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Les tourments érotiques du jeune Markus Milka

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Préalablement à la séance exceptionnelle d’expiation que doit subir Markus, il fut jugé nécessaire de vérifier que celui-ci était bien apte à supporter tout ce qui l’attendait, car on craignait l’accident cardiaque mortel à l’acmé de l’action. Pour cela, il dut passer une visite médicale approfondie dans l’infirmerie de l’institution.
Rien n’était fait pour préserver la pudeur des patients, bien au contraire. Garçons et filles mélangés devaient se mettre entièrement nus en attendant leur tour, puis s’assoir, non pas dans la salle d’attente – il n’y en avait pas – mais sur un banc qui se trouvait dans la salle de consultation, de sorte que chacune et chacun pouvait tout voir et tout entendre de l’acte médical en cours.
Ce jour-là, il y avait six patients à examiner : trois garçons, dont Markus, et trois jeunes filles que leurs parents envoyaient là afin de sauver leur âme de l’enfer pour avoir versé dans le péché de chair. Ces six jeunes gens, tous de bonne famille, étaient jugés comme particulièrement atteints par le mal de la fornication et nécessitaient à traitement spécial – surtout Markus.
Celui-ci passa en premier. La doctoresse, une femme d’une quarantaine d’année à l’air sévère et semblant ignorer la possibilité d’un sourire, vêtue comme il se doit d’une blouse blanche décorée de son stéthoscope, commença par peser et mesurer soigneusement son jeune patient, qu’elle invita ensuite à s’installer dans le fauteuil d’examen. Elle était assistée d’une jeune infirmière, environ vingt-cinq, une très jolie brune aux longs cheveux parfumés, elle aussi vêtue d’une blouse moulant parfaitement ses formes exquisément féminines, notamment deux seins dont Markus et les autres garçons devinaient la générosité, joliment compressés sous le haut du vêtement immaculé.
Le siège possédait des étriers qui obligeaient les jambes à s’écarter largement, afin d’accéder facilement aux parties génitales, et des sangles positionnées aux chevilles, aux mollets, à la taille et aux poignets, permettant une immobilisation complète du sujet examiné. Ainsi attaché, Markus était totalement soumis et vulnérable aux fantaisies érotico-médicales de la doctoresse. Elle lui commença par lui demander d’uriner dans un flacon. Comme il n’en avait pas envie, car il venait de passer aux toilettes – c’était prévu – elle ordonna à son assistante de lui sonder la vessie au moyen d’un tuyau qu’elle fit pénétrer dans l’urètre. Bien-sûr, c’était douloureux, à dessein, et l’infirmière, malgré son sourire d’ange, n’en était pas moins d’une terrible cruauté lorsqu’il s’agissait de « soigner » ses patients. Dans l’action, son regard se tourna vers Markus, comme pour lui demander « souffre-tu ? » et lui dire « inquiète-toi car bientôt tu souffriras plus encore ». Ensuite, ce fut son anus qui intéressa la méchante doctoresse. En préambule, elle lui palpa la petite rosette en prenant un soin particulier à permettre aux autres jeunes qui attendaient leur tour de bien voir chaque détail intime de l’anatomie du garçon. Puis celui-ci fut purgé, par l’administration d’un lavement à l’eau tiède qui le fit déféquer dans une bassine d’une manière abondante. La puanteur qui en résultait ne semblait nullement repousser ses deux tortionnaires ; au contraire, la doctoresse eut un ricanement moqueur et son assistance pouffa devant l’air contrit du garçon.
Sur le banc, les autres regardaient attentivement et avec inquiétude les affres que subissait leur compagnon d’infortune, sachant que ce serait bientôt leur tour. L’une des filles, qui s’appelait Rose, avait commencé à branler son voisin de gauche et son voisin de droite, mais le cœur n’y était plus et l’érection retombait progressivement ; on commençait même à murmurer et à envisager de s’enfuir en courant.
Pendant ce temps, le rectum de Markus fut fouillé de différentes manières : avec les doigts gantés d’abord, puis avec une sonde métallique, puis avec un puissant vibromasseur qui lui fut appliqué sur la prostate. Son érection se fit aussitôt bien plus ferme et du liquide suinta à la verge, pour la satisfaction de la doctoresse. Celle-ci alla chercher une boite métallique dans un placard.
— Voyons, avec lequel vais-je t’enculer ?
Une série de godemichés étaient soigneusement rangés par ordre de taille ; le plus gros était impressionnant.
— Celui-ci, dit-elle en désignant celui du milieu ? Non, celui-là !
Elle désigna le plus imposant bâton, qui fit dresser les cheveux sur la tête de Markus tant l’objet avec au fort diamètre. Il dit :
— Non, s’il vous plait, pas celui-là ! Il est trop gros !
— Ah bon, tu ne l’aimes pas ? Bon, je vais voir…
Elle rangea ses jouets dans la boite, et fouilla de nouveau dans son placard pour en extraire un autre modèle.
— Tiens, celui-là : cela faisait longtemps que je ne l’avais pas sorti ! Je suis sûre qu’il te va comme un gant.
Il était encore plus gros que le précédent ! Markus frissonna.
— Allons, tu es jeune, et ton anus pourra se dilater, même s’il est vrai que tu seras défoncé d’une façon assez extrême, mais après tout, tu es là pour souffrir, n’est-ce pas ?
Il resta muet, interloqué par la taille de l’objet que l’on préparait pour son petit trou borgne.
— Allo ? Je t’ai demandé si tu es là pour souffrir ! Répond ! — Oui, Madame, fit-il docilement, avant de réciter sa leçon. Je veux connaitre la rédemption par la souffrance, et ainsi abolir mon péché pour échapper à l’enfer. — À la bonne heure ! Oh, cela promet d’être excitant, murmura-t-elle en glissant discrètement une main à l’intérieur de sa blouse tandis que l’infirmière enduisait le godemiché de lubrifiant.
Tout de go, sans précaution particulière, la doctoresse encula le jeune homme de son énorme engin. Une vague de douleur déferla sur lui ; il ne put contenir un « Ah ! », râle grimaçant d’un écartelé de la petite rondelle juvénile.
— Allons, tu n’as pas fini de te plaindre ? Chochotte ! Sois donc courageux et cesse de récriminer : tout le monde te regarde ! gronda la doctoresse en désignant les autres jeunes qui attendaient sur le banc et devenaient blâmes en découvrant ce qu’ils auraient à subir ensuite.
Son autre main, recouverte de d’un fin gant de latex, empoigna vigoureusement le braquemart et malaxa avec fermeté, tandis que l’infirmière chatouillait les bourses avec dextérité. L’inévitable effet de ce puissant traitement ne tarda pas à se produire, et Markus éjacula plusieurs traits d’un sperme abondant que l’infirmière recueillit dans un haricot métallique. — Première éjaculation après trois minutes vingt-cinq secondes de stimulation, nota la doctoresse en consultant la pendule murale. Voyons le volume.
Elle mesura la quantité de semence au moyen d’une éprouvette graduée.
— Neuf millilitres. Très bien.
Malgré la dilatation rectale, ou plutôt à cause de cela, tant la frontière entre plaisir et douleur était floutée par le masochisme affirmé du patient, l’orgasme avait été fort, voire exceptionnel. Le garçon adressa à celles qui s’occupaient de lui un sourire de reconnaissance. Finalement, il ne regrettait pas du tout sa présence en ces lieux.
— Tu nous remercieras plus tard, fit sévèrement la doctoresse. Continuons.
Sans aucun répit, il fut masturbé avec encore plus d’énergie. Comme il était jeune et vigoureux, ses génitoires répondirent sans problème à ce nouvel appel, de sorte que bientôt, il répandit sa sève pour la seconde fois.
— Seconde éjaculation après sept minutes quatre-trois secondes de stimulation, nota la doctoresse. Deux millilitres. On continue.
Ce qui avait d’abord été une plaisante séance de masturbation médicale commençait à se transformer en une affreuse torture sexuelle.
— Non, s’il-vous plait, supplia Markus en pleurant, arrêtez. — Soit tu nous dis le mot de sécurité, et alors tu te rhabilles immédiatement et tu prends la porte pour ne plus jamais revenir ici, et alors tu t’expliqueras avec ta mère, soit tu fermes ta gueule et tu subis l’examen jusqu’au bout. Tu n’as pas fini d’en voir. Son priape, à force d’être branlé, n’était plus qu’un tison enflammé et rougeâtre, sans même parler de ce que subissait la partie arrière de son bassin. Le supplice continua de longues et pénibles minutes. Le garçon n’en pouvait plus, mais se mordit la lèvre plutôt que de s’avouer vaincu. — Troisième éjaculation après onze minutes dix-sept secondes de stimulation. Moins d’un millilitre : on n’est pas loin de l’orgasme sec. Enfin, si on peut parler d’orgasme, à voir sa tête… Allez, on continue. Mais avant, je vais t’ausculter un peu, mon bonhomme : je ne tiens pas à ce que tu me claques entre les doigts. Respire normalement.
Il ruisselait de transpiration.
— 202 pulsations par minute, mais aucun bruit cardiaque suspect. Tu peux encore tenir le coup cinq ou six fois. Markus sentit ses cheveux se dresser sur sa tête. Elles allaient donc le traire encore et encore ! — Pitié, murmura-t-il… Laissez-moi ! Je ferai tout ce que voulez. — J’espère bien que tu te soumettras totalement à l’autorité des religieuses de cette institution ! Il ne manquerait plus que tu te rebelles !
Elle remplaça le godemiché par une machine munie d’un piston effectuant des va-et-vient à un rythme réglable, et dont le diamètre était lui aussi impressionnant : quoique parfaitement lubrifié, il défonçait littéralement l’orifice rectal du pauvre Markus.
— Puisque tu ne dis que des âneries, voici pour ta peine : ton fion m’en dira de nouvelles, et après, on verra si tu fais encore le malin.
Elle tourna un potentiomètre, et l’objet intrusif se mit à pilonner sur un rythme effréné. Le garçon en eut les yeux qui lui sortirent de la tête ; il bavait, la bouche grande ouverte sur un gémissement qui n’en finissait pas. Malgré toutes ces souffrances, à cause de la sur-stimulation de sa prostate, il eut un nouvel orgasme, si violent qu’il avait l’impression que son pénis explosait et que ses testicules tombaient en petits morceaux, mais sans aucune émission de sperme cette fois, à part une minuscule goutte.
— Quatrième éjaculation : presque sec. Je crois qu’il est au bout du rouleau, mais allons-y encore une fois pour en être sûr.
Cette fois, le supplice fut total, sans aucun plaisir même lorsque la verge émit une minuscule gouttelette blanche de ce qui ressemblait vaguement à du sperme. Le garçon crut qu’il allait mourir, mais à son étonnement, il vivait toujours.
— Allez, mon gars, dit la doctoresse, ça suffit pour aujourd’hui : je crois que tu as eu ta dose. Sois plus courageux la prochaine fois, et dispense-nous de tes jérémiades. Au suivant. Ah, c’est une demoiselle, alors : à la suivante. Elle glissa ses notes dans une pochette transparente qu’elle accrocha par une ficelle au cou d’un Markus pantelant et hagard. — Reste là pour regarder passer les autres. Ça peut t’intéresser, je crois, notamment lorsqu’il s’agit de filles.
Effectivement, si son sexe n’était pas totalement épuisé et douloureux d’avoir été masturbé à outrance, Markus banderait bien encore un peu, car le spectacle d’une fille subissant des tortures médicales lesbiennes faisait partie de ses fantasmes favoris. Malgré tout ce qu’il venait d’endurer, il n’aurait cédé sa place à un autre pour rien au monde. Mais c’était parce qu’il ignorait ce qui l’attendait bientôt…
À suivre…
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