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Libertins libérés

Chapitre 3

Lesbienne
« Nous dégoulinions de plaisir. Après avoir ainsi joui une première fois, Carole m’a poussé par terre et est venue s’allonger au dessus de moi, le visage entre mes jambes, ma chatte à la hauteur de sa bouche. »
Assise à la terrasse d’un café, je me délecte de ce roman érotique que Jean-Pierre (mon amant de l’épisode 1) m’a prêté. C’est l’été, et l’air est rempli d’une lourdeur moite annonçant les orages du mois d’Août.J’avais terminé mon travail en avance et rendu mes rapports à mon boss. J’avais donc pris mon après midi et en avait profité pour flâner le long des quais. A quelques pas de chez moi, j’avais trouvé ce petit bistrot en bord de Garonne et je m’installais en terrasse. Ma citronnade commandée, j’enlevais mes lunettes de soleil, je n’en avais plus besoin à l’ombre du parasol et je sorti le roman de mon sac. Il faisait très chaud. J’essuyais mon front qui commençait à perler de sueur. Je regardais autour de moi, les gens se promenaient, profitant de leurs vacances.
A une table presque en face de moi, j’aperçus une femme qui me regardait. Avait-elle vu quel genre de livre j’étais en train de lire ? Elle buvait son perrier en me regardant furtivement.Elle devait être un peu plus jeune que moi, habillée légèrement mais décontracté, elle portait une jupe courte à volants, un petit chemisier sans manches qui lui serrait la poitrine, des petites baskets blanches en toile, et ses longs cheveux noirs étaient noués en une tresse qui passait par dessus son épaule et venait se perdre entre ses seins. Je la trouvait très belle.
Je lui souris gentiment et repris ma lecture :
« Son souffle chaud se rapproche et sa langue vient cueillir les gouttes de nectar qui coulent d’entre mes lèvres, commençant un ballet qui m’entraîne inexorablement vers la jouissance. »
Je lève les yeux, elle est toujours là. Elle me regarde et me souri timidement, Je lui rends son sourire, elle me plaît.
Soudain, elle décroise ses jambes, frotte sa jupe pour enlever les faux plis, et hésitante, se lève et se dirige vers moi. Je pose mon livre sur la table, je ne le cache pas, et prend une gorgée de ma citronnade. Elle se déplace lentement, avec timidité. Elle est très jolie et pleine de grâce.
« Bonjour, me dit-elle, j’aimerai savoir si vous pourriez me renseigner, je cherche l’office du tourisme. Je suis nouvellement arrivée dans cette ville que je ne connais pas. Mais je ne voudrais pas vous déranger dans votre lecture. »
Elle pose alors son regard sur le livre posé sur la table et s’empourpre en lisant le titre Corps à corps, nouvelles lesbiennes. Sa gène apparente et ses joues qui s’empourprent me font fondre. De mon regard le plus tendre et le plus bienveillant je lui répond :
« Je vous souhaite alors la bienvenue parmi nous !! Vous verrez cette ville est magnifique. Mais asseyez vous, je connais bien Toulouse, je pourrais peut-être mieux vous renseigner qu’à l’office du tourisme. Je m’appelle Amandine.
— Merci beaucoup. Moi c’est Sonia !! dit-elle en me décrochant un sourire à vous faire tomber.
Elle respire l’innocence et la joie de vivre. Elle est rayonnante !!

Nous commandons un petit verre de Jurançon. Elle me raconte qu’elle vient de Lyon. Elle est arrivée dans la région pour suivre son petit ami qui avait trouvé du travail ici. Pour sa part elle avait trouvé un job saisonnier comme serveuse à mi temps dans un resto du centre ville. Nous parlons de choses et d’autres, de la ville, des monuments à voir. Je lui dit que je suis mariée. Notre conversation devient plus intime. Elle regarde à nouveau mon livre posé, et s’empourpre de plus belle. Je lui dit que mon mari et moi sommes libertins, nous aimons partager les plaisirs charnels, mais je garde un ton léger pour ne pas la faire fuir.
Elle m’avoue alors que aujourd’hui lorsqu’elle est rentrée à leur appartement plus tôt que d’habitude, elle a trouvé son copain nu en présence de deux filles également nues, et dans une drôle de posture. Une des filles léchait le sexe de l’autre fille pendant que son petit ami lui pilonnait la chatte. Elle m’explique que sous le choc elle l’a giflé et est partie. Elle m’avoue qu’elle ne lui en veut pas, qu’elle pense qu’elle ne l’aimait pas vraiment, mais que la vue de ce spectacle lui a trotté dans la tête toute la journée et que – elle baisse un peu la voix et les yeux – ça l’a même un peu émoustillé.
Sans sans rendre compte, elle a attrapé sa tresse et se caresse la joue avec le petit plumeau, un tic certainement, mais tellement mignon, je fonds… Je lui propose d’aller marcher le long des berges pour nous dégourdir un peu. Nous réglons nos consommations, je remets le livre dans mon sac tandis qu’elle scrute mes gestes. Elle décroise ses longues jambes, sa jupe remonte légèrement, et se lève. Nous reprenons une discussion plus classique et nous nous surprenons à avoir de gros éclats de rire. Je passe une très bonne après-midi.
Nous marchons dans les ruelles de la ville, lorsque le ciel s’assombrit. Une goutte, deux gouttes, puis trois et nous voilà à courir en riant sous un bel orage. Je la tire par la main, je n’habite pas loin. Arrivées devant la porte de mon immeuble je la plaque sous le petit porche pour la mettre à l’abri, et je compose le code pour ouvrir la porte. Je la regarde, sa jupe trempée colle à ses cuisse et son chemisier mouillé et transparent laisse apparaître de beaux tétons bien durs. Hummm, farouche et pétillante, elle me fait envie !!
Je la pousse à l’intérieur, et nous montons les deux étages sans ascenseur.Dans l’appartement je lui indique la salle de bain et lui propose une serviette. Elle commence par essorer sa tresse ruisselante, elle a laissé la porte ouverte, je l’observe, elle me regarde, me sourit.J’entre alors dans la pièce d’eau et je la prend dans mes bras par derrière face au grand miroir. Elle se laisse faire, nos vêtements trempés dégoulinent le long de nos corps et nous laisse dans une flaque. J’appuie mes lèvres sur sa nuque en de tendres baisers, elle ne bouge pas, mais sa respiration se fait plus soutenue. Mes mains passe devant ses seins que j’effleure à peine, je sens ses tétons tous durs à travers le tissu de son chemisier, je commence alors à défaire le bouton du haut, puis le deuxième. Ma respiration s’accélère, ma bouche dévore son cou goulûment, elle halète.
Lorsque le chemisier est entièrement déboutonné j’attrape un sein, refroidi et durci par la pluie ; Je le caresse doucement, du bout des doigts j’en fait le tour je passe délicatement dessous, et mes ongles remonte jusqu’à son téton dardé que j’attrape entre mon pouce et mon index. Je le fait tourner ainsi entre mes deux doigts, elle gémit un peu, je sens que c’est la première fois pour elle, elle est timide, elle a envie mais n’ose pas se lâcher. J’empoigne alors l’autre sein et lui fait subir le même supplice. De la voir se donner ainsi, une chaleur m’irradie le bas ventre et inonde mon string.
Je la fait alors se retourner, j’enlève mon t-shirt et l’embrasse à pleine bouche. Ses seins sont contre les miens, mes mains descendent sur ses hanches et tirent doucement sur le curseur de la petite fermeture éclair qui la retient prisonnière de sa jupe. Je n’en peux plus, j’ai envie d’elle, j’ai envie de la caresser, de la goûter, de la faire jouir.
Je recule d’un pas. Elle me regarde perplexe. Je lui prend la main et l’entraîne vers la chambre. Je la fais s’allonger sur le lit pendant que je retire mon petit short et mon string. Et je m’allonge sur elle en l’embrassant encore et encore. Ses baisers son d’une intime douceur, nos langues se caressent, je lui lèche les lèvres, les mordille. Je fais glisser mes dents le long de sa mâchoire et remonte jusqu’au lobe de son oreille. Elle respire fort, je ne veut pas aller trop vite.
« Oh Sonia, que tu es belle !! j’ai envie de te goûter de partout, je veux te faire jouir — Oui je veux partager les plaisir avec toi, me dit-elle, j’ai envie d’oublier mes peurs et mes déceptions, oh oui Amandine, fais moi jouir !! »
Elle a presque crié en disant ces mots qui me font l’effet d’une vague de chaleur dans mon ventre, dans mon sexe, je jouis déjà presque de la voir ainsi.
Ma langue et mes lèvres descendent dans son cou, je la mord un peu plus fort, pour voir sa réaction, elle gémit et pose une main sur son clitoris. Je suis contente de voir que ça lui plaît, mais je ne veux pas qu’elle se touche, je ne veux pas non plus qu’elle me touche. Je lui attrape la main et lui demande d’être patiente et de rester sage.
« Laisse toi faire ma belle Sonia, c’est que pour toi, que du plaisir, j’ai tellement envie de te donner !— Et toi ? Me dit-elle— Ne t’inquiète pas pour moi, je suis très cérébrale et de te voir ainsi me fait presque jouir »
Pour lui prouver je glisse un doigt dans ma fente et les ressort dégoulinants. Je les porte à ma bouche et commence à les sucer sensuellement. Elle m’attrape alors la main et porte mes doigts à sa bouche, hummmm qu’elle suce bien !!!
Je reprend mon parcours dans son cou, je descend encore, lui mordille doucement les épaules, descend encore et lèche le tour de ses seins, l’un après l’autre. Je fais tourner ma langue autour de ses belles mamelles, en terminant par lecher doucement le teton. Pendant que ma bouche s’occupe d’un sein, ma main s’affaire sur l’autre. Délicatement je fais rouler le téton, le tire, le pince, de plus en plus fort, elle gémit de plus en plus, et lorsque je sens que j’arrive à la limite du supportable je mordille l’autre. La voilà qu’elle jouit, humm tu es si belle ma Sonia !! Tes seins sont magnifiques, si ferment, si doux. Je l’embrasse à perdre haleine. La paume de mes mains effleure ses mamelons tous sensibles ma bouche passe entre ses seins qu’elle presse sur mon visage. J’étouffe, mais c’est tellement confortable, moelleux, doux, chaud.
Je descend encore. Ma langue dure trace un chemin sur son ventre, elle frissonne et halète de plus en plus fort. Je suis alors à genoux entre ses jambes, je glisse mes mains sous ses fesses et attrape ses hanches. Ma langue fini sa courses dans son nombril. Elle se trémousse, je sais ce qu’elle attend. Ne soit pas pressée ma belle brune, on y arrive.
Je me sens palpiter au fond de moi, je mouille comme une dingue, je sens que ça ruisselle sur mes cuisses. J’ai la croupe tendue en l’air, et la tête entre les jambes de la plus merveilleuse des créatures. Je respire ses effluves, elle n’est pas entièrement épilée, et c’est tant mieux, je préfère. Les poils de son mont de vénus son délicatement frisés, soyeux et parfumés. Oh dieu que tu sens bon. Je respire cette chatte qui s’offre à moi sans pudeur, je descend encore plus bas sans la toucher, elle gémit, je me délecte de son odeur. Je sors ma langue au niveau de sa vulve suintante qui palpite, je lèche ses lèvres, elle gémit encore,  à droite, à gauche, elle feule maintenant, je m’insinue doucement au milieu, juste pour me frayer un passage entre ses levres juteuses et je remonte en suivant le sillon de son intimité jusqu’à atteindre le petit bijou durci caché dans ses replis les plus secrets, elle jouit !!
Elle attrape ma tête et bouge le bassin de haut en bas, elle se branle sur mon visage qui se recouvre de cyprine. Tu es délicieuse si tu savais !! La petite fille timide que j’ai rencontré quelques heures auparavant s’est envolée laissant place au feu de la jouissance !!
Je tète avec gourmandise ce clitoris bien dressé, je tourne autour avec ma langue, appuie dessus et le lape comme si je voulais passer en dessous pour le relever plus encore, elle crie à présent.Elle m’intime, me supplie de la faire jouir encore et encore. Je mouille tellement de l’entendre jouir qu’un effleurement de ma chatte m’emporterai instantanément dans un orgasme fulgurant.
Je dirige un doigt à l’entrée de sa grotte, doucement je masse l’orifice en insistant sur le bords, elle est sur le point de défaillir, et quand j’enfonce deux doigts recroquevillés en elle, elle me jute immédiatement au visage transportée par un tourbillon orgasmique qui est à la limite de lui faire perdre connaissance. Je me relève, l’installe sur le coté, me met en chien de fusil derrière elle et remet ma main au chaud dans sa chatte en appuyant sur son clitoris avec la paume comme si je voulais le faire descendre et le faire entrer dans cette grotte, et je ne bouge plus.
Je lui embrasse le cou et nous nous endormons.
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J’entends un bruit, la serrure. C’est Maxime qui rentre du travail. Je n’ai pas envie de bouger, je suis bien là. Je sens la porte de la chambre s’entrouvrir, j’ouvre un œil, il est là, il nous regarde, il me sourit. Il sort de la chambre et part à la douche. Je referme les yeux, le nez dans les cheveux de Sonia, et me rendors, hummm qu’elle sent bon ma Sonia !!!!
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