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Les triplées monozygotes

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Les triplées monozygotes.

Patrick reste accroché par sa bouche à un de mes tétons en le suçant goulûment donnant des coups de langues sur mon sein droit et tentant d’en aspirer une bonne partie dans sa bouche.Mais Ève s’impatiente, je lui cède à regret ma place. C’est moi qui prends le sexe de Patrick pour le placer devant la fente de ma sœur. Un bon coup de langue baveuse sur sa vulve rosée et je dirige le boutefeu de Patrick dans son sexe. La suite :
MARTINE.Je n’en perds pas une miette. Au fur et à mesure que la pine de Patrick disparaît dans sa chatte, je vois les lèvres s’écarter et tout son sexe gonfler. Je revis avec un peu de recul ce que je viens de subir quelques instants plus tôt.Ève gémit de plus en plus fort. Patrick donne quelques coups de reins puis se glisse en elle jusqu’à la garde. Ève se cabre, surprise par la colonne de chair qui bute tout au fond d’elle. Elise et moi, nous avons une vue plongeante sur ces deux sexes qui s’entrechoquent et nous masturbons en admirant le spectacle. L’une caressant l’autre, nous nous penchons encore plus pour regarder le manche de pioche de Patrick glisser dans son vagin distendu par ce calibre exceptionnel. Les parois de sa grotte sont si serrées autour de la hampe que quand il se retire, les grandes lèvres épousent son rostre avant de se retourner et de disparaître dans sa chatte.
Ève, à genoux sur le lit, chevauchant son corps nous offre un spectacle splendide. Avec Elise, nous essayons de glisser notre langue sur les sexes, elle arrive à prendre à pleine main ses bourses et les caresse. Ève a orgasme sur orgasme et Patrick enfin se vide, il lui remplit la chatte en râlant. Je suis jalouse car je suis la seule qu’il n’a pas gorgée de foutre dans le ventre. Avec Elise, nous continuons à nous doigter, la cyprine coule à flots, mais je veux connaître le goût de sa semence. Elise me montre le liquide blanchâtre et visqueux qui sort du sexe d’Ève. Le sperme déborde à chaque contraction de sa chatte tellement il l’a remplit. Elise me dit de le goûter car je ne l’ai jamais fait. Je me jette contre la vulve d’Ève avec la bouche ouverte et boit à la source la liqueur de Patrick qu’elle expulse par des contractions involontaires de ses muscles intimes. Ensuite j’embrasse Ève dans un long baiser pour lui faire partager ma récolte. Nous nous retournons vers Patrick pour le remercier de nous avoir ouvert les yeux sur ce dont nous nous privions comme des idiotes, mais notre regard est attiré par son sexe. Il est toujours aussi raide!!! Patrick nous déclare que ce n’était que les hors-d’œuvre et que maintenant il faut attaquer le plat de résistance. 
Cette fois-ci, c’est lui qui mène la danse. Il recommence à nous besogner à tour de rôle pour nous faire goûter à chacune toutes les facettes de l’amour entre un homme et une femme. Cet homme a une barre de fer entre les cuisses. Et il sait diablement s’en servir.Patrick ne ménage pas sa peine, nous sommes cote-cote et il passe de l’une à l’autre sans un instant de repos, ça fait bien une dizaine de minutes qu’il me besogne et il m’avertit qu’il va bientôt éjaculer et veut que je le prenne en bouche.Je me retourne rapidement pour prendre son membre entre mes lèvres grandes-ouvertes, sa lance pulse et envoie avec violence de grosses giclées d’un sperme épais et brûlant au fond de ma gorge. L’instant de surprise passée, je découvre la sensation d’avaler un liquide visqueux, dru et chaud, j’ai un mouvement de rejet au début mais je ne veux pas abdiquer devant mes sœurs. C’est sucré et salé, pas aussi dégoûtant et désagréable comme je le croyais.
 Très vite je continue de le branler, lui faisant expulser le reste de son liquide séminal dont je fais profiter mes sœurs.
PatrickElles ont viré leur Cuti, Martine et Ève ont basculées du coté obscur, elles sont devenues aussi chaudes qu’Elise et se battent pour revenir au rab.Je passe de l’une à l’autre mais je sens que je suis au bord de l’orgasme... Après Martine, je vais faire découvrir le goût de mon sperme à Ève, comme ça, pas de jalouses.Ève fait glisser ma queue toujours dure comme du béton dans sa bouche. Elle l’a saisie dans sa main puis se met à effectuer un léger mouvement vers le bas jusqu’à décalotter mon gland. Martine et Elise entourent Ève, les yeux rivés sur mon bas-ventre, enfin surtout sur ma queue tendue !— Ève, je vais juter!— Vas-y, lâche tout, on veut voir ça ! Lance Martine.Les deux premiers jets bien épais jaillissent de ma queue directement dans sa bouche, suivit de nombreux autres. Sa main recouverte de mon sperme dirige les jets sur le visage de ses sœurs. Je finis par crépir le visage des trois frangines…
Elles se lèchent en riant, tout le sperme qui avait giclé sur elles est nettoyé par des langues râpeuses, avalé par des lèvres sensuelles. Plus le temps passe, plus je suis perdu, je ne sais plus qui des 3 chevauche ma pine, me fait une fellation d’enfer ou me fait brouter son minou ne pouvant au bout d’un moment plus discerner qui est Ève, Martine ou Elise. Drôle de sensation, ce n’est pas la première fois que je me trouve avec 3 femmes en même temps mais là, tout est identique, la beauté de leurs visages, leurs poitrines arrogantes, leurs jardins d’amour!
EliseÈve et Moi nous approchons de Martine, toujours enfichée sur le pal de Patrick assit sur le divan. Reprenant nos vieilles habitudes de lesbiennes pures et dures. Immédiatement, Martine commence à pousser de petits soupirs sous l’attaque de nos langues sur sa poitrine. Comme à chaque fois qu’on lui dévore ses beaux seins, elle démarre au quart de tour et son plaisir monte rapidement, encore décuplé avec ce que lui fait subir Patrick.Il continue ses mouvements de pénétration. Martine défaille sous nos assauts coordonnés, elle cherche la bouche de Patrick et lui donne un baiser fougueux. Lâchant un temps le sein de Martine, je regarde le tableau de ces 4 corps en rut. Martine ferme les yeux de plaisir. Je m’approche de sa joue pour lui déposer un bisou. Je pose une main sur l’épaule de Patrick et lui fait comprendre que c’est à son tour de s’occuper du globe laiteux que je tiens dans ma main.
Une main sur le sein droit de Martine, il lèche le gauche pendant que je le remplace sur la bouche de Martine. D’un seul coup, elle pousse un cri qui devint doucement un râle long et langoureux que j’étouffe de mes lèvres. Patrick profite à plein de nos trois corps offerts inlassablement. Quel homme, quel amant Formidable ! Mais Patrick nous demande de nous écarter, passe les bras de Martine autour de son cou et se saisissant de ses cuisses se redresse brusquement. Elle se retrouve suspendue à Patrick qui la fait monter et descendre sur son formidable pal. Il la besogne et la repose après quelques minutes de rodéo sur son axe rigide avant de se tourner vers nous.— Qui veut faire un tour de manège, les filles! Annonce-t-il.Ève se précipite pour prendre la place de Martine et se suspendant à son coup encercle la taille de Patrick de ses jambes, je me saisis de sa trique et l’enfourne dans la chatte ou elle disparaît jusqu’aux couilles que je masse avec volupté. Et c’est reparti pour un nouveau rodéo sur cet étalon sauvage.Je commence à m’impatienter et pose une main sur l’épaule de Patrick, il se désaccouple de sa cavalière qui exprime son mécontentement, le tenon quittant la mortaise. Je veux me suspendre à Patrick mais il a une autre idée. Il me retourne, plie les jambes pour guider d’une main son mandrin entre mes fesses dans ma gaine de velours. Il glisse ses mains sous mes cuisses et tend ses jambes. Pour ne pas tomber, je m’agrippe à ses bras, il entame la 3ème partie de rodéo, c’est moi qui gagne étant celle qui reste le plus longtemps enfichée sur notre étalon avant de vider des étriers, narguant mes sœurs qui me font face, envieuses, auxquelles j’offre un spectacle ahurissant. Quel pied formidable il vient de nous faire vivre!!!
Ève, Elise et Martine.Cette journée fut la plus belle que nous avons vécue. Patrick nous fit découvrir des facettes de nous que nous ne soupçonnions même pas. Nous lui avons fait subir toutes les démonstrations, que ce soit la masturbation, les léchouilles, les pénétrations avec les godes, les poses érotiques les plus hard multipliés par un facteur trois. Toutes les trois, nous prîmes plaisir à sucer ce sexe mâle qu’il nous avait fait découvrir et apprécier. Ont étaient décoincées et Patrick nous fit vivre un trip d’enfer. Ne lui laissant que de courtes poses pour pouvoir récupérer des forces, la fin de la journée se passa avec un Patrick éreinté et naze après 5 heures non-stop de baise. Nous jouions avec son sexe comme avec un gode. Cette journée restera gravée à jamais dans notre vie de triplées lesbiennes. Nous avons par sa suite voulu essayer avec d’autres hommes mais nous avons été déçues. Patrick avait mit la barre si haute que nous avons préféré revenir à nos habituelles parties à 3 avec parfois sa participation quand il pouvait se libérer de ses autres femmes.Il nous a expliqué d’où lui venait ce don si particulier et ce que lui faisait subir sa « drôle de famille » (lire ; les aventures sexuelles débridées de Patrick)6 mois plus tard, Martine est tombée enceinte et comme beaucoup de jumelles ou de triplées, nous avons voulu faire comme elle et nous sommes fait mettre en cloque par Patrick sans lui demander son avis.Quelques mois plus tard, Martine a accouchée de jumelles puis Ève de triplées et moi d’une jolie petite fille. Les gènes ont parlés. Patrick est ravit surtout quand on lui a dit qu’on ne le forçait pas à entretenir tant d’enfants. Nous nous partageons entre nous tous les problèmes des familles nombreuses avec l’avantage d’être 3 à nous partager les tâches.
Six bébés, ça fait du boulot. 
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