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Les sentiments enfouis

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Pablo et je suis né au Brésil. J’ai été adopté à l’âge de 5 ans par une famille française, aussi, j’ai toujours su qu’ils n’étaient pas mes véritables parents. J’ai un petit frère, Neil, fils naturel quant à lui, que j’adore. Le reste de ma famille est composé du frère de ma mère adoptive, sa femme, et leurs deux enfants : Marie, dont je suis l’aîné de 3 ans, et son petit frère, Matthias, plus jeune de 5 ans. Nous avons toujours été très unis, j’ai été d’emblée intégré comme un membre à part entière de la famille. Marie et moi sommes depuis longtemps très proches, elle a beau adorer son petit frère, ils sont bien moins complices que nous ne le sommes elle et moi. Nous passions beaucoup de temps ensemble gamins, nous avons fait les pires bêtises, fait les 400 coups, fait tourner en bourrique nos parents plus de fois qu’il n’est supportable. Marie est la fille à qui j’ai donné mon premier baiser, un baiser d’enfant, chaste, innocent, pour se marrer, essayer. Nous nous sommes vu évoluer jusqu’à l’adolescence ; j’étais son confident, elle était le mien…
Puis nous ne sommes un peu éloignés, par la force des choses, l’entrée dans l’adolescence d’une part, puis l’éloignement géographique. Nous tâchions toutefois de garder contact, notamment par courrier puis, la technologie aidant, par Internet. Même si nous ne nous voyions plus tous les jours comme avant, nous nous retrouvions toutefois chaque été dans la propriété qu’avaient acquis ensemble nos parents. Les changements étaient encore plus flagrants qu’auparavant. Chaque année, je la voyais changer, passer de la petite fille sage au garçon manqué, puis à l’adolescente rebelle. Elle gardait cependant intacte son affection envers moi.
Puis la vie a passé, j’ai passé mon bac, avec succès, puis ai fait la fierté de mes parents par de brillantes études de commerce. C’était une belle revanche sur la vie, moi l’enfant d’ailleurs qui, sans l’affection et le support de mes parents n’aurait jamais pu avoir accès à de telles opportunités.
A l’heure où l’histoire que je vais vous raconter se déroule, j’ai 25 ans. Je travaille depuis deux ans dans une multinationale en attendant, un jour peut-être, de prendre la suite dans l’entreprise de mon père. Je m’épanouis beaucoup dans mon travail et profite abondamment de la vie. J’enchaîne les aventures sans lendemain depuis qu’une femme, vénale, m’a brisé le cœur il y’a deux ans. Cela me convient : la nature, sans vouloir me vanter, m’a plutôt bien doté, je suis plutôt grand, musclé, brun à la peau mate… grâce à cela, je fais des rencontres, ne m’attache pas et donc ne souffre pas. Ça me demande beaucoup de discipline mais ça ajoute aussi beaucoup de piment à ma vie sexuelle. Et d’un point de vue purement pragmatique, j’engrange une expérience folle au contact de femmes de tous âges, j’améliore ma « technique » tous les jours. Je vis désormais assez loin de mes parents et de mon petit frère. C’est d’ailleurs cette configuration qui me permet de mener cette vie, sans avoir maman qui me tanne tous les jours pour savoir si j’ai enfin une petite amie à lui présenter.
Je n’ai pas vu Marie depuis 3 ans. Après son bac, elle est partie aux Etats-Unis pour perfectionner sa pratique des langues et étudier dans une grande école. La première année, elle a pris la peine de revenir quelques jours à Noël et deux semaines pour les grandes vacances mais, étant donnés les coûts importants du voyage, ajoutés à ceux de l’université, elle ne vient plus que pour quelques jours, et manque de chance, nous ne sommes jamais libres au même moment. Nous continuons de nous écrire, nous nous téléphonons (peu malheureusement par manque de temps), mais je n’ai plus aucune idée de ce à quoi elle ressemble dorénavant, je n’ai en tête que l’éternelle adolescente de 19 ans que j’ai serré dans mes bras lors de son dernier départ. Elle avait alors les cheveux courts et n’avait que faire d’harmoniser ses vêtements. Elle est nature Marie, et c’est ce que j’adore chez elle !
Cette année encore, nous passerons un mois en famille dans notre propriété dans le sud de la France. Je m’en réjouis d’avance, d’autant plus qu’il y’aura vraiment toute la famille.
Quand j’arrive à la gare, m’accueillent non seulement un temps magnifique mais surtout les sourires de ma famille au grand complet : Neil est là ; c’est désormais un grand gaillard de 17 ans. Nous nous donnons une accolade virile puis chacun s’avance pour saluer. Ne manque que Marie, que j’ai pourtant tellement envie de revoir. Elle arrivera dans 2 jours, par avion. Nous rentrons à la villa. C’est un endroit où j’adore venir en vacances. Il y’a de la place pour tout le monde, une grande piscine, pas de voisins, nous ne sommes entourés que par de magnifiques paysages. Un grand bol d’air pur pour le parisien que je suis devenu ! Je n’aurai pas le temps d’en profiter cet après-midi : le voyage a été long et je m’effondre sur mon lit sans même défaire mes valises, pour ne me réveiller que pour le dîner.
Après une bonne nuit de sommeil réparateur, je peux enfin jouir du cadre idyllique de la propriété. Les parents sont à l’extérieur, Neil joue à la console dans sa chambre… je profite à moi tout seul de notre superbe piscine. Il fait non seulement beau mais en plus il fait bon ! Alors que je me délasse dans l’eau à 32°, j’entends la cloche du portail tinter. Comme je doute que Neil entende quoi que ce soit sous son casque, je me dévoue donc pour aller ouvrir à notre visiteur. En l’occurrence notre visiteuse… il s’agit en effet d’une charmante jeune femme en uniforme de facteur (à ceci près qu’elle a troqué le pantalon immonde contre un très seyant mini-short) :
— Bonjour…— Bonjour monsieur, me dit-elle sans quitter des yeux sa sacoche où elle cherche maladroitement notre courrier, pardon de vous déranger mais je suis nouvelle dans le coin, et je n’ai pas trouvé l’emplacement de la boîte aux lettres…
Elle lève les yeux vers moi… c’est alors que je reconnais la petite Raphaëlle… la fille de notre ancienne femme de ménage. Elle et Marie étaient très amies quand elles étaient petites. Elle a toujours quelques peu « flashé » sur moi et à son regard, je vois que l’effet que je lui faisait à l’époque ne s’est pas estompé.
— Oh mon dieu, salut Pablo ! me dit-elle de son plus beau sourire. Ça fait tellement longtemps. Tu te souviens de moi ?
Je l’observe quelques minutes. Je me souviens d’elle comme d’une jeune fille particulièrement agaçante, qui nous collait sans arrêt ma cousine et moi. Je retrouve aujourd’hui une jeune femme mûre, et plutôt attirante. Elle, m’observe avec un mélange de stupéfaction et d’envie… et effet, je ne porte rien d’autre que mon maillot de bain qui met, je dois le dire, mes atouts bien en valeur…
— Attends, tu ne serais pas la fille de Paula, notre femme de ménage ? Comment tu t’appelles déjà… euh…— Raphaëlle !— Oui, Raphaëlle, c’est ça…
Après quelques échanges pour évoquer nos vies respectives, je constate qu’elle m’observe avec ce même air lubrique qu’elle avait à 15 ans… A cette époque-là, elle ne ressemblait à rien et je vivais sa cour assidue comme un boulet que l’on traîne… aujourd’hui, j’y serais déjà un peu plus sensible. Même si elle est, comme à son habitude, « maquillée comme un camion », elle possède quelques avantages que je ne lui connaissais pas jadis. Ses fesses bombées feraient assurément un superbe réceptacle à mes coups de queue de même que ses seins massifs dont pointent les tétons à travers le débardeur trouveraient une chaleur agréable dans ma bouche. Je tâche de retrouver mes esprits… j’ai beaucoup de respect pour sa mère et cela m’embêterait de la baiser pour la laisser penaude après les ébats comme avec n’importe laquelle de mes conquêtes. Sentant probablement ma gêne, elle me propose d’un air entendu :
— Cela te dirait de venir ce soir chez nous ce soir boire un verre ? Depuis que maman est à la retraite, elle n’a plus eu l’occasion de te voir, elle serait ravie que tu viennes la saluer.
— Pourquoi pas, je serais ravie de la revoir… à ce soir alors !
— Ok d’acc’ ! A ce soir, dit-elle d’un air qu’elle voudrait langoureux.
Elle s’éloigne en tortillant significativement son postérieur rebondi. Cette salope… sait que je la regarde s’éloigner.
Ce soir-là, juste avant le dîner, je me rends au domicile de notre ancienne employée, bouquet de fleurs à la main. J’y vais sans attentes aucunes… il se passera ce qu’il doit se passer… au « pire », je serai très heureux d’avoir vu Paula… au mieux, Raphaëlle attendra que sa mère dorme pour me sauter au caleçon et me sucer dans le jardin…
C’est perdu dans mes pensées que je sonne à la porte de la petite maison. Raphaëlle m’ouvre en peignoir de satin rouge.
— Entre, me dit-elle…— Bonsoir Raphaëlle, lui dis-je en lui faisant la bise… ta mère est là ?
J’entre.
— En fait, ce soir nous ne serons que deux… maman a dû s’absenter…
La coquine, elle avait tout prévu … J’attends la suite. Elle me fait m’asseoir pour se positionner sur mes genoux. Elle me fait face :
— J’espère que tu avais bien compris que tu n’es pas là pour qu’on tape la discute ? commence-t-elle en se frottant contre moi.
J’ai vraiment touché le gros lot, ironise-je dans ma tête. Et vulgaire avec ça. Comment Marie a-t-elle pu rester amie pendant des années avec une fille aussi, en tous points, différente d’elle.
— Disons que j’avais des doutes… lui dis-je avec dérision.
Elle m’embrasse alors à pleine bouche, son haleine sent le tabac froid… décidemment, elle les accumule. Puis elle m’attrape par la main, m’entraînant, je suppose, dans sa chambre. Là haut, au 1er étage, rien n’a changé depuis la dernière fois, quand j’étais venu, enfant, pour jouer. Depuis plus de 15 ans, tout est similaire au millimètre près… c’est assez flippant. Elle me pousse violemment sur son lit puis me dévoile ce qu’il y’a sous son peignoir de satin. La cochonne s’était préparée à ma venue. Elle est équipée de la tête au pied : l’ensemble soutien-gorge/porte-jarretelles date un peu mais est plutôt coquin et amusant… je ne peux m’empêcher de penser qu’elle n’est vraiment pas de la trempe des femmes que j’honore d’habitude mais bon, elle a des atouts non négligeables et quand elle se sera débarrassée de tout cet attirail, elle sera tout à fait baisable. Elle me regarde d’un air qu’elle veut sexy, je réprime un fou rire. Je ne cesse de me répéter : « Pense à son cul, pense à ses seins… » pour me donner du courage. C’est alors qu’elle se jette à mes pieds, à genoux. Les choses sérieuses commencent : elle me retire à une vitesse phénoménale mon pantalon puis mon caleçon. Je ne bande pas encore, elle semble un peu vexée. Elle entreprend alors de me sucer. Elle s’y prend de façon si maladroite que j’ai peur qu’elle finisse par me mordre ! Puis voyant que ma queue ne réagit toujours pas, elle change de technique pour celle de la gorge profonde. Quand elle manque s’étouffer, j’ai de plus en plus de mal à réprimer mon fou rire. Je tâche de me reprendre, malgré tout je n’ai pas envie de lui faire de peine, et maintenant que nous sommes dans le vif du sujet, j’ai envie, pardonnez moi l’expression, de me vider les couilles.
— Doucement ma chérie, plus doucement … je lui conseille.
Elle se calme puis reprends sa besogne. De mon côté, je pense à cette superbe blonde que j’ai rencontrée il y’a quelques jours en soirée et avec qui j’ai fini dans l’ascenseur. L’effet escompté se produit : je commence à bander. Le sentant dans sa bouche, Raphaëlle s’active de plus belle et se met à grogner, je me concentre, en fermant les yeux, sur cette blonde et ses seins pour maintenir l’érection. Puis je me redresse d’un coup, la prends par les épaules et la pousse fermement sur le lit, elle semble adorer ça.
— Caresse toi, je lui intime.
Ce qu’elle fait sans se faire prier. Elle met deux doigts dans sa bouche avant de lentement les faire descendre jusqu’à sa chatte. J’en profite pour passer une jambe de chaque côté de son bassin et lui fourrer ma bite de 25 cm entre les deux seins. Hum, ils sont durcis par l’excitation. Je ferme les yeux et savoure la chaleur de sa poitrine sur ma queue ; elle, grogne de plaisir. D’une de mes mains, je la caresse et lui introduis deux doigts dans la chatte. Elle mouille comme une folle, comme si ça faisait longtemps qu’elle attendait ça. Je la sens jouir une première fois sur ma main, elle crie comme une sauvage, c’est assez drôle et je dois l’avouer, presque excitant. Puis je lui ordonne d’ouvrir grand la bouche et la lui baise jusqu’à la gorge. Maintenant que j’ai pris les choses en main, je prends beaucoup plus de plaisir et elle aussi. Je me sens près à lui décharger dans la bouche, aussi, je me retire et lui ordonne de se mettre à quatre pattes ce qu’elle fait avec empressement. Hum, ce cul, ça fait maintenant des minutes entières que je ne pense qu’à lui ! Je lui demande de lubrifier son anus avec sa cyprine le temps d’enfiler un préservatif ce qu’elle fait avec un grand enthousiasme. Je m’approche d’elle et lui demande :
— Tu veux bien que je te sodomise ?— Tu crois que tu as vraiment besoin de demander ?
Sans plus attendre, je m’enfonce en elle. Son anus est serré mais bien lubrifié et ma queue glisse comme dans du beurre. Ma première saillie lui arrache un petit cri mais les grognements qui suivent m’encouragent à poursuivre. Elle caresse férocement son clitoris, je la besogne pendant de longues minutes et la sens très vite jouir pour la deuxième fois. Je me sens moi-même au bord de l’éjaculation, je me retire, ôte la capote et sans avoir besoin de demander, elle place ses lèvres autour de mon gland et pompe de toutes ses forces. Je finis par décharger dans sa bouche. La salope n’en perds pas une goutte et toute fière d’elle, me montre le sperme qu’elle vient de recueillir avant de l’avaler. C’est là que je comprends d’où vient la maladresse de Raphaëlle : elle semble avoir tout appris du porno et manque vraisemblablement d’expérience. Cela m’attendrit, je lui donne un baiser et avant que j’aie eu le temps de dire quoique ce soit, elle me déclare :
— Tu sais, ça fait longtemps que j’attendais ça ! Depuis mes 16 ans en fait, quand je t’ai vu te baigner nu dans le ruisseau au bas de la colline et que j’ai aperçu ton chibre. Mais on pourra pas recommencer de sitôt. Mon mec est routier et il rentre demain soir, ensuite je pars sur la route avec lui. C’est dommage, hein ? me dit-elle avec espoir.
Je ne lui ferai pas l’affront, la pauvre, de lui pouffer au nez. Je me rhabille et rentre à la villa. En chemin, j’éclate d’un rire tant réprimé tout au long de la soirée. Je m’endormirai probablement plus calme ce soir !
Le lendemain, après une nuit des plus tranquilles, je me réveille avec le sourire. Ce soir, Marie arrive ! Je serai celui qui ira la chercher à l’aéroport, ça me permettra de faire les boutiques l’après midi. Après une matinée tennis avec papa, Matthias et Neil, je rentre à la maison prendre une douche. Je croise la bicyclette de Raphaëlle en chemin mais ne daigne pas m’arrêter pour discuter. Je n’en ai pas envie. Elle semble déçue. Je passe l’après-midi à flâner en quête de je ne sais quel vêtement à ajouter à mon dressing puis me mets en route pour l’aéroport, exalté à l’idée de revoir ma cousine adorée. Je me suis habillé de façon détendue, supposant qu’elle ferait de même. L’attente me pousse à imaginer ce qu’elle est devenue : 3 ans c’est long… très long… trop long. Alors que je suis à 15 minutes de la retrouver, elle ne m’a jamais autant manqué.
Les passagers provenant de New York débarquent, j’aperçois une jeune femme un peu gauche aux cheveux courts sortir du couloir avec sa valise, elle lui ressemble. Je tente un mouvement pour lui signaler ma présence et me rends compte qu’il ne s’agit pas là de Marie. Puis au bout d’un moment, plus personne… je vérifie mon portable pour savoir si elle n’aurait pas raté son avion. Rien …
Puis apparaît une jeune femme absolument superbe, elle est grande, élancée, des seins admirablement moulés dans une robe fluide, noire, épousant ses formes de déesse. Dommage, si je n’attendais pas Marie, je me serais précipité vers elle pour l’inviter à prendre un café. Elle semble pourtant s’avancer vers moi, lui aurais-je tapé dans l’œil ? C’est alors qu’elle lève les yeux vers moi et m’offre son plus beau sourire. Marie, car c’est bien elle, je le découvre maintenant, a tellement changé depuis trois ans ! J’ai quitté une ado attardé pour retrouver une splendide jeune femme, sûre d’elle, en robe ( !) perchée sur des talons. Sans savoir pourquoi, mon cœur s’emballe. Je mets ça sur le compte de la joie de la retrouver. Elle lâche ses valises, se précipite vers moi et me saute dans les bras. Elle me serre fort contre elle, je suis émue à un point difficile à décrire. La tenir contre moi après 3 ans sans pouvoir la toucher perturbe chaque centimètre carré de mon corps. J’ai beaucoup de mal à réfléchir, j’ai envie qu’elle reste dans mes bras pour toujours, je ne veux plus bouger. Elle me lâche et me fait face. Elle sourit jusqu’aux oreilles, puis attrape mon visage, dépose un chaste baiser amical sur mes lèvres, un autre sur la joue puis me serre encore dans ses bras. Que m’arrive t-il ? Je n’aurais jamais cru être bouleversé à ce point. Puis nous nous lâchons enfin. J’ai encore beaucoup de mal à réfléchir, elle me parle, me demande si ça va, je bredouille des réponses bateau. Je ne peux cesser de la regarder, de l’admirer. Elle est devenue si belle, si … désirable. J’essaie de chasser cette pensée. Je la prends par la main et la mène à la voiture où elle prend place. Au moment où elle rassemble ses jambes fines à l’intérieur de l’automobile, je réprime, non sans mal, un début d’érection. Que se passe t-il ? Pourquoi, Marie, ma… cousine, ma… meilleure amie me trouble-t-elle autant d’un coup ?
Sur la route, nous discutons de tout et de rien, de sa vie aux Etats-Unis, de la mienne à Paris… J’entends sans écouter, mes yeux font le va-et-vient derrière mes lunettes de soleil entre la route, ses jambes, ses seins. Arrivés à la villa, un comité d’accueil nous attend. Alors qu’elle embrasse tout le monde, j’en profite pour m’éclipser et me rendre à la salle de bain où je tente de reprendre mes esprits. Sans réfléchir, je baisse mon pantalon. De mémoire, je n’ai jamais eu une telle gaule, ma queue étouffe et me fait mal dans mon caleçon, j’ai le souffle court. Lorsque je la libère, je ressens une envie irrépressible de me branler, d’évacuer toute cette tension. Je ferme les yeux et ne peux m’empêcher de penser à elle, à sa silhouette à son arrivée, au sourire qu’elle m’a lancé, à sa poitrine contre mon torse quand elle m’a serré dans ses bras… à ce minuscule baiser sur mes lèvres… à cette ultime pensée, je jouis comme jamais dans la baignoire, le sperme s’étale partout.
Qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai osé fantasmer sur ma propre cousine… je me suis branlé en pensant à elle… suis-je un monstre ? Nous ne sommes pourtant pas liés par le « sang » elle et moi. Nous pourrions sûrement… NON ! Je dois m’interdire de penser ça… Je prends une douche froide pour tenter de contenir une gaule renaissante.
Je ne réapparais qu’au dîner. Elle m’a gardé la chaise à ses côtés. Elle me confie :
— Je suis tellement heureuse de te voir Pablo… j’avais peur de te rater comme la dernière fois, à Noël, tu m’as tellement manqué…
Elle se love contre moi et dépose un baiser sur ma joue. Elle veut ma mort ou quoi ?
— Toi aussi, tu m’as manqué, je lui réponds en calant ma tête contre la sienne.
Le dîner se passe, je lutte. Ça me ronge l’esprit. Je pars me coucher. Que va-t-elle bien pouvoir penser de moi, j’ai l’air de la rejeter et elle qui est si contente de me revoir… Non, il faut j’arrête mes conneries. J’entends quelqu’un frapper à la porte, on ouvre, c’est elle. Je fais semblant de dormir. Elle repart.
Le lendemain, je me réveille, résolu à redevenir l’ami, le confident que j’étais pour elle. C’est plutôt mal engagé étant donné que je me réveille dans des draps collés par le sperme, mais je suis résolu. Je mets mon cerveau en mode « OFF », m’impose une petite branlette histoire de me sentir plus libre, au moins pendant la matinée. Et ça fonctionne, nous réussissons à passer une journée des plus sympathiques : jeux, sports, repos, nous retissons le lien qui n’avait jamais été totalement rompu entre nous. Je ne dirais pas que je n’ai rien ressenti ; mais ça ne comptait pas à côté des superbes moments que nous passions ensemble. Après un dîner « entre jeunes » en ville, nous choisissons de rentrer à pied tous les deux. Cela nous donne l’occasion de nous raconter ce qu’il s’est passé durant ces 3 ans ; sa vie là-bas, ses amours, sa première fois ratée… ; et d’évoquer nos souvenirs… De retour à la villa, nous n’avons plus envie de nous lâcher, si bien que, m’apprêtant à me coucher, je ne peux que la laisser entrer quand elle frappe à ma porte et me demande si l’on peut dormir ensemble. Je n’arrive à dormir qu’au petit matin.
Quand je me réveille, il est midi, tout le monde est parti, sauf elle. Elle m’a préparé un déjeuner. Nous nous allongeons ensuite sur les transats puis nous décidons de piquer une tête dans la piscine. Nous allons tous les deux nous changer, je suis déjà dans l’eau quand elle arrive. Elle, magnifique et tellement désirable dans son bikini. Je me sens déjà défaillir. L’eau a beau ne pas être aussi chaude que d’habitude, cela n’a strictement aucun effet sur mon érection. Elle plonge, telle une sirène et vient à ma rencontre. Je n’ose plus bouger. Elle voudrait chahuter mais je ne réagis plus. Elle s’accroche à moi, entoure de ses jambes mon bassin pour tenter de me « noyer », nos regards se croisent. C’est alors qu’elle rentre en contact avec ma gaule monumentale. Elle reste circonspecte quelques secondes puis s’éloigne doucement de moi, un peu interdite. Elle colle son dos au bord de la piscine. Je décide de sauter le pas, coûte que coûte, je n’en peux plus de garder tout ça pour moi. Elle n’est pas ma cousine « à proprement parler » après tout. Je m’approche doucement d’elle, elle ne fuit pas. Mon visage est à présent à quelques centimètres du sien, nos lèvres se touchent presque. Mon érection touche son bas ventre. Je sens sa respiration saccadée contre mes lèvres. Elle a envie, et est en même temps gênée. Je me lance et l’embrasse doucement sur les lèvres, puis petit à petit, introduis ma langue contre la sienne. Son souffle s’accélère, elle ne me repousse pas. J’ai tellement envie d’elle, à ce moment, maintenant, je pourrais lui faire l’amour dans la piscine. Lui faire l’amour, oui, parce qu’une fille comme Marie, on lui fait l’amour, on ne la baise pas. Je pose mes mains sur ses hanches, elle me rends mon baiser et entoure mon cou de ses mains, je jubile, elle a aussi envie de moi. Je stoppe mon baiser, la regarde comme je n’ai jamais regardé une autre fille, retire une mèche de cheveu de devant ses yeux puis la prends dans mes bras. Nous sortons de la piscine. Elle a froid, je la recouvre d’un peignoir. Puis je la prends dans mes bras comme le ferait un jeune marié et l’emmène dans ma chambre. Nous ne nous quittons pas des yeux un seul moment. Ses yeux marron sont plongés dans les miens. Arrivés à destination, je la dépose délicatement sur le lit et m’allonge instantanément contre elle, nous nous embrassons langoureusement. Les volets sont mi-clos mais laissent entrer une lumière tamisée. Je ne voudrais être, sous aucun prétexte, à aucun autre endroit à ce moment précis. La morale interdit ce que nous sommes en train de faire, pourtant nous ne faisons rien de mal, je l’aime, depuis toujours, et je crois que c’est réciproque. Elle décroche le haut de son bikini et me dévoile ses seins magnifiques que je m’empresse de caresser. D’habitude, je ne prends jamais de temps pour les préliminaires, pourtant, avec elle, je resterais des heures, rien qu’à contempler son corps. Je caresse son dos tout en l’embrassant, je la sens gémir. Elle a un sursaut de plaisir au moment où j’embrasse ses tétons pointés. Elle caresse mon dos, mes bras de ses mains, je suis au paradis. Ma gaule ne cesse de s’intensifier, si bien que j’ai peur qu’elle ne la touche et que je sois incapable de me contenir. Je continue ma descente, dépose des baisers sur son ventre, je ressens chaque inspiration de plaisir émanant d’elle. J’arrive enfin à son entrejambe, j’ôte le bas de son maillot pour découvrir sa superbe chatte. Elle écarte ses cuisses, je pourrais contempler ce spectacle des heures durant. Je me lève un instant pour baisser mon maillot et placer ma tête entre ses cuisses, elle contemple mon sexe dressé et laisse échapper un gémissement bouleversant, comme si elle ne croyait pas qu’elle puisse me faire bander à ce point-là. J’approche ma tête de son minou, laisse glisser mes lèvres sur la peau de ses cuisses, elle se tortille déjà. Puis je goûte enfin à ce fruit que je croyais défendu, il est parfait… Elle mouille déjà comme une folle quand j’introduis ma langue. Quand je la passe sur le clitoris, elle laisse échapper un petit cri adorable. Cela ne m’encourage que plus, je plaque mes lèvres contre son intimité et aspire de plus belle, elle gémis tellement fort, je suis le plus heureux des hommes. Elle tient ma tête, tire mes cheveux à chaque instant de plaisir. Elle se tortille de longues minutes sous mes coups de langue avant de jouir dans ma bouche. C’est la plus exquise des cyprines qu’il m’ait été donné de lécher. Elle jouis fort et longtemps et dans un moment d’extase crie mon nom :
— Oh Pabloooooooooooooooooo
J’aurais pu jouir à cet instant, sans qu’elle m’ait touché, juste quand elle a crié mon nom… elle était à moi, et je savourais ce moment.
Je reviens vers elle, elle place ses mains de chaque côté de mon visage, comme elle l’a fait à l’aéroport :
— Oh Pablo, gémit-elle me jetant un regard intense.
Elle me donne cette fois-ci le plus beau baiser qu’il ne m’ait jamais été donné de recevoir.
— J’ai envie de toi, Pablo, j’ai tellement envie de toi…
Je la prends dans mes bras, l’allonge doucement sur le dos, je sens sa poitrine contre mon torse, je plonge une dernière fois ma main dans sa chatte pour faire encore monter son excitation. Elle mouille encore plus qu’au moment où elle a jouis. Nous nous embrassons, j’aime la sentir gémir dans ma bouche, j’aime son haleine, ses râles… je me positionne définitivement au-dessus d’elle, et lui dis :
— Tu es sûre que c’est ce que tu veux ?— Je n’ai jamais été aussi sûre de moi… me répond-t-elle de ses yeux remplis d’amour.
Sa respiration se fait de plus en plus saccadée à mesure que je place mon gland au contact de sa chatte. Puis, au moment où je l’introduis, elle pousse un profond râle de plaisir.
— Oh Pabloooooooooooooooooo
Je m’introduis en entier, sa chatte est étroite, chaque mouvement est pour moi un plaisir intense. Elle se trémousse sous mes coups de queue, place sa tête dans mon cou, je sens ses ongles s’enfoncer dans mos dos, cette sensation est exquise. J’ai baisé un nombre incalculable de femmes et pourtant j’ai l’impression de redécouvrir ce qu’est le sexe, l’amour, avec Marie. Elle est collée à moi, pousse un cri à chacun de mes mouvements. Puis à un moment, elle me pousse à m’allonger sur le dos. Elle prends mes mains, les pose et les maintient sur ses seins. Puis elle commence à me chevaucher, lentement, intensément, elle ne me quitte pas des yeux, sauf quand le plaisir fait basculer sa tête en arrière. Ma main droite caresse son visage, elle prends mon pouce dans sa bouche et le suce. Cette fille est une bombe ! Le plaisir devient trop fort, elle crie et s’écroule sur mon torse après son deuxième orgasme. Je sens un liquide chaud couler sur mes couilles. Cette sensation est indescriptible. Nous nous redressons, je suis toujours en elle, elle est un peu sonnée par le puissant spasme de plaisir qu’elle vient de vivre. Elle m’embrasse et en même temps reprends son va-et-vient sur ma queue, nos râles se synchronisent, nous ne faisons plus qu’un, je la serre tellement fort contre moi. Quelqu’un pourrait entrer à l’instant dans notre chambre que ça ne m’arrêterait pour rien au monde. Ses seins se frottent contre mon torse, je la sens encore au bord de l’orgasme quand moi je suis prêt à jouir. Je n’ai même pas le temps de me poser la question « où jouir ? » parce qu’au moment où, dans un soupir, elle me glisse à l’oreille :
— Je t’aime Pablo…
Je jouis comme jamais à l’intérieur d’elle quand son vagin se contracte en un ultime orgasme.
Je la couche sur le dos pour me retirer.
— Je t’aime aussi Marie, je t’ai toujours aimé, lui dis-je les yeux dans les yeux.
Nous restons là un instant, ma tête sur son sein, éreintés par ce que nous venons de vivre. Puis nous allons prendre un bain ensemble. C’est tendre, je ne l’avais jamais vécu auparavant.
Puis commencent à poindre dans ma tête quelques questions : auront nous de nouveau l’occasion de recommencer ? Pourrons nous l’assumer ? Doit on le dire, l’avouer à notre entourage ? Pourrais-je vivre sans elle quand elle retournera à New York ?
Je ne dois pas m’en soucier maintenant, je dois profiter des moments passés avec elle…
C’est à ce moment que me glisse :
— Au fait, papa ne t’a pas dit ? J’ai fini mes études à New York… Je rentre en France définitivement dans quelques semaines…
Il faudrait peut-être que j’aille voir un médecin parce qu’au moment où j’ai entendu « rentre en France définitivement », j’ai recommencé à bander…
FIN ?
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