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Les vacances d'été

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Antoine, j’ai 18 ans. Je vis avec mes parents et ma sœur dans une grande maison. La place que nous avons nous permet d’organiser souvent quelques soirées avec des ami(e)s. cette histoire résulte de l’une d’entre-elles. Comme je le disais, j’ai 18 ans. Je viens de finir ma terminale ainsi que beaucoup de mes amis. Pour fêter la remise des diplômes, mes amis et moi sommes d’accord. Une soirée est indispensable. Je propose de le faire chez moi. Comme la dite fête risque d’être bien arrosée, tout le monde est invité à passer la nuit chez moi. J’ai assez de matelas pour loger les 8 invités qui resteront. Je ne l’ai pas dit, mais je suis en couple et surtout je suis amoureux. Celle qui partage actuellement ma vie se nomme Aurélia, elle aussi a 18 ans. Elle est blonde peu timide, très drôle et toujours en pleine forme, une véritable pile électrique. Elle mesure environ 1m65 et ne pèse qu’une petite cinquantaine de kilos. Elle a de beaux cheveux qui retombent sur ses épaules. J’adore les caresser, ils sont toujours doux et sentent bons. Elle est aussi incroyablement sexy malgré sa poitrine assez petite (80B) mais elle a un coup splendide ! Petit mais bien rond et ferme. Il donne l’envie de le prendre, de le caresser et de le malaxer à longueur de journée. Ce que je ne fais pas bien entendu, uniquement de temps en temps. Pour ma part, j’ai des cheveux bruns courts, je mesure 1m77 et pèse 65 kilos. Je ne suis pas très musclé mais je peux me vanter de ne pas être maigre. C’est tout ce dont je parlerai pour l’instant. Nous sommes le 30 juin. La remise des diplômes a eu lieu le 28. Mes amis arrivent tous de bonne humeur, Aurélia aussi bien entendu. Mais en arrivant elle m’annonce qu’elle ne pourra pas passer la nuit ici avec tout le monde car elle part en vacances en Espagne tôt le lendemain. Cela me rend triste mais elle se charge de me remettre d’aplomb avec un baiser langoureux. Je lui souris et nous allons à la fête. Durant la soirée, l’alcool coule à flot. Je tente de ne pas être complètement soul mais je n’y arrive pas vraiment. Vers minuit, les parents d’Aurélia la ramènent chez elle. Je lui souhaite donc une bonne nuit et de bonnes vacances avant de l’embrasser du mieux que je peux. Je suis à nouveau triste car je me rends compte que je ne la verrai plus avant le mois d’aout. Je tente de penser à autre chose, mes amis se calment et le reste de la soirée se passe tranquillement devant un film. Nous ne sommes plus très nombreux et c’est vers deux heures du matin que nous décidons d’aller nous coucher. Il nous faut monter à l’étage pour retrouver la grande chambre dans laquelle nous passeront le reste de la nuit. Pour que la nuit soit la meilleure, j’avais rassemblé tous les matelas dont je disposais dans une seule et même pièce. Ainsi nous dormions tous au même endroit, ce qui était bien plus amusant. Nous nous endormons très vite, l’alcool nous aidant sûrement. Mais vers quatre heures, j’entends du bruit à côté de moi. Je me réveille et vois Valentine, une amie, réveillée. Elle n’arrive pas à dormir. Elle ne cesse de bouger dans tous les sens pour trouver une position confortable pour s’endormir.— Hé ! lui dis-je pour attirer son attention. Ça va ? — Non… je n’arrive pas à dormir, il fait un peu trop froid…Il est vrai que la température n’est pas très élevée. Sa couette ne suffit pas visiblement à la tenir au chaud. N’ayant aucune autre couverture à lui proposer je n’ai qu’une solution pour elle.— Viens, ici tu seras au chaud.Elle semble hésiter, mais voit bien qu’elle n’a pas le choix si elle veut s’endormir. Elle me rejoint donc dans mon lit, passe sous la couette et se couche contre moi pour avoir chaud. Elle se place dos à moi, mon torse contre son dos à elle. Je passe mon bras par-dessus elle pour la réchauffer. Elle a un léger soubresaut de surprise mais se laisse faire. — C’est mieux ? — Oui, merci. C’est vraiment gentil de ta part.— Mais de rien, c’est tout naturel pour une amie.— Aurélia à quand même beaucoup de chance de t’avoir.Ces paroles me touchent beaucoup, je suis ému. Mais je tente de ne pas trop penser à Aurélia car je sens déjà mon sexe durcir. Je ne voudrais pas créer de malentendu ni de situation gênante avec Valentine alors que mon seul pyjama est mon boxer. Je n’arrive pas à me contrôler et très vite mon sexe est tendu. Ainsi collés l’un contre l’autre, Valentine peut sentir la pression de mon sexe contre ses fesses. Elle porte un short et un t-shirt, heureusement. La situation aurait été encore plus gênante si elle était aussi en sous-vêtements.— Qu’est- ce que je sens ? demande-t-elle d’un air faussement innocent.— Euh…je ...je suis désolé Valentine. Je ne voulais pas…Elle se délecte de ma gêne mais se recouche immédiatement. Elle passe sa main dans son dos pour attraper mon bras que j’avais retiré et le tire pour que je le remette par-dessus elle. Sauf qu’elle ne remet pas mon bras au même endroit. Elle pose ma main sur sa poitrine, m’obligeant à me coller un peu plus à elle. JE ne tente pas de retirer mon bras. Je ne sais pas trop ce qui m’a pris. Peut-être les effets de l’alcool et de sa poitrine bien ronde et volumineuse dans ma main. Ce rapprochement entre nous deux et la position de ma main n’a fait qu’accroître mon érection qui s’est désormais placée entre les fesses de Valentine. Je n’ose bouger. La situation est terriblement excitante. Je ne suis pas le seul à le penser car Valentine ondule doucement et silencieusement du bassin. Tenant toujours ma main dans la sienne, elle masse sa poitrine de plus en plus vite. Je sens une décharge électrique dans tout mon corps. A chaque ondulation de son bassin, Valentine pousse ma verge plus profondément entre ses fesses. Je sais que je devrais arrêter car j’aime ma copine et que ce que je fais n’est pas bien. Mais je n’y arrive pas, les sensations sont bien trop fortes pour m’arrêter là. Je commence à mon tour à faire des va-et-vient. Le frottement de mon sexe contre le cul de Valentine devient de plus en plus fort et rapide. Mon sexe finit par sortir de mon boxer mais ni Valentine ni moi ne s’arrêtons pour autant. Je pousse fort mon sexe qui passe alors entre les cuisses de Valentine. Collé ainsi contre son shorty, mon sexe pousse fort contre le sien. Nous continuons nos ondulations pendant plusieurs minutes jusqu’au moment au je sens Valentine serrer ses cuisses contre mon sexe, faire pression sur ma main qui malaxait toujours sa poitrine et gémir tout doucement. Elle jouit grâce à mon sexe à travers son shorty. Quand je pense à ça je suis assez flatté et cela m’excite encore plus. Je continue mes va-et-vient plus rapidement et avec plus de force tout en essayant d’être silencieux. Je prolonge ainsi au maximum l’orgasme de Valentine qui continue de jouir dans mes bras et fini par éjaculer entre ses cuisses, contre son sexe. Je sens une grande quantité de sperme couler et j’inonde les cuisses et le shorty de Valentine. Elle semble apprécier l’effet qu’elle a réussi à produire sur moi. Elle tourne la tête, m’embrasse langoureusement et passionnément avant de s’endormir, mon sexe toujours bandé et coincé entre ses cuisses. Je ne suis pas long à la suivre dans le sommeil. Nous passons le reste de la nuit dans cette position.
A suivre…
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