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Liaison interdite

Chapitre 5

Inceste
Il est 10H, Tristan se réveille. Comme la porte est entre-ouverte, il entend que les filles déjeunent dans le salon. Elles discutent et, de son ouïe fine, comprend parfaitement ce qu’elles disent. Elles parlent de leurs ébats nocturnes, commentent ce qu’elles voient à la télévision puis la discussion prend une autre tournure :
S- Méli Je peux te confier quelque chose ? M- Oui, je t’écoute. S- (Elle marque un court silence) Tu sais hier soir… Ton père m’a vraiment troublée… M- C…Comment ça ? S-… Je t’avais déjà dit que je le trouvais craquant… M- Oui… et ? S- Quand on fumait une cigarette sur la terrasse, il a dit qu’il me trouvait ravissante, ses yeux ne mentaient pas…. Ce n’est pas grand-chose mais ça m’a électrisé, mon cœur battait la chamade, comme si toute ma vie j’attendais qu’il montre son intérêt pour moi…
Tristan, les yeux écarquillés, ne croyait pas à ce qu’il entendait. Il écouta d’avantage :
M- Ce que tu dis me trouble aussi… Avant de te donner mon avis, j’ai moi aussi une confidence à te faire…
Tristan hurla en lui « Nooon ne dit rien !! » :
M- Comment te dire… Tu promets de ne pas me juger, enfin de ne pas nous juger ? S- Mais non, tu le sais tu peux tout me dire… M- Tu te rappelles, je t’avais dit que parfois… J’avais des pensées étranges en me masturbant… Qu’il m’arrivait de penser à mon père… S- Oui, je me souviens… M- Et bien depuis quelques jours on est très proche… Jeudi, comme je voyais que je le troublais grâce à mon décolleté, ça m’excitait, quand il est allé prendre sa douche je me suis masturbée… Dans la salle de bain… En le regardant par le miroir, tu sais celui que j’utilise pour m’épiler. S- Oui je vois… Et ensuite il s’est passé quoi ? M- Ensuite, c’est un peu plus déjanté… S- … C’est-à-dire ? M- Le lendemain soir, j’ai fait exprès de mettre un pyjama décolleté pour lui plaire. Quand on était sur le canapé, je l’ai incité à me toucher les seins puis j’ai commencé à le sucer…
S- Wao, j’avoue que c’est pas commun… qu’est-ce qu’il s’est passé ensuite ? M- Il a commencé à me toucher, me doigter, le pire c’est que j’adorais ça, puis après… On a fait un 69 où on est allé jusqu’au bout… S- Non, tu me fais marcher là. M-Non, non je t’assure… S- Je savais que tu aimais ton père mais pas à ce point… Mais ça va toi ? Enfin tu te sens comment ? C’est de l’inceste tu sais. M- Oui je sais mais bizarrement j’en ai tout le temps envie et je me sens bien… surtout depuis que le lendemain on s’est mis d’accord… Juste avant que t’arrives. S- Juste avant que j’arrive ?... Vous avez fait des cochonneries ? M- (rit timidement, elle semble plus à l’aise) On va dire ça, on discutait dans la cuisine de ce qu’on avait fait la veille et de ce qu’on ressentait, il ne voulait plus refaire de choses pareil car ce n’était pas normal mais d’un autre côté ça l’excitait. Je lui ai avoué que c’était pareil pour moi, sauf que je mourrais d’envie de recommencer. Il est alors venu vers moi… On s’est embrassé… S- Embrassé ! M- Oui… j’ai ressenti quelque chose de très fort, je le voulais et on a commencé à se toucher puis à faire l’amour… S- Mais à aucun moment ça ne t’as dégoûté ?M- Non, au contraire, je le chevauchais… et j’adorais ça…. D’ailleurs, rien qu’en y pensant ça me donne envie.
Tristan culpabilise à mort, se voit déjà condamné et imagine la réponse horrifiée de Sabrina :
S- Je dois t’avouer que je ne sais pas quoi te dire… je suis habituée aux choses étrange mais là tu me laisse bouche bée. M- Je comprends mais, s’il te plait, ne dit absolument rien à personne. Non seulement, ça le condamnerait, il serait pris pour un criminel et je ne pourrais plus jamais le revoir… S-(Elle l’interrompt) Hé ho, tu es ma meilleure amie je ne dirai rien, d’ailleurs je n’ai rien entendu.
Après un court silence elle ajoute :
S- Si ça peut te rassurer, bizarrement ça ne me révolte pas. Ça fait un moment que tu me parles de ce désire qui est, je te l’accorde, vraiment pas commun. Mais de ce que tu m’as dit, c’est toi qui l’as cherché et vous semblez être sur la même longueur d’onde. Si tu es heureuse comme ça alors ne changez rien.
Tristan n’en revenait pas, de son côté il retrouve le sourire et est plus rassuré que jamais. Il entend Mélissa la remercier de son indulgence et de sa compréhension accompagné de bruit de baisés, puis Sabrina continue :
S- (embarrassée à son tour) Mais alors… tu ne dois pas apprécier ce que je te disais au début… M- (d’un air rassurant) Tu sais, je suis consciente que je l’aurais pour toute la vie alors s’il doit se passer quelque chose entre vous, ce n’est pas moi qui t’en empêcheras.
Sabrina ne répondit pas mais Tristan imaginait son sourire. Mélissa poursuit :
M- Par-contre, si lui aussi te trouve à son goût, il ne fera pas le premier pas. Tel que je le connais il aura peur de te manquer de respect et peur de me causer du tort. S- Oui j’imagine… Ça prouve que c’est quelqu’un de bien. M- Vient on va dans ma chambre pour discuter de ça, vu l’heure qu’il est, il va se lever d’une minute à l’autre.
Tristan regarde l’heure, il est 11h « Elle a raison, il serait temps que je sorte du lit ». Avant d’en sortir, il se dit qu’il a vraiment de la chance que Sabrina soit si ouverte d’esprit. De plus il est surpris de savoir qu’il la trouble et que, auparavant, sa fille se masturbait en pensant à lui. D’un autre côté, il se dit que ça explique son manque de pudeur lorsqu’il prenait sa douche. Peut-être qu’elle avait déjà essayé de le lui faire comprendre mais il n’avait rien vu… Sur ces pensées, il se lève et fait comme s’il n’avait rien entendu. En regardant la chambre de sa fille, il se demandait quel plan elles manigançaient.Il se désaltère d’un jus de fruit bien frais puis, étant d’humeur active il va prendre une rapide douche et s’habille. Les filles restèrent un moment dans la chambre et Tristan se demandait si elles se contentaient de discuter. En ayant assez entendu et vue en peu de temps, il ne s’attarde pas à sa nature curieuse et va faire le ménage. Il va ensuite sur la terrasse fumer une cigarette et apprécier le soleil étonnement chaud pour un début d’automne. Arrivant presque à la fin de sa cigarette, sa fille le rejoint :
    M- Ah tu es là (elle l’embrasse sur la joue) t’as dormi tard pour une fois !    T- Oui la cuite d’hier soir m’a assommé et toi, pas de gueule de bois ?    M- Bizarrement non, on fait quelque chose cet aprèm ?    T- On verra oui (sur un faux air innocent) mais Sabrina dort encore ?    M- Non, elle se prépare car elle avait oublié qu’elle devait se rendre à un repas de famille. Tiens, la voilà qui arrive.
Sabrina dit bonjour à Tristan et s’excuse de devoir partir si précipitamment en précisant qu’elle a oublié son repas de famille. Elle leur dit au revoir et part. Mélissa va fermer la porte derrière elle, son père retourne dans la cuisine boire un grand verre d’eau fraîche car sa légère gueule de bois l’assèche, le genre de gueule bois qui vous donne envie de glander toute la journée. De ce fait, son humeur active s’estompe et il s’installe confortablement dans le canapé avec son verre d’eau. Sa fille le rejoint rapidement, elle porte son fameux peignoir rouge foncé et quand elle arrive devant lui elle le détache, Tristan devine ses intentions :
T- Tu ne perds pas le nord toi. M- (S’installe à cheval sur ses jambes, prend une voix tremblante d’excitation) Depuis hier soir j’en ai envie.
Elle l’embrasse langoureusement en se frottant sensiblement à lui. Ils prennent leur temps, s’embrassent délicieusement, Tristan lui caresse les cheveux, le dos, les bras, restent parfois les yeux mi-clos front contre front. Comme son peignoir est entrouvert il remarque :
T- Tiens tu ne portes pas que ton peignoir cette fois. M- Et oui, je n’allais pas dormir toute nue avec Sabrina.
Tristan repense à ce qu’il a vu cette nuit et se dit « si tu savais petite cachottière ». Il ose répondre :
T- Pourquoi pas. M- (Elle semble douter s’il sait ce qu’elle fait avec Sabrina) A ce propos, tu la trouve comment ? T- (Voyant où elle voulait en venir) Elle est charmante et toi tu la trouve comment ? M- Mon avis n’est pas important, il parait qu’hier tu la trouvais « ravissante ».
Il entre dans son jeu comme s’il n’avait rien entendu ce matin pour en savoir plus :
T- Ah parce que le mien est important ? Sinon, oui elle était ravissante hier soir. M- Elle en tout cas, elle t’aime bien… T- Ah bon ?    M- Oui, je ne dois pas te le dire mais elle te trouve « craquant » depuis un bout de temps et quand tu lui as dit qu’elle était ravissante ça lui a beaucoup plu. T- J’ai vu ça, pourquoi tu me le dis alors petite cachottière ? M- Je ne sais pas, à toi de voir. T- De toute façon, même si elle me plaisait, par rapport à toi et notre différence d’âge, je ne ferais rien avec elle.    M- Dommage, elle en meurt d’envie et puis ça ne me dérangerait pas qu’elle couche avec toi. De toute façon, ta fille ne quittera jamais son papa chéri (sur ces mots elle l’embrasse et susurre). En plus, son corps est plutôt pas mal.    T- (il crachat le morceau) C’est vrai et j’ai pu le constater…    M- (Etonnée) Ah bon comment ?    T- Cette nuit (marque un temps d’arrêt pour la laisser se questionner). Mon œil indiscret vous a vu vous amuser dans ta chambre, le trou de la serrure m’a fait découvrir une autre facette de ma fille (il l’embrasse en touchant ses fesses).    M- Tu nous espionnais mmhhh… Quel effet ça t’as fait ?    T- Ça m’a beaucoup excité, vous étiez magnifiques toute les deux et je confirme que son corps est plutôt pas mal…    M- (Elle l’embrasse et reprend son air assoiffé de sexe) Ohh oui c’était magnifique, comme tu dis…. Peut-être qu’un jour on se la partagera…    T- Mmmmhhh oui ça serait divin, mais je vais commencer par te dévorer maintenant.
Ils s’embrassèrent à pleine bouche. Mélissa bouillonne, se frotte à lui et Tristan plaque son bassin contre elle comme s’il la pénétrait. Elle enlève son peignoir, son père lui enlève son débardeur blanc, sa fille déboutonne sa chemise et l’aide à l’enlever. Il attrape ses fesses renfermant un petit string noir, les écartes, les malaxes et dévore la poitrine que sa fille lui offre. En même temps, ses doigts stimulent ses lèvres fermées par son string véritablement trempé. Mélissa sert ses seins l’un contre l’autre pour qu’il puisse encore mieux les pomper et ne lâche pas ses fesses. Il les suce, les tète en essayant d’en mettre un maximum dans sa bouche. Tous deux sont pris d’une frénésie animale. Il lui écarte son string de la main gauche et de l’autre masturbe son minou. Son index glisse dans son vagin dilaté, le ressort, le remplace par deux autres doigts, puis enfonce dans la foulé son index dans son anus. Mélissa agrémente ses gémissements et sa respiration par des « Ouii, continue » susurrés avec délice, elle est tellement collée à lui qu’ils ne semblent faire plu qu’un. Tristan claque sa fesse gauche, l’écarte d’avantage en la reprenant fermement, son majeur sort de son vagin pour rejoindre son index puis son annulaire plonge à son tour dans sa chatte. Elle a maintenant deux doigts dans le cul et deux autres dans le vagin, il a doigte profondément. Elle pousse un profond « mmmmmmhhhhh », l’embrasse sauvagement et ajoute :
M- Prend moi (reprend sa respiration) prend moi sauvagement !
Elle ne lui laisse pas le temps de répondre et l’embrasse avec autant de sauvagerie. Il la dégage de lui, lui hotte son string inondé et la positionne en levrette appuyée contre l’assise du canapé. Il enlève son pantalon, s’agenouille derrière elle sur le tapis et approche son sexe à l’entrée de son vagin. Pour patienter elle titille son clitoris. Les mains posées sur ses fesses, il la pénètre profondément, son vagin est beaucoup moins serré qu’hier, sa queue pourtant très gonflée entre comme dans du beurre. Ils poussent en cœur un spontané « mmmmmmmmmhhhhh ». Mélissa glisse ses mains entre l’assise et le dossier du canapé et se prépare à de violents coups de reins. Elle lui offre entièrement son cul en se cambrant. Tristan sors sa tige jusqu’à la base de son gland puis replonge aussitôt. Il fait quelques va et vient sur la même longueur en regardant son sexe entrer et sortir de sa fille en laissant échapper un « oooh ma chérie, c’est booon ». Se tenant à la taille de Mélissa Il accélère la cadence, en vient rapidement à un rythme soutenu puis saisie ses cheveux d’une main pour donner encore plus de puissance à cette baise. Ses boules claquent sa chatte, il adore ça ! Mélissa gémi à chaque percussion et peine à avaler sa salive. Entre deux gémissements, elle pousse un « ooohhh papa c’est booon, continue c’est trop bon !! ».
Cette phrase donna un sentiment de puissance à Tristan, ayant qu’une envie : la faire jouir comme elle n’a jamais joui et lui donner plusieurs orgasmes s’il le faut. Il s’enfonce alors au fond d’elle, la redresse, la coince entre lui et le canapé, une main sur ses seins et l’autre sur son clitoris. Il l’embrasse dans le coup, son parfum corporel l’envahi et le transporte. Il la cajole entre ses puissants bras, la masturbe et la pénètre en même temps et sent qu’elle jouit ! Ses puissants gémissements le font vibrer mais Tristan ne s’arrête pas pour autant. Il la libère de son entrave et reprend de puissants coups de reins. Agrippée au canapé, sa fille n’a pas l’air de vouloir que cela s’arrête non plus. Tristan est au stade parfait de l’excitation, le stade où l’on n’a pas envie que le plaisir diminue, ni disparaisse par la jouissance. Il s’arrête un instant pour serrer les jambes de sa fille, rendant plus étroit son vagin. Il la pénètre moins rapidement mais les sensations sont plus intenses. Après plusieurs va et vient commentés par les savoureux gémissements de Mélissa, il lui écarte grandement les fesses et, voyant son anus inondé de mouille ouvert par le plaisir et l’écartement, il eut une furieuse envie de la sodomiser :
T- (un peu essoufflé) mmmmhh ma chérie, j’ai envie de m’occuper de ton point faible. M- (D’un profond désir) Ohh oui mmhhhh, mais avant…
Elle ne termine pas sa phrase, elle se retire, se tourne face à lui :
M- (le regarde avec gourmandise)… Donne-la-moi.
Assise sur le tapis et appuyée contre le canapé, il approche sa queue de son visage. Mélissa la plaque le long de son bas ventre et commence à lui lécher les couilles, les prendre en bouche et les pomper en le regardant. Elle remonte le long de sa bite en exercent une pression avec sa langue. Arrivée au bout elle la plonge au fond de sa bouche, la suce avec passion, sert ses lèvres et sa main autour pour procurer un maximum de sensations, ouvre sa bouche en le branlant contre sa langue toujours en le regardant. Des filets de bave dégoulinent sur elle, elle le reprend en bouche, tourne sa lange autour comme Tristan aime, puis ferme les yeux en le suçant pour apprécier le goût de sa friandise agrémenté de somptueux « mmmmhhhh ». Tristan se demande comment il fait pour ne pas exploser dans sa bouche, il veut que ce moment dure une éternité. Mélissa hotte de sa bouche la friandise toute gluante d’une salive abondante, rouvre les yeux et un épais filet de bave la relie à cette queue. Elle la masturbe à côté de son visage et dit :
M- Cette nuit, quand Sabrina ma faite jouir et sucer ses doigts, j’avais envie que ta queue y soit à la place… pleine de mouille elle aussi.
Sur cet aveu torride, elle se retourne dans la même position que tout à l’heure, et ajoute :
M- Reprend-moi là où tu voulais mon papa chérie. Mais vas-y doucement, je l’ai jamais fait par là.
Elle lui tend son cul. Avant de la sodomiser, il lui écarte les fesses pour lui lécher l’anus. Il est aussi ouvert que tout à l’heure et plonge sa langue à l’intérieur. Sur ces coups de langues en profondeur elle glisse ses doigts dans sa fente. Il se redresse, approche sa queue gluante de son anus. Elle a un peu ramolli alors il la frotte dans sa raie sur la longueur puis referme ses fesses contre. Sous le pétrissage de son cul, la vision et la sensation de sa bite emprisonnée, elle redevient dure comme du bois. A son agréable surprise, Mélissa tien ses fesses écartées montrant à quel point elle la veut. Il pose le bout sur son anus et s’engage dans son cul. Ne voulant pas lui faire mal, il entre avec plus de précautions que dans son vagin car c’est très serré. Plus il avance, plus son gémissement devient fort. D’un coup sa queue est comme aspirée et s’y retrouve plus profondément. De légers râles se mêlent à la voix de sa fille, il l’enfonce encore un peu plus, puis entame de méticuleux va et viens. Il sent que Mélissa est partagée entre douleur et plaisir. Pour qu’elle se dilate et apprécie plus, il prend une de ses mains, la dirige vers son entre jambe et l’encourage à se masturber. Elle le fait et son plaisir augmente au galop, elle pousse en direction de son père pour s’empaler d’avantage, les mains de Tristan retrouvent ses hanches, puis il entame une cadence régulière. Mélissa recommence à accompagner ses gémissements de « mmmmmh » de ohhh ouiiiii » et d’un savoureux « ohhh continue !! ». Elle aime ça, et Tristan aussi, il lui lime le cul de plus en plus fort puis sors complètement sa queue, la replonge, la ressort et la replonge à nouveau. Cette sodomie fait revenir l’état sauvage de sa fille, il lui claque une fesse en la saisissant fermement, ressort sa queue rapidement laissant son anus ouvert aux dimensions de sa bite un cours instant. Il plonge dans son vagin trempé, la culbute franchement, ressort pour étaler sa mouille sur son endroit favori, puis replonge dans sa chatte. Une fois bien lubrifiée, il replonge sa queue entre les fesses de sa muse, ça glisse beaucoup mieux et Mélissa ne se prive pas de le constater :
M- Mmmmhhhhh, oooohhh comme ça c’est parfait !!
Tristan éprouve énormément de plaisir à faire toutes ces cochonneries et ne pensait pas qu’elle apprécierait autant la baise anale. Il s’aventure alors plus loin en enfonçant sa queue entièrement, au plus profond de ses entrailles. Mélissa pousse fortement en sa direction pour l’aider à s’enfoncer. Elle pousse un long gémissement qui se termine dans les aiguës, sa main retourne à son entrejambe et ses doigt caressent les testicules de son père. Il reprend les va et vient en variant les profondeurs, il la sodomise brutalement, énergiquement, s’enfonçant parfois entièrement dans ce gouffre sans fond. Méli se masturbe fougueusement, saisie parfois ses couilles, gémi, râle de plaisir, répète des « ouiii » de plus en plus fort étouffés dans un coussin qu’elle vient de saisir, au fur et à mesure que son ultime orgasme arrive. Tristan ne ralenti pas la cadence, la montée au septième ciel de sa fille lui donne envie de jouir aussi, la façon dont elle encra sa main dans l’assise du canapé lui fit office de signal. Tout en l’enculant, sa queue se gonfle, l’explosion est imminente. Il retire sa queue et se vide totalement sur elle. Un premier jet part loin au niveau de ses omoplates, d’autres se tracent entre ses fesses et le creux de ses reins, le reste coulera entre ses fesses, sur son anus. Il se renfonce en elle pour y laisser les dernières goûtes. Mélissa trempe ses doigts dans la flaque situées au creux de ses reins et les porte à sa bouche pour se délecter du liquide chaud et épais. Tristan se retire laissant tomber sa queue juteuse lourdement sur son fessier. Elle se retourne et embouche sa friandise comme tout à l’heure pour la nettoyer avec sa langue. Essoufflé, il s’assoit dans le canapé pour que ce soit plus confortable. Elle ne perd pas la main et le suce toujours avec autant de gourmandise, les yeux fermés de délice. Rassasiée, elle pose de doux baisés sur son sexe pendant que Tristan lui caresse les cheveux. Elle le regarde alors La tête posée sur sa cuisse droite d’une façon douce et apaisée, le soleil illumine ses cheveux presque blonds. Tristan apaisé lui aussi, contemple sa beauté, elle murmure :
M- C’est vraiment génial ce qu’il nous arrive. Même si je sais que ce n’est pas normal, je ne me suis jamais senti aussi bien.
Tristan pensait exactement la même chose, il lui sourit et répond :
T- Moi aussi, je ne pensais atteindre un bonheur aussi grand un jour. (Marque un temps de pose) Et je ne pensais pas que ma fille était aussi sauvage (avec un léger rire). M- (rit à son tour) Je crois que je viens de le découvrir aussi. T- Ça ne t’as pas fait trop mal ? M- Un peu au début, j’ai failli te dire d’arrêter mais quand tu as commencé à faire des allé retour c’était… Indescriptible, meilleur qu’avec les doigts. (Elle se pince les lèvres) Je sentais une chaleur tout à l’intérieur de moi et quand tu l’as enfoncé entièrement, je pensais que tu l’étais déjà, ça m’a rendu folle. (Prend une bouffé d’air comme pour avaler ce souvenir) bref, faudra qu’on recommence ! T- Avec très grand plaisir !
D’un sourire satisfait, elle se relève pour enfiler son peignoir et s’en va prendre une douche.Tristan voulu se rhabiller mais comme il se sentait poisseux après avoir autant transpiré, il décide de la rejoindre, il approche de la salle de bain avec hâte, cela fait trois jours qu’il rêve de ce moment. Il ferme la porte de la salle de bain et dit en ouvrant le rideau :
T- Pourrais-je vous rejoindre très chère ? M- Avec plaisir mon cher
Il entre dans la baignoire, ferme le rideau et n’arrive pas à cacher son contentement :
T- (Il la blotti contre lui en la prenant par la taille) Tu peux pas savoir le plaisir que ça me fait de me retrouver là avec toi.
Il lui prend le pommeau des mains et l’accroche au socle prévu pour en faire une douche. Le sourire jusqu’aux oreilles exprimant son sentiment réciproque, elle l’embrasse et Tristan lui fait un aveu :
T- Tu veux que je te dise, je t’ai vu petite coquine la dernière fois. M- (Exagère un faux air innocent) Quand Ça ? T- La fois où tu te faisais plaisir en me regardant sous la douche.M- Mmmmhh c’est pour ça qu’elle était toute dure alors. T- Oui, je n’en croyais pas mes yeux et quand tu as baissé ton jogging et « accidentellement » soulevé ton t-shirt, ça m’a rendu fou.M- Mmmmhhh (elle l’embrasse) ça m’excite le fait d’y repenser. (L’embrasse à nouveau) Il faut dire merci au miroir, sans lui on en serait peut-être pas là et sans lui, je ne t’aurais pas vu bander en me regardant le lendemain (L’embrasse encore avec un haussement de sourcil) T- J’étais sûr que tu m’avais vu, coquine. D’ailleurs tu me l’avais dit avant de me faire cette splendide fellation. Je remercie mille fois ce miroir.
Malgré l’acte sauvage qu’ils viennent d’avoir, Tristan sent une excitation monter et vu les baisers que lui donne sa fille, il sent la sienne aussi et poursuit :
T- (D’une voix suave pleine d’excitation) Quand je te voyais jeudi, j’avais très envie de t’inviter dans la douche et imaginais un tas de choses. M- (Avec la même excitation) Tu aurais dû le faire, qu’est-ce que tu imaginais ? T- J’avais envie de goûter à tes seins, à ton minou et je t’imaginais en train de me sucer. M- Mmmhhh je vais répondre à tes désires alors.
De sa bouche, elle descend lentement jusqu’à son sexe de nouveau dur comme du bois, embrasse son coup, son torse, son ventre, son bas ventre puis ses lèvres entourent son gland, sa langue lui chatouille le gland, et commence des va et vient délicieux, langoureux comme elle sait si bien le faire. Il l’encourage en posant une main sur sa tête et apprécie ce moment. Il ferme les yeux, lève la tête au plafond en souriant au plaisir de ce rêve qui vient de se réaliser et dit à voix haute :
T- Oooohhhh ma fille est géniale…M- (Répond en le masturbant doucement) C’est comme ça que l’imaginait ?T- Oui mais pas aussi bon…. M- (Sourit) Contente que ça te plaise (La replonge aussitôt dans sa bouche)
Le plaisir est tellement grand que Tristan doit s’adosser au mur. Elle le suce plus énergiquement, lèche sa queue dans toute la longueur, le branle en le suçant ou en appuyant ses lèvres à l’extrémité. Tristan prend sa main et la pause sur ses couilles pour qu’elle les malaxe en même temps. La douceur de ses caresses le fait grimper encore plus haut. Mélissa est vraiment douée, de temps à autre elle les lèche ou les pompes puis renfourne sa bite laissant échapper des « mmmhhh » pour que son père sache qu’elle aime ça. Au bout d’un moment Tristan voulu ajouter quelque chose à son rêve :
T- ooohh ma chérie, masturbe toi en même temps
Ni une ni deux, sa main qui palpait ses seins obéit au souhait de son père. Des gémissements étouffés d’une bouche pleine se font entendre de plus en plus fréquemment. Tristan active son bassin, baisant la bouche de sa fille, son souffle s’accélère, saisie sa bite pour la masturber dans sa bouche. Mélissa voit qu’il va bientôt gicler :
M- Oh oui papa ! (elle attrape ses seins, la bouche pendue à son gland) vient !!!
Elle ouvre grand la bouche en tendant sa langue, tournoyant vivement une main sur sa chatte et empoigne un de ses seins dans l’autre. Tristan tien sa tête en arrière, sent la jouissance monter à vive allure, se branle frénétiquement en tapant deux ou trois fois sa bite sur sa langue, les gémissements de sa fille raisonnent dans sa tête, il pousse des « ouiiiiiii » « ma chériiiiie ouiiiiii » de plus en plus fort, rouge de plaisir, c’est imminent, il vise le fond de sa bouche et joui ! Dès le premier jet expulsé, Mélissa s’impose pour gober son gland et finir le travail en branlant le reste de sa queue. Sous les grognements de son père, elle avale tout son jus, n’en perd pas une goutte, ouvre la bouche en le regardant, le branle contre sa langue. Elle a déjà tout avalé mais les dernières coulées de sperme se déversent sur sa langue. Elle les avale, plonge le membre juteux dans sa gorge et le suce pour qu’il termine de se déverser de la sorte. Quelques mouvements phalliques plus tard, elle pompe son gland donnant des spams à Tristan. A chaque pompage il se plie en avant et saisie la tête de sa fille pour qu’elle arrête car, sans lui dire, cela lui donne envie d’uriner.
Tristan pêne à reprendre ses esprits, reprend sa respiration. Mélissa se relève les jambes tremblotantes en caressant son membre, l’embrasse dans le coup et dit :
M- Alors ça t’as plu ? T- (La félicite du regard) Oui… c’était… Je ne trouve pas de mots pour exprimer à qu’elle point c’était bon…
Contente de lui avoir fait autant de bien, elle lui sourit en l’embrassant. Tristan se redresse et soucieux de son plaisir :
T- A mon tour de te faire jouir maintenant. M- (Pose sa main sur ses pectoraux pour le stopper dans son élan) C’est fait… Pendant que tu remplissais ma bouche j’ai eu un orgasme et… j’ai réussi à arroser ma main. T- Arroser ta main ?! Comment j’ai pu louper ça ! M- T’avais cas ouvrir les yeux, crétin ! T- (Sous un faux air sévère) Continue à être insolente et t’auras une fessée ! D’accord ? M- (Enroule ses bras autour de son coup en approchant sa bouche de la sienne) Mmmmhh une fessée ?
Tristan claque ses mains sur ses fesses et les empoignes. Mélissa fait un petit sursaut puis l’embrasse sensuellement. Ils s’embrassent à pleine bouche plongeant leurs langues profondément puis Tristan dit :
T- Si on veut profiter du soleil on devrait peut-être penser à autre chose. M- Oui t’as pas tort, je ne sais pas quelle heure il est mais on a passé beaucoup de temps à se faire plaisir. D’ailleurs… Je me suis vraiment régalée. T- (Verse du savon dans sa main) J’ai vu ça petite cochonne.
Ils ne résistèrent pas longtemps à se savonner mutuellement, à coller leur corps glissant ni à s’embrasser. Tristan la tourne contre lui, ses mains parcourent tout le corps de sa fille, il malaxe ses seins de ses doigts glissants, sent une érection arriver, ils sont de nouveau très excités. Il se penche à son oreille :
    T- Mmmhhh c’est infernal, j’ai encore envie de toi… M- Mmmmhhh moi aussi, j’ai envie que tu me prennes comme tout à l’heure, j’en peu plus… T- (Il arrête de la chauffer et s’efforce à reprendre son sérieux) Bon, on se réserve pour ce soir ! M- Oui sinon on sortira jamais.
Ils se rincent, se sèchent, Mélissa part dans sa chambre s’habiller et Tristan dans le salon retrouver ses vêtements de la dernière bataille. Regarde l’heure et dit d’une voix surprise :
T- Déjà !!! M- (depuis sa chambre) Quoi ?! T- Il est 14h30 passé ! M- (Arrive dans le salon en boutonnant son chemisier) On a passé autant de temps à faire des cochonneries !! T- Tu devrais le dire encore plus fort, les voisins n’ont pas entendu.
Mélissa rie de sa maladresse à la limite du fou rire et dit :
M- Au fait, on va où ? T- Je pensais aller au grand parc et on y prendra un sandwiche au kiosk. M- Bonne idée, ça fait longtemps qu’on n’y est pas allé !
Elle finit de se préparer en vitesse et sur un « C’est bon, je suis prête ! » Ils partent se balader.
Mélissa porte un jean clair délavé, un chemisier à petits carreaux rouge et noir, des bottines la mettant en valeur et est joliment maquillée. Dans l’ascenseur, Tristan la complimente en la trouvant très jolie. Sa fille le remercie en lui donnant un petit baisé sur la bouche. Ils grimpent dans la voiture et se dirigent vers le parc.
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