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Ah! les vacances...

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Le lendemain, J’invitais donc mes amis à prendre un verre dans un bar au bord de la plage, prétextant nos vacances. L’idée était simple mais à mon grand désarroi, je ne savais pas comment amener la conversation auprès d’eux et cela m’irritait. J’avais vu ma femme sucer et se faire jouir dans la bouche par un inconnu et Je voulais connaitre sa vraie nature. Mais comment l’expliquer ? 
— Que faites-vous samedi soir ? car ma femme est une nympho et j’aimerai que vous veniez la baiser !
Quoi qu’il puisse se passer, ma décision était prise…
Steph fût le premier arrivé et aussi le premier à déplorer l’absence de ma femme. Ils s’appréciaient mutuellement et celui-ci, n’avait pas hésité une seule seconde à la draguer ouvertement. Cela dit, elle m’avoua sans complexe ne pas être insensible à ses charmes. Max quant à lui, était d’une nature plus réservée. Mais son attirance pour ma femme ne l’était pas moins. De son côté, ma femme était attirée par son physique mais regrettait son jeune âge.
Je prétextais son absence en expliquant qu’elle avait rendez-vous pour une séance de Shiatzu. Il s’agissait d’une thérapie par pression des doigts. Il n’en fallait pas plus pour éveiller leurs phantasmes. Sur le ton de la plaisanterie, ils m’assuraient tous les deux être aussi des maitres du Shiatzu et m’attestaient que leurs doigts étaient très habiles, surtout si ma femme était la demandeuse !C’était le moment idéal pour lancer la première initiative !
Je fis mine d’être offensé et leur expliquait les changements qui se manifestait chez elle depuis notre arrivée sur l’île. Le regard qu’elle avait envers les autres hommes lorsque nous étions en balade ou sur la plage et autres discussions sur le sexe à plusieurs…Ils semblaient tout aussi troublés par ce que je venais de leur raconter. Ils connaissaient sa pudeur vis-à-vis des autres hommes et sa discrétion lorsqu’il s’agissait de se mettre en avant. Cela les rendait très pensifs… Je leur racontais l’aventure de ma femme avec ce jeune homme en rentrant de la plage. Je n’omettais aucun détail. Je voyais dans leurs yeux de la convoitise. Je finissais par leur avouer que cela m’avait beaucoup excité et plus encore de la voir couverte de sperme.C’est ainsi que je leur confessais mon souhait de connaître la vraie nature de ma femme et que j’étais déterminé à atteindre ce but. Je leur expliquais que je ne savais pas comment faire…
Et je n’eus pas longtemps à attendre. Steph imaginait un plan qui finalement était assez simple. Ils viendraient tous les deux le lendemain soir pour un petit diner à quatre. Histoire de se retrouver tous ensemble. Ils tenteraient de la séduire et par la même la confondre. J’interprétais intérieurement se “ confondre“ par fusionner ! Mon plan fonctionnait à merveille et J’approuvais cette idée. Mes deux amis étaient déjà très excités et il n’était plus question que de ce repas dans la conversation. La seule chose que je leur demandais c’est d’être d’une grande courtoisie et honorable même dans les positions les plus extravagantes. Ils pouvaient donner libre cours à leur imagination. J’étais terrifié mais aussi très excité.
Nous étions tous les trois très agités et décidâmes de nous quitter pour être en forme le lendemain.Sur le chemin du retour, je reçus une vidéo prise du portable de ma femme ou l’on pouvait l’apercevoir se prendre une bonne éjac dans la bouche. J’étais stupéfait et sans réaction parcourant les derniers kilomètres avec une certaine fébrilité. En rentrant, je fis mine de rien et partageais quelques banalités tel que le nettoyage de la piscine par Jeff ! Nous fîmes l’amour comme tous les jours avant de nous endormir. La journée de demain risquait d’être très longue…
Le grand soir arriva. J’étais resté très discret sur la soirée. J’avais simplement annoncé à ma femme que nos deux amis Steph et max venaient diner à la maison. Je lui avais glissé à l’oreille de ne pas trop s’habiller sexy avec une légère pointe de jalousie dans la voix.
Le soir venu, notre carillon retentit avec un enthousiasme que je ne lui connaissais pas ! J’étais très fébrile et plus sûr de vouloir satisfaire ma curiosité…Allez ! Vogue la galère me dis-je. J’alla ouvrir.
Mes deux amis étaient pile à l’heure et rasés de près ! je les faisais entrer et les dirigeais vers notre salon de jardin. Ma femme avait disparue depuis de longues minutes et je les fis asseoir en l’attendant.Alors que nous discutions de plongée sous-marine, ma femme faisait son apparition dans l’encadrement de la porte. Elle était légèrement plongée dans la pénombre dû au coucher du soleil mais on devinait qu’elle portait une robe de soirée où l’on soupçonnait ses formes voluptueuses.Sous l’éclairage de la terrasse, elle apparaissait dans cette magnifique robe totalement transparente. Elle ne portait pas de sous-vêtement et nous pouvions entrevoir chaque parcelle de son sublime corps. Nous restions silencieux devant tant de beauté. Nous étions émerveillés devant ce spectacle.
Mes amis furent les premiers à émerger. Ils se levèrent de concert pour saluer ma femme. Elle les étreignait plus que de raison. Leurs corps semblaient vouloir se mélanger sans aucune inhibition. Elle les invitait à s’asseoir puis prenait place entre les deux. Elle m’enjoignait de bien vouloir m’occuper des apéritifs. Je me levais en direction de la cuisine avec cette impression que si je m’absentais trop longtemps quelque chose pourrait se jouer sans moi. Je ne voulais pas perdre le contrôle sur la soirée même s’il était clair que ma femme avait sa propre idée sur la façon dont elle devait se passer. J’arrivais légèrement essoufflé. Mes craintes s’étaient réalisées. Ma femme avait sa robe remontée sur le haut des cuisses. Ses jambes étaient écartées abandonnant son sexe épilé à la vue de tous. Elle tenait dans chaque main le sexe bien raide de nos deux amis qu’elle caressait lentement avec une certaine sensualité. Ils voulurent la caresser mais leurs mains furent chassées d’un geste brusque. Le message était clair. C’était ma femme qui dictait les règles. Je m’asseyais tremblant et regardais ma femme caresser ces deux beaux membres déjà bien durs. Elle me faisait face et me scrutait avec insistance. Son regard me pénétrait. Je restais muet, paralysé. Je savais qu’elle voulait que je la pousse à s’occuper de nos deux amis mais j’étais trop captivé par ce tableau. Elle me regarda avec malice et se positionna pour sucer la queue de Max. Steph s’installait pour lui lécher et caresser son entrejambe. Sa bouche était accueillante et sa langue dansait la farandole sur son gland. Elle s’interrompait de temps en temps pour contempler ce beau jouet qu’elle léchait langoureusement. Steph semblait savourer son sexe humide avec délectation. Cette vision me rendit jaloux mais paradoxalement une certaine chaleur s’emparait de moi et je me déshabillais pour me caresser plus librement. Elle changea de côté, afin que je supposais, tout le monde puisse goûter les mêmes plaisirs…
Ma femme finit par interrompre ces préliminaires si alléchants et changea de position pour se placer à genoux devant Steph. Elle ressaisissait sa queue et l’engloutissait sauvagement. Max était passé derrière ma femme et la pénétrait sans ménagement. Sa queue s’engouffrait littéralement dans sa chatte si généreuse. Ses vas et vient s’accentuaient pendant que La queue de max étouffait ses cris. Elle prenait du plaisir ! Et il était partagé…
Elle délaissa le membre de Steph et balbutia :
— Prends-moi les fesses ! Je veux sentir ton sexe bien profondément.
Max obéit et vint plonger la tête la première entre ses fesses pour une séance de dégustation. Cela attisait son désir. Elle se cambrait davantage pour lui faire comprendre qu’elle voulait sentir sa queue la pénétrer. Il obéissait et présenta son sexe devant ses fesses. Il s’appliquait à la prendre délicatement. Sa bite disparaissait maintenant entièrement dans son cul et ses va et vient devinrent plus enfiévré. Elle gémissait de plaisir. Elle n’avait plus la force de sucer Steph. Elle gardait son sexe en main et le caressait entre deux soupirs de plaisir. Il se leva, la bite bien raide, dans l’intention de prendre ma femme. Son excitation était palpable. Max s’éclipsa sur le canapé laissant libre cours à la frénésie grandissante de Steph. Celui-ci empoignait solidement ses hanches et la pilonna sauvagement sans préavis. Elle clamait bruyamment son ivresse. Elle en voulait encore et encore…
Je me laissais tenter par une approche furtive. Je devais atténuer mon bouillonnement intérieur et cela passait par une contribution plus active mais je n’eus pas le temps de faire quoi que ce soit. Je fus repoussé sans égard par ma femme. Elle voulait que je la regarde !
— Tu aimes me regarder me faire prendre. Je veux que tu sois excité comme jamais.
Cela était indiscutable !
Qu’aimerais-tu qu’ils me fassent maintenant ? je veux que tu décides !
— Je veux qu’ils te baisent tous les deux. Je veux te voir la chatte et le cul bien remplis.
Ma femme les interrompit et invectiva :
— Vous avez entendu ? venez me prendre tous les deux. Que je sente vos queues me pilonner furieusement.Ils étaient maintenant tous les trois debout. Ma femme était au milieu d’eux et avait leurs bites entre ses mains. Elle les caressait en me regardant pendant que Steph et max léchaient et malaxaient ses seins.
— Venez me baiser maintenant !
Je n’avais jamais entendu ma femme parler ainsi. Elle détestait la grossièreté et plus est quand nous faisions l’amour. Cela me déstabilisait et accentuait mon état d’excitation. Elle positionna sa jambe droite sur la hanche de Steph qui lui faisait face. Il se plaçait à hauteur pour lui prendre la chatte pendant que max initiait les mêmes gestes pour l’enculer. Ma femme semblait radieuse et cette béatitude se traduisait par de longs gémissements de plaisir. Nos deux gaillards la pilonnaient avec beaucoup d’énergie. Son supplice semblait durer une éternité. Tout semblait irréel et mon plaisir décuplait au fur et à mesure qu’elle se faisait baiser. J’étais électrisé et savourais chaque instant.
J’enjoignait max d’aller s’allonger sur la chaise longue près de la piscine et ordonnait à ma femme d’aller le sucer à quatre pattes. Je me plaçais derrière elle afin de la lécher pendant que Steph s’offusquait de ne pas se faire sucer. Ma femme réparait cette erreur et le gratifia d’une belle gorge profonde.
J’allais pouvoir à mon tour prendre ma femme et évacuer toute cette énergie dû à l’excitation mais il était dit que je ne serais que le témoin de ce spectacle.
 Je sentis une présence dans mon dos et préjugeais qu’il s’agissait certainement d’un chien errant perdu dans notre jardin. Je désirais qu’il en fût ainsi. Mais notre chien avait les traits de Jeff. Notre technicien préféré ! Surtout celui de ma femme !Ta femme m’a invité pour le dessert. Affirmait-il en étudiant le cul de ma femme. Et quel dessert pensais-je ! Il avait déjà joui sur son corps dans sa bouche, ne restait plus qu’à la baiser. J’étais perdu dans mes pensées…au contraire de Jeff qui avait tout de suite trouvé la chatte de ma femme. IL la léchait et la  doigtait avec fougue. J’étais animé par un fort sentiment de haine envers se paltoquet. Mais cette hostilité s’était dissipé au premier jet de sperme que ma femme reçue de Steph. Mon excitation était de nouveau galvanisée. Sa bouche était maintenant grande ouverte et elle savourait avec délectation se foutre bien crémeux qui affluait par jets puissants.Max qui était resté silencieux jusque-là demanda à ma femme de venir chevaucher sa queue. Chose qu’elle fit sans broncher après avoir tout avaler . Jeff me jeta un regard interrogateur. Le misérable ! voilà qu’il me demandait une quelconque autorisation. Il avait, semble-t-il, perdu tout sens de l’initiative!
— Ma chérie Jeff a perdu tout sens pratique. A quel plaisir, voudrais-tu t’abandonner ?
— Décide pour moi ! C’est trop bon !
Ma femme prenait du plaisir et semblait indifférente à ce qui l’entourait.
— Prends lui la chatte avec Max. Elle adore ça !
Il est vrai que nous pratiquions souvent la double pénétration vaginale avec un gros gode et cela nous excitait terriblement.
— Ensuite, tu l’enculeras…
Mes paroles se perdirent dans le brouhaha des cris et des gémissements de ma femme, de Max et Jeff. “ ensuite tu l’enculeras“ résonnait encore dans mon esprit. J’abandonnais ma femme à ses pires instincts. J’étais partagé entre un sentiment de colère et de culpabilité. J’offrais ma femme en pâture et elle aimait ça. Qu’adviendrait-il de nous ? Pourtant, je l’observais et la trouvais tellement belle quand elle était excitée et déchaînée. Elle gémissait, criait. Son corps était parcouru de spasme. Elle invectivait Jeff et Max de la prendre fort. Ils devaient aller de plus en plus vite, de plus en plus fort sans jamais faillir ! Son excitation n’avait pas de limite.
Jeff prenait sa mission très au sérieux. IL enculait ma femme sans émotion, sans romantisme comme si sa vie en dépendait. Il la pilonnait férocement. Sa queue entrait et sortait de son cul avec une énergie incroyable. Ma femme semblait apprécier cette brutalité. Elle semblait se noyer dans un flot d’émotions. Elle était heureuse.
Cette débauche d’énergie avait entamé Jeff qui donnait l’impression de vouloir battre en retraite. Il était haletant et proche de l’asphyxie.Max toujours allongé, profita de cette occasion pour retourner ma femme.
— Donne-moi ton cul souffla-t-il
Elle s’empala sur sa queue sans attendre. Sa bite était avalée centimètre par centimètre dans cette antre oh combien mystérieuse et que je pensais, jusqu’à présent, être sous ma domination. Son corps était bercé au rythme de ses vas et vient. Ce soir, son cul avait su apprivoisé toutes ses colonnes de chair. Leur redonnant vie. Ses queues étaient soumises à sa volonté.
Jeff, se sournois personnage, était calé à côté de ma femme. Elle le suçait sensuellement. La frénésie du début avait laissé la place à une douce harmonie des corps. Son sexe était prisonnier de sa bouche. Elle disparaissait entièrement et réapparaissait inlassablement dans une lente litanie. Jeff se crispa. Son corps était secoué de spasme et je devinais qu’il était en train de décharger toute sa semence dans sa bouche. J’imaginais son sperme gicler au fond de sa gorge. Il était consumé par le plaisir. Déclenchant des gémissements gutturaux et râles de satisfaction.
Ma femme, libérée de Jeff, accentua son emprise sur max. Elle s’allongea sur son torse et se laissait bercer dans un lancinant jeu de va et vient. Elle se faisait enculée, certes, mais avec grâce. Tous deux semblait maintenant converger vers le plaisir Dans un dernier effort, Max se libérait, jouissant abondamment sur son sexe, son ventre, jusqu’à ses seins pendant que ma femme jouissait en parfaite harmonie avec lui…
Tous disparurent dans la pénombre. Ma femme était là. Sur la chaise longue, les cuisses écartées. Elle semblait comblée. Mon corps brûlait d’envie. Je me jetais sur son antre maculé de sperme. Affamé ! Je m’enivrais de sa saveur. Sa chair frémissante était de nouveau au bord de l’explosion. J’enflammais sa fontaine au jus brûlant pour un dernier orgasme…
Jeff était venue nous rendre visite…pour entretenir la piscine… Et ma femme ! Il fut, dans la douleur, renvoyé à ses chères études.
Max et Steph étaient restés discrets, mise à part un message pour me dire qu’ils avaient passés une excellente soirée.
Mais pour nous, les vacances n’étaient pas terminées…
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