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Les vacances de Romain

Chapitre 3

Inceste
Chapitre 3
-    Maintenant on va rentrer et je vais te donner tout ce que tu veux, absolument tout…Cette phrase raisonne encore dans ma tête comme un écho se propage presque à l’infini à la surface de l’eau…
Nous sommes tous les deux dans la voiture et je me charge de nous reconduire vers la maison familiale. Mon esprit lui, est resté sur le parking de tout à l’heure encore accroché aux dernières paroles de ma mère.Depuis que nous sommes en route aucun mot n’a été prononcé. Je laisse petit à petit mon regard se poser sur ma mère comme je le poserais sur une femme. Il est certain que ses mots ne m’ont pas laissé de marbre surtout dans ma situation actuelle. Bien évidemment la morale me dicte, que dis-je me hurle, que cette envie de luxe est contre nature !
J’ai quand même du mal à ne pas fixer ses jambes longues et musclées qui laissent sa robe glisser de plus en plus haut sur son corps.Mon regard ne tarde pas à remonter, entre deux coups d’œil à la route, sur son décolleté qui me laisse largement entrevoir ses deux globes de chaire. Je peux ainsi le rendre compte qu’elle a choisi de porter fièrement et librement sa robe sans juger utile de porter un soutien-gorge.
Mes furtives observations ne doivent pas l’être tant que ça car elle décide de rompre ce silence qui dure trop :-    Finalement, tu te rends compte que tu n’y as peut être pas perdu au change pour ce soir … Ta mère est encore bien conservée pour son âge...-    Quoi ? … Oui plutôt, répondis-je presque automatiquement.Mon cerveau avait dû comprendre qu’au point où on en était, une réponse franche ne me couterait rien...
Nous arrivions à l’entrée de la maison. En parcourant la grande allée desservant l’entrée je dois dire que je commençais à me demander si tout ce qui s’était passé n’était pas qu’un rêve ou une hallucination. Que finalement, avec la frustration de ces derniers jours et de ces dernières heures, j’avais tout simplement imaginé tout cela mais quand la voiture fut stoppée et que le contacte coupé ma mère se tourna vers moi et me dit :-    J’en ai envie et je suis sûr que tu en as envie vue comment tu ne t’es pas gêné pour mater durant tout le trajet. Nous sommes des personnes adultes et responsables et quel que soit notre choix il sera le nôtre. Si tu décides de rentrer et de monter te coucher nous n’en reparlerons plus jamais. Tu pourras mettre ça sur le dos de l’alcool et ça ne sera pas complètement faux…
Elle commence à se tourner pour ouvrir sa portière puis elle se stop et finit par rajouter :-    Dans le cas contraire sache que tu ne le regretteras pas.
Son dernier mot prononcé elle ouvre la porte et sort dehors. Mon esprit n’est plus lui-même mais je sais quelle est la bonne décision à prendre.
Je sors à mon tour de la voiture et je prends la suite de ma mère dans les escaliers qui montent sur la terrasse et donne accès à la piscine. Mon visage se retrouve au niveau de ses fesses puisqu’elle est quelques marches devant moi. Il faudrait être aveugle pour ne pas voir son string au travers de sa jupe.

Nous sommes maintenant sur la terrasse et elle ralentit son pas. Moi non.J’arrive derrière elle et me colle contre son dos. Je l’entends soupirer légèrement.Je pose mes mains sur ses hanches et je la retourne fermement.
A cet instant je vois cette lueur dans ses yeux. Une lueur que je ne suis pas sensé voir dans les yeux de ma mère… celle du vice.
Nous sommes baignés par la lueur bleutée de la piscine et entourés par les transats et les quelques fleurs sur la terrasse.Mes mains descendent sur ses fesses et s’y agrippent violemmentElle se jette sur mes lèvres et m’embrasse avec fougue. Je lui réponds avec la même ardeur et je lui dévore les lèvres. Une de mes mains remonte sur son décolleté qui ne m’a que trop nargué.
Il n’y a plus rien de maternelle dans cet échange de salive. Mes mains sont accrochées à ses formes et elles alternent entre ses seins et ses fesses.
Nos corps sont compressés l’un sur l’autre et la chaleur bouillonne d’impatience et de plaisir.Mon sexe commence à sentir sacrement à l’étroit dans mon jean et ma  mère doit s’en rendre compte :-    Je pense qu’il est temps de libérer ça, me susurre-t-elle à l’oreille.En joignant le geste à la parole elle s’empresse de défaire ma ceinture et les boutons. Mon jean tombe à terre et je m’en débarrasse sans pour autant lâcher les seins de ma mère. Je ne suis pas non plus à la traine puisque je me suis débrouillé pour ouvrir son décolleter en grand et faire sortir ses deux énormes seins si appétissants.
-    Voyons voir ce qu’il y a là-dedans, me dit-elle avec un sourire qui en dit beaucoup…Elle baisse l’élastique de mon caleçon et fait jaillir ma queue qui sort comme un diable en boite.-    Ça tu vois maman, c’est un mois de diète-    Mon dieu mon chéri, tu ne  dois pas que leur faire du bien à tes copines avec un tel engin !Il est vrai que j’ai plutôt de la chance d’un point de vue physionomique. Ma queue n’est pas extrêmement épaisse mais en revanche elle est plutôt très longue. J’ai rarement trouvé une partenaire capable de la prendre dans la totalité de sa longueur, à mon grand désespoir.-    Elle t’impressionne ?
La question n’a pas forcément lieux d’être à la vue de ses yeux écarquillés.Cela ne l’empêche pas de me répondre :-    Impressionné ? Moi ? j’aurais plutôt dit impatiente de me mesurer à cette bite monstrueuse !
Son vocabulaire cru m’étonne de moins en moins et il est loin de me déplaire.C’est d’ailleurs ça qui a déverrouillé toute la morale qui aurait pu nous faire rebrousser chemin.Comme elle l’avait souligné, elle me démontre son impatience en se jetant à bouche ouverte sur ma queue. Elle ne prend même pas le temps de la lécher ou de l’embrasser et elle la dévore comme une folle.
Je la vois, avec mes yeux pourtant habitués à ce genre de scène et je m’étonne de cette ardeur qu’elle dégage tant ses gestes sont obscènes.Elle tente de l’avaler le plus profondément possible sans parvenir à aller à plus de la moitié de ma longueur. Cette fougue commence à se faire ressentir sur son visage et son maquillage coule sous ses yeux pour m’offrir un tableau des plus bandant !
Son rouge à lèvres s’échoue petit à petit sur ma tige pour disparaitre sous les litres de salive qu’elle produit. Après quelques mouvements plus lents elle parvient à s’enfonce jusqu’aux deux tiers de mon sexe. Cela reste rare pour mes partenaires et je suis impressionné si c’est encore possible à ce stade
Je reste plutôt passif et le tableau qui ressort de ce moment doit être digne d’un bon porno. Moi debout mes mains sur sa tête, encore à moitié habillé. La piscine qui nous diffuse sa lumière bleutée et  la nuit qui recouvre la terrasse. Et par terre devant moi ma mère qui s’applique à dévorer mon sexe. Seul le bruit de l’eau, des grillons et de sa succion démoniaque nous entoure.
Elle décide de se stopper alors que mon plaisir arrivait à son comble et elle me dit :-    Tu ne m’as pas dit que tu voulais du hard ce soir ? Parce que là je trouve ça vraiment soft…Sa phrase raisonne comme un hurlement de défi.
Mon cerveau avait déjà décroché depuis un moment mais là c’est toute mon âme qui défaille. Je lui attrape la tête fermement tout en lui répondant :-    Je ne voulais pas te faire trop peur, mais des salopes comme toi il faut y aller sans douceur.Je vois qu’elle amorce un sourire et une réponse, mais aucun son n’a le temps de sortir de sa bouche car ma queue s’y engouffre sans ménagement.Je lui enfonce un maximum de ma longueur sans toutefois pouvoir aller jusqu’au bout et je m’applique à lui limer sa bouche avec force.
Sans amour ni douceur. Mes coups de reins deviennent rapides et puissants et je perds totalement le contrôle. Je lui baise littéralement la bouche.-    Tu trouves ça moins soft maintenant ma petite maman ? Le fait de l’appeler "maman" décuple mon plaisir et aux vues de ses gémissements, le sien aussi.-    J’en ai connu des vrais chiennes mais toi je sens que tu vas vraiment prendre chère.Elle ne peut répondre que par des bruits de gorge résultant du limage intensif qu’elle subit.Sa bave se déverse sur mes jambes et elle vient terminer sa course sur ses seins gonflés de désir.
Ses yeux commencent à couler et je sens son regard partir dans le vide.A cet instant je sens le point de non-retour arriver et quelques spasmes parcourent mes bourses pour annoncer l’éjaculation imminente.Après un mois de sevrage, mon corps vibre en même temps que ma queue se décharge dans la gorge de ma mère. La jouissance est ultime. Mon corps quitte cette terre quelques secondes puis je reviens au milieu de la terrasse comme si je subissais une renaissance.
J’observe alors ma mère encore à genoux. Un mélange de sperme et de salive sur le poitrail. Sa jupe n’a plus aucune forme et elle est bonne à jeter. Ses larmes et son mascara on noircit ses joues de façon outrageuse.
J’ai quelques secondes de prise de conscience et je me rends compte que je viens de déverrouiller mon côté sombre sur ma mère. Je viens de lui défoncer la bouche à grands coups de bite sans même me poser de questions. J’ai joui au fond de sa gorge sans aucune considération. Je me demande ce qui m’arrive quand elle me dit, le visage et les seins remplis de bave :-    Ta raison je suis vraiment une chienne, une trainé, la dernière des salopes même. Tu m’as excité comme jamais et personne ne m’avait autant fait sentir pute. J’étais autant en manque que toi si ce n’est plus. Alors maintenant utilise-moi comme un objet, fait moi ce que tu veux, mais défonce-moi au moins aussi fort que tu viens de le faire. Baise ta putain de salope de mère !
Je n’ai pratiquement pas débandé et son monologue m’a rendu plus dur encore. Je sais à présent qu’il n’y a plus de limite. Elle s’abandonne pour mon plus grand plaisir et aussi pour le sien. S’il me restait une part de culpabilité ou de honte elle vient de disparaitre, Hyde vient d’étouffer le Dr Jekyl.
-    Vient ici ma petite maman salope, met toi à quatre pattes sur le transat. J’espère qu’il est solide parce qu’il va prendre chère.-    Oui vas-y défonce moi, tu peux y aller il en a déjà vu…Elle se positionne à quatre pattes sur le matelas molletonné du transat. Elle cambre ses fesses et elle n’oublie pas de retourner sa tête pour plonger ses yeux suppliant dans les miens.-    Ecarte tes fesses que j’admire ton cul
Elle obéit comme un robot. Sa chatte met offerte sur un plateau. Son cul est magnifique et mes bas instincts me dictent chacun de mes gestes. Je m’approche d’elle et remonte ma langue le long de sa fente trempée de désir. Je termine ma course sur son petit œillet pour la faire gémir de plaisir.Je me relève et positionne mon sexe à l’entrée de ses lèvres. Mes deux mains positionné sur ses hanches, je l’empale sans même prendre de précaution. Je lui ramone son trou comme si ma vie en dépendait.
Mes coups sont puissants et elle gémit à l’unisson avec moi. -    Alors salope, tu n’attendais que ça que ton fils de défonce la chatte !-    Oh oui putain c’est trop bon ! Si tu avais comme tu m’as fait envie depuis que tu es arrivé !-    Tes vraiment qu’une chienne en chaleur ! Ton fils est là depuis même pas 24h et il te défonce comme la dernière des trainé !-    Oh oui j’adore ça, vas-y démonte moi comme une pute
Je la fais ce cambrer au maximum et lui tire ses bras en arrière. Le transat résiste à l’assaut que subit le corps de ma mère. J’en profite pour malmener ses seins.Tout en lui tirant les cheveux je pilonne sa grotte d’amour sans m’arrêter. Mon sexe bute au fond sans pouvoir rentrer au maximum.-    Alors, t’en assez dans ta petite chatte ? C’est ce que tu voulais ?-    Vas-y encore plus fort putain, claque-moi les fesses.
Mes mains lâchent ses hanches pour venir s’écraser contre son cul. Un son sec raisonne en même temps que son gémissement.Je ne sais pas comment je fais mais j’accélère encore mon pilonnage frénétique. Je la défonce littéralement. Elle n’est pas en reste car elle s’active sur sa chatte avec une de ses mains pour décupler son plaisir.-    Je te défonce bien le cul ma grosse trainéElle passe alors sa main, qui s’affairait sous elle, par-dessus son corps et elle s’applique deux doigts directement dans son cul à mon plus grand étonnement-     Non mon salop, si tu veux défoncer mon cul il va falloir m’enculer !Je ne lui laisse pas le temps et je lui arrache les deux doigts qu’elle s’était enfoncée sans trop de difficultés.
Je positionne directement ma queue sur sa rondelle et pousse au tréfonds de ses entrailles.Elle grogne et gémit suite à cette intromission quelque peu brutale.-    La vache ! Tu viens de me détruire le cul.Il est vrai que la longueur de ma colonne de chaire peine à rentrer mais je ne lui laisse pas le temps de souffler et je pousse pour lui en rentrer un maximum.-    Putain mon salaud qu’est que tu me mets ! J’entame mon va-et-viens culier en accélérant le rythme. Elle semble y prendre gout et en redemande.-    Humm… voilà, là tu me défonces bien le cul. Aller, n’ai pas peur de me faire mal tu peux y aller. Encule-moi comme une truie putain !-    Tu vas voir ma salope demain tu ne vas plus pouvoir marcher. T’es vraiment la plus belle salope que j’ai connue.-    Et encore t’a rien vu alors arrête de jacasser et lime moi le cul bordel. DÉFONCE MOI !
Elle crie ces derniers mots alors que j’ai gagné quelques centimètres dans son cul qui semble sans fond. Mon rythme de défonce à presque attend celui que j’avais dans sa chatte. Je lui martèle le cul. Elle continue de gémir de plaisir et  tout en s’activant sur sa chatte. Je la sens jouir sans discontinuer pendant plusieurs secondes.Je sens sa cyprine sortir en jet contre mes cuisses.
J’ai une véritable nymphomane qui ferait pâlir les plus grosses salopes du porno devant moi. Et c’est ma mère bordel !
Je ne suis pas un dieu et je commence moi aussi à sentir le plaisir monter.Je sens que mon corps va lâcher tout ce désir d’un instant à l’autre. -    Tu vas me faire jouir dans ton cul ma salope !-    Vas-y, crache tout pour ta salope de mère, retapisse-moi les boyaux mon salop. Tu peux y aller, lâche tout au fond de ta trainée mon chéri.
Ces derniers mots finissent de m’achever. Je déverse pour la deuxième fois de la soirée une quantité incroyable de foutre malgré ma première éjaculation. Je jouis dans son cul sans pouvoir m’arrêter.Tout mon corps se relâche et dans un dernier effort je découle de son troue devenu béant et suintant de nos sécrétions.
Nous nous écroulons sur le transat l’un contre l’autreJe suis comme déconnecté de la réalité pendant quelques secondes. Quand je commence à me rendre compte de ce qu’il vient de se passer ma mère c’est déjà levé pour aller se plonger dans la piscine.
Je n’en reviens toujours pas et je reprend petit à petit mes esprits. Elle nage un peu puis se pose sur le bord de la piscine et me dit : J’espère qu’en plus d’aimer le sexe hard tu as de grosses envies parce qu’après avoir vu une partie de ton potentiel il va m’en falloir plus…
Je n’ai plus besoin de réfléchir et tout naturellement je lui dis : t’es vraiment qu’une grosse salope …
Une suite ?...
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