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Les seins de maman

Chapitre 1

Hétéro
J?étais dans mon lit et j?écoutais la radio dont j?avais programmé l?ouverture vers 7 heures du matin car je devais aller chez un ami pour l?aider à faire des exercices de mathématique qu?il ne comprenait pas. Vers 7 heures, je me suis donc levé et je me suis apprêté. Il était 7h 10 lorsque mon gsm sonna. C?était mon copain pour me dire qu?il ne pouvait pas venir me chercher aujourd?hui et que je ne savais pas aller chez lui car ses parents avaient prévu quelque chose que lui ne savait pas. Bref, je me suis déshabillé et je suis retourné me couché. Je me suis rendormis directement. La première chose que j?ai entendu, se sont mes parents qui se levaient et qui descendaient les escaliers. J?ai regardé mon réveil qui indiquait 8H46. Normalement, et encore aujourd?hui, je n?ai pas d?heure pour me lever. Donc, j?ai décidé de rester dans mon lit, bien au chaud. Il ne fallu pas longtemps pour que la chaleur m?envahisse de nouveau et que je me suis rendormis. Il me paru qu?un instant s?était passé lorsque j?ai entendu la voix de ma mère me dire qu?il était l?heure de me lever. J?ai eus dur à ouvrir les yeux mais lorsque j?ai regardé mon réveil, il marquait 10H28. c?est vrai qu?il était l?heure de me lever. Je me suis donc mit debout et... c?est fou mais je bandais mais alors bien dur. C?était pas la première fois que je bandais si fort mais aussi tard, c?était la première fois. Ma mère m?appela une seconde fois en me disant que dans deux minutes elle monterait pour me lever de force. Il fallait que je débande le plus vite possible. Je me suis levé et j?ai fais quelques mouvements d?assouplissement. J?entends maman qui monte les escaliers. Heureusement pour moi, lorsqu?elle arrive dans ma chambre, je suis juste en train de choisir un pull à me mettre. Je ne bandais plus. Dès que j?ai eus choisi mon pull, je suis sorti de ma chambre et j?ai été dans mon armoire pour me choisir des autres vêtements à me mettre. J?ai choisi un jeans noir, des chaussettes de la marque Nike et un pull... zut, j?ai oublié mon pull dans ma chambre, juste sur l?appui de fenêtre. Je vais la chercher. J?arrive à la hauteur de ma chambre et j?entends toujours maman qui fait mon lit à son aise. Je ne sais pas pourquoi mais j?avance doucement, comme pour ne pas me faire entendre. J?arrive finalement devant la porte de ma chambre. Maman se trouve à l?avant de mon et s?abaisse en avant, pour reculer le drap vers le bas du lit, là précisément où je me trouve. Sans le vouloir, je me trouve face à face avec le décolleté de maman qui baille si largement que je peux voir sa poitrine très facilement. Elle n?a pas remarqué mon regard vers ses seins et me demande ce que je fais ici. Je lui réponds que j?ai oublié mon pull sur l?appui de fenêtre. Se trouvant derrière elle, elle se retourne et me le donne à bout de bras, ne se relevant pas le tronc. J?ai une deuxième fois la chance de voir tout à mon aise sa poitrine. Pourtant, j?ai déjà eut souvent l?occasion de la voir, mais je n?ai jamais fait aussi attention que maintenant. Est-ce le fait que je regarde sa poitrine autrement que d?habitude, mais je me mets à bander d?un coup. Dès que j?ai remarqué ça, je me suis retourné et je suis descendu dans le salon. J?entends papa qui prend sa douche. Quand lui prend une douche, c?est toujours la dispute car il met toujours longtemps avant de sortir. A peine ai-je le temps d?entendre qu?il prend sa douche que maman m?appelle en haut. Qu?est-ce qu?elle me veut encore ?J?arrive en haut, je ne la vois pas dans ma chambre, je l?appelle et elle me dit qu?elle est dans sa chambre. Je m?y dirige donc. Elle est occupée à faire son lit. Elle me demande de l?aider car comme papa est dans la douche, elle ne sait pas compter sur lui. Je me place donc du côté inverse d?où elle est et je l?aide à terminer. Etant en face d?elle, je me retrouve dans la même position que tout à l?heure et j?ai tout le loisir de contempler son décolleté. Il faut avouer qu?elle a encore des beaux seins, sachant qu?elle fait du 90C, c?est raisonnable et beau en même temps. Je peux bien en juger car mon ex, qui m?a quitté il y a un mois, faisait la même taille que maman. C?est drôle mais cette fois-ci, j?arrive à me concentrer et je ne bande pas. Dès que le lit fut fini, maman et moi nous descendons et nous entendons toujours papa qui prend sa douche. ?a fait maintenant près de vingt minutes. Sa moyenne est d?une heure. Et ce n?est que ça moyenne, alors imaginez-vous lorsqu?il s?y trouve bien...Moi, je m?en vais dans la seconde salle de bain et je me rhabille pour une deuxième fois. Je me lave, je m?apprête complètement lorsque j?entends la porte de la salle de bain s?ouvrir. J?aperçois, par le reflet du miroir, que maman passe la tête et m?observe. Pourquoi fait-elle ça ? Elle reste là durant quelques secondes, puis, elle s?en va. Dès qu?elle fut partie, j?ai continué à me préparé. Lorsque je sors de la salle de bain, j?entre directement dans la cuisine. Maman est occupé à faire du café. Tient, elle a changé de chemisier. Celui-là se ferme au raz du cou et le dernier bouton est fermé. Je m?assieds et je commence à manger, sans oser, ne fus que durant une seconde, regarder de son côté. J?étais en train de termine ma première tartine, lorsque maman s?assit en face de moi (d?habitude c?est sur le côté gauche) et défait les deux premiers boutons de son chemisier. Mon regard est directement attiré vers ses gestes. Dès qu?elle eut fini de déboutonner le dernier bouton, elle commença à me parler qu?elle devait faire des courses et me demanda si j?avais quelque chose à lui faire acheter. Je lui répondis que non. Tout en écrivant les courses qu?elle devait faire sur un papier, elle jouait avec le troisième bouton de son chemisier. Puis, d?un coup, le bouton sauta hors de ses doigts et vint rouler contre ma tasse de cacao. Naturellement, je le prit dans ma main et je le lui ai donné, portant enfin mon regard vers le sien. Je lui sourit et elle me dit merci. Par habitude depuis ce matin, mon regard se dirigea encore une fois vers son décolleté. Cette fois-ci, avec ce troisième bouton ouvert, sa poitrine était découverte à moitié. Mon regard resta figé dessus durant bien une minute, profitant de ce régal visuel, surtout que maman venait d?avoir fait du banc solaire il y a trois jours. Curieusement, j?ai remarqué qu?elle ne porte pas de soutien gorge et que je peux même voir le bout de ses tétons à travers son chemisier. Ils sont tendus tout autant que mon sexe dans mon jeans. Après quelques instants, maman me demanda pourquoi je fixais donc mon regard si intensément sur sa poitrine. D?un coup, je suis devenu rouge vif, sans savoir quoi répondre. Elle se leva et se retourna pour aller dans le tiroir pour y prendre sa boite pour refaire son bouton. Etant retournée, elle me dit que ce n?était pourtant pas la première fois que je voyais sa poitrine et elle me re demanda pourquoi j?avais été si fixe dessus. Je ne su répondre, essayant de contrôler le flux sanguin qui commençait bien à bien remplir les cavités interne de mon sexe, je veux dire que je bandais mais alors, très fort. Je regardais son dos que son chemisier cachait. Elle me re demanda encore une fois pourquoi je l?avais fixé de cette manière si intense. J?ai bafouillé que je ne sais pas. J?entendais sa respiration devenir très irrégulière. D?un coup, elle gueula un juron (mer..), et me disant qu?elle n?arrivait pas à refaire son bouton avec le chemisier sur son corps. Dans un éclat de rire ironique, elle me dit : ? le hasard te fais bien les choses tu sais, puisque que tu était si fasciné par ma poitrine, et bien maintenant, je vais te la montrer car je n?arrive pas à refaire ce bouton. ?Joignant le geste à la parole, elle déposa ce qu?elle avait en main et je devine qu?elle défait les autres boutons de son chemisier. D?un geste rapide et simple, elle ouvrit les pans du vêtement et l?enleva. Elle était toujours dos face à moi. Elle jeta le chemisier sur la table, venant presque sur la partie où je mangeais. Comme un enfant qui découvre la vie, je regarde le dos de maman centimètres par centimètres. Sa peau était d?un teint uniformément brun-or. Je descendais du regard sa colonne vertébrale, pour terminer sur le bouton qui lui tient sa jupe à la taille. Sans m?en rendre-compte, j?étais bandé comme un taureau. Soudain, elle s?est retournée. Mon regard se colla à ses deux seins. Je ne savait rien d?autre regardé que les deux boules pendantes qui se présentaient devant moi. Toujours sur un ton narquois, elle me dit : ? alors, comment tu les trouves, mes nichons ? ?. Je ne sais pas se qu?il m?a prit, mais je lui ai répondu en la regardant droit dans les yeux et en lui souriant de la même manière qu?elle me faisait : ? ils sont tout aussi beaux et ont l?air tout aussi appétissant que ceux de Valérie (mon ex) ?.Là dessus, elle n?a rien répondu et a commencé à recoudre son bouton. La vue de sa poitrine était un peu cachée par ses bras et le vêtement, qu?elle bougeait dans tous les sens. Tout en essayant de recoudre, elle me demanda sans relever la tête : ? alors maintenant que tu les vois vraiment, tu es content ? ?, je lui répondis que je ne les voyais pas bien car il y avait des choses devant. Sur ce, elle se leva, prit la chaise sur laquelle elle était, et se plaça juste à côté de moi. Heureusement qu?il y avait une nappe et qu?elle n?a pas sut voir que je bandais un max. là, elle me décrocha un sourire et me dit : ? alors, maintenant tu les vois mieux mes deux grosses ? ? ? oui maman, elles sont aussi belles que celles de Val ! ?. maman continuait à refaire son chemisier et moi je lui matais la poitrine. Je n?ai pas de mot pour les qualifiés, impossible de donner un adjectif, sauf qu?ils pendaient quand même assez. Je vous assure que je bandais comme un fou. J?aurais bien voulu, ne fus que je frôler du revers de la main, mais je n?osais pas bouger d?un centimètre. Nous sommes restés comme ça durant cinq six minutes. Le temps que maman termine son raccommodement. Lorsqu?elle en eut fini, elle se leva de sa chaise et me demanda, sur un ton toujours aussi narquois : ? alors, tu en as vu assez maintenant, tu es content ? ?. je n?ai pas osé la regarder et surtout pas lui répondre. mon silence lui fit reprendre la parole : ? Donc, si tu ne réponds pas, c?est que tu en as pas eut encore assez. D?accord, c?est toi qui va me mettre mon chemisier alors, comme ça, tu les auras vu de très près, cette fois-ci ?. entendant la fin de sa phrase, mon coeur se mit à battre extrêmement vite et fort. Mon regard toujours baissé, je vis les pieds de maman qui étaient juste à côté de moi.? tu préfères que je m?assied sur la table, à la hauteur de ta vue ? ?. si elle faisait ça, je devais absolument reculé de la table, donc, elle verra que je bande. Mais, dans le fond, n?est-ce pas elle qui me provoque aussi ? n?est-ce pas elle qui me pose toutes ces questions et me les montre, ses deux gros nichons ? alors, tans pis pour mon orgueil. J?ai relevé la tête.Sa poitrine était juste à ma hauteur. J?aurais pu les lui sucer sans faire aucun mouvements. J?ose, pour la première fois depuis qu?elle est si proche de moi, la regardé droit dans les yeux. Je lui souris et, à ma surprise, elle me sourit cette fois-ci, d?une manière plus féline, elle a quitté son sourire narquois de tout à l?heure. Je commence mon geste de reculer de la table. J?ai de la chance aujourd?hui, je devrais aller faire brûler un cierge à l?église. Mon jeans affiche bien une bosse mais maman est passée devant moi sans la regarder. Je le sais car nos regards ne se sont jamais quittés. Elle s?est tournée, me montrant ses fesses dans sa jupe. J?ai son cul qui se balance devant moi de gauche à droite et vice versa. Je suis certain qu?elle le fait exprès. J?ai, de nouveau, le bouton de sa jupe juste devant moi, je n?ai qu?un geste à faire pour qu?il se défasse. Elle est occupée à faire de la place sur la table. C?est fait, elle se retourne de mon côté.
Elle pose ses mains sur la table et se soulève, pour finalement poser doucement ses fesses sur la table. Durant ces instants, je n?ai pas quitté son regard. Posé sur la table, je prends le chemisier et je m?approche d?elle, mais je suis toujours assit. Je me rapproche si fort d?elle, que, mes bras en l?air pour lui passer son chemisier par derrière, je sens ses pieds m?entourer le dos. Je ne comprends pas vraiment ce qu?elle fait, alors je la regarde de nouveau. Comprenant mon étonnement, elle me dit : ? tu voulais voir mes nichons non ? alors, vas-y mates les alors, au lieu de m?habiller ! ?. lorsqu?elle eut fini sa phrase, elle pencha sa tête en arrière et recula ses mains vers l?intérieur de la table. Je pouvais, sans le regard approbateur de maman, regarder sa jolie paire de seins. J?en était si près qu?elle me dit qu?elle sentait ma respiration sur sa peau, même qu?elle était irrégulière. Ses tétons étaient dressés et pointaient du plus qu?ils pouvaient le faire. Mon coeur battait si fort. C?est comme si je vivais un rêve et qu?il était si réelle. Je n?avais pas remarqué tout de suite, mais la jupe de maman, du fait de sa position, s?ouvrait très haut sur ses cuisses, je savais même voir sa culotte, une bleue ciel, parsemé de petites taches rouges. Si la réalité pouvait réalisée le phantasme qui me traverse l?esprit, je crois que je serais le plus heureux des enfants. Revenant à sa poitrine, je me sentais attiré à les toucher, à les prendre à pleine mains et à les malaxés durant des heures. D?ailleurs, je vais le faire, je ne sais plus résister. En plus, c?est elle qui s?offre à moi, juste sous mes yeux. Je dirige doucement ma main droite vers son sein droit. Il n?est plus qu?à quelques centimètres, encore un peu de patience, il arrive, je suis juste à côté, je n?ose pas le toucher. Un petit mouvement et je lui touche le téton. Je prends une bonne respiration et j?y vais. D?un coup, un bruit sort de la pièce d?a côté. Un bruit qui est facilement reconnaissable. C?est la porte de la douche qui s?ouvre. D?un bond, maman se lève de la table, attrape son chemisier, le mets et s?affaire à le refermé le plus vite qu?elle peut. Moi, je me suis rapproché de la table et je reprends les affaires que maman avait posé plus loin. En moins de cinq secondes, j?ai complètement débandé. Je vois maman qui a terminé de fermer son chemisier et s?occupe à ranger des affaires dans les armoires. Papa ouvre la porte du salon. Le petit déjeuner se passa normalement et la journée débuta de cette manière là. Je me suis occupé à faire mes devoirs, maman a été faire les course puis s?est occupée du ménage de la maison, tandis que papa s?occupait à faire les comptes des dépenses du ménage. Lorsque papa allait aux toilettes et que maman et moi étions assez proche l?un de l?autre, elle se rapprochait de moi et ouvrait quelques boutons pour que je puisse admirer, durant un instant, de nouveau ses seins. Je crois que je n?ai pas débandé de la journée. Il était 18h10 précise, enfin l?heure qu?indiquait mon pc, lorsque maman m?offrit plus longuement et mieux la vue de sa poitrine. En fait, papa était dans une autre pièce, cherchant des extraits de comptes (et sachant que l?ordre, c?est pas son fort, on savait que lorsqu?il allait dans cette pièce, il en avait pour une demi-heure au minimum). Maman était occupée a regarder la télévision lorsqu?il quitta le salon. Elle ne bougea pas, mais je savais qu?elle aurait fait quelque chose. Et bien non, la série qu?elle regardait se termine et elle ne bouge pas, c?est donc à moi à bouger si je veux avoir, ou plutôt, à voir, quelque chose. Je terminais un circuit d?une course de voiture, je n?ai pas bouger les yeux vers elle mais je dis : (m) moi (f) mamanM : maman, écoute moi bien attentivement !F : qu?y a-t-il ?M : il me reste encore une minute pour terminer mon circuit, ensuite, j?en commence un autre qui dure quatre minutes dix secondes.F : et alors ?M : c?est simple, lorsque j?aurai terminé ma deuxième course, je veux te voir à côté de moi, les seins nus, voilà !F : tu rêves, je ne le ferai pas !M : si tu le feras, tu l?as bien fait ce matin !F : je fais réfléchir, continue ta course.M : je commence la deuxième .......... Maintenant, réfléchi vite et bien maman !Durant ma course, je suis tellement concentré que je ne vois pas ce qu?elle fait, mais j?espère qu?elle se déshabille le haut. Ha, ha, j?ai cru entendre les boutons de son chemisier tomber sur la table mais je ne peux pas quitter l?écran des yeux, sinon ma course est fichue. Il ne me reste qu?un tour et je dis à maman qu?il lui reste une minute pour enlever le haut, si ce n?est déjà fait. Aucune réponse me revient. Enfin, la course est finie. Je vais savoir si maman est demi-nue ou pas. Je me lève et je n?ose pas regarder de son côté. J?avance, j?avance, et je regarde enfin devant moi. Hourra, maman a les seins à l?air. Elle est, comme d?habitude, un peu penchée sur son côté droit, et elle regarde la télévision. Je m?approche d?elle, encore un peu plus près. Elle est surprise de me voir juste à côté d?elle. Elle me sourit et me demande : F : alors, tu es content de la vue que tu as ?M : tu sais, il y a mieux, tu n?es pas très bien mise, alors je ne les vois pas bienF : comment veux-tu que je soie alors ?M : je ne sais pas,....(silence durant un instant)..., couche toi sur le dos, comme ça ils seront bien en vue, qu?en penses-tu ?F : ok, je le fais.Maman se bouge un peu et se retrouve dans la position que je lui ai indiqué. Il y a une chose que je viens de remarquer. Pour l?instant, tous ce que j?ai dis à maman, elle l?a toujours fait, je pourrais peut-être allez beaucoup plus loin avec elle, qui sais que ça marcherait. Je fais essayer quelque chose. Je vais essayer qu?elle accepte que je lui touche et lui susse ses deux gros nichons. Elle est là, devant moi, offerte à ma vue, ma maman chérie. Je peux la mater autant que je veux, alors que papa est deux pièces plus loin. Je m?agenouille juste à côté d?elle, je suis à la hauteur de son corps. J?ai ses deux seins juste à ma portée de main et de bouche, je n?ai qu?a faire un petit geste et je les ai. Maman me sourit toujours et moi je le lui rends. Mais je vais tenter ma chance. M : maman je voudrais te demander quelque chose ?F : oui, quoi ?M : tu es là, devant moi, à demi-nue, ta poitrine à l?air libre, juste pour moi, juste pour mes yeux.F : oui, je sais, je suis au courant, puisque c?est moi qui t?offre ce spectacle.M : alors, pourrais-tu m?offrir aussi le fait de les toucher, avec mes mains et avec ma bouche ?, s?il te plait, ils sont trop excitant pour ne pas le faireF : je savais bien que tu allais me demander ça, et bien, vas-y, ils sont à toi, fais-en ce que tu veux, je te donne carte blanche, amuse-toi bien !J?ai réussi ce que je voulais, je les ai, rien que pour moi, durant un temps limité d?accord, mais j?ai enfin réussi. Je vais pouvoir en faire ce que je veux. A l?attaque aux nichons. Je me relève un peu, je redresse le tronc et d?un coup, j?attaque, de la main gauche, le sein juste en face de moi, tendis que de la bouche, je m?occupe à sucer son sein droit. Je suis aux anges, je sens ses deux tétons qui sont dressés aux plus haut et durs qu?ils peuvent être. J?ai une envie folle de tirer dessus ou d?en prendre un entre mes dents et de le mordre assez fort, sans qu?elle aie mal, bien sûr. Je suis assez mal mit comme je suis placé. J?ai envie de me mettre sur elle, comme pour mieux les lui sucer. J?enlève le sein de ma bouche et j?en fais de même avec le sein que j?avais en main. Celui que j?avais en bouche, est assez rouge, preuve de la succion que j?exerçais dessus. Pour bien lui faire comprendre mon intention, je lui dis :M : maman, je suis mal mit, je vais me mettre sur toi, comme papa le ferait lorsqu?il fait l?amour avec toi. Comme ça, je serai mieux pour apprécier tes deux nichons !F : fais-ce que tu veux, ma poitrine est à toi, vas-y !Après ces paroles, comment voulez-vous rester de marbre ! impossible. Je me suis levé et je me suis mit debout sur le divan. Je me suis doucement agenouillé devant elle. Sa robe était grande ouverte et m?offrait, sans aucune retenue, la vue imprenable de son entrejambe. Etais-ce voulu ou non, je ne saurais pas vous le dire. Bref, je me suis doucement abaissé, pour finalement venir, de tout mon corps, m?étendre, aux prix de nombreux efforts, à ce que ma bouche atteigne sans aucunes difficultés, la poitrine de maman. Je sentais dessous-moi, que maman écartait ses jambes. Je l?ai regardé dans les yeux et elle me fit un signe horizontal de la tête, signifiant que je pouvais pas aller en bas (vers son sexe, bien sûr). Elle voulait simplement se branler avec mon corps, durant le temps que je lui suce ses seins. Bon bref, dès qu?elle fut bien mise, c?est moi qui me suis bien mit. Maintenant, je pouvais, tout à mon aise, dans une position des plus plaisante, commencer à sucer les seins de maman.J?étais occupé depuis cinq minutes, lorsque, sans le vouloir, je lui ai mordillé assez fort, le téton droit. Un cri sorti de la bouche de maman. Directement, je l?ai regardé dans les yeux, tout en m?excusant, que je ferais attention. De ces yeux, pointaient à l?orée, une accumulation de larmes. D?un coup, de chaque côtés, des larmes coulèrent. En reprenant sa respiration et, dans une voix humide, elle me dit que je pouvais continuer, qu?elle n?avait pas mal, et que je pouvais continuer à lui mordiller aussi fort ses tétons. Là, je dois avouer que je n?ai pas compris, maman qui me dit de continuer à lui faire mal, est-elle masochiste ? pour en avoir le coeur net, je lui dis :M : pourquoi je peux continuer à te faire mal, maman ? F : si je te le dis, c?est que tu peux, allez, continue !M : dis-moi maman, tu ne serais pas un peu masochiste ?F : non, pas du tout, mais je supporte assez facilement la douleur.M : tu veux dire que je peux te faire mal et que tu ne me gronderas pas ?F : c?est ça, vas-y, fais-moi quelque chose qui puisse me faire ma, juste pour savoir si je vais ternir de chocsComment réagir avec une invitation si directe ? durant un instant, je me suis quand même posé la question. A force de réfléchir, je me suis mit à débander. Je m?en suis rendu compte lorsqu?on a entendu tous les deux que papa revenait de l?autre pièce. Je me suis retiré de maman et je me suis remis à mon pc. Lorsque papa arriva dans la pièce, maman était couchée normalement, totalement habillée. La fin de journée se termina sans plus aucunes anicroches de la part de maman. Elle m?a, juste durant le souper, fait du pied sous la table. Je bandais comme un taureau, alors qu?elle faisait semblant de m?engueuler, parce que je n?avais pas encore terminer un rapport que je devais faire. Je craignais assez fort la fin du repas, car je savais que maman se mettait en robe de nuit et, ne portant pas de soutien, elle afficherait certainement sa poitrine à mes yeux. Donc, j?ai mangé le plus vite que je pouvais le faire, pour pouvoir aller directement à l?ordinateur, sans devoir passer dans le salon alors que maman y serait en robe de nuit. J?ai réussi mon plan. Mais j?ai quand même dû très bien me concentré pour ne pas me lever avec une grosse bosse dans le jeans. Durant deux heures, rien ne se passa, mais alors strictement rien, j?ai même, durant près d?une demi-heure, même plus pensé à ce que je venais de vivre, tellement mon jeu de voiture me passionnait. A la fin d?une course, vers 22h, j?ai quand même tendu l?oreille, j?étais sûr que maman allait exciter papa, surtout nue sous sa robe de nuit. Rien, je n?en rien, juste la télé qui va. C?est une série policière française très connue. Mais je n?entends aucune paroles, aucun bruit suspect, rien du tout. Il faut que j?aille voir ce qu?ils font. Il me faut un sujet pour rentrer dans le salon. Réfléchissons... je sais, j?ai laissé sur la table, mon compact disque que je dois à mon copain. Il est sur la table, j?en suis certain. Je me lève et je vais voir. J?ouvre la porte et là,.. qu?est ce qu?il y a ? juste maman, qui est couchée sur son côté, à regarder la télévision. Devant mon étonnement qu?elle est seule, maman me dit que papa était fatigué et qu?il est monté il y a une demi-heure. A peine avait-elle dit le dernier mot, que mon jeans se gonflait déjà. Je jette un oeil vers maman, mais cette fois, plus vicieusement que tout de suite. Je remarque qu?elle porte, non seulement une culotte, mais aussi un soutien-gorge. Je lui dis : ? pourquoi tu portes un soutien maintenant ? ? comme réponse, maman me dit : ? il ne fallait pas éveiller les soupçons de ton père ?. Voyant que je la regardais d?une autre manière, elle me dit : ? tu veux que je l?enlève ? ?. je lui fis signe oui de la tête. Elle passa ses bras dans sa chemise de nuit, tripota derrière son dos et, quelques secondes plus tard, elle me le jeta dans les mains. ? tu es content maintenant ? ? me demanda t-elle. ? j?aurais été plus content encore, si tu avais enlevé ta robe de nuit, et qu?ensuite tu aies enlevé ton soutien ?. Elle me regarda en souriant et se repositionna comme elle était lorsque je suis arrivé, comme si de rien n?était arrivé. Moi, je bandais comme un fou, ayant dans ma main, le serrant du plus fort que je pouvais, son soutien gorge. J?étais assez excité que je me suis mit à humer cette pièce de vêtement, dont son parfum me caressait délicatement les narines. Je suis resté là, planté au milieu du salon, comme un imbécile. D?un coup, un bruit arriva d?en haut. Signe significatif. Papa descendait, sûrement pour aller à la toilette. Mais le plus grave, c?est qu?il devait passer par le salon et ensuite par mon bureau. Donc, je me suis retourné, j?ai lancé le soutien à maman et je suis allé dans mon bureau. J?ai fermé doucement la porte. Il faut quand même un certains temps pour descendre. Je ne sais pas ce que maman a fait, mais moi, lorsque papa ouvrit la porte du salon pour passer dans mon bureau, j?avais complètement débandé et je m?étais de nouveau bien concentré sur mon jeu. Il alla aux toilettes, puis repassa, refaisant chemin inverse. J?étais tellement prit dans mon jeu, que je me suis pas rendu compte qu?il était déjà 23h. Je n?avais plus pensé du tout à maman, qui, je pense, devait peut-être mijoter dans son jus, pensant que j?allais venir. Normalement, personne n?a d?heure pour aller au lit. D?ailleurs, la semaine passée, papa et moi, sommes monté, samedi, après avoir regardé la casette de cul qu?il avait reçu d?un collègue. Maman était montée, mais, et je l?ai su le lendemain, en confidence avec papa, elle s?était branlée toute la soirée, en s?imaginant les scènes que l?on était occupé à regarder. Malgré l?heure, je termine mon circuit. Je sais bien qu?un circuit dure au environ de vingt minutes, mais tant pis. Je commence un tour, deux tour, je passe au stand, je refais le plein et je repars...... j?étais à mon 4ème avant dernier tour, lorsque la porte s?ouvrit assez fermement. Maman était là et me demandait si j?en avais encore pour longtemps, car il se faisait quand même tard. Je lui répondis que j?avais encore, maintenant 3 tour à faire.Elle s?en retourna dans le salon. Cinq minutes plus tard, j?ai fini mon circuit. Mais je n?ai, mais alors, pas du tout, sommeil. Et zou, je commence le circuit suivant. Je vais me faire engueuler, tant pis. J?ai vingt-deux tours à faire. Je commence le premier tour. Je joue, joue, je tourne, je freine, accélère, bref je ne fais plus attention à l?heure. D?un coup, la porte s?ouvre et maman s?approche en ne parlant pas trop fort et me disant que mes trois tours sont bien long. Elle regarde l?écran et y est affiché 18 tours à faire sur 22. Là, elle a élevé la voix en me disant de terminer maintenant. Tout en jouant et en me déconcentrant, je lui fais comprendre que je ne sais pas le faire. Boum, je m?écrase contre un mur et ma voiture est cassée. C?est pas trop méchant mais j?ai perdu du temps. Etant dans le jeu, je me mets à dire à maman que c?est de sa faute que je perds du temps. A force de lui dire ça, je me déconcentre encore plus et, je finis de plus en plus de me planter contre les murs du circuit, et donc, je me plante de plus en plus. Bref, à un moment, je vois que j?ai perdu toute mes chances de gagner la course et j?arrête de jouer. Je suis assez furieux en moi-même, mais je ne le montre pas trop fort, lui disant que c?est de sa faute si j?ai perdu. Pour seule réponse, elle me dit : ? allez, au lit maintenant, tu auras tout le temps de recommencer demain, mais sache que je suis désolé que tu as raté ta course ?. En disant cette phrase, elle s’en va dans le salon. Moi, je termine de fermer mon ordinateur et, un instant plus tard, je suis dans le salon avec maman. Elle est occupée à remettre de l?ordre, avant d?aller au lit. Je vois sur la table, son soutien gorge. M : tu as fais quoi avec ton soutien lorsque papa est descendu ? F : je l?ai mit où il se trouve, tout simplement, et il n?a rien dit, il ne l?a même pas vuM : comment tu peux dire ça ? F : lorsqu?il est remonté, s?il l?avait vu, il l?aurait prit avec dans notre chambre et l?aurait accroché au porte-manteau. M : et tu vois maman, on est rien qu?à deux, on va pouvoir continuer où l?on était tout à l?heure.F : et si je ne veux plus ?M : c?est simple, je te fais sentir mon incompréhension. F : que veux-tu dire par là ?M : et bien, si tu ne veux pas faire ce que je te dirai, tu sentiras tes fesses chauffées, ainsi que tes tétons rougir. Qu?en penses-tu ?F : hé, hé, tu réfléchis bien, tu vois que de temps en temps ton cerveau n?est pas abruti par les jeux vidéos. D?accord, j?accepte, mais tu as droit qu?à mes nichons, pas mon sexe, tu as bien compris ?M : je verrai au moment venu. Maintenant, enlève ta robe de nuit, que je voie quand même le reste de ton corps, même si je ne peux pas y toucher. F : d?accord, mais pas touche à mon sexe. M : j?ai compris, mais toi, tu peux me toucher le mien, si tu veux non ?F : même plus que le toucher si tu le désire !M : tu veux dire quoi là ?F : si je ne veux pas que tu me touches le sexe, je serai ravie de faire tout ce que tu me demandes avec le tien, c?est pas compliqué quand même !M : tu sais que tu commences à m?étonner.F : ha oui ?M : d?abord tu es une vraie maso et ensuite, une vraie chienne. F : attention, je ne t?ai pas permis de m?insulter !M : Bon, je vais aller à mon bureau parce que j?ai oublié de fermer quelque chose, mais lorsque je reviens, je veux te voir nue, couchée dans le fauteuil, les jambes écartées et occupée à te branler, compris ?F : et si je ne le fais pas ? (elle me dit ça en me faisant une tête d?une personne qui ne veut pas le faire)M : et bien, si tu ne le fais pas, tu sentiras une petite douleur, si petite mais tellement intense qu?elle te fera mal et tu le feras, c?est simple non,F : allez, va dans ton bureau et tu verras bien comment je serai lorsque tu reviendras !Je me retourne et je vais dans mon bureau. Je referme la porte, sans faire trop de bruit, de peur de réveiller papa, pour le peu qu?il dorme, j?espère. En fait, je n?ai rien à faire ici, je voulais simplement laisser un peu de temps à maman, pour savoir ce qu?elle allait faire, en lui disant cette phrase. Je suis un peu ennuyé. Soit maman a fait ce que je lui ai demandé et alors, il n?y a pas de problème, mais si elle ne l?a pas fait, je vais devoir lui faire mal. Je sais qu?elle aime ça mais quand même, je ne peux quand même pas battre ma mère. En disant cette phrase, je me fais une autre réflexion, je ne peux pas la battre, mais je vais coucher avec elle, est-ce mieux ?Qu?est-ce qu?elle peut être très ennuyante, vous savez, cette petite voix de l?intérieur, celle que l?on appelle notre conscience. Après être resté indécis durant un instant, je regarde l?heure, ça fait déjà six minutes que je suis ici, maintenant elle devrait être prête ! j?y vais. J?ouvre la porte mais je n?ose regarder devant moi. J?avance, j?avance. En tout cas, je suis presque certain qu?elle est couchée dans le fauteuil, sinon j?aurais déjà vu ses jambes. En avançant, je vois ses vêtements à terre. Sa jupe, ses bas, ses chaussures, son soutien. D?un coup, je commence à voir le bord du divan. Là, je relève la tête d?un coup. Maman y était couchée sur le dos, un bras derrière la tête, son visage me souriait, ses tétons étaient bien dressés, pointant fièrement vers le plafond. Son ventre ondulait doucement, au rythme de sa respiration. Je descendais toujours son corps. Son autre bras descendait et se glissait dans sa culotte qu?elle avait gardée. Ses jambes étaient, comme je lui avait demandé, écartées assez largement, et, d?après les mouvements, je devinais qu?elle se branlait.Devant cette vision, mon sexe se dressa dans mon jeans. Il se dressa si fort qu?en deux minutes, je sentais qu?il me faisait horriblement mal. Maman se branlait doucement, toujours en me regardant. Ses yeux me mitraillait le corps, s?arrêtant, je suppose, longuement à la hauteur de mon sexe. Doucement, je me suis déshabillé. J?enlevais mon pull et, directement mon jeans. Mon sexe bandait tellement, que mon gland sorti fièrement hors de mon slip. Lorsque je fut complètement nu, je me suis assis dans le fauteuil, regardant maman se branler. J?avais une envie terrible de faire la même chose, mais, je voulais encore plus excité maman, qui ne regardait plus que mon sexe bandé. D?un geste lent et gracieux, maman enleva sa main de sa culotte et se lécha les doigts. Lorsqu?elle eut fini, avec l?aide de son autre main, elle enleva sa culotte et me la lança. Comme tous les mecs, je l?ai prise et l?ai sentie. Il y avait de la mouille à la place de son clitoris jusqu?à l?arrière, où ses fesses se trouve. Qu?est ce qu?elle doit mouiller !Lorsque je l?ai enlevé de ma tête, maman s?était remise à se branler. Mais maintenant, elle avait les yeux fermés, des gémissements se faisaient entendre de sa bouche et j?entendais clairement les bruits que la mouille fait, sous l?action de ses caresses intimes. Je n?avais qu?une idée en tête, lui rentré mon sexe dans le sien et de lui faire l?amour comme un sauvage. En attendant ce moment, je l?ai regardé se branler durant une bonne dizaines de minutes, me régalant de ses gémissements de plaisirs, ainsi que de phantasmes porno avec elle. D?un coup, son visage se crispa et ses gémissements devinrent moins réguliers. Son ventre bougeait dans tous les sens et ses doigts lui caressaient encore plus vivement son bouton rose gluant. Puis, d?un coup, elle s?immobilisa, la bouche grande ouverte, son dos arqués vers le ciel, son ventre bougeait au rythme de sa respiration haletante. Elle resta comme ça durant dix à quinze secondes. Puis, elle se laissa tomber, vidée de ses forces. J?étais au bord de l?explosion, sans que j?ai du me branler. Je dois fermer les yeux pour ne pas éjaculer tout seul. Quelques instants plus tard, elle me dit :F : alors, pourquoi tu ne t?es pas branlé en même temps que moi ?M : simplement parce que je voulais te voir jouir, sans être déranger par quoi que soit. F : et tu as été comblé ?M : en tout cas pour ça, oui, j?en ai eut pour ce que j?en attendais.F : tu voulais quoi d?autre ?M : en réalité, j?aurais bien voulu trois choses. La première, tu viens de le faire, c?est de te branler devant moi. La seconde, s?est que tu me susses et la troisième, c?est de te faire l?amour, dans le divan et dans ton lit.F : (elle se relève et vint dans ma direction) la seconde je peux te l?offrir tout de suite, mais la troisième, je crains fort qu?elle ne voie jamais le jour. Je dois encore y réfléchir mais n?y compte pas de trop.M : mais pourquoi pas ?F : simplement parce que avoir des rapports sexuels entre enfants et parents, se n?est pas convenable. M : et ce que tu viens de faire, alors ?F : je me suis juste branlée devant toi, et encore, je ne t?ai pas montrée mon sexe. M : alors, montre-le moi maintenant !Est-ce le fait d?avoir dit cette phrase assez brutalement, mais en tout cas, maman s?est assise dans le divan, face à moi et a écartée ses jambes. Son pubis était bien chargé, telle est la première chose que j?ai remarqué. Je me suis levé, la queue bien raide, et je me suis rapproché d?elle. Plus je m?approchais, plus je n?avais qu?une envie, l?envie de la sauter, l?envie de lui mettre ma queue dans sa fente et de lui faire l?amour le plus intensément que mon énergie me permette de faire. En plus, elle s?était remise à se caresser, mais maintenant, elle se rentrait deux, et parfois trois doigts dans sa caverne humide. Ses doigts étaient bien gluants. Arrivé à bonne distance, je me suis mit à quatre pattes devant son sexe et je l?ai regardé se branler. Je sentais son odeur intime venir m?envoûter. Elle se branlait de plus en plus vite, fermant les yeux et gémissant de plus bel. Je sentais que j?allais exploser, devant ce spectacle si intime. Par moment, elle ouvrait les yeux et regardait mon sexe dur et long, à porter de ses mains. Souvent je l?ai vu qu?elle se mordait les lèvres, voulant sûrement y goûter, voir même le prendre entre ses lèvres, du visage et, peut-être vaginale. Ce spectacle dura que quelques instants. Puis, d?un coup, elle s?est levée et s?est couchée de tout son long sur le divan, écartant ses jambes. Je l?ai regardé et je l?interrogeais du regard pour savoir pourquoi elle a fait ça. Comme réponse, elle me dit simplement : ? vas-y ?. Je n?y croyais pas, maman me disant que je pouvais lui faire l?amour, ici, sur le divan. En tout cas, je n?ai pas attendu qu?elle me le re dise. Je suis monté sur le divan, me suis couché sur elle, pointant mon sexe à l?entrée de sa caverne, je m?y suis engouffré. A peine étais-je en elle, que je l?ai labouré comme un fou. Maman s?est directement mise à gémir à pleine gorge. J?était vraiment bien, dans ce canal chaud et accueillant, bien lubrifié. Le divan faisait un peu de bruit. Le grincement que peut faire un objet lors de cette action, en somme. J?avais le visage de maman juste en dessous de moi, les yeux fermés, la bouche grande ouverte. Sa poitrine bougeait dans tous les sens que son corps faisait. Je n?ai pas su résister à l?embrasser. Mes lèvres se sont jointes aux siennes, ainsi que nos langues. Je fus bien reçu. Nos langues se mélangèrent dans chacune de nos bouches et nos salives se mélangèrent. Lorsque j?ai relevé la tête, maman me sourie et referma les yeux. Je crois que je n?ai pas duré deux minutes à lui faire l?amour de cette manière. Lorsque j?ai senti que j?arrivais, je lui ai dit : ? maman, je vais arriver ?. comme réponse, elle me dit : ? je veux sentir ton sperme en moi, continue, ne t?arrête pas, je sens que je vais aussi jouir ?. Double satisfactions pour moi. J?ai intensifié mes allers-retours en maman, qui était sur le point de jouir aussi. D?un coup, j?ai senti que mon sperme arriva dans mon sexe et puis, je lui ai tout lâché en elle. J?ai quand même encore continué à lui faire l?amour, malgré qu?en même temps, je lui éjaculais dedans. Le fait que je jouisse la fit jouir aussi. Elle avait, quelques secondes avant que j?éjacule en elle, placé ses jambes dans mon dos et s?y agrippait. Ses gémissements irréguliers et puis, d?un coup, l?arrêt brutal, me fit comprendre qu?elle était aussi arrivée au bout. Nous sommes restés, moi sur elle, durant près de cinq minutes, se reprendre de nos émotions. Nous ne fîmes aucuns mouvements, ni aucunes paroles. C?est moi qui ai brisé la glace en lui disant : ? je dois pisser maman ! ?. nous nous sommes mit à rire alors. Mon sexe était redevenu un petit vers luisant. Luisant, c?est bien le mot qui convient, pour qualifier la façon dont il était recouvert de sperme et de mouille. Le sexe de maman était de la même texture. Je me suis levé, je l?ai regardé dans les yeux, le reste de son corps, puis, je suis allé aux toilettes. Avant de pisser, j?ai pris un papier mouchoir et j?ai frotté le mélange de nos jus intimes. Lorsque je suis revenu dans le salon, maman était en robe de nuit. Les vêtements qui traînaient à terre, étaient déjà en place. Je me suis rapproché d?elle et je me suis collé contre elle, contre son dos. Elle s?est tout de suite enlevée de mon étreinte et s?est retournée. Elle s?est approchée de moi et m?a embrassée sur la bouche, juste un petit baiser. Lorsqu?elle retira ses lèvres des miennes, elle se recula, m?envoya une magistrale gifle et se dirigea vers le couloir.C?est qu?elle m?a fait mal en plus. Je l?entends monté vers sa chambre. Je suis seul maintenant. Je sens ma joue qui est chaude. ?a doit être sûrement pour se donner bonne conscience qu?elle m?a giflé. Je ne lui en veux pas. En plus qu?elle m?a laisser lui faire l?amour, je ne vais pas lui reprocher ce petit écart de politesse. Bon, maintenant, au lit, moi aussi. Je vais dans la salle de bain et je mets mon pyjama. Je vais encore une fois pisser. En tenant mon sexe en pissant, je me mets à rire doucement, pensant qu?il y a à peine cinq minutes, il était beaucoup plus gros et grand et, que surtout, il était à l?intérieur de maman. En sortant de la toilette, je me suis remis un petit peu à bander. Comme je dois passer par le salon pour monter, j?en ai profité pour toucher le divan. C?est incroyable, mais il était encore un peu chaud et humide. Rien que de ce fait, je me suis mis à bander aussi dur que si maman était encore devant moi. Mais je sais qu?il ne se passera plus rien avant un bon bout de temps ; en tout cas, avec son sexe, car, je suppose, que le reste de son corps me reste toujours à portée de main. J?ai fermé toutes les lampes et je suis monté, bandé comme un taureau. Lorsque je suis arrivé dans ma chambre, il faisait calme, pas un bruit. Si un seul bruit s?entendait, le ronflement de papa. Il ne ronfle pas souvent mais je sais que lorsqu?il le fait, s?est qu?il est vraiment très profondément endormit et, que des gens pouvaient parlé à côté de lui, qu?il n?entendait rien du tout. La seule chose qui le réveille, s?est que maman le bouge dans tous les sens. Enfin, je dis maman mais n?importe qui peut le faire. Je suis donc dans mon lit et le fait d?écouter mon père ronfler me fait débander et la chaleur, réussissent tous deux à m?endormir. D?un coup, j?entends du bruit dans la chambre de mes parents. Je regarde l?heure, 4h10 du mat. C?est papa qui parle et, tendant bien l?oreille, il réveille maman. Je les entends parler mais je ne comprends pas tous ce qu?ils disent. J?entends par contre, que papa se lève et se dirige vers la porte en disant : ? je dois refaire ces comptes, car, dès 8h, je dois les envoyés au bureau et, s?il y a une seule erreur, c?est le projet qui est foutu, je suis désolé mais je dois aller les vérifier. J?en aurai pour une heure, rendors-toi mon amour ? et la porte s?ouvre. J?ai la tête sous les couvertures et je ne le vois donc pas passer. Je me mets à réfléchir, en l?entendant descendre les escaliers. S?il doit refaire ses comptes, c?est pas dans le salon qu?il doit les faire, c?est dans son bureau, de l?autre côté de la pièce, la pièce qu?il mets toujours longtemps à tous retrouver. ?a veux dire que maman est seule et que .... Mon coeur se met à battre la chamade et je commence à avoir chaud sous ses couvertures. J?entends qu?il va à la toilette, puis, qu?il descend dans l?autre pièce. La voie est libre, mais il va falloir que je joue doucement, ou alors, brutalement avec maman. Je me lève et je me dirige vers leur chambre. La porte est ouverte. Maman est couchée sur son côté droit. De cette position, elle ne sais pas me voir. Je m?avance doucement, j?ai la gorge sèche et surtout, mon coeur qui bat très vite et fort. D?un coup, j?entends une voix qui dit : ? je savais que tu allais venir, je t?attendais, allez, dépêche-toi, tu vas avoir froid ?Je ne pensais pas que maman m?avait entendu et, je ne pensais pas qu?elle m?aurait dit ça. Je fais le tour du lit et je rentre dedans du côté qu?elle me vois. Je rentre dans lit et directement, nos deux corps s?enlacent l?un contre l?autre. Nos bouches se trouvent et nos langues se mélangent directement. Je commence à bander horriblement fort, j?en ai mal. Je n?en crois pas mes sens, je sens que maman chercher à m?enlever mon pyjama et, deux minutes plus tard, je suis nu. Je voulais en faire de même avec elle, mais, c?est elle qui s?est déshabillée. Mon sexe se cogne contre son pubis. Je sens qu?elle mouille. Mes mains lui pelotent la poitrine, ma langue se darde sur ses tétons durci. Nous nous excitons du mieux que nous pouvons le faire. D?un coup, maman se roule sur moi. Mon sexe est entre ses jambes. Sa tête est au-dessus de la mienne. Je sais ce qu?elle veux faire. Elle se lève un peu, prend mon sexe entre ses doigts et, d?un coup, elle s?empale dessus. Mes mains se posent sur ses fesses et je l?accompagne dans un rodéo plein de puissance et de gémissements de plaisir. Le lit fait un bruit monstre de grincements. Ses seins se balancent au-dessus de moi. Elle se rapproche un peu et j?en gobbe un à pleine bouche. Sentant le téton bien dur, j?en profite pour le prendre entre les dents et d?un coup, je le mords. Maman réagit directement en gémissement. J?aurais cru qu?elle allait dire ? ouille ?. et bien non, elle gémit. Alors, durant quelques secondes, je continue. Nos corps sont en sueur. Maman gémit à pleine voix, ce qui me fait encore plus la pénétrer. Ses mouvements de reculs sont tellement fort que ma queue sort presque d?elle. A un moment, c?est ce qu?il s?est passé, mais elle n?est pas retombée au bon endroit et elle s?est assise dessus. J?ai mordu sur ma lèvre, pour ne pas crier ma douleur. Ne sachant que faire, elle s?est enfuie dans les draps et à commencer à me sucer. La douleur est partie aussi vite qu?elle est venue. Je sentais mon sexe coulisser entre ses deux lèvres. Au vue de la position, je lui ai demandé de faire un 69 mais elle refusa. Elle me suça durant cinq minutes. Lorsque mon sexe a repris une grandeur respectable pour notre acte bestial, elle s?est remise au-dessus de moi et s?est de nouveau empalée dessus. Sentir mon sexe dans le sien, dans ce canal chaud, doux et humide, me fit commencer à gémir de plaisir. Pour me faire taire, maman s?est penchée en avant et m?a embrassé. Je sentais sa salive me couler dans la bouche. Ma langue flirtait avec la sienne dans sa bouche. Le bord de nos bouches était ruisselant de salive. Mais, malgré nos embrassades fougueux, cela ne pouvait pas fort cachés nos gémissements mutuels, ainsi et surtout, le grincement du lit. A force de s?exciter, maman a jouie très fort. J?ai senti les parois de son sexe m?enserrer le sexe. Cet action accéléra l?arrivée de ma jouissance. Comme tout à l?heure, je lui ai dit et elle me répondit la même chose. Donc, je me suis complètement relâché et, en deux minutes, je lui ai envoyé dans ses plus profonds recoins vaginaux, tout ce que mon appareil sexuel avait produit. Pour contenir nos gémissements de plaisir, nous nous sommes embrassés bestialement. Maman s?effondra sur moi, sa tête venant se blottir dans mon cou. D?une main, je lui caressais les cheveux, de l?autre, je lui caressais doucement le dos, jusqu?au début de la fente des fesses. Nous sommes restés ainsi durant cinq à dix minutes. J?ai complètement oublié le temps, elle aussi d?ailleurs. ?a faisait, je pense, près d?une demi-heure que papa était en bas. Lorsqu?elle repris ses esprits et son souffle, maman passa à ma droite et se remonta d?une dizaine de centimètres. De ce fait, elle sut passer son bras autour de ma tête, tendis que celle-ci se posait sur sa poitrine. Maman me caresse les cheveux et me dit : ? tu as de la chance mon enfant, beaucoup de chances ?. je lui répondis : ? toi aussi, maman ? je dis ça tout en riant. Nous sommes restés ainsi durant quelques minutes, savourant ce moment unique de notre vie, repensant à nos deux ébats incestueux. D?un coup, je me suis mit à bailler. Ce fut le signe qui nous fit se séparer, sans oublier, pour nous dire bonne nuit, un baiser, mais celui-là, fut très sensuel mais, qui sentait la tendresse de deux personnes amoureuses. En l?embrassant, je lui ai encore une fois pincé ses tétons, qui étaient de nouveau, bien dressé. Je suis retourné dans mon lit, tout doucement. Mais après le vacarme qu?avait fait le lit, je ne suis pas sûr que dans quelques heures, mon père ne sera le même qu?avant, sachant que j?ai baisé avec sa femme, ma mère. Je suis dans mon lit et je sens la chaleur m?envahir. Je commence à bailler et mes yeux se ferment. Un bruit me réveille, je regarde mon radio-réveil, 6h14, c?est papa qui monte se rendormir. Il n?est pas passé par ma chambre et on dirait qu?il ne se passe rien dans leur chambre, il ne gueule pas. J?entends qu?il passe les draps sur lui. Quelques minutes se passent et je l?entends un tout petit peu ronfler. Je me rendors. J?ai facile à m?endormir. Mais ce n?est pas pour ça que je sais bien dormir. Les actes de ces dernières heures me font frémir, fantasmer, peur, bref, je ne sais pas comment je vais réagir face à eux deux dans quelques heures. Le bruit qui me réveille est la descente d?un des deux. Je regarde l?heure par dessus mon épaule, 8h52. je l?entends que la personne va à la toilette. C?est maman, je la reconnais car elle prend un morceau de papier toilette pour enlever les dernières gouttes d?urine. Il n?y a qu?elle qui fait ça ici. Elle ferme la porte.J?entends maintenant aussi que papa est entrain de ronfler aussi fort qu?hier soir. Est-ce un signe pour que je descente et, que je fasse encore des choses avec maman ? je ne sais pas quoi faire. Je me remet à bander dur. Papa ronfle si fort que je pourrais faire ce que je veux avec maman en bas qu?il ne bougerait pas. Allez, c?est décidé, je me lève. La bosse qui déforme mon pyjama est énorme. Un chapiteau se dresse à l?endroit de mon sexe. N?est-ce pas normal ? ne dit-on pas la gaule du matin ? Je n?ose imaginer la tête de maman lorsqu?elle verra ça. Bon, je me lève, de toute façon, je crois que je n?ai rien à perdre. Je suis debout. Je passe devant la porte de leur chambre, d?où papa continue, sans peine, à ronfler. Je suis dans les escaliers. Bizarre, je commence à débander, est-ce le fait du stress qui me fait ça ? j?atteins finalement le dernier escalier. Lorsque j?ouvre la porte, personne ne se trouve dans le salon. Je me dirige vers la salle de bain pour aller pisser, ainsi que pour m?apprêter. C?est étrange, mais je ne bande plus du tout. Je termine ma toilette et je sors de la salle de bain, complètement décontracté, ne pensant plus à rien, sauf qu?a manger. Je rentre dans la cuisine. Maman y est, aussi occupée à manger. Je m?installe et commence mon bol de céréales. Durant dix minutes, on discute de tout et de rien, mais sûrement pas de se qu?il s?est passé cette nuit. La chose qui déclencha la discussion à propos de ça, c?est bêtement lorsqu?à un moment, j?ai voulu reprendre du lait, la brique m?a glissée de la main et, quelques gouttes se sont éparpillées, mais principalement sur la main gauche de maman. ?a nous fit rire durant un instant. Mais lorsqu?elle porta sa main à sa bouche pour lécher le lait, nos regards se sont croisés et, d?un coup, l?ambiance est complètement changée. Mon coeur s?est mit à battre très fort. Aucun mots ne pouvaient décrire l?ambiance qui se créait entre elle et moi. C?est d?ailleurs moi qui déchira le silence :M : maman, tu as aimé ce qui s?est passé cette nuit ?F : j?ai bien appréciée, mais c?est fini maintenant, tu m?as baisé et c?est tout, c?est fini.M : et si je n?ai pas encore envie de ça soit fini ?F : tu te fourres le doigt dans l?oeil. Moi, je ne veux plus que tu me touches, même la poitrine, tu as compris ?M : pas te toucher ? ça veux dire que je peux encore te voir maintenant, ici, dans la cuisine, complètement nue. Allez maman, a poil, tout de suite.F : non, non et non. C?est fini.En disant cette phrase, maman s?est levée et s?est dirigée vers l?évier pour mettre sa tasse de café dedans. Sans réfléchir, je me suis aussi levé et je me suis mis derrière elle. Je ne la touche pas, mais nos corps sont à quelques centimètres l?un de l?autre. Comme je suis derrière elle, j?approche ma bouche de son oreille et je lui dis : ? je veux te voir à poil dans deux minutes, couchée sur la table, deux doigts dans la chatte et un dans le cul, et qu?ils remuent bien ! ?. comme réponse, j?ai eu un sourire et un gloussement de sa part. Puis ce qu?elle ne me croyait pas, je lui dis : ? je vais aller pisser, si tu n?es pas comme ça lorsque je reviens, tu vas sentir que mes mains ne sont pas si légère et douce que ça ?. Elle s?est retournée, on a failli s?embrasser, tellement on est propre l?un de l?autre. Elle m?a regardé dans les yeux, d?un regard ..., assez difficile à décrire. Sans lui laisser le temps de dire ou faire quelque chose, je me suis retourné et suis parti aux toilettes. Lorsque j?ai ouvert la porte qui sépare la pièce où se trouve les toilettes et la cuisine, j?ai attendu, pour savoir ce qu?elle allait faire. Elle est resté indécise durant quelques temps, puis, s?est retournée et a commencé la vaisselle. Moi, j?étais un peu furieux, car, je n?avais pas très envie de faire du mal à maman, mais c?est elle qui m?a dit qu?elle supportait avoir mal. Mais je vais quand même bien pisser. Faisant semblant de rien, je suis revenu des toilettes. Lorsque je suis rentré dans la cuisine, j?ai été étonné. Maman était bien à poil, couchée sur la table, les jambes ouvertes. Elle s?était couchée dans le sens inverse que j?arrive. C?est à dire que sa tête était en arrière et je ne pouvais voir, d?où j?étais, que les formes de son corps et bien sûr, sa poitrine. J?ai continué a avancer jusqu?au moment où j?étais au milieu de son corps. Là, je n?ai pas su résister à lui caresser de la main retournée sur son ventre. Arrivant à son nombril, j?y ai rentré mon majeur et y fait quelques allers-retours. Ensuite, j?ai continué le trajet de mes doigts. Arrivant à son aine, j?ai passé vers sa jambe, remontant jusqu?à son genoux. Elle avait fermé les yeux et respirait la bouche grande ouverte. Lorsque mes doigts sont arrivés aux bouts de ses orteils, j?ai osé regardé au bout de son entrejambe. Ce que je pensais était arrivés. Maman mouillait comme une fontaine. Sur la table était formé une petite flaque de mouille. J?ai arrêté de caresser maman et je me suis complètement déshabillé. Je bandais comme un taureau. Je dis à maman :M : je t?ai demandé de faire quelque chose maman !F : je l?ai faitM : et tes doigts dans ton sexe et dans ton cul, c?est fait ?F : non !M : et pourquoi ?F : je ne veux pas le faire, j?ai dis que c?était fini, tu peux encore me regarder mais tu ne me toucheras plus.M : mais te regarder te masturber, je peux !F : non, c?est te donner trop de plaisir. M : maman, ne me laisse pas l?occasion de faire des choses que je ne veux pas faire, s?il te plait !F : que veux-tu dire ?M : je t?ai dis que tu vas sentir que mes mains ne sont pas si légère et douce que ça, comprends-tu maintenant !F : oui j?ai compris, mais non, je ne le ferai pas, même si tu me fais du malM : comme tu le voudras maman !Je m?étais encore promené autour d?elle pendant cette discussion. A la fin, je me trouvait à sa tête. Je me suis rapproché d?elle, j?ai pris mon sexe dans ma main et je me suis rapproché de sa figure. D?un coup assez sec, je lui ai frappé la figure avec mon sexe. Elle ne s?est pas défendue. De ce fait, j?ai commencé à faire ça durant près d?une minute. C?est drôle, mais plus je faisais ça, plus mon excitation montait en moi. Après ça, j?ai senti que j?avais une envie urgente à faire. Et bien, je l?ai fait sur elle. Je me suis mit de profile à elle et je lui ai pissé dessus. Elle s?est cachée la figure avec les mains, mais elle en était quand même remplie. Je visais sa bouche et je suis certain qu?elle en a reçu dedans, même si plus tard, elle m?a dit que non. C?était trop bien de la voir ainsi. Dès que j?ai eu fini, elle s?est mise à pleurer, mais doucement, en retenant pas ses larmes, mais ses plaintes. Je me suis mis à rire, en la voyant comme ça. Plus je l?humiliais, plus j?avais du plaisir et plus je bandais fort. La seule chose que je voulais maintenant, s?est rentré en elle et de lui faire l?amour comme une bête. Je me suis dirigé vers son entrejambe et de mes mains et l?ai rapprochée du bord de la table. Elle s?est un peu débattue, mais elle a vite compris que je continuerais à lui faire du mal si elle ne coopérait pas. J?ai été très surprit lorsque je lui ai ouvert les jambes. Elle mouillait de plus ne plus. Son liquide blanc âcre, avait coulé à terre. Mon sexe tendu s?approcha de ses lèvres gonflées de désir. D?un coup de reins, je suis entré en elle. Directement, je me suis mis à lui faire l?amour comme un fou. Le bruit que faisait nos sexes l?un contre l?autre me rendais fou. La table faisait un bruit du tonnerre. En plus, comme je le lui faisait avec force, elle s?est mise à gémir de plaisir directement. Ses doigts glissèrent direc
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