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Les tourments érotiques du jeune Markus Milka

Chapitre 6

SM / Fétichisme
A l’issue de son éprouvante visite médicale, Markus eut droit, ainsi que les autres garçons, à une cage pénienne qui était fort inconfortable, et lui comprimait douloureusement le sexe au moindre début d’érection. Chacun était prévenu par la mère supérieure qui leur tint, de sa voix méprisante et autoritaire, le discours suivant :
— À partir de maintenant, bande de dépravés, vous serez soumis au jeûne sexuel absolu, pendant une semaine. Vous avez bien compris, hurla-t-elle ? L’onanisme, ici, c’est non. Autrement dit, aucun acte masturbatoire ne sera toléré, aussi timide soit-il. Si vous avez le malheur de d’enlever votre cage de continence, ou bien seulement d’essayer, ce sera dix coups de fouets, suspendu nu par les pieds devant tous les autres, dans la cour. Tous les autres, vous avez compris ? Y compris les filles ! Le dos de tous ceux qui sont passés par là s’en souvient encore !
Elle leur lut le passage du livre de la Genèse dans lequel était relaté le sort du pauvre Onan que l’Éternel fit mourir pour avoir souillé la terre de sa semence au lieu de la déposer dans le vagin de sa belle-sœur, afin de laisser une descendance, comme Tout-puissant le lui avait ordonné.
Les filles perçurent à leur tour leur ceinture de chasteté, ce qui les empêchait de toucher à leur clitoris et de glisser ne serait-ce qu’un doigt dans leur vagin. Le matériel était sophistiqué et seules quelques religieuses possédaient la précieuse clé qui aurait permis de les libérer. Il se murmurait que quelques jolis garçons, et quelques belles filles, de surcroit particulièrement serviles, avaient parfois le privilège de se faire ôter, discrètement et momentanément, leur accablant boitier afin d’offrir leurs services sexuels aux plus gradées des religieuses. Mais officiellement, tout cela était formellement interdit.
La consigne générale était que chacune et chacun se devait de rester nu en permanence : les vêtements que l’on portait en arrivant étaient de toute façon confisqués. Interdiction de cacher ses organes génitaux avec ses mains : tout geste de pudeur était sanctionné par les coups de canne. Ainsi, on pouvait voir s’écouler un mince filet de sang sur les jambes des filles qui avaient leurs règles, pour la plus grande confusion des intéressées. Les toilettes, regroupées dans une seule salle, n’avaient aucune cloison ; garçons et filles mélangés rougissaient intensément d’être obligés de se montrer dans leurs besoins naturels.
Après ce percutant discours, ils furent tous envoyés dans une salle de cinéma afin de leur projeter un film pornographique, afin de bien les exciter tout en sachant qu’ils n’avaient pas la possibilité de toucher à leur sexe. L’exercice fut cruel, et certains pleuraient de frustration, pour la plus grande joie de leurs tortionnaires. À la suite de cela, ils eurent droit à une soupe tiède pour tout repas, et on les envoya se coucher dans des cellules minuscules et absolument spartiates, munies d’un vasistas permettant aux religieuses de mieux les surveiller. Markus dormit difficilement, à cause de ses érections nocturnes que sa cage pénienne empêchait : plus d’une fois, dans la nuit, il fut tenté de retirer cet objet de brimade, mais il craignait la punition.
Le lendemain matin, lever au clairon dès cinq heures. La toilette eut lieu d’une manière originale : on regroupa tout le monde dans la cour, on fit l’appel, puis une religieuse dirigea un puissant jet d’eau glacée sur le groupe ; ainsi chacun fut nettoyé pour la journée. Puis, petit déjeuner : une tranche de pain sec et un bol de café noir au goût très âpre, sans sucre. De toute manière, on n’avait pas le temps de déguster ce festin : dix minutes plus tard, il fallait s’aligner dans la cour pour la revue du matin.
La mère supérieure examina les cages péniennes des garçons et les ceintures de chasteté des filles. Deux des jeunes avaient commis la faute de tenter de s’en débarrasser : ils furent aussitôt isolés du groupe, et emmenés vers une potence où ils furent attachés par les pieds. La mère supérieure alla chercher sa chambrière – un grand fouet destiné à dresser les chevaux – qu’elle fit bruyamment claquer sur le sol.
— Regardez bien : vous allez tous constater ce qu’il en coute de défier notre autorité.
L’un après l’autre, les deux jeunes fautifs, un garçon et une fille, furent cruellement flagellés : à chaque fois que la lanière de cuir s’abattait sur leur dos, quelques gouttes de sang giclaient pendant qu’ils ne pouvaient réprouver un cri de douleur.
Ce spectacle excita beaucoup Markus qui, subitement, désira d’une manière impérieuse ce châtiment pour lui-même. Il s’avança hors du rang, en pleine visibilité, arracha sa cage pénienne qu’il jeta à terre, et commença crânement à se masturber devant l’assistance médusée. Il n’eut pas le temps d’aller jusqu’à l’orgasme : rapidement, il fut empoigné par les religieuses et attaché à son tour, par les pieds, à la grande potence, avant de subir, non pas dix, mais vingt coups de fouet afin de sanctionner durement son inacceptable insolence. Il fallait que l’autorité ne montrât pas le moindre signe de faiblesse, pour ne pas encourager la rébellion. Markus souffrit beaucoup et son dos s’en souvient encore, mais ce geste intrépide lui fit gagner en popularité auprès des jeunes détenus.
Rapidement, notre héros acquit la réputation de forte tête qu’il fallait absolument mater. Dans ce but, rien ne lui fut épargné. Il dut, par exemple, lécher les pieds des filles que l’on avait au préalable fait marcher dans des flaques de boue. Connaissant le fétichisme passionné du jeune homme pour cette partie du corps, ce l’était pas pour lui déplaire, bien au contraire, et il s’exécuta avec délices. Il eut également le privilège de porter un nouveau modèle de cage pénienne, très difficile à ôter, et de surcroit particulièrement inconfortable. Il dut aussi nettoyer, à genoux, le cul des religieuses après le passage de celles-ci à la selle, sa langue faisant office de papier toilette. Mais les bénéficiaires de ce service n’avaient rien contre l’idée de se faire sucer aussi sur le devant, au niveau de la petit colline des voluptés… d’autant que le garçon sut se montrer particulièrement doué pour cet exercice coquin, de sorte qu’il en mena plus d’une vers le septième ciel. En récompense, il ne reçut que du mépris, car aucune ne lui montra le moindre signe de reconnaissance.
Telle était sa misère : frustré, objet de toutes sortes de brimades et de punitions cruelles issues de l’imagination perverse de la mère supérieure, il ne commit aucun nouveau geste d’indiscipline, mais comme ses geôlières avaient retenu son nom, il était constamment contraint à toutes les corvées, surtout les plus avilissantes, le tout assaisonné par un incroyable déluge de lanières de cuir sifflant dans l’air avant de s’abattre sur son dos.
Il aurait pu prononcer le mot de sécurité et quitter immédiatement l’institution, mais il tint bon, car il savait que le dernier jour serait, lui avait-on promis, un fantastique feu d’artifice de perversité, une orgie de douleur et de plaisir intimement mêlés à laquelle toutes celles et tous ceux qui avaient déjà participé en étaient sortis transformés ? Mais quoi, au juste ?
Le secret demeurait bien gardé.
À suivre…  
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