être catholique.) La jolie balafre de Vlasta accueille avec plaisir cette bite étrangère, mieux que beaucoup de siècles plus tard les Palestiniens en Europe.
— Vas-y Arrac, ne te relâche pas, enfile bien ton manche dans ma crapette.
À ce moment-là, la plus âgée des filles qui doit avoir dans les 18 ans, mais comme on a oublié de faire des encoches dans l’arbre calendrier, c’est pas sûr, mais heureusement sur l’île, les cercles de vertu ont oublié de faire naufrage, pose la question :

— Pis moi, j’aimerais bien aussi me faire visiter la boîte à mouflets. Je commence à avoir l’âge, déjà que Jan a nettoyé les toiles d’araignées à Maman, pourquoi je n’y aurai pas aussi droit.
— Ne compte pas sur moi, c’est un miracle si j’arrive à bander faiblement, donc de casser le scellé de ta virginité, n’y pense pas, mais si ton frère ou Arrac a encore des forces, on pourrait l’envisager, plus on est de fous, plus on rit et les ligues de vertu ne sont pas sur cette île, mais il faut tenir compte de ta mère et de Couilicoulic qui sont assoiffées du bon jus de pipe et rien ne les fait reculer pour vider les burnes des mâles disponibles.
— Bartolo, suggère Coulicoulic, tu as vu cet arbre entre le lieu ou vous nous avez délivré et ici, les infusions sont comme le Viagra, qu’on inventera beaucoup plus tard, mais très efficace. Je te ferai une tisane demain, tu m’en diras des nouvelles et si cela marche, je serai alors la première à pouvoir profiter de ton sceptre de patriarche. Après peut-être que tu pourras t’occuper de ta fille qui a l’air très demandeuse. Si cela ne va pas avec toi, on verra avec son frère ou Arrac.
— Tu prétends que tu pourrais me rendre les forces génitales ? Si c’est vrai, je bénis le Seigneur qu’on ait pu te délivrer. C’est mon calvaire depuis plusieurs années.
— On verra demain, je vais aller ce soir en chercher et demain tu essayeras.
Le lendemain, elle arrive avec une brassée de branchettes qu’elle met à infuser dans la grande marmite à la place des herbes habituelles. Elle brasse longuement le mélange, jusqu’à obtenir un sirop assez condensé qu’elle verse dans une petite amphore.
— Tiens pour toi Bartolo. Toi grande bite après, moi contente.
— Ouille ouille ouille crie Vlasta, je vais revivre mes jeunes années si Bartolo a son gourdin qui relève la tête. Cela me manquait, mes enfants, vous n’arriverez jamais à l’égaler quand il s’y met, c’est un vrai pur sang mongol, qui ne reprend pas son souffle à travers la steppe. Mais Coulicoulic, si tu es à l’origine du miracle, il est logique que tu en profites.
— Merci, Dekuji (Découilli en prononciation française) comme on dit chez toi. Ça juter fort.
Effectivement, après avoir absorbé le breuvage, le trépan de Bartolo a redressé la tête et devant la grandeur de l’obélisque, Couili n’était plus très sûr de passer à la casserole. Elle hésite d’avoir à absorber un tel monstre.
Vlasta qui est compatissante et qui a lu en secret les œuvres de Kamasoutra, extrêmement rare à cette époque, lui vient en aide en lui proposant la position de Cassandre qui lui laisse le choix de l’action. (même en bourse)
Elle avait pu en lire quelques pages en secret en faisant la poussière à la bibliothèque de l’évêché avant de rencontrer Barto.
Là son membre et la façon de s’en servir, l’avait convaincu que la religion réformée était la bonne solution pour le radada, Elle fut vraiment déçue des amis de Barto, mais pas de Barto qui tant qu’il pouvait, la bourrait régulièrement comme il faut, en récitant des psaumes de David, il ne reculait vraiment devant rien pour lui faire plaisir.
C’était autre chose que l’évêque qui n’avait qu’une petite virgule qui fallait toujours secouer pour avoir l’angélus. Et encore sa petite clochette était très avare de plaisirs à donner aux autres, c’était très concentré sur sa personne. Finalement, il aimait plus son sacristain qui avait un cul qui s’adaptait mieux que le gouffre de Vlasta dans le quel il avait l’impression de nager dans une citerne d’huile chaude. Comme il n’était pas adepte du cunnilingus et réservait ses ardeurs au phoque et il appréciait principalement le goût du poisson, cela ne pouvait pas aller. Ce qui explique que malgré sa beauté, l’évêque la laissa partie sans problème, ne sachant pas qu’elle partait avec un horrible hérétique plus versé à chanter des psaumes qu’à acheter des indulgences, mais surtout possédant un goupillon de rêve.
Pour en revenir à l’essai de baise de Couilicouli, en pleine ascension de la Pointe Dufour, sentait justement son four incandescent prêt pour se faire empaler. Pliant les genoux, elle présente sa petite tirelire devant le monstre en priant Dieu que cela se passera bien. Effectivement ses craintes s’avérèrent infondée, la pastille étant partie sur les couilles de Jan, plus rien la retenait d’engloutir cette montagne de chair dans sa grotte intime. L’excitation, à la vue de ce sceptre majestueux lui avait largement lubrifié le passage. Lentement, appréciant chaque centimètre de sa descente aux enfers elle s’enfilait jusqu’à ce que ses fesses touchent le haut des cuisses de Barto, Barto qui soufflait comme un phoque quand il remonte sur sa banquise et qu’il voit Brigitte Bardot.
— Ouah, J’y suis arrivée, brame-t-elle, fière de sa performance, J’ai l’impression de me chatouiller les amygdales avec ce que j’ai englouti.
— Discute un peu moins et travaille lui enjoint le patriarche qui aimerait bien se faire un peu masser intimement la pine.
— Qu’est-ce que tu veux que je travaille ? Remarque la belle.
— Soit tu contractes les muscles du cul pour me masser la pine, soit tu montes et tu descends, jusqu’à ce que je t’arrose tes ovaires.
C’est ainsi que de accroupie à assise, puis de nouveau accroupie et de nouveau assise sur le haut des cuisses de Barto et on recommence, Couilicoulic subit un entraînement absolument adapter pour un slalom géant qui n’existait pas encore à l’époque et surtout sous ces latitudes. Finalement après bien des efforts, parsemés de quelques orgasmes divins, normal vu le statut du patriarche, arrive à déclencher le déluge qui conduit au nettoyage complet de sa matrice. Elle se lève et en débouchant l’organe qui obstruait sa tirelire, un fleuve blanc et gluant s’échappe de sa grotte du plaisir.
— Ouf, cela fait du bien remarque Barto, j’accumulais les réserves depuis trop longtemps, merci d’avoir vidé mes provisions.
— Merci à toi d’avoir si bien rempli ma caverne et d’avoir inondé mon champ de fertilité.
— Je crois qu’avec beaucoup d’avance, j’ai inventé le système métrique :
… Moi je voulus mètre
… Couilicoulic centimètre
… et je pense que Arrac millimètre aussi.
Bon, soyons sérieux dans cette monstrueuse déconnée, car à part le sexe, l’histoire continue. Le lendemain, après que Barto ait distribué le pain quotidien à toutes les femelles qui le voulaient, il fallait continuer. Les trois hommes partirent avec les fusils pour faire le tour complet de l’île et oh surprise, il y découvrir un âne, un âne républicain. Ce qui n’entravait pas leur conviction religieuse. Mais entre découvrir et ramener un âne, c’est pas la même chose, la bique était têtue et ne voulait rien entendre et sur l’île, ils avaient bien découvert des bâtons, mais pas encore les carottes chères aux dirigeants du monde. Alors le bourricot n’en faisait qu’à sa tête, malgré la longe qui lui serrait le cou. (et pas les coucougnettes comme me le suggère le traitement de texte), finalement après bien des efforts, ils réussirent à le faire venir au campement et là, devant l’assurance et la beauté de Vlasta, il commença a arrêté de faire des caprices et se laissa vite enfermé avec les chèvres dans l’enclos.
Mais là, il y eu des nouveaux problèmes, le bouc qui finalement avait rejoint ses chèvres voyait d’un très mauvais œil l’arrivée de ce concurrent qui semblait nettement plus monter que lui et avait peur que ces chèvres l’abandonnent. Mais rapidement le brave Bourricot dans son langage d’âne, iha iha lui fait comprendre qu’il n’a pas à avoir peur pour ses chèvres, mais pour lui, parce qu’il est gay.
-Ah alors cela va, il faut simplement que jamais je te tourne le dos sous peine de me faire crucifier.
— Tu as tout compris mon ami brait l’âne satisfait que l’autre ait si bien compris son langage.
Le lendemain, c’est jour de travail et là, l’âne devra participer, car il faudra charrier des charges qu’il faut trois humains pour les lui mettre sur le dos. Il est venu dans l’idée de Barto, ayant retrouvé tout son punch de construire un bateau et d’aller voir dans les environs de quoi il retourne. Si bien que des billes avec les arbres qu’ils ont vue lors de leur excursion, cela pourrait bien aller, mais il faut les traîner jusqu’au chantier naval naissant. Donc on compte absolument sur l’âne on lui met une corde autour du coup et également sur le poitrail pour attacher les troncs à tirer. Ils veulent le transformer en âne de trait, mais maître Aliboron ne l’entend pas de cette oreille, oreille qu’il a du reste très longue. Il faut toute la persuasion de Vlasta pour laquelle il a eut un coup de foudre violent ce qui l’oblige à réciter un long concert fait de « iha iha iha » plus ou moins discordant.
Après une dure journée de labeur, où on a ramené 5 troncs, ce qui représente une fois traité un bon quart du bateau projeté par Barto. Il sera plus petit que celui qui a coulé quand ils sont arrivés sur cette île, mais tout de même plus grand que les pirogues des indigènes qu’ils avaient vu. Il espère qu’ils pourront encore remonter un canon, chose qu’ils n’avaient pas jugé nécessaire jusque-là, mais avec deux jeunes hommes très valides, c’est pensable.
Aussi demain, on va essayer de passer sur un ou deux canons des cordes et on mettra Aliboron à contribution pour les sortir, parce que seulement les garçons ne vont pas suffire.Les boulets, ne seront pas inutiles non plus.En plongeant vers le bateau, Arrac qui nage comme un poisson dans l’eau, enfin plutôt comme un baleine, parce qu’il lui faut bien aussi remonter à la surface pour respirer, mais vraiment c’est vraiment une aide. Ils font comme prévu et ils arrivent à sortir ces sacrés canons et même avec un panier que Couilicoulic avait tressé, ils remontèrent quelques boulets.
Demain on continuera le travail de bûcheron décide Barto, très content de voir comment cela se déroule, et après-demain, il faudra qu’on ait faire une provision de soufre et de salpêtre pour refabriquer de la poudre noire et on fera aussi du charbon de bois, la réserve est bien entamée, avec le carénage du bateau, il y a beaucoup de déchets, on va les utiliser pour fabriquer du charbon de bois.
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