« Pourquoi tu me regardes comme ça ? » Avais-je demandé amusée. Maxime conduisait la voiture, nous étions sur l’autoroute et me jetait des regards plein de mystères le sourire aux lèvres. « Allez !! Dis moi !!— Je voulais te garder la surprise mais j’y arrive pas, je suis trop excité !! Bon, après notre sortie au sauna, nous avons rendez-vous dans un hôtel avec Antoine, le masseur coquin. » J’avoue que je ne m’y attendais pas. J’étais crevée et je n’avais pas vraiment envie de sortir de la maison aujourd’hui. J’avais cédé pour le sauna libertin en me disant que les bulles me feraient du bien. Maintenant je ne regrettais pas ma décision !! J’avais repéré Antoine sur le site libertin où nous nous étions inscrit, mais sans y vraiment penser à plus. Il proposait des massages coquins en profondeurs et des rapports tout en douceur. J’avais dit à Maxime que ça me plairait bien, que j’avais bien besoin d’un massage. Mais j’avais lancé ça en l’air, surtout pour voir sa réaction,. C’est vrai que je rêvais d’un bon massage et ce n’était pas le point fort de Maxime. Je venais donc d’apprendre que mon homme l’avais contacté en catimini et ils avaient ensemble convenu d’une rencontre ce jour même. A cette annonce, j’étais excitée et aussi un peu intimidée, j’aime avoir le contrôle et là je ne contrôlais plus rien. Mais j’avais une confiance aveugle en Maxime. Je décidais donc pour une fois de me laisser porter par ce courant qui m’emmènerait, j’en suis sure, vers des délices inexplorés. A notre arrivée au sauna, nous sommes directement entrés dans le jacuzzi, il n’y avait pas trop de monde. J’aime cette ambiance feutrée, tamisée, j’aime quand on se retrouve ici, certains couples font l’amour, d’autres regardent, d’autres encore se touchent, se mélangent, on entend des femmes jouir.Les bulles remontent le long du corps, glissent le long de ma fente, caressent mes seins. Je me sens bien, détendue, apaisée, déconnectée, installée sur les genoux de Maxime. Sa main a suivit le chemin des bulles, doucement, du bout des doigts il a caressé mon petit clitoris qui commençait déjà à s’impatienter. Hum quel délice de sentir sa douceur sur ma vulve et son sexe grandir et durcir sous mes fesses. Je me suis retournée face à lui et lui ai demandé de s’asseoir sur le bord. J’ai alors attrapé son sexe bandé du bout des lèvre, faisant tourner ma langue autour de son gland. J’aime le sucer, je pense prendre autant de plaisir que lui. Ma bouche est descendue lentement le long de son chibre en aplatissant ma langue en dessous, et je suis remontée au même rythme aspirant fort ce gland qui palpitait dans ma bouche. J’ai continué mes vas-et vient de plus en plus profondément en passant ma main sous des testicules pour glisser un doigt dans sa raie. Il était offert, à la vue de tous, et a poussé un gémissement de plaisir quand mon index a franchi la barrière de sa rondelle. Hummm, qu’il est beau mon homme quand il prend du plaisir !! Il m’a alors fait signe d’arrêter, il est redescendu dans l’eau et m’a embrassé fougueusement en me susurrant des je t’aime. « Viens Amandine, on sort de l’eau ! » Il m’a entraîné vers une pièce étroite où était disposée une table de massage, la porte pouvait se fermer à clé mais nous n’avons pas poussé le verrou. Il m’a fait m’asseoir sur la table et s’est mis à genoux la tête entre mes cuisses. De sa langue il lapait mon clitoris tendu, de ses doigts il entrepris de fouiller ma fente. Il me connaît bien mon amour, et il sait comment me faire mouiller et jouir. Maxime m’a allongé sur la table et est venu sur moi, j’étais ouverte, je n’attendais que ça, le sentir en moi profondément. Son sexe bien dur connaît le chemin, et c’est dans cette osmose que nos corps en chaleur se sont emboîtés dans un râle de plaisir. J’ai alors vu la porte s’ouvrir lentement et un couple est entré. Lui était grand et mince, elle, petite et ronde. Il se sont installés de part et d’autre de la table à la hauteur de mes seins, elle s’est penchée sur moi et m’a embrassé goulûment, j’aime embrasser les femmes, c’est tellement doux. Lui me caressait les seins, et tandis que Maxime me limait patiemment il attrapa un de ses gros seins à Elle et lui suça le téton, Elle se mit à gémir doucement. Lui avait la bite dressée et à portée de main. Quand j’ai commencé à le branler, il s’est approché plus près, si près qu’en sortant ma langue je pouvais effleurer son gland, j’ai commencé à le lécher. Je n’allais pas tenir longtemps en participant à un tel tableau. C’était torride, Elle avait glissée sa main sur mon sexe et caressait la bite de Maxime qui entrait et sortait de ma chatte, elle le branlait en me caressant le clito. De mon autre main je pénétrais alors sa vulve gluante et commençais à la doigter. J’étais comblée, j’avais une bite dans la bouche, une autre dans la chatte, une main caressait mon clito, une autre pinçait mes têtons, et mes mains s’affairaient d’un coté à branler cette queue que je suçais et de l’autre à limer cette petite chatte humide. Mon corps secoué par les coups de reins administrés par Maxime n’était que chaleur et plaisirs. Nos souffles et nos râles devaient s’entendre au-delà de cette petite pièce. Je me sentais comme une princesse dont on prend grand soin, j’étais ailleurs, et dans les vagues de plaisirs j’ai senti mon vagin se contracter et un frisson à parcouru mon corps. C’est en écoutant ma jouissance sans retenue que les deux hommes ont jouis en moi.Elle s’est alors penchée sur moi, et m’a roulé une tendre pelle mêlant nos langues au sperme de son homme. Puis ils se sont embrassés et ont quittés la pièce. Wouah !! Quel pied mes chéris !!!!
……………………………………………………………………………... Nous avons pris la route vers le petit hôtel indiqué par Antoine. Nous avons pris l’ascenseur jusqu’au quatrième étage, et avons frappé à la porte 412. Je tenais la main de Maxime, j’avais les mains un peu moites mais j’étais plus détendue qu’en début de journée, et pour cause !! La porte s’ouvrit sur un bel homme, musclé, les tempes grisonnantes et ma foi fort bel homme. « Bonjour, Antoine, masseur. Amandine je suppose. Votre après-midi au sauna s’est bien passée ?— Oui mieux que je ne l’aurais espéré !!— Je masse tout le corps, même, et surtout, les parties intimes, je te propose donc d’enlever tes vêtements, je serais nu aussi.Se tournant vers Maxime : — Tu peux aussi te mettre à l’aise, ce sera mieux pour nous tous. » lui dit-il avec un sourire et un clin d’œil. Nue, je m’allongeais nue sur le ventre, Maxime, nu aussi s’assit au bord du lit, et Antoine, nu également, me chevaucha assis sur le haut de mes cuisses, son sexe à demi mou entre mes fesses. Il mit de l’huile dans ses mains, une huile qui sentait bon la Provence, un mélange de lavande et de fleur d’oranger, je fermais les yeux et me laissait emporter dans ce voyage des sens. Il commença doucement par les épaules et la nuque, ses caresses étaient intensément bonnes, il n’avait pas menti, il savait y faire, et j’en avais réellement besoin. Je travaillais dur ces derniers temps et je ne me rendais pas compte de toute la tension accumulée..Les mains d’Antoine se promenaient sur mes bras, et redescendaient le long de mon flanc, effleurant ma poitrine, me procurant un délicieux frisson. A ce moment là j’aurais aimé me retourner, qu’il empoigne mes seins, qu’il pince, mordille, agace, mes tétons, mais il me maintenait de son poids, je ne pouvais pas bouger. Ses mains ont continuées leur course vers le bas de mes flancs, caressant ma taille, mes hanches, mes fesses, mes cuisses. Il me massa les mollets, et remonta vers l’intérieur de mes cuisses. Je mouillais intensément, c’était si bon, je m’abandonnais, me perdais dans la douceur de ses caresses… Il remit de l’huile de massage dans ses mains et vint masser mes fesses, de délicieuses caresses appuyées qui peu à peu investissaient mon sillon. Je me mis à gémir bruyamment, les yeux fermés, je me laissais entièrement transporter vers ces délices. Il fit glisser une main sous mon pubis collé au drap en évitant de toucher à ma fente humide, « oh non, touche moi s’il te plait !!!! » Mais il s’en fichait de ce que je pouvais lui dire, il faisait durer le plaisir. Il revint vers mes fesses le long de mes lèvres pressant un peu plus sur le contour de ma vulve. Impatiente je frémissais, me tortillais, sous ses doigts puissants, j’avais envie qu’il me touche plus profondément, qu’il me fouille, je ne tenais plus, j’avais envie de lui, de sa force, j’allais bientôt jouir… Mais il recommença sa caresse, redescendit sur mon pubis en effleurant mes lèvres, je me cambrais pour l’inviter et lui faire comprendre que je voulais plus, je gémissais de plus en plus fort. Il entreprit alors un massage de mon clitoris déjà bien dur. Mon corps entier se crispa dans une décharge électrique, je me senti défaillir, je jouis en m’agrippant aux draps, lui tendant ma croupe. Mais il ne me laissa pas le temps de respirer, ses doigts experts s’activaient sur mon bouton d’amour tandis que son pouce massait mes lèvres en petits cercles avant de s’introduire en moi. Oh ouiiiii !!!! quel plaisir, quelle extase !!! Son pouce s’enfonçait en moi en une puissante caresse, ses doigts branlaient frénétiquement mon clitoris, et je jouis encore et encore. Je n’étais que plaisir et jouissance ! Son pouce sorti d’entre mes lèvres pour continuer son chemin dans le sillon de mes fesses. Il fit des petits cercles autour de ma fleur plissée qui s’offrait déjà à lui, c’en était trop. Il enfonça son pouce dans mon anus et ses doigts dans ma chatte, je ne tenais plus. Je fis glisser ma main sous mon ventre et me branlais le clitoris. Et je jouis encore !!! Je tournais la tête pour voir Maxime, il me souriait. Il bandait fort et se caressait devant ce spectacle. Je décidais alors de me retourner, je ne pouvais pas rester ainsi, j’avais deux hommes en parfaite érection à portée de main, j’avais ce besoin pressant de les toucher, de les branler, les sucer. J’avais envie d’eux en moi. Mais alors que j’allais les empoigner, Antoine me mis les bras au dessus de la tête, en me maintenant les mains, je ne pouvais pas les toucher, j’étais délicieusement frustrée. Les deux hommes voulaient profiter de moi. Ils attrapèrent chacun un de mes seins du bout de lèvres et agacèrent mes tétons avec leur langues. Maxime qui me connaît bien mordillait mon sein gauche. Et comme si mon téton était directement relié à ma vulve, je senti un courant électrique descendre jusqu’entre mes jambes, je poussais un cri, inondant le lit de ma cyprine. Combien de temps allaient-ils me faire subir ce supplice ? Je n’en pouvais plus, j’en voulais toujours plus, je les voulais tous les deux en moi, j’avais envie d’animosité, de douce violence, de soumission. Je voulais être leur chienne, je les voulais dans tous les trous. Je n’étais qu’un corps emplis de désir sauvage. Antoine regarda Maxime, je compris qu’il lui demandait la permission d’aller plus loin. Quelle délicate attention de sa part. Il ouvrit un préservatif et le déroula le long de sa belle verge bien dure. J’étais à sa merci. Il descendit entre mes jambes, laissant aller sa langue sur mon ventre, descendit encore sur ma vulve, se délecta de mon nectar, remonta sur mon clitoris, et je jouis encore !!! Oh vite, je t’en prie, je ne tiens plus, remplis moi !!! Je le suppliais. Il remonta alors, collant son ventre sur le mien, et d’un mouvement brusque et précis s’enfonça en moi de tout son long. Rhâââââhhh !!!!! Et comme si j’avais peur qu’il se retire, je lui attrapais les fesses pour le maintenir en moi. Il commença de longs va-et-viens entre mes jambes, mon dieu que c’était bon !! Il attrapa et remonta ma cuisse gauche pour s’enfoncer plus loin encore. Il me pilonnait avec force et j’adorais ça. Ma main baladeuse attrapa alors la verge de mon bien aimé qui n’attendait que ça. En voyant ça, Antoine me bascula sur le coté jusqu’à me retrouver sur lui. Enfin je pouvais m’activer sur cette queue à mon rythme. Et quel rythme !!! J’étais déchaînée !! Je pris la bouche de Maxime, puis celle d’Antoine, j’adore embrasser. Nos trois langues étaient de plus en plus proches, je roulais ma langue autour des leurs qui finirent par se toucher, mes deux amants s’embrassaient à pleine bouche. Quel spectacle d’abandon de soi !! c’était merveilleux, magique. Et ils avaient l’air d’apprécier aussi, Antoine s’activait plus fort en moi, et la queue de Maxime durcissait encore, tellement que j’ai cru qu’il allait jouir dans ma main !! Je me penchais alors en arrière pour que la bite tendue d’Antoine frotte contre mon point G, je l’inondait de mouille profitant du spectacle de mes deux hommes s’embrassant sans retenue. Je me collais à nouveau sur son torse trempé de sueur en demandant à Maxime de passer derrière moi. Il me fit un sourire coquin, lubrique, il passa derrière et flatta ma croupe. Il passa sa main sous ma chatte et caressa la queue d’Antoine en donnant de petit coups de langue sur ma rondelle. Il me lécha longuement l’anus, je ne bougeais plus, Antoine donnait des coups de bassins, et je sentais bien la langue de Maxime s’égarer sur cette hampe couverte de mon jus qui entrait et sortait de mon corps. Humm quel délice !! Maxime se positionna alors derrière ma croupe en chaleur offerte. Oh oui mon amour enfonce ta queue dans mon cul !!!!! Il positionna son gland et poussa doucement, s’insérant petit à petit dans cette grotte trop peu explorée à mon goût. Antoine ne bougeait plus, mais il avait mis ses doigts sur mon clitoris afin de me détendre au maximum. Lorsque Maxime fut entièrement en moi, Antoine se remit à bouger doucement, et Maxime en fit de même. Ma première double pénétration fut un délice, je sentais leurs sexes frotter l’un contre l’autre au travers de mon corps, j’étais remplie, comblée et tellement serrée !! je ne bougeais plus, laissant le septième ciel m’atteindre encore et encore. C’était divin !! Je jouis fort, je leur criais de me défoncer !! Oh oui plus vite mes amours, plus fort, encore encore, je vais jouir encore, vous êtes tellement bons !!!!! Antoine me tenait par les seins et Maxime me pilonnait profondément en me claquant les fesses par moment. Il ne put se retenir longtemps, depuis le temps qu’il en rêvait, il jouit dans un râle profond et intense. Je sentis son foutre se décharger en moi, le frisson de sa jouissance remonta le long de mon dos, telle une osmose parfaite. Je ne me contrôlais plus. Mon vagin et mon sphincter furent pris de puissants spasmes et déclenchèrent la jouissance d’Antoine. Nous avons jouis, tous les 3, d’un puissant orgasme mémorable. Toujours les uns sur les autres, doucement Antoine et Maxime ont repris leurs esprits. Ils se retirèrent et me couvrirent de doux baiser en me disant que j’étais magnifique.Les cheveux dans tous les sens, les larmes aux yeux d’avoir tellement joui, le corps en sueur, je les embrassais à mon tour, un baiser tendre et profond qui disait je vous aime mes amours !! C’est contre leurs corps nus, totalement éreintée, que je m’endormis, le cœur léger, le corps brûlant et le sexe transpirant et palpitant encore d’avoir été si bien malmené.
