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Les tourments érotiques du jeune Markus Milka

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Après avoir tout juste atteint l’âge auquel on permet aux jeunes gens de voter, Markus était encore puceau. Ce n’était pas l’attrait pour les femmes qui lui manquait, mais la confiance en lui pour tenter de les séduire. Son physique ne l’aidait en rien : grand, très maigre, un peu voûté, et le visage grêlé d’un acné rebelle à tout traitement, son physique de post-adolescent dégingandé et peu dynamique n’inspirait pas naturellement le désir de la gent féminine. Il n’avait pas non plus une conversation ni un à-propos qui puisse compenser ce corps peu charmeur, et non qu’il fût particulièrement timide, mais il avait peur de paraître ridicule devant les filles, et pour cette raison il se tenait à distance. Pour autant, il vouait une véritable fascination pour tout ce qui porte jupon et corsage, qu’elles soient jouvencelles tout juste nubiles ou bien femmes matures, callipyges et bien en chair : toute créature féminine exerçait sur lui un attrait extrême. Depuis quelque temps, il avait abandonné sa passion pour les jeux vidéo pour celle, bien plus intéressante, de l’étude de l’anatomie du beau sexe qu’il avait étudié, et étudiait encore, avec passion au moyen des différents moyens qu’il trouvait, Internet et presse masculine, tout en se masturbant de manière compulsive. Quand, aux beaux jours, il distinguait, sur une belle de passage, le haut des seins émergeant d’un chemisier suffisamment échancré, il bandait. Quand les cuisses se dévoilaient progressivement à mesure que l’été se rapprochait, il bandait. Quand un T-shirt trop court révélait le bas du ventre, parfois jusqu’au nombril qu’un bijou indiscret éclairait pour séduire, il était séduit et il bandait. Quand un pantalon taille basse dévoilait une partie de la culotte, ou mieux du string autour de fesses roses et joliment charnues, il bandait pour cette croupe qu’il rêvait accueillante à ses mains baladeuses, sans oser aller plus loin pour ne pas risquer la gifle. Mais surtout, quand une femme se promenait pieds-nus ou chaussée de sandales aux fines lanières, exposant ce superbe organe que l’on appelle le pied, il ne se contentait pas de bander : sa verge rugissait à en trouer son caleçon, ses yeux sortaient de leurs orbites et la bave écumait à ses lèvres. Plus d’une lui avait demandé, surprise, la raison de son trouble soudain, et lui, confus, pivoine, ne savait que répondre à celle dont l’exposition des orteils exacerbait sa libido jusqu’à confiner à la folie. Sa vie fut transformée au cours d’une réunion de famille qui eut lieu en plein été. Le déjeuner se déroulait sous la tonnelle habillée d’un rosier grimpant, dans le vaste jardin de la propriété campagnarde de son grand-père. Sitôt le dessert terminé, dédaignant le café et ses interminables discussions d’adultes, les jeunes étaient allés s’égayer dans le parc qui était suffisamment étendu pour qu’on puisse s’amuser aux activités que l’on voulait à l’abri des regards parentaux. Ainsi, Markus surprit sa cousine Adrienne en compagnie de son amie Isabelle que tout le monde appelait Zaza, amie étant à prendre au sens fort du couple lesbien, car les deux demoiselles étaient passionnément amoureuses l’une de l’autre. Elles étaient assises sur un banc et toutes entières absorbées par leurs blandices caressantes, le monde aurait bien pu s’écrouler autour d’elles sans qu’elles s’en aperçoivent. Elles ne tenaient pas les garçons spécialement en estime, et lorsqu’elles s’embrassaient sur les lèvres, c’était à pleine bouche et sans retenue, langues sortie en un gentil frotti-frotta exclusivement féminin, chacune plongée dans une haleine de fille qui faisait son délice. Le témoin involontaire eut l’idée de se cacher dans un épais buisson de troènes afin d’observer discrètement la scène qui l’émoustillait beaucoup, car s’il était habitué à admirer ces ébats d’homosexuelles en vidéo sur Internet, il n’avait jamais observé cet ébat en vrai. Mais c’était là ce dont il rêvait depuis longtemps. Zaza défit lentement les lacets des baskets de son aimée, puis retira chaussures et chaussettes qui valsèrent par hasard dans la haie, exactement à l’endroit où le garçon s’était dissimulé ! Il reçut l’un des souliers sur la tête, ce qui lui causa un bleu au crâne, mais il se dispensa de se plaindre afin de ne pas être repéré. En compensation, il fit main basse sur une chaussette blanche qui portait sur elle l’odeur délicieuse des petons de sa cousine, ce qui valait bien le prix de ce petit accident. Il fut comblé de joie en portant avec délectation le petit morceau de tissu jusqu’à ses narines, et fit le projet de voler le précieux vêtement afin, une fois retrouvée la sécurité de sa chambre, de l’enfiler sur son membre afin de se masturber, mêlant son sperme aux humeurs féminines qu’il adorait. Cette intention, que l’on peut aisément qualifier de fétichiste, correspondait parfaitement à la personnalité du jeune homme. Adrienne, pendant ce temps, massa puis suçota tendrement les pieds de son aimée – spectacle ô combien magnifique ! Dans l’azur du début de l’après-midi, tout autour le jardin chantait, oiseaux et vent doux dans les branches, et ce chant estival se mêlait à celui du suçotement coquin des deux amantes, les orteils entrant dans la bouche comme des glaces à l’italienne. Malheureusement, tout à la contemplation de la scène amoureuse, Markus était subjugué au point d’en oublier toute prudence. D’un pas inconsidéré, il fit craquer une brindille qui le trahit ; il fut ainsi repéré par le couple de demoiselles dont la colère ne tarda pas à se faire entendre.
— Espèce d’enfoiré, de voyeur ! Les mecs sont tous pareils : il n’y en a pas un pour racheter l’autre ! Il n’y pas moyen de faire respecter son intimité, ici, cria Adrienne ? Et en plus, tu fais quoi avec ma chaussette, je peux savoir ? — Je suis désolé, dit-il, confus. Vous êtes si belles, toutes les deux ! Et tu sens si bon ! Devant le trouble de son cousin qui rougissait à vue d’œil et ne savait plus où se mettre, Adrienne éclata de rire. Un rire joyeux, un rire de fille heureuse d’aimer, mais un rire à dessein cruel pour le garçon esseulé. La vengeance féminine s’exprimait ainsi. Il fallait punir le voyeur. Lui craignait plus que tout que les amantes aillent se plaindre de son comportement à ses parents, qui étaient psychorigides et l’avaient déjà sévèrement puni, à plusieurs reprises, en surprenant ses lectures cochonnes et ses activités auto-érotiques.— J’aimerais vous lécher les pieds, toutes les deux. S’il vous plaît… En retour, je ferai tout ce que vous voudrez. Juste cette partie de vous, et rien d’autre, promis.
Les deux amantes comprirent que le garçon était au bord des larmes, et comme elles étaient méchantes et lui totalement vulnérable, elles décidèrent de profiter de la situation. Elles se concertèrent en se chutant à l’oreille leur plan de bataille afin de faire payer à cet importun le prix de son erreur : non pas celle d’avoir imprudemment espionné leurs jeux saphiques, mais de se livrer lui-même sans aucune limite.
— C’est d’accord, dit Zaza, tu peux nous lécher les pieds si tu en as envie, autant que tu veux. Je te préviens : nous n’avons pas pris de douche depuis hier soir : tu vas déguster, mais si c’est ta marotte, pourquoi pas ? Mais, vois-tu, comme nous préférons les filles, nous ne connaissons rien des garçons, et nous sommes curieuses. Alors, tu dois te mettre nu devant nous. Complètement.Cela faisait partie des nombreux fantasmes de Markus, aussi celui-ci n’hésita pas une seule seconde avant de se défaire de ses vêtements, y compris le caleçon que sa cousine récupéra pour l’examiner. — Beurk, il n’est pas très propre.
Sa compagne, au vu des taches brunes du sous-vêtement, fit également la grimace. Le garçon, surpris et quelque peu humilié qu’on s’intéresse autant à la propreté de son linge et aussi peu à son anatomie de jeune mâle, en eut l’érection qui retomba aussitôt.
— Oh, c’est amusant, on dirait un petit limaçon, se moqua Zaza. Mon petit frère, qui a quatre ans, possède à peu près le même que toi. — Allez, lèche, mon coco joli, puisqu’il paraît que c’est pour ça que tu es là.
Markus se mit à genoux et commença par lécher avec application, voire passion, le pied droit de sa cousine. Son rêve se réalisait et peu lui importait le mépris des belles demoiselles : de toute manière, il n’attendait pas leur reconnaissance, voire acceptait leur hostilité avec complaisance. Il était persuadé d’avoir été, dans une vie antérieure s’étant déroulée dans l’antiquité, esclave au service exclusif d’une reine cruelle pour laquelle il avait passé son existence à satisfaire une implacable libido. Elle avait fini par le faire exécuter un soir d’insatisfaction, de préférence d’une manière atroce, comme le pal ou l’écartèlement. Avant de mourir dans d’extrêmes souffrances, son ultime volonté était, bien-sûr, de lécher les pieds de sa reine barbare une dernière fois. Tel était habituellement son fantasme du soir, tout en inondant des mouchoirs de sa liqueur masculine. A mesure que sa langue se glissait habilement entre les orteils pour en nettoyer les moindre replis, les parfums de sueur féminine podale, oubliés depuis plusieurs millénaires, lui revenaient mystérieusement en mémoire : il se dit qu’il était né pour cela, et rien d’autre. Pour cette raison, il se remit à bander comme jamais.
Il fit durer le plaisir un bon quart d’heure, peut-être plus. Les deux compagnes finirent par s’impatienter, et pour passer le temps reprirent leur tendre bouche-à-bouche, tandis que le garçon continuait à leur suçoter alternativement les pieds de l’une puis de l’autre. Il était comme un naufragé du désert brûlé par le désir, qu’il fallait abreuver encore et encore pour apaiser la soif dévorante de féminité. Enfin rassasié, il finit par relever la tête.
— Nous ne connaissons pas bien les garçons, dit Zaza : montre-nous un peu ce que tu as entre les jambes. Il exhiba fièrement son phallus qui indiquait impeccablement midi, verge fine mais assez longue à l’extrémité de laquelle perlait l’odorante rosée de désir. Zaza le branla doucement d’une main, tandis que l’index d’Adrienne éprouvait, du bout de l’ongle, la résistance du méat violacé. La pression était un peu trop forte, et Markus, recula d’un pas. — Non, ne bouge pas, lui dit sévèrement sa cousine. Tu nous as promis de nous laisser faire tout ce que nous voulons de toi. Alors, tu dois tout endurer, sans te plaindre. — Tu crois qu’on va te caresser le braquemart jusqu’à te faire jouir, comme ça, ajouta Zaza en joignant le geste à la parole ? Eh bien, non. Au contraire, tu vas subir tout ce dont nous avons envie.
Markus baissa les yeux, et promit :
— Je ferai tout ce que vous me demanderez. — A la bonne heure. Alors, reste ici, à genoux, les mains sur la tête, et ne bouge pas d’un centimètre, en attendant que l’on revienne.
Elles s’éclipsèrent aussitôt. Le garçon était terriblement excité ; il se demandait s’il n’était pas en train de rêver dans son lit, en priant pour ne pas se réveiller trop vite afin de vivre le songe jusqu’au bout. Les parents pouvaient surgir d’un instant à l’autre, et il aurait eu des difficultés à leur expliquer ce qu’il faisait là, seul, nu et bandant, dans une position de soumission. Heureusement, il n’en fut rien, car ce coin du parc était isolé, et les deux amantes revinrent bientôt munies de quelques accessoires : une pelote de ficelle et un sécateur. Adrienne préleva une fleur d’un rosier tandis que sa compagne attacha solidement le garçon par poignets et chevilles, sur le banc, allongé sur le dos, en lui disant :
— Si tu penses que l’on va trop loin, tu n’auras qu’à dire "stop". Si tu dis cela, nous te laisserons tranquille. — Jamais je ne dirai ce mot. — C’est à toi de voir, mais j’espère bien que tu vas te montrer courageux, sinon je serai déçue. Zaza fit sentir au garçon la fleur écarlate, puissamment parfumée d’avoir été fraichement coupée, en la présentant juste sous son nez. — Tu aimes les roses, lui demanda-t-elle ? — Oui, celle-là est très belle. — Alors, profite-en bien...
Elle lui griffa le torse et le ventre avec les épines pointues de la tige. Il avait la peau cruellement zébrée d’estafilades, certes peu profondes et ne saignant pas, mais longues et aussi rouges que les pétales de la fleur dont se servait sa charmante tortionnaire, et provoquant une légère douleur qui excitait beaucoup la victime des sévices. Il n’aurait pas pu dissimuler cela, au vu de sa bandaison renforcée.
— J’ai pour toi une question importante : tu aimes les autres garçons ? Tu les regardes quand vous êtes sous la douche, après l’entrainement de foot ? — Non, je ne suis pas gay. Je n’aime que les filles. — Tu as tort. Il fallait dire oui... Allons, joli Markus, dis oui. De toute façon, tu finiras bien par céder.
Elle accentua son bourrèlement, puis sortit un demi-citron de sa poche - celui qui accompagnait le poisson du repas - et le pressa au-dessus des plaies de sa victime, en massant avec application afin d’étaler le jus et de la faire pénétrer à l’endroit où l’épiderme était entamé. L’acidité procura un surcroit de douleur et un gémissement de Markus, surpris qu’une aussi légère blessure pût lui faire si mal, comme si mille aiguilles s’enfonçaient sous sa peau. Il gémit en se tortillant, important du regard la pitié de sa tortionnaire.
— Non, arrête . St...
Il se mordit la lèvre inférieure pour ne pas prononcer le mot de sécurité, ne voulant absolument pas que tout s’arrête déjà.
— Tu disais, demanda sévèrement Zaza en accentuant son bourrèlement ? — Oui, si vous voulez que j’aime les garçons, alors, je les aime, finit-il par lâcher afin que le tourment s’arrête. — A la bonne heure, se réjouit Adrienne, il consent ! Alors, viens, William ! William était un cousin d’Adrienne et de Markus, qui observait la scène, dissimulé, depuis que les deux filles étaient revenues avec leur matériel. Lui aussi était entièrement nu ; il exhibait une verge de belle taille, et pourtant son érection était encore molle. — Regarde comme il est bien membré. Ce n’est pas comme toi, avec ta quéquette ridicule. Il va te montrer, à tes dépens, ce qu’est la véritable virilité. Pour commencer, tu vas le sucer avec application : attention à tes dents, sinon tu seras sévèrement puni, menaça Zaza en montra la tige épineuse de la rose.
Toujours immobilisé sur le dos, Markus emboucha l’imposant phallus de son cousin. Celui-ci ne se gêna pas pour s’enfoncer dans la gorge du soumis qui eut des haut-le-cœur et faillit vomir tout son déjeuner. Il hésita à mordre à pleines dents dans le morceau de chair masculine, car dans son cœur empli de passion masochiste, il désirait avant tout la punition de la rose. La souffrance physique infligée par les filles lui était un délice, et il désirait avant tout pousser cette action jusqu’à son maximum. Cependant, il n’eut pas à la faire, car malgré son innocence, Zaza lui griffa la plante de pieds avec les épines alors que la fellation durait toujours, et il dût encore subir le supplice du citron pressé jusqu’à l’ultime goutte. Dans sa bouche, la verge se durcissait toujours plus, et Markus se prépara à recevoir la giclée de semence qu’il se promit de faire l’effort d’avaler sans en recracher la moindre goutte, bien qu’absolument dégoûté par la liqueur masculine. Mais bientôt William retira son bâton incandescent de désir : il voulait éjaculer autrement, et son infortuné partenaire ne tarda pas à découvrir comment. Le soumis fut défait de ses liens et forcé à se mettre à genoux sur le banc, la tête baissée et la croupe relevée, complaisamment présentée pour la sodomie. Les filles lui lubrifièrent de salive l’orifice rectal, non sans vanter les charmes de cette partie intime :
— Qu’elle est jolie, cette rondelle, s’extasia Adrienne, en écartant le plus possible les deux globes fessiers ! — Elle est bien fermée - pour le moment du moins, ajouta Zaza. Elle le sera bien moins quand William va te la défoncer avec sa grosse queue toute dure. Ce sera plaisant à regarder. Tu vas déguster. Mais peut-être que tu y prendras goût ? — Il va t’empaler jusqu’au fond des tripes. Il paraît que c’est douloureux la première fois, mais qu’ensuite, on l’apprécie et cela devient vite une habitude. Tu verras : on va te faire aimer les garçons, et tu ne voudras plus des filles. — Attends, William ! Pour que ce soit confortable, il faudrait le purger, avant.
Zaza présenta une poire de lavement qu’elle cachait derrière son dos : le geste était prémédité. Elle enfonça l’embout et injecta l’eau tiède dans l’anus de Markus. Celui-ci éprouva rapidement une irrépressible envie de déféquer, ce qu’il fit au pied d’un pin, sous les regards moqueurs des trois autres, le tout dans une puanteur épouvantable. Il était au bord des larmes, car jamais il ne s’était senti aussi humilié - mais nous verrons que ce n’était là qu’un début.Il reprit sa position sur le banc, et tendrement Adrienne lui essuya le derrière avec un kleenex, comme à un bébé.
— Te voilà vidé, dit-elle en palpant le ventre, et tout propre. Il ne reste plus qu’à te garnir d’un superbe gourdin. Regarde... tu vas te faire embrocher, petit puceau, et pendant ce temps nous allons te regarder.
Markus frissonna en voyant l’imposant phallus, généreusement enduit de vaseline, tout prêt à lui imposer sa suprématie. Ce n’était pas exactement le genre de rapport sexuel dont il rêvait, mais sa cousine lui tenait les mains et il se cambra en signe d’acceptation, se rappelant de l’offrande totale de lui-même qu’il avait proposé aux deux filles. Dans un élan de fierté, il se refusa à renier sa promesse. Il écarta les cuisse et se tint prêt à être sodomisé. D’un seul coup de reins, William lui enfonça son membre viril dont la forte épaisseur écartela douloureusement la rosette anale. Surpris par l’intensité de la morsure de cet empalement, Markus poussa une courte plainte, puis se mordit les lèvres pour ne pas être tenté de prononcer le mot de sécurité qui aurait aussitôt mis fin à ce rut extravagant. Pour compenser la rigueur de ce tourment, Adrienne lui offrit ses pieds à lécher, cadeau que le soumis accepté avec reconnaissance. Il huma avec bonheur les plantes féminines imbibée de transpiration, tandis que Zaza glissa coquinement une main sous la jupe de son amante couchée sur le dos, afin d’accéder à la zone érogène qui se trouve entre les cuisses, tout en se branlant elle-même de l’autre main. On avait là un quatuor embarqué dans une belle orgie bisexuelle. Vierge de toute enculade, le petit cul tout pâle de Markus était encore fort serré, ce qui fit rapidement décharger le garçon qui le pénétrait. Ainsi le rectum fut généreusement rempli d’un foutre chaud, gras et abondant, tandis que le mâle dominant poussait un râle grave, inspiré par l’intensité de l’orgasme et par la reconnaissance envers sa cousine et sa compagne, pour lui avoir généreusement prêté un éphèbe jeune et innocent autant que servile à ses désirs pédérastes. Puis, les deux filles jouirent presque simultanément, complices dans la luxure. Témoin de la joie de ses maîtresses d’asservissement, Markus était émerveillé par le spectacle du plaisir féminin qui se déroulait sous ses yeux, au point qu’il en oublia ce que l’autre garçon faisait subir à son fondement.Pour son obéissance, il eut droit à une fabuleuse récompense : Adrienne et Zaza, de concert, oubliant un moment toute méchanceté et désir de vengeance, lui offrirent leurs pieds afin de lui branler le membre viril ! Elles étaient certes maladroites au début, mais le garçon les guidait de ses mains, tandis que ses yeux brillaient d’une joie immense tant le fantasme était fort et trouvait là une réalisation parfaite. Allongé nu sur l’herbe, la verge pendante et encore à demi bandante, un brin herbe à ses lèvres pour se donner une contenance, William regardait la scène avec curiosité, bien que peu excité par les rapports des sexes différents. Markus aurait bien voulu que ce moment dure toujours, mais la conclusion arriva immanquablement trop vite : il éjacula de longs traits d’une semence brulante sur les pieds réunis des deux demoiselles amusées. Lui pensa que son cœur allait exploser de plaisir et qu’il allait mourir, ou bien se réveiller d’un rêve fantastique, mais rien de tout cela ne se produisit. Cependant, les amantes se souvinrent de leur projet consistant à se venger de leur cousin à cause du voyeurisme de celui-ci. Lui imposer un acte sexuel que certains étiquettent comme « contre nature », lui qui était exclusivement hétérosexuel, n’était visiblement pas un tourment suffisant. Il fallait donc trouver autre chose, comme une humiliation publique qui ferait leur joie cruelle, en profitant de la disposition de garçon à tout endurer, même le pire. De la ficelle, elles firent un nœud coulant qu’elles passèrent au cou de leur soumis. Mais cela ne suffisait pas : de deux branches solides à la forme adaptée, elles construisent un carcan, emprisonnant poignets et cou d’une manière inconfortable. Ainsi, dans des temps obscurs, trainait-on les condamnés vers le lieu de leur exécution. Ce fut présenté de la sorte qu’il fut emmené, avançant tant bien que mal sous l’empire implacable de ses maîtresses, vers la table familiale. Confiant, il restait stoïque, mais la présence de ses parents lui faisait craindre le pire.
A suivre… si le texte vous plaît.
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