Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 8 Commentaires

Les tourments érotiques du jeune Markus Milka

Chapitre 8

SM / Fétichisme
Les demoiselles, au contraire des garçons, étaient soumises à d’incessantes séances de masturbation forcée utilisant différents instruments vibrants et pénétrants dans tous les orifices. De plus, elles étaient les poupées sexuelles des religieuses qui préféraient, pour quelques-unes, les personnes du même genre, et qui ne se gênaient pas pour les caresser dès qu’elles en avaient envie, se délectant de la douceur de leur peau.
L’une des filles, Barbara, croisa le regard de Markus. Elle avait de grands yeux de biche et lui sembla douce et fragile ; il se demanda comment elle pouvait supporter un tel endroit. Il entreprit de l’approcher, bien que sachant que cette entreprise était fort dangereuse, les liaisons entre les pénitents étant réprimées avec la dernière férocité.
Dans le cursus de l’institution, les détenues étaient spécialement entraînées à exciter leur cruauté sur les garçons auxquels on leur apprenait à faire subir différentes avanies. Après le cours de torture présentant les différentes techniques de supplice, d’un regard, les deux tourtereaux convinrent de se mettre ensemble pour les travaux pratiques. Ainsi Markus se laissa joyeusement attacher sur le fauteuil par la jolie Barbara, sous le regard suspicieux de la religieuse qui encadrait la séance.
Il fallait donner le change, aussi la fille fut particulièrement appliquée dans le maniement de la roulette à pointe sur la plante des pieds, plus encore avec la cire brûlante qui s’écoulait de la bougie sur le gland pourpre, au-dessus de la verge dressée. Pour le chatouillement, ce fit pire encore, car Barbara devina les zones les plus sensibles et Markus dut subir cela jusqu’à l’épuisement. Par contre, la sodomie finale, avec un grand gode-ceinture et sans aucune lubrification préalable ce ne fut qu’une formalité pour le garçon habitué depuis quelques jours à avoir la rosette transpercée par des bâtons de fort diamètre et autres instruments barbares de toutes formes.
Elle reçut de chaleureuses félicitations de la part de la professeure de torture, pour avoir particulièrement bien suivi les consignes et montré à cette occasion une cruauté exempte de toute retenue. En récompense, elle eut droit à une double ration de pain sec pour le lendemain matin - prélevée sur la part des autres, bien-sûr, afin d’exciter les rivalités. La nuit tombée, malgré tout ce qu’il venait de subir, Markus trouva la force de se lever afin de rejoindre discrètement la cellule de Barbara. Il avait en effet cette possibilité, car une religieuse compatissante lui avait confié une clé lui permettant d’aller et venir à sa guise. Sur la pointe des pieds, il progressa dans le couloir obscur, tourna lentement le pêne de la serrure de sa belle, en avança en direction du lit.
Alors, la lumière s’alluma. Quelle ne fut pas la surprise de voir Barbara en train d’étreindre la mère supérieure, qui était nue autant que sa partenaire, les cuisses ouvertes sur la langue agile et aux tendres balayements de jeune fille ! Celle-ci, exclusivement lesbienne, s’était amusée, avec la complicité de la hiérarchie ecclésiale, à tendre un piège au pauvre Markus dont le cœur s’en trouva poignardé par la trahison. Ceci dans le seul but, bien-sûr, de le faire souffrir encore plus, cette fois-ci d’une manière sentimentale. Le fait qu’on lui confie une clé, qui lui fut aussitôt retirée, faisait partie du plan. Le garçon en fut profondément abattu, mais il se reprit, car décidément, il aimait plus que tout souffrir sous le joug féminin, et de toutes les manières imaginables. Dans ce domaine, il était servi au-delà de toute espérance, car après l’avoir méchamment soumis à mille tourments afin d’éprouver chaque partie de son corps avec application, la jeune fille perverse lui brisait impitoyablement le cœur, et ce d’une manière d’autant plus cuisante qu’elle était méticuleusement préméditée !
Le lendemain, au cours de la séance de travaux pratiques de torture, il fut de nouveau livré entre les mains frénétiques de Barbara, qui apprit comment boxer les testicules d’un garçon avec les poings et les orteils repliés. Ecartant largement les cuisses autant que ses liens, pour l’occasion inutiles, le lui permettaient, il se laissa faire avec complaisance, mettant tout son orgueil à ne se dérober aucunement aux coups qui pleuvaient sans répit sur ses boules viriles. Elle excella dans cet art, ce qui laissa son partenaire presque mort de douleur. Il fallut porter le garçon à l’infirmerie pour qu’il se repose. Se reposer ? Ce serait oublier un peu vite que le domaine de la terrible Doctoresse n’était pas, nous l’avons vu au chapitre 5, de tout repos…
Ces événements eurent lieu la veille du jour de l’épreuve finale. Dans cette optique, ce soir-là, il était prévu une étape importante dans la préparation des jeunes : l’épilation. Celle-ci se devait d’être intégrale, pour les garçons comme pour les filles. Le petit sourire narquois des religieuses les plus expérimentées à l’évocation de ce moment laisser présager du pire. Les jeunes pénitents furent solidement liés sur le dos sur des tables placées parallèlement les unes aux autres. Débarrassés de leurs cages péniennes et autres accessoires de chasteté, ils étaient parfaitement immobilisés, non seulement par poignets et chevilles, mais aussi au niveau des bras, des cuisses, du cou et de la tête par des sangles bien serrées.
Les esthéticiennes se présentèrent avec leurs bandes de cire qu’elles appliquèrent sur toute peau portant le moindre poil, puis arrachèrent sans aucun ménagement, recommençant jusqu’à disparition complète de la moindre pilosité. Bras, jambes, aisselles, torse et bien-sûr pubis : aucune zone n’était négligée. Puis on retournait les pauvres soumis afin de s’attaquer aux parties arrière, notamment la zone située entre les fesses.
Tout autour de lui, Markus entendait des hurlements de douleur. Les garçons, ayant plus à désherber, étaient naturellement les plus éprouvés, et à les entendre, on aurait dit qu’on les éviscérait vivants. Mais les demoiselles n’étaient en rien épargnées et même le plus fin duvet pubien était impitoyablement arraché jusqu’à l’ultime poil. A la fin, il ne resta que des épidermes impeccablement lisses.
Puis on envoya tout ce monde se coucher tôt. La plupart pleuraient encore de ce qu’ils avaient subi. A ceux-là, et aux autres également, on invita à s’abîmer dans la prière, afin qu’ils reçoivent de l’Esprit-Saint le courage d’endurer l’épreuve du lendemain, bien plus cruelle et spectaculaire encore que tout ce qu’ils avaient pu imaginer.
À suivre… cette fois, promis, le grand jour arrive !
Diffuse en direct !
Regarder son live