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Les routiers sont sympas

Chapitre 3

L'Autostoppeuse idéale - L’aller

Hétéro
LES ROUTIERS SONT SYMPASL’Autostoppeuse idéale - L’allerBonjour,A la fin de mon engagement, j’ai fait convertir mes permis de conduire militaires en permis « civils ». Muni de ces prècieux documents, j’ai trouvé un emploi de chauffeur routier internationnal longues distances. Après 1 mois d’essais, à 26 ans, les routes de l’Europe s’ouvrent devant moi pour de nouvelles aventures,Comme les autres, les histoires que je vais publier sont vraies. Il est bien entendu, pour préserver leur anonymat, les noms des personnes et de certains lieux ont été changés ou imaginés,
Fin juin, je dois livrer, avec une semi-remorque, 25 tonnes de bouteilles de vin à Duisbourg, en Allemagne, Je vérifie sur mon Atlas l’itinéraire (pas GPS à l’époque), soit environ 1300 km et 25 heures le conduite au moins. Je décide partir vers 4 heure le lundi matin.
Je traverse Angoulème. A la sortie de la ville, près d’une station sevice, je vois une jeune dame ou demoiselle, debout à coté d’un volumineux sac à dos. Elle tient un carton avec PARIS écrit en grosses lettres noires. Elle me regarde avancer. Bien qu’elle ne m’a pas fait signe, je m’arrête à sa hauteur, descends et lui demande :  « Vous voulez que je vous ammène ?— Je ne vous ai pas fait signe !...— A l’heure qu’il est, il n’y a pas beaucoup de circulation, vous risquez attendre un moment...— Et en plus, il commence à pleuvoir...— Raison de plus pour monter avant d’être trop mouillée...— Bon, d’accord. » me dit-t-elle après un temps d’hésitation.J’ouvre la portière et l’aide à monter. Mais un camion c’est haut. Pour entrer dans la cabine il y a 3 marches. Ce n’est pas facile quand on est vêtue d’une jupe un peu serrée. Placé derrière elle, je peux voir jusqu’en haut de ses cuisses. Elle a de belles jambes galbées, « ensachées » dans un collant transparent, couleur chair. Cette position me permet de voir jusqu’à la naissance de ses fesses. Par dessous le collant, elle a un short de cycliste court qui lui colle à la peau. Je lui fait passer son sac et reviens à ma place, derrière le volant.Après avoir quitté son manteau « coupe-vent », elle s’installe sur le siège « passager » en me regardant et en tirant au maximum sur sa jupe qui a du mal à cacher ses cuisses.
Je démarre, commence à rouler. Tournant mon regard vers elle, je lui dit :— « Bonjour mademoiselle...Je m’appelle Joseph,,, Bienvenue à bord !— Moi je suis Christine... Je ne suis pas demoiselle mais madame ! (sur un ton sec)— Excusez-moi mais je n’ai pas vue d’alliance...
-Après 2 ans de mariage, j’ai divorcé. Mon alliance me rappelait de trop mauvais souvenirs, je l’aienlevée...— Il y a longtemps ?— Vous êtes bien curieux... Cela fait un peu plus d’un an...— Dès le divorce donc, pas pour faire du stop ?-Exactement... D’habitude je ne fais pas signe aux routiers... Mais comme il commence à pleuvoir... Et puis vous avez l’air sympathique... On dit bien que les routiers sont sympa. ? Je me serais trompée ?— Pourquoi ? Vous pensez que les routiers sont des gens incorrects ?— Pas tous bien sur ; mais ils ont une certaine « réputation »,,,— Je ne suis pas un violeur, un obsédé, un sadique ou un satire... Je suis très gentil, surtout avec les belles dames... Bien sur, personne n’est à l’abri d’une agression, ou d’un viol, par un routier ou quelqu’un d’autre,,,— Cela ne vous a pas empêché de vous rincer l’œil quand je suis montée...— Un chien regarde bien un évêque, un routier peut bien regarder une paire de belles cuisses... vous croyez que je vais en perdre la vue ?... — (petit rire le la dame) Je ne pense pas... surtout que vous n’avez pas dû voir grand chose... — En effet... Un short sous une jupe, c’est la dernière mode ?— Non... J’ai pris le risque de partir en vacances, pour la première fois, en faisant du stop... C’est une copine qui m’a conseillé de mettre ce genre de short car ce n’est pas facile à enlever en cas d’agression... Cela peut permettre de s’échapper et de courir plus vite... Pour l’agression je n’ai rien sur moi et pour le viol je ne laisserais pas un homme en venir à cette extrémité.— Comment ?— En lui donnant ce qu’il veut...— Vous, au moins, vous êtes directe... »
Tout en conduisant, je la regarde. Sa belle poitrine « généreuse », semble bien ferme, bien soutenue, tend le tissus d’un T.shirt blanc à manches courtes et col rond. Sa chevelure châtain, « cascade » en ondulant sur ses épaules. Son visage rond sans trace de maquillage, son nez légèrement retroussé et ses yeux marrons lui donnent un air « malicieux ». Elle doit mesurer près d’1m70. Avec son l’allure « sportive » et décontractée, elle ne doit pas avoir plus le 30 ans. Elle me dit être infirmière, ne pas d’enfant, aimer voyager, bref, aimer la vie, prendre du plaisir,,,Tout en elle « respire » la joie de vivre.
Notre conversation continue sur un ton enjoué. L’atmosphère se détend... Nous parlons de tout et de rien. Nous faisons de plus en plus connaissance, Très vite nous nous tutoyons. Bien que j’ai promis d’«être sage », je drague un peu. Elle ne s’offusque pas et répond toujours avec le sourire. Plus nous parlons, plus je la trouve sympathique, Plus je la regarde, plus je la trouve attrayante,  Le temps passe, le kilomètres défilent, Vers 10 heure, je fais un arrêt « pipi et café » dans un relai routier,Elle sort de son sac un carnet. Je lui demande à quoi il va servir :  -  « C’est mon « livre de route ». Je vais y noter les villes et villages que nous traverserons. Aux arrêts, je demanderai de me le tamponner. Ça sera un souvenir de ce voyage et une preuve pour mes copines quand je vais leur raconter cette « aventure ».En revenant vers le véhicule, je lui demande :— « Avec mon camion, je ne peux pas entrer dans Paris, n’ayant pas de livraisons à y faire,,,Ou veux-tu que je te dépose ?,,, Tu as le la famille à Paris pour t’héberger ?,,,— Non,,, Sur le minitel, j’ai relevées les coordonnées de quelques auberges de jeunesse et de foyers d’accueil qui ont des places libres,— Personne ne t’attend ?...— Non ! Je suis partie à l’aventure, je n’ai rien retenu ou réservé... Et toi, vas-tu ?...— Je vais à Duisbourg, en Allemagne.— Tu en as de la chance de voyager loin,,, Je viendrai bien avec toi,,, Mais comment passer les frontières ?...— Si tu es française, si tu es majeure, si tu as ta carte d’identité de moins de 10 ans, il n’y a pas de problème, tu peux me suivre...»Elle réfléchit un moment... et répond d’un air réjoui... — Je suis française, j’ai 29 ans, ma carte d’identité à moins de 10 ans, si tu acceptes ma compagnie, je te suis...— Tu as pensé que c’est au moins 3 jours et 2 nuits à passer dans cette cabine. Pour manger et faire la toilette, il y a les relais routiers. Mais pour dormir, il faudra partager cette couchette... Dans ce cas, je ne serai peut-être pas toujours sage,,,— Et alors ! Tu crois que je n’y ai pas pensé,,, Je t’ai dit que si je dois me faire violer, je me laisserai faire... Je t’ai dit aussi que j’aime la vie... avec tous ses plaisirs,,, Je n’ai pas attendu d’être mariée pour perdre ma virginité ; je n’ai pas attendu de rencontrer un routier sympa pour m’envoyer en l’air !,,, J’en prends le risque en espérant passer un bon moment,,,— J’espère ne pas te décevoir,,, »
Que dire après ces révélations ? Je reste abasourdi quelques instants... Un ange passe... Suite à une discussion sur les femmes, les hommes, la vie, l’amour, le sexe, ses pratiques, les histoires érotiques, et tout le reste, Nous étions arrivés à nous faire des confidences intimes. Je relance la conversation sur ses relations avec les hommes. — « J’ai envie d’en savoir un peu plus sur toi ,,,  — Jeune fille, ce sont ma mère et ma marraine qui m’ont appris ce qu’était la sexualité. Adolescente, j’aieu mes premières règles vers 14 ans. Je sentais que mon corps se transformait. Mes seins, qui se développaient le plus en plus, me donnaient des sensations voluptueuses quand je les frottais en faisant ma toilette. Mon entre jambe se couvrait de poils. La aussi, j’avais des sensations le plus en plus « bizarres » mais agréables quand je savonnais ma vulve. J’étais de plus en plus attirée par les garçons . Bien que cela me soit défendu, j’ai « joué au docteur »  avec Gilbert, le fils de nos voisins. Au fur et à mesure de nos rencontres cachées, nous nous sommes regardés, puis nous nous sommes « touchés », nous nous sommes caressés. C’était la première fois que j’ai vu un sexe de garçon grossir dans mes mains. Je l’ai « caressé », je l’ai fait éjaculer. Il m’a caressés les seins et le sexe. J’ai pris du plaisir mais c’était surtout pour « braver l’interdit ». Ma première fellation c’était en soirée chez une amie. Son copain voulait absolument me baiser, j’ai refusé. Il a voulu que je le suce, ma copine, passablement « émoustillée », insistait pour que j’accepte. Je l’ai pris dans ma bouche. Ça m’a dégouté. Avec la complicité de mon amie, il en voulait plus. J’ai refusé... Nous avons rompues toutes relations.Je dois reconnaître que j’avais pris un certain plaisir... Mais en fait, je voulais deux choses. Un, je voulais que ce soit avec quelqu’un sachant y faire. Parce que j’ai un peu peur tout de même et je voulais que ce soit inoubliable. Et de deux, je n’avais pas envie de me donner à n’importe lequel des gars avec qui je sortais, ils voulaient absolument et uniquement coucher.Et oui, ça semble cru : je voulais me faire déflorer par un garçon. J’en avais marre d’être toujours pucelle et d’entendre mes copines parler de leurs « aventures sexuelles » ! J’en avais marre de prendre du plaisir avec mes doigts.J’ai toujours été studieuse, la gentille fille respectueuse de la morale et de l’éducation de mes parents, la jeune fille qui ne faisait rien de mal. Mais je voulais connaître ce qui était interdit.Je cherchais un garçon doux qui saurait me déflorer en douceur et me faire connaitre le sexe dans son bon coté : me donner du plaisir par des préliminaires sans fin et une pénétration douce, longue, indolore. C’est mon prof le sport, au lycée, qui a eu cet « honneur ». Cela c’est bien passé comme je l’avais souhaité. Notre relation secrette n’a duré que quelques semaines car j’avais obtenu ce que je voulais et lui avait peur le se faire révoquer si nos relations étaient dévoilées.
— Et toi, comment tu as commencé ?...— Chez nous, comme chez toi, enfants, il n’était pas question de parler de sexe.,, Mais, habitant à la campagne, nous avions l’avantage de voir les animaux s’accoupler et les petits naitre. Nous savions qu’une femme avec un gros ventre allait avoir un bébé. Nous nous doutions bien que les papas mettaient leur « zizi » dans la « foufoune » des mamans,,, A l’adolescence, nous, les garçons, nous étions « étonné » quand notre « zézette » durcissait et s’allongeait.,, C’est en la caressant que j’ai eu, à ma grande surprise, ma première éjaculation. Nous voulions, le plus souvent possible, voir sous les jupes des filles. C’est avec une camarade d’école que j’ai eu mon premier rapport sexuel.  Ma copine a eu ses premières règles le lendemain. Sa mère lui a offert un livre d’éducation sexuelle écrit par un médecin. A sa lecture, nous avons appris beaucoup de choses sur le sujet,Puis j’ai eu d’autres rapports avec une autre une fille. Sa mère était la pharmacienne du village. Quand elle s’est aperçu que sa fille « volait » des préservatifs, elle lui a fait avouer avec qui elle s’en servait. La maman m’a fait appeler. En tête à tête, j’ai eu droit à un bon « sermonage ». Intimidé, me sentant coupable d’avoir commis un « péché mortel » sur sa fille, je restais « pétrifié » face à elle. Tout en m’engueulant, elle s’était excitée. Avant de me laisser partir, elle a profité de mon désarroi pour se « payer un petit jeune ». J’ai eu droit à lui « faire l’amour » ; à cette femme qui aurait pu être ma mère. Nous nous sommes quitté avec la promesse de venir la retrouver, en cachette, quand elle avait envie. Elle m’a promis de fournir à sa fille autant de préservatifs qu’elle aurait besoin. C’est cette femme qui m’a réellement éduqué, sexuellement, autant sur le plan anatomique que pour le plaisir.     - Pour moi, c’est ma marraine qui m’a le plus « instruite » sur le risque d’avoir des bébés en « couchant » avec un garçon. Ma véritable éducation sexuelle, je l’ai apprise toute seule au cours de mes études d’infirmière. Étudiante, j’aimais prendre du bon temps. Je me dévergondais un peu.— Si tu veux, pense à ce que nous pourrions faire ce soir... Fantasme,,, ça va t’exciter,,, se sera meilleur... Regarde, rien que d’y penser, j’ai « la trique »...— Figure-toi qu’il y a un moment que j’ai envie,,, j’ai la culotte toute mouillée,,, heureusement que le short est imperméable,,, »
Ainsi le temps passe... les kilomètres défilent... Notre conversation a repris sur un ton plus général : Nous parlons de nos familles, des changements du temps et du paysage au fur et à mesure que nous avançons.Nous avons contourné Paris et roulons sur l’autoroute du Nord.La nuit commence à tomber. Nous nous arrêtons sur une aire de service. Nous nous douchons, chacun dans sa cabine. Nous mangeons. Pour dormir, il y a trop de trafic, trop de bruit... Nous roulons jusqu’à une aire de repos plus tranquille. Le parking réservé aux poids lourds est un peu « isolé », loin des voies de circulation. Il y a quelques camions garés. Je choisis un emplacement un peu à l’écart. Le véhicule immobilisé, moteur arrêté, rideaux tirés, à la lueur du plafonnier, je regarde ma passagère et je lui dit :  - « Maintenant, que faisons-nous ? — On se met en pyjama et on dort...— Je n’ai pas de pyjama, j’ai l’habitude de dormir en slip...— Ce n’est pas grave, des fois, je dors à poil... et ce soir, j’en ai envie... »Nous avons échangées ces banalités en riant franchement.Je m’avance vers elle, la prends dans mes bras, l’embrasse sur la bouche. Elle répond, nos langues se trouvent, s’emmêlent.Je sens ses seins, aux pointes dures, contre ma poitrine. D’une mains sur ses fesses, je la plaque contre moi pour lui faire sentir la raideur de mon sexe. De l’autre main, je cherche et trouve le bouton qui tient sa jupe en place. Je le défait, la jupe tombe sur ses pieds.Elle passe ses bras sous mon T-shirt, me caresse la poitrine en remontant. Mon vêtement me passe par dessus la tête, quitte mes bras et va atterrir sur le volant.Je fais suivre le même sort à son T-shirt et à son soutien gorge. N’ayant pas remis son collant et son short après s’être douchée, elle est en petite culotte,.Elle défait la boucle de ma ceinture, baisse la fermeture éclair et laisse choir mon pantalon.Nous sommes torses nus, seulement vêtus de nos slips. Nous nous regardons et éclatons de rire...Je la prends dans les bras pour la faire assoir sur le bord de la couchette. Je lui enlève ses « tennis », ramasse sa jupe et mon pantalon et les range sur le siège du conducteur.Je l’embrasse sur la bouche, le nez, les yeux les joues. Je lui « mordille » les lobes des oreilles, puis je descends le long de son cou toujours en la « baisouillant ». Je passe sur ses épaules et arrive à sa poitrine. Je m’atarde sur chacun de ses seins, suce et « mordille » chaque pointe.Mes mains, qui lui caressaient le dos, font descendre et quitter sa culotte.Je lui embrasse, lui léche le ventre, les cuisses que j’écarte. J’y vais doucement pour ne pas l’apeurer. Je lui embrasse le sexe comme je lui embrasse la bouche : doucement, globalement, en le prenant bien entre mes lèvres. Elle a un goût acidulé et un peu amer mais très agréable. j’appuie de plus en plus fort. Je lèche, j’embrasse, je mordille chaque lèvre. J’embrasse au dessus de son clitoris que je sens gonfler et durcir. Il sort de sa « cachette », ma langue y tourne autour, de plus en plus vite, de plus en plus fort.Pendant que je la lèche, je sens son sexe qui coule en continu.Pour me désalérer, de temps en temps, j’aspire une gorgée de cette « mouille », directement à la source.Sous cet « assaut buccal » Christine se fige, se raidie, se cambre. Ses soupirs deviennent des râle qui roulent au fond de sa gorge.Soudain elle pousse un long cri. Son corps est secoué par les soubressauts de la jouissance. Elle jouit, elle coule plus abondament. Je me fais une joie de boire cette liqueur en la savourant. Cela dure quelques secondes. Puis elle « retombe » sans mouvement, inanimée...Je continue à lécher, à boire, jusqu’à ce quelle revienne. Sa respiration devient plus régulière. Elle ouvre les yeux, me regarde comme si j’étais un « fantôme ». Je m’approche pour l’embrasser. Elle me serre dans ses bras. Avant de m’offrir sa bouche, elle me murmure à l’oreille « Merci ».Nous terminons cette « première approche » par un langoureux et voluptueux baiser .— « Encore Merci, me dit-elle, je n’ai jamais eu autant de bonheur de toute ma vie...— J’ai toujours aimé donner du plaisir aux femmes. Les faire jouir de cette façon est le préliminaire que je préfère.— En parlant de préliminaire et de jouissance, toi, tu n’as rien eu...-Ce n’est pas grave... Ton bonheur est mon plaisir... Je me réserve pour la prochaine fois... Si tu y tiens, nous pouvons nous « accoupler »... Mais n’oublie pas que demain je dois conduire toute la journée. Je dois me reposer et récupérer...— Tu as raison... Je suis épuisée... On va dormir bien sagement... Avant, je voudrai faire un brin de toilette, j’en ai plein les fesses et les cuisses...— Pas de problème : sous la couchette j’ai du papier essuie-tout, une petite réserve d’eau, un gant et une serviette. »Après une toilette sommaire, elle remet sa culotte, moi, toujours en slip, nous nous allongeons sous le duvet de la couchette et, dans les bras de l’un et l’autre, nous endormons pour une nuit « réparatrice.»
Demain sera un autre jour... et une autre histoire...Petikokin
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