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Les Vices De Celeste

Chapitre 1

Trash
Les crocs de Céleste 1/2
(Par Céleste : celesteceleste@hotmail.fr)

1. LA PROPOSITION
Alice consulta sa montre. L’heure était venue, et elle attendait sur le quai de la station Odéon du métro parisien. Ce mois d’avril était frais mais la jeune femme s’était habillée plutôt légèrement. Une fine veste, un chemisier blanc, une sombre jupe courte sur des collants opaques, et enfin une paire de bottines cirées. Son appartement, où elle retournerait bientôt, se trouvait tout près de la station. La soirée s’annonçait… très chaude. Ses vêtements, sa forte poitrine et ses grands yeux bruns sous la frange de ses cheveux attiraient les regards. Elle le savait, elle était une fille mignonne. Naturellement, plusieurs inconnus lui adressèrent un sourire tandis qu’elle patientait.
Elle avait rencontré Céleste le weekend précédent dans une boite de nuit. Son style gothique volontairement exagéré l’avaient d’abord intriguée. Se sentant observée, Céleste était venue à la rencontre d’Alice, deux verres d’alcool à la main. Elles avaient conversé toute la soirée, et Céleste avait ouvertement dragué Alice. La goth avait montré ses piercings et le sujet des fantasmes sexuels était naturellement entré dans la conversation. L’affinité entre elles fut immédiate. L’alcool aidant, elles se firent des confidences sur leurs penchants coquins les plus bizarres et inavouables. Elles abordèrent jusqu’aux thèmes du la torture des seins et du cannibalisme.Sous le charme, Alice accepta la proposition insolite de celle qui lui était encore inconnue quelques heures auparavant. Elle prit donc note de l’email de celle qu’elle prenait pour une nouvelle amie.
Les portes de la voiture de métro s’ouvrirent. Parmi le flot de voyageurs qui en sortit se trouvait Céleste. Plusieurs personnes la dévisageaient, tandis que d’autre s’écartaient craintivement sur son passage. Céleste était grande et élancé, brune aux longs cheveux lisses et brillants. Elle n’était ni belle ni laide, simplement les traits froids et une large bouche. Ce qui frappait les gens n’étaient pas tant ses vêtements de cuir, pantalon moulant et veste. Non, c’était ses yeux et son sourire qui choquaient. Pour l’occasion, elle avait en effet adopté le look « vampire », accessoires à l’appui. Ses yeux couverts de lentilles spéciales étaient tout blancs, ne laissant voir qu’un tout petit point noir, l’iris, à la surface du globe oculaire ainsi rendu effrayant. Son sourire laissait apparaitre deux menaçantes canines effilées, parfaites prothèses dentaires sur mesure.Elles échangèrent deux bises. Alice fut gênée de s’afficher en public avec ce type de fille, mais pour réaliser son fantasme la gothique serait idéale.
— J’habite juste à coté. Tu verras on y sera dans deux minutes, dit Alice.— Tant mieux… Au fait, tu es certaine de vouloir le faire ? lança Céleste lorgnant déjà sur les formes généreuse d’Alice. Tes seins font prendre cher ce soir… et je n’ai rien avalé de la journée.— Oui ! Ne t’en fais pas, j’en ai très envie. Pour moi, c’est ce soir ou jamais...Comme deux vieilles amies, elles s’engagèrent vers la sortie.

2. LE CONSENTEMENT
Dans le coquet petit appartement la lumière était tamisée, les volets clos. De discrètes enceintes diffusaient un morceau d’Amy Winehouse. Les deux jeunes femmes étaient assises sur le canapé. Leurs bustes étaient orientés l’un vers l’autre. La poitrine opulente d’Alice rendait celle de l’étrange gothique ridicule en comparaison. Dans leurs mains se trouvaient des verres d’un fort et réputé alcool.Alice prit l’initiative :
— Tes seins sont… petits, mais tu es jolie comme çà. Un peu terrifiante c’est vrai, mais tu m’avais prévenu l’autre fois pour ton prochain « look ».— Les tiens sont bien mieux que les miens, et c’est pour cela que les filles comme moi font mal aux filles comme toi.A ces mots, Alice rougit. Elle ne rougissait pas par gène, mais par désir. Enfin son extrême fantasme allait se réaliser. Enfin ce soir elle serait maltraitée. Enfin ce soir elle se ferait abimer les seins par une autre fille…Céleste posa ses mains sur la poitrine face à elle. Ses longs ongles, pointus et vernis d’un bleu sombre, venaient parfaire l’allure vampirique. Le contact des mains tièdes accélérèrent les battements du cœur d’Alice. Elle aurait aimé ne pas attendre davantage, que la vilaine fille lui écrase les seins, qu’elle la batte violemment et la morde partout avec ses crocs.Il était impossible de ne pas remarquer le trouble qui habitait Alice. Fidèle à son habituelle attitude dominatrice, Céleste resta de marbre. Son regard inhumain s’abaissa des yeux aux lèvres, des lèvres au torse… Elle esquissa un sourire carnassier, prometteur de douloureuses morsures.L’alcool montait envahissait rapidement le corps et les sens d’Alice. Les yeux humides d’émotion, elle réclama :— Je ne veux pas attendre, fais-moi mal s’il te plait ! Ma poitrine est insolente face à la tienne, il faut me punir. Allez, je t’en prie!Céleste approcha son visage. D’un coup de langue rapide, elle lécha les lèvres de sa proie de la soirée.— Quand j’aurais commencé, plus moyen de revenir en arrière… Tu en as bien conscience ?— Oui, oui! Bon, il faut que je me saoule un peu avant, tout de même. Annonça Alice, joignant le geste à la parole.Le contenu de quelques verres fila entre ses lèvres.— Voilà, maintenant s’il te plait fais-le ! Juste une chose… Alice déglutit et baissa les yeux avant de reprendre. Eut… c’est juste qu’il faut que je puisse aller travailler lundi… Je ne dois pas trop saigner.L’autre femme acquiesça, le sourire mauvais…Sur ce consentement, le jeu pouvait commencer. Les mains se serrèrent sur la poitrine.

3. COMPRESSIONS
La pression des mains sur les seins grandit rapidement. Sous cette impulsion, Alice serra les genoux, lesquels s’entrechoquèrent. De nombreux plis et replis apparurent entre les doigts sur le chemisier. La victime laissa échapper un gloussement. Les ongles pointus piquèrent malgré le vêtement. La poitrine comprimée devint vite douloureuse. Les mains modifièrent quelque chose à la pression : une poussée. Cela força la cage thoracique à se tasser. De l’air s’échappa des poumons. Le cuir du canapé crissa tandis que le dos d’Alice s’imprima dans sa surface.— Petite conne, tu vas regretter d’être si mignonne !!Céleste relâcha légèrement la pression pour laisser à l’autre le temps de reprendre son souffle. Alice, ferma les yeux par délectation : son sexe mouillait dans les sous-vêtements.— Si t’aimes ça, attends de voir la reste… dit la gothique, affichant un air diabolique.
Brusquement, Céleste raffermit son emprise sur les seins et poussa fort sur les cotes. Alice gloussa à nouveau, et beaucoup d’air s’échappa d’une seule traite. Céleste se leva en maintenant sa prise, puis elle tira les mamelles violemment en avant. Le dos d’Alice se décolla du canapé, elle se retrouva fortement penchée et en équilibre précaire. Céleste fléchit les jambes, inclina le buste et poussa avec vigueur sur la poitrine de plus en plus douloureuse. Alice s’encastra à nouveau dans le dossier de cuir. Malgré que le corps et le canapé ne puissent aller plus loin, elle tendit les bras pour donner un maximum de force à son effort.Comme désorientée, Alice cligna plusieurs fois des paupières en fixant le plafond. Puis la pression s’inversa, elle bascula en avant alors que la secousse déboutonna deux boutons de son chemisier. L’opération fut répétée plusieurs fois. Céleste tirait avec enthousiasme, comme si elle pouvait arracher les seins du corps rien qu’à la force de ses poignets.— Ça te plairait que je les arrache ! Aaah, ragea-t-elle, si c’était possible je le ferais. Et tu les boufferais toi-même j’en suis sure ! La séduisante jeune femme adorait ce qui se passait. La brutalité des mots et des gestes l’excitaient terriblement.Elle avait rêvé tant de fois d’une telle scène, ici même dans cet appartement. Elle avait mal à la poitrine et le souffle court, mais c’était jouissif de sentir ses gros seins si maltraités. Chaque jour des dizaines d’hommes désiraient ce buste rebondi aux fruits bien ronds. Mais en cet instant, cette partie de son corps se réduisait à un outil de sa propre douleur, de sa soumission à une garce laide. Et la garce en question pouvait en disposer comme bon lui semblait, le plus horriblement étant le mieux.
Les muscles des bras fatigués par l’effort, Céleste abandonna son entreprise et se redressa. Le chemisier de l’infortunée devant elle était pour moitié déboutonné. Il laissait apercevoir deux seins rougis, bleuis par endroits et marqués d’empreinte de doigts.La femme dominante prit la parole.— Alors t’aimes cela quand je te cogne petite pimbêche, hein?!?La réponse d’Alice lui fut pénible à sortir, l’air lui manquait et ses seins produisaient une douleur pulsante, rythmée par le cœur.— O… Oui… j’adore…— Te réjouis pas trop, j’suis pas là pour ça ce soir. Hein ?Les mains aux ongles bleus empoignèrent vigoureusement le menton d’Alice. Les petits Iris inhumains sur vaste fond blanc, s’enfoncèrent dans les yeux verts mi-clos d’Alice.— Je suis ici pourquoi ??? Allez ! Je t’écoute? Réponds, insista-t-elle.Alice sentit une délicieuse vague de chaleur se répandant dans tout son corps depuis le sexe. Elle balbutia, l’haleine chargée d’alcool :— Tu es là… pour… manger… mes seins…— Oui, c’est ça ! J’suis là pour te bouffer les seins…
La diabolique lâcha le beau visage, celui-ci tomba mollement vers l’avant.— Eh !!! Ne t’endors pas salope de masochiste ! gronda-t-elle.Pour redresser la tète elle tira sur les cheveux soyeux à l’aide de sa main droite. Puis sans avertissement, elle fit un geste vertical fulgurant de sa main gauche. Elle griffa ainsi le visage de la propriétaire des lieux, du front au menton. Alice ferma les yeux juste à temps. Cinq fines lignes parallèles et rouges apparurent sur le visage.

4. L’AMOUR DU MAL
Céleste fit agenouiller Alice devant elle, tout proche de la table basse du salon sur laquelle se trouvait un pot de fleur. Ensuite elle se dirigea vers le porte manteau. Elle sortit d’une poche de sa veste une paire de menotte, qu’elle se hâta de mettre aux poignets de son souffre-douleur. Après s’être relevée, elle respira profondément, et s’exclama :— Ça sent le sexe … Tu as mouillé tes collants sale trainée ! Regarde !!Alice baissa les yeux. Elle constata que jusqu’à mi hauteur de l’intérieur de ses cuisse, les secrétions abondantes de son sexe obscurcissaient le collant. Sous l’excitation de cette vision, des petites convulsions parcoururent les parois internes de son vagin.C’est alors que Céleste prit un recul et lança sa jambe en direction de sa victime. Le pied s’abattit sur la poitrine avec un son mou. Alice eut un grognement étouffé et son corps recula sous l’impact. Elle bascula et se heurta au mur de la pièce.Alice se sentit comme assommée par le coup, mais la douleur en plein dans les seins et dans le torse la maintenant bien consciente. Il lui fallut un moment avant d’entreprendre de se remettre en position. La tâche était difficile à cause ses mains menottées dans le dos.A peine en place, Céleste frappa de nouveau, au même endroit. Alice lâcha un cri aigu, elle fut de nouveau projetée contre le mur. La douleur se propagea à son dos, sa nuque et ses bras. Celle-ci était forte, si forte qu’elle éclata en sanglots.— La ferme, pauvre conne! Les voisins risquent de t’entendre ! Menaça Céleste en s’élançant pour lui donner un coup de pied de plus, mais dans le ventre.
A vrai dire Alice connaissait et aimait la douleur. Elle s’en infligeait régulièrement, à petites doses. Profitant de moment d’intimités, elle avait coutume de se pincer fort les tétons, ou se mordait le haut des bras. Un autre de ses jeux masochistes consistait à enfonçait en elle un gode trop long pour tenir entier dans son sexe. L’idée était de se remplir jusqu’à la limite, jusqu’à en avoir les larmes aux yeux. Mais cette douleur là était tellement plus forte, plus large… Mais cette douleur-ci n’était pas sous contrôle. Cela lui donnait une tout autre dimension.
Les larmes d’Alice la piquaient lorsqu’elles entraient en contact avec les griffures sur son visage. Elle ravala ses pleurs; affichant une moue pitoyable. Ses lèvres étaient pincées et le front plissé par l‘épreuve. Pourtant au cœur de son mental, c’était la joie. D’ailleurs son sexe mouillait sans discontinuer, et son anus se contractait par secousses : signes ordinaires de l’approche d’un puissant orgasme.Céleste frappa encore du pied le petit ventre. Le pied s’enfonça dans le ventre. Cette fois la décharge de peine fut proche de l‘insupportable. Les coups étaient sans ménagement, forts… bien trop forts. Le plaisir fuyait. La soumise menottée recevait là un signal d’alerte de tout son organisme. Elle supplia :— Cela… cela suffit Céleste…se leva avec une grande peine. Elle toussa et de la bave apparut aux coins de ses lèvres. Puis elle reprit :— Baises-moi, oui sautes-moi comme une chienne… voilà ce que je veux maintenant.
Face à elle, la femme à la dentition et aux yeux de monstre la regardait fixement. Elle retenait son envie de la broyer sous ses coups de pieds et de talons. Affaiblie et menottée, Alice eut un bref élan de peur. Elle réalisait brutalement le danger de la situation : l’autre pouvait choisir de ne pas s’arrêter. La situation pouvait virer au drame: elle risquait véritablement de se faire briser les os, ou d’être saignée à blanc par les crocs acérés.

5. LE CHOIX
Chacune reprit sa respiration, puis le semblant de vampiresse s’avança vers Alice, craintive. Cette dernière recula, mais se retrouva bloquée entre le mur, le canapé et la table basse. Céleste saisit sa prisonnière par les hanches. Les deux visages se retrouvèrent tout proches. Ensuite, tel un animal Céleste lécha par coups secs la bave aux bords des lèvres d’Alice.Le contact doux et chaud de la langue produisit l’effet d’un affectueux câlin. Cela apaisait la tension ambiante. Alice, rassurée, eut envie d’un baiser langoureux avec sa tortionnaire. Elle tenta de voler ce baiser, mais l’autre se déroba d’un pas en arrière.
De long regards s’échangèrent. Ensuite Céleste recula davantage, se plaça bien droite et face à sa camarade d’un soir. Elle inclina la tète en derrière et leva une main jusque devant son propre visage. Ses ongles paraissaient plus longs et crochus qu’avant. Puis elle entrouvrit la bouche. Alice était médusée par le spectacle. Que préparait Céleste? Elle préparait bien quelque chose, quelque chose d’inattendu.Trois longs doigts de la gothique s’engouffrèrent dans sa bouche. Avec le faible éclairage et le déguisement de Céleste, la scène paraissait surréaliste.
L’espace d’un court instant Alice imagina que les rôles soient inversés. Elle pourrait explorer l’intérieur de cette femme à l’apparence infernale. Pouvoir s’enfoncer en elle, tout au fond. Ce serait si jouissif. Lui rendre la monnaie des coups reçus, mais dedans… Sa langue; ses doigts, ou des objets quelconques… fouiller profondément dans ce corps de perverse et lui arracher des orgasmes sous la torture...
La réalité reprit soudain le dessus, c’est à dire Céleste en train d’enfoncer sa main dans sa propre bouche. Le spectacle offert était divinement sexy dans le son saccadé de la musique ambiante. Elle songea à lever sa jupe, baisser sa culotte et ses collants pour se doigter, mais les menottes retinrent cet élan.Céleste plaqua les doigts dans sa bouche contre sa langue et sa mâchoire inférieure. D’une pression ferme, elle abaissa davantage sa mâchoire. Sans bruit l’écartement de la bouche s’agrandit. La bouche devenait un trou ovale béant, dont la dimension était grotesque en proportion d’un visage humain. De viles plissures se dessinèrent depuis les bords du nez jusqu’au bas des joues. Le faciès se déformait, enlaidissait. Après quelques ajustements de mâchoire, Céleste sortit les doigts humides de sa bouche. Enfin elle redressa la tête.Certes les vampires n’existent pas, mais Céleste était passée maitresse dans l’art de leur ressembler. Transfigurée, sa gueule immense présentait ses canines affutées. Son visage grimaçant était déformé par l’allongement et ses yeux pourvus uniquement d’iris semblaient luire d’un éclat maléfique. L’effet était édifiant, digne d’un effet spécial de cinéma. La langue s’agita plusieurs fois, exhibant un piercing réfléchissant la faible source de lumière. La transformation n’était pas tout à fait achevée. Le monstre empoigna sa langue et tira dessus. La gorge émit des sons caverneux, proche de ceux annonçant un vomissement. Finalement la langue tâtonna hors du palais, et se laissa pendre sur le menton.Alice éprouva un trouble érotique sans précédent, un désir sexuel incomparable. Elle fut totalement fascinée par la beauté carnivore intrinsèquement contenue dans cette gueule défigurée. L’ivresse du désir lui ôta toute douleur et doutes. Elle supplia :— Fais-moi mal ! Mords-moi jusqu’au sang, manges-moi !!!
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