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Les tourments de Julie et Carine

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Eva
Il a fallu que je négocie. Normalement je devais venir hier mais j’avais un rendez-vous d’affaire très important alors j’ai été voir David. Bien sur, il en a profité et pour tout dire, moi aussi. J’adore quand il me baise. J’adore sentir sa queue en moi, j’adore le sucer, j’adore quand je le suce qu’il me prenne les cheveux et qu’il m’impose le rythme. Quand je lui ai expliqué pourquoi je ne pouvais pas venir, il a donné son accord. Par contre il m’a dit qu’il fallait que je sois là samedi à dix-neuf heures.
Moi, qui me disais dominatrice, je suis comme une midinette quand je suis avec lui. Je bouge un peu sur mon siège et sens le rosebud. Quel superbe cadeau, il m’a fait. Je le mets tous les matins juste après la douche. Je me souviens comment cela s’est passé. Il est arrivé au bureau avec trois paquets cadeaux. Bien sur, Carine s’est précipitée pour lui prendre. Il lui a dit d’emmener cela dans le bureau de Julie et de les poser sur la table ronde. Il est venue me voir dans mon bureau et m’a demandé de les rejoindre dans le bureau de Julie. Une fois que nous avons été tous les quatre, il nous a donnés à chacune un paquet. Un paquet bleu pour Carine, rouge pour Julie et noir pour moi , nous les ouvrons ensemble et découvrons les rosebuds. Ils sont en métal, assez gros avec une pierre de la couleur de nos paquets. David nous explique le but. Ces rosebuds servent surtout à dire que nous sommes d’accord, le jour ou on souhaite que cela s’arrête, il suffit de le lui redonner, J’ai aimé ça. Une manière élégante de dire,  vous m’appartenez. Bien sûr Carine a tout de suite dit qu’elle était vraiment heureuse de ce cadeau. David lui a dit qu’elle devait le mettre tout de suite, ce qu’elle a fait immédiatement, devant nous en levant sa jupe. Julie n’a rien dit, mais à son regard , on savait qu’elle acceptait le cadeau et moi, je me suis levé, j’ai pris le rosebud et j’ai été dans mon bureau. Là, j’ai baissé mon pantalon et mon string, j’ai mouillé le rosebud avec ma langue et je l’ai enfoncé. Mon anus s’est dilaté et a aspiré le rosebud. Je me suis rhabillée et je suis revenue dans le bureau de Julie. J’ai regardé David et lui est dit : Il est parfait, il rentre très bien, je vais le garder. David a souri, s’est levé et est parti.Pourquoi j’accepte David comme dominant, c’est la question que je me suis posé. En fait, c’est son charisme, son autorité naturelle qui me plaît. Il n’a pas besoin de crier, il suffit qu’il dise. Moi, j’aime cela et surtout ce que j’aime c’est sa façon de me prendre et de me faire comprendre que c’est lui qui commande. J’en ai des frissons rien que d’y penser.
Tout en roulant, je laisse mon esprit vagabondé. Qu’est-ce que j’ai bien fait d’être curieuse et d’aller voir ce qui se tramait dans le cabinet. Non seulement  j’ai passé une superbe soirée, mais  j’ai rencontré David et je me suis aperçue que j’avais plein de point commun avec mon associée et notre secrétaire. Rien que pour leurs faire plaisir à elles deux,  j’amène des fois des soumis au cabinet. Ils arrivent en costumes, cravates. Ils rentrent dans mon bureau et la séance commence. Le rituel est toujours le même, une fois la porte fermée, ils se mettent debout les mains dans le dos et attendent. Je les fais patienter tout en pianotant sur mon ordinateur. Au bout de cinq minutes, je leur ordonne de se déshabiller, ce qu’ils s’empressent de faire. Alors, je prends la cravache que j’ai dans le tiroir,  je me lève, et m’approche deux et leurs cingle les fesses pour qu’elles soient bien marquées. Je retourne m’asseoir et leur dis de se branler sans jouir. Quand ils bandent bien, j’appuie discrètement sur un bouton qui prévient Carine. Je me lève et leur attrape les couilles. C’est là que Carine et Julie entrent en demandant:— Ce n’est pas maintenant la réunion?Il faut voir la tête des soumis et entendre l’éclat de rire de Julie et Carine.Une fois, je me suis fâchée. Un de ses soumis, un homme d’un haut niveau avec de grandes responsabilités, s’est permis de mal parlé à Carine en la traitant comme une moins que rien. Pour lui, Carine n’était qu’une vulgaire secrétaire. J’ai vu rouge et je me suis dit qu’il allait le payer au prix cher son impolitesse. Quand il s’est retrouvé nu dans mon bureau, bandant comme un taureau, je me suis approchée, j’ai pris ses couilles entre mes ongles et j’ai serré. Mes ongles sont rentrés dans la peau, il gémissait, j’ai tourné et serré encore plus pour l’entendre couiner. Alors, espèce de petite merde, as-tu vue comment tu parles à MA secrétaire? J’ai insisté sur le ma, pour qu’il comprenne bien. Je lui tenais toujours les couilles en disant cela. J’ai vu dans ses yeux la peur. J’ai tourné, il a couiné de plus belle. Je vais t’apprendre à être très poli avec MA secrétaire ai-je insisté. Il a murmuré une excuse. Ce n’est pas à moi qu’il faut dire cela, petite merde, c’est à MA secrétaire, lui dis-je. Enfin, j’ai lâché les couilles et appelé Carine. J’ai demandé à l’homme de s’excuser et de lécher les chaussures de Carine. Il s’est exécuté sans rien dire. J’ai demandé à Carine si elle acceptait les excuses. Elle a accepté, elle a été trop gentille à mon goût. J’ai renvoyé cette merde en disant que je ne voulais plus le voir. C’était un gros connard qui ne me méritait pas.
Et puis, j’adore m’occuper des femmes fortes, de celles qui ont un gros cul., des grosses cuisses, des seins qui débordent de partout, ça , c’est mon kiffe. J’en ai quelques-unes dans mon carnet d’adresses pas assez à mon goût. De bonnes bourges que j’humilie régulièrement
Voilà, je suis  arrivée pile à l’heure. Je gare ma voiture, en descend, fait le tour pour arriver à la terrasse. David me regarde et, en me donnant une petite claque sur les fesses, me demande si cela c’est bien passé. Je lui réponds que tout à fait. Il sourit en, me disant qu’on verra cela plus tard et me dit d’aller me préparer. - Toi, tu seras à la cuisine pour aider Maude. Et, je suis sur que tu vas faire cela très bien ajoute-t-il avec un petit sourire.
Je suis un peu déçue, je n’ai pas vu Julie et Carine. Ma tenue est sur le lit, je m’attendais à une tenue de soubrette, mais non, elle est en cuir. Soutien-gorge à balconnet et microjupe, le tout  en cuir noir et un petit corsage en dentelle noire aussi. Avec ma peau blanche et ma chevelure rousse, cela fait très joli. Rien n’ai dit pour le rosebud, je décide de le garder. Une fois prêtre, je descends rejoindre Maude à la cuisine.
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