Chapitre 4 J’espère qu’en plus d’aimer le sexe hard tu as de grosses envies parce qu’après avoir vu une partie de ton potentiel il va m’en falloir plus…Je n’ai plus besoin de réfléchir et tout naturellement je lui dis : t’es vraiment qu’une grosse salope ... - On appelle ça une nymphomane mon chéri. Mes pensées se chamboulent dans ma tête. Une part de moi s’accroche à l’image de cette mère maternelle que j’ai toujours considérée comme telle, mais une autre ne fait que penser à cette chienne viscérale que je viens de baiser ! - Je te dois quelques explications- Je suis tout ouï ma petite maman.Elle sort de l’eau, s’approche du mini bar qui est sur la terrasse et elle se sert un verre de rhum. - Avec ton père nous avions une activité sexuelle entretenue, mais plutôt simple. Cela ne me dérangeait pas forcément et je ne m’en plaignais pas plus que ça. Quand ton père nous a quitté j’étais dévasté. Effectivement la mort de mon père avait entrainé, comme dans tout couple heureux, une période extrêmement difficile à affronter. Ma mère n’avait pas fait exception et ma sœur mon frère et moi étions très présents pour l’entourer à ce moment-là. - Grâce au soutien de ton frère de ta sœur et de toi, j’ai pu aller de l’avant. Je suis de nouveau sortie avec mes copines. Une sortie en entrainant une autre je suis devenue plus ouverte. Mes copines n’arrêtaient pas de me proposer de nouvelle conquêtes d’un soir, car elles en étaient coutumières. Elles me disaient que j’avais aussi le droit de m’amuser.J’ai commencé à rencontrer des hommes sans vouloir de sérieux ni de suite dans nos relations. Ils semblaient tout aussi satisfaits par cela. - Je me suis ainsi rendu compte que je pouvais me lâcher sans me prendre la tête. J’ai découvert le plaisir du sexe pour le sexe. Les coups d’un soir sont devenus ma routine du weekend puis quand je n’en avais plus assez, j’ai continué en semaine. Il n’y avait pas de regard ou de jugement le lendemain, j’étais complétement libre. A partir de ce moment je ne me suis jamais autant sentie femme. Aussi incroyable que cela puisse paraitre j’avais et j’ai toujours la complète sensation de respecter mon corps ; quand j’ai une envie je ne me retiens pas. Elle s’assit sur le bord du transat tout en sirotant son verre. Sa nudité resplendit tellement elle semble naturelle et à l’aise.
- Je me suis découvert un appétit sexuel intense et presque insatiable. J’ai voulu savoir où je pouvais aller et j’ai mis à l’épreuve mon corps. J’ai commencé par offrir mon petit cul, chose que je trouvais complétement dégradant pour les femmes avant ! J’ai aussi voulu essayer la gorge profonde et en quelques temps je suis devenu totalement addict à ce genre de pratiques extrêmes. - Loin de moi l’envie de m’en plaindre, surtout après la séance de sexe de malade que tu viens de m’offrir… Elle semble apprécier mon commentaire au vu du regard de charme qu’elle me lance.- Et bien comme tu as pu le constater, je sens que je repousse mes limites et je me connais de mieux en mieux. Je jouis de plus en plus fort. Je lui rétorque que je ne suis pas mieux dans mon cas. - Tu sais maman, je suis autant accro au sexe. Un vrai pervers sans cesse en manque. J’ai vite eu besoin de relation de plus en plus hard, mais c’est difficile de trouver une partenaire qui tient la route. Voilà pourquoi j’utilise cette application même si parfois c’est plus difficile de trouver une fille avec qui je peux me lâcher à 100%. Elle finit son verre de rhum et le pose par terre. Elle se lève ensuite, toujours nue, en m’offrant une vision sur son corps parfait. - On est deux adultes, on ne cherche que du sexe et rien d’autre autant en profiter. On n’est tout à fait capable de laisser derrière nous cette morale puritaine qui nous impose des choix et des désirs alors qu’on a pris tellement de plaisir avec cet acte interdit. En tout cas ça en avait tout l’air …En disant cela elle glisse lentement son doigt entre ses lèvres. Ce geste est d’une sensualité sans pareil ! - On a quelques semaines, il ne faut pas tourner le dos à nos envies. En plus ça reste dans la famille. Des femmes qui te proposent de devenir leur salope vide couille ça ne court pas les rues et au vu de ton érection cela ne te laisse pas indifférent.Effectivement, malgré déjà deux éjaculations je ne peux m’empêcher de réagir au spectacle que son corps et ses gestes m’offrent. Elle se rapproche et attrape ma queue tout en commençant à la masturber.- Qu’est que tu en penses ?- T’es sûr que tu vas tenir la route, je peux me montrer très demandeur et très intense dans mes rapports…- Je suis sûr que je peux t’épuiser et te vider les couilles avant même que tu ne me casses tous mes troue de petite salope.- Pari tenue ma petite maman. Aller suce moi encore une fois avant qu’on aille se coucher, tes histoires mon bien excitées et je risque d’avoir du mal à m’endormir si je monte comme ça. Elle s’agenouille devant moi, et tout en me regardant droit dans les yeux, elle avance lentement sa bouche sur mon gland violacé. Elle dépose un premier baisé sur le bout de ma queue puis elle coulisse lentement dessus pour attendre une profondeur respectable.Elle accélère ensuite le mouvement ce qui a pour effet de produire une quantité de bave trop importante pour sa bouche. Le bruit de cette pipe gluante me fait frémir de plaisir. Elle essaie de nouveau de l’engloutir entièrement sans pour autant y arriver. Elle semble quand même aller plus loin que sa dernière tentative. Elle recrache ma queue avec une quantité phénoménale de bave.- Tu as déjà trouvé une femme capable de te l’avaler complètement ?- Non aucune n’a vraiment réussi à la prendre complétement. A mon plus grand désespoir... Effectivement un de mes fantasmes est de pouvoir baiser la bouche de ma partenaire de toute ma longueur, de la même manière que je lui baiserais son sexe. - Je suis sûr que je peux le faire, réplique-t-elle avec un air de défi. Elle essaie et redouble d’ardeur. Cela a pour effet de produire beaucoup de bave et quelque haut de cœur. Et après quelques secondes d’acharnement il ne reste que quelques centimètres qui ne sont pas rentrés dans sa bouche, mais c’est déjà plus qu’aucune fille n’avait réussi ! Elle recrache tout. - Tu pourrais forcer un peu pour m’aider ! J’attrape violemment sa tête et je pousse ma queue au fond de sa gorge. Cela a pour effet de lui faire avaler les derniers centimètres qui lui restaient inaccessibles. Ses lèvres viennent s’écraser contre ma peau. Elle commence par avoir un mouvement de recul et par reflexe elle tente de se débattre pour retirer cette colonne de chair qui doit lui obstruer complétement la gorge. Elle finit par se calmer et reste immobile tout en me regardant avec victoire. Ses yeux coulent et son visage est maculé d’un mélange de prés sperme et de bave. La sensation est incomparable ! Se retrouver complétement engloutie par cet écrin gluant. Voir sa gorge tressauter et rempli par ma queue. Sa bave coule toute seule sur mes testicules. Je suis aux anges.Je relâche l’étreinte que j’appliquai au niveau de sa tête, mais elle reste encore quelques secondes pour bien me faire comprendre qu’elle peut le faire « toute seule ». Puis elle recule doucement et laisse ses lèvres outrageuses coulées le long de ma queue. Quand elle arrive au bord de mon gland je lui reprends la tête à pleine main et je lui replonge ma bite au fond de la gorge. Maintenant que je la sais capable du meilleur je ne vais pas m’en priver ! Je recommence un va et viens régulier et profond sans pour autant aller jusqu’au fond. Elle me regarde et fait signe avec ses mains d’y aller franco ! Je décide alors de lui marteler le visage de coups de rein puissant. J’arrive quelquefois à sentir son nez s’écraser contre mon pubis preuve qu’elle a fait de sacrer progrès en l’espace de quelques minutes ! - Voilà mon vide couille, tu vas bien tout avaler. Je vais te graisser l’estomac et tu vas pouvoir aller te coucher comme une salope repue de sperme. Je finis ma phrase en sentant, dans un dernier effort, l’orgasme monter. La quantité est plutôt raisonnable en prenant en compte mes dernières éjaculations. Mon sperme se déverse directement dans son ventre et je relâche petit à petit mes mains pour me laisser emporter par le plaisir du moment. Je reprends mes esprits et lui dit : - Putain la vache tu viens de te prendre une sacrée longueur dans la gueule ! c’était impressionnant ! Elle se remet de son exploit et s’étale le mélange de sperme et de bave sur les seins.- Maintenant qu’on sait de quoi je suis capable avec ce troue il faudra en profiter…- Tu m’étonnes que je vais en profiter ! je te réserve de longue heure de pilonnage de gorge ma petite maman ! Elle rit aux éclats en m’assurant qu’elle y comptait bien. Nous nous rinçons tous les deux dans la piscine et nous profitons de sa fraicheur après cette soirée plutôt mouvementée.Nous décidons de monter nous coucher. Après une telle soirée cela nous fera le plus grand bien. Après une nuit sans réveil, à dormir comme rarement je n’avais dormi, je suis réveillé par le soleil qui passe au travers des stores de ma chambre.Ma fenêtre est restée ouverte je peux donc profiter des bruits de l’extérieur pour émerger tranquillement. Les oiseaux sont déjà bien actifs en ce milieu de matinée et j’entends les bruits d’eau provoqués par la piscine. En regardant l’heure sur mon réveil je m’aperçois qu’il est 10h30 passés. Je me repasse le film de la soirée dans la tête en réalisant vraiment ce qui s’était passé…Ça ne m’aide pas à croire que tout cela était bien réel.Ma propre mère, nymphomane salope en manque, tellement vicieuse qu’elle ferait passer toutes ces actrices pornos pour des saintes-nitouches, me propose de profiter à fond de son corps et de ses troues ! Je me demande si ce n’était pas juste un coup de tête, l’alcool aidant, et que finalement la prise de conscience de ce matin allait être brutale… Je me lève donc, enfile mon boxer et descend dans la cuisine. Ma mère est là, en train de s’affairer au-dessus de l’évier. Elle ne porte qu’une nuisette qui lui arrive au niveau du bassin et un string. Je décide de ne pas me poser de questions et je m’approche doucement derrière elle.Mon érection du matin n’est toujours pas passée et cette vision n’a fait que l’aggraver.Ma mère se penche légèrement pour rincer quelque chose et j’en profite pour venir coller ma queue dure à souhait contre son cul cambré. - Bonjour ma petite maman, toujours bien habillé à ce que je vois. J’ai décidé d’être direct pour battre le fer tant qu’il est encore tiède. Je n’ai qu’une crainte c’est qu’elle me dise que nous avions fait une bêtise … Elle sursaute légèrement puis me dit :- Bonjour mon chéri, toujours bien bandé à ce que je vois !Me voilà rassuré !- Tu dormais trop bien pour que je te réveille et puis je comptais te laisser reprendre des forces …- Tu as tout à fait raison d’ailleurs il me faut un bon petit déj pour bien commencer la journée ! Je me recule légèrement et lui tire son string vers le bas. Je m’accroupis devant elle pour me retrouver en fasse de sa petite chatte toute lisse.Elle semble reluire de plaisir. Je profite de cette vue pour m’imprégner de son odeur. - Je vois que tu te décides à prendre les devants, me dit elleJe me jette au plus profond de son intimité et je lui dévore ses petites lèvres ;- Humm, vas-y mon chéri bouffe la chatte de maman Je m’applique à lui lécher chaque millimètre carré de sa grotte d’amour. A la vue de la mouille qu’elle produit cela à l’effet escompté. Je continue de plus belle quitte à avoir le visage trempé. Un vrai petit déjeuner lubrique et je me régale ! J’ai toujours adoré donner du plaisir à mes partenaires. Savoir que l’on est capable de leur procurer, si la chose est bien faite, des ondes de plaisir rien qu’avec la langue me rend dingue. Et pour ne rien gâcher il faut dire que ma mère à un gout exquis - Oh oui mon salop, va bien chercher le jus de ta pute de maman. Je sens que je viens continue ! Haaaa oui je jouis !!!!!Elle défaille complétement et j’avale la mouille que produit son orgasme. Je me relève et la retourne face à moi. Elle semble toute groggie et elle reprend petit à petit ses esprits. Elle est maintenant coincée entre mon corps et l’évier. Je fais sortir ses seins de sa nuisette et lui mordille les bouts qui sont devenues durs sous l’effet de mon « petit déjeuner ».Je la regarde et lui dit :- Et toi tu as bien petit déjeuné ce matin ? Elle sourit avec son air de petite catin que je commence à voir de plus en plus en rajoutant :- Oui, mais il me manquait quelque chose… Elle baisse mon short et s’accroupit devant moi comme devant un hôtel de la foi. Elle se jette sur ma queue et la dévore avec application. Je ne lui laisse pas le temps de continuer et je veux voir si ses progrès d’hier sont toujours d’actualité. Tout en lui agrippant les cheveux et en m’enfonçant violemment dans sa gorge je rajoute: - Tu as raison il te faut un bon petit-déjeuner aussi, un petit-déjeuner de salope.Je pense que je commencerais chaque matin par ça maintenant c’est tellement agréable de commencer la journée au fond de ta bouche.Et puis comme tu l’as si bien dit hier soir maintenant que je sais de quoi tu es capable je vais en profiter. Je lui lime la bouche en appréciant de voir que son nez se retrouve de plus en plus souvent contre mon pubis, y a pas à dire elle s’améliore vite ma petite maman. Je finis par lui décharger sa quantité de sperme du matin et elle semble satisfaite de cet extra. Elle se rhabille et j’en profite pour l’embrasser. Nos langues se mélangent entre salive et reste de mon liquide orgasmique. Aucun de nous deux semble gêné. Je me rends compte que, malgré l’accélération qu’a pris notre rapprochement nous ne nous sommes que très peu embrassé. Elle semble aussi satisfaite que moi de ce roulage de pelle dans les règles de l’art.Me voilà donc bien réveillé ! Je petit déjeune quelque chose de plus consistant pendant que ma mère se prépare pour aller faire quelques courses.Elle me prévient qu’elle reviendra en fin de matinée et que je peux en profiter pour faire ce qu’il me plaira. Je la laisse s’éloigner sans oublier de profiter de la vue que m’offrent ses fesses bien moulées dans sa petite robe du jour. Assit au milieu de la cuisine, je profite du calme et de mon café. Décidément ces vacances risques d’être trop courtes…
