Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 34 J'aime
  • 0 Commentaire

Line et Ahmed

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
LA CRISE
Après une interruption de quinze jours lors de la rentée universitaire, Line impose son rythme aux rendez-vous qu’elle accorde aux deux hommes : une fois par semaine. C’est d’ailleurs la fréquence des après-midi récréatives lui avoue Marjorie. Bernard affirme-t-elle, tient à ce qu’elle réussisse ses études. Elle presse sa cousine de reprendre contact avec l’organisateur : — Il t’en voudra pas je t’assure. Tu peux bien te libérer trois ou quatre fois par mois quand même. On ne t’en demande pas plus. Allez ! Un bon mouvement ! L’argent que nous verse Bernard te manque pas ? T’aimerais pas te payer d’autres fringues ? Line n’est pas emballée. Ahmed et Philippe suffisent à satisfaire ses besoins sexuels. Puis, si elle ne garde pas un mauvais souvenir des orgies passées, elle appréhende de se retrouver en compagnie de sa mère. Forniquer sous ses yeux ou la voir passer d’hommes en hommes, est au-dessus de ses forces.
Lors de leurs rencontres au domicile d’Ahmed, un rituel s’établit. Les trois jeunes gens commencent par se déshabiller mutuellement et se désaltèrent avec un punch préparé à l’avance par l’ingénieur. Les garçons préfèreraient entamer les caresses, mais Line s’ingénie à les contrarier, jouissant de leur impatience visible, en discutant de sujets anodins. Ce n’est qu’au bout de longues minutes qu’elle donne le signal des réjouissances en offrant ses lèvres à l’un ou l’autre des participants. Elle ne privilégie aucun des deux hommes pour les caresses préliminaires, leur accordant à tour de rôle l’honneur des attouchements digitaux. Par contre malgré plusieurs tentatives d’Ahmed, elle reste ferme sur l’ordre des introductions : Philippe en premier. L’ingénieur refoule sa jalousie. Dans son for intérieur, il ne tolère son ami que pour complaire à Line et considère comme une offense personnelle quand celle-ci jouit dans les bras de Philippe, bien qu’il doive reconnaître que dans ce cas sa pénétration est facilitée et que son plaisir est décuplé. Puisqu’il ne peut l’empêcher, que cet intermède dure le moins longtemps possible ! Il est nécessaire qu’elle jouisse avant de le recevoir ? D’accord ! Il va leur faciliter la tâche, plus vite l’orgasme sera déclenché plus vite il prendra le relais ! Il s’efforce de stimuler Line par ses caresses subtiles et a la satisfaction teintée d’amertume de la voir se tordre de plaisir sous les multiples excitations de la queue d’abord, qui la perfore et de ses doigts et de sa bouche sur les parties du corps que Philippe laisse à sa disposition. — Aaarrgghh ! Line rugit presque lorsque le frisson de plaisir la secoue. Ahmed tire Philippe en arrière. — Ôte-toi de là ! — Mais… mais j’ai pas fini. — M’en fous ! A mon tour ! Ahmed s’installe entre les cuisses écartées. Line prend sa verge à deux mains et caresse du bout sa vulve sensible. Le garçon s’efforce de contrôler son impatience. Il a tellement peur de la blesser par trop de précipitation. Il ne commence à appuyer que lorsqu’il sent la pointe du gland positionnée dans l’entrée du vagin. Sous la poussée la tige écarte les lèvres et commence à disparaître, avalée par le sexe. Il adore sentir l’étau de chair enserrer son membre. La contrainte qu’il s’inflige de ralentir la pénétration augmente son plaisir, le fait frémir de gratitude envers cette jeune fille qui l’accepte tel qu’il est avec ce qu’il appelle son infirmité.
Philippe est furieux. Son copain (mais peut-il le nommer ainsi ?) lui a volé sa jouissance. Il était fier d’avoir amené Line jusqu’à l’orgasme et s’apprêtait à la maintenir dans cet état pendant de longues minutes au bout desquelles ils auraient communié dans le plaisir. Las, Ahmed par sa jalousie a tout gâché ! Le garçon déçu rumine sa rancœur tout en contemplant les fesses nues s’agiter devant ses yeux… Fesses nues ? Eh pourquoi pas ! — Ah ! Tu croyais m’empêcher de jouir, murmure-t-il. T’as tout faux ! Je vais me le payer ton cul. Essaye de m’en détourner ! D’une main il rétablit la raideur de sa queue et de l’autre il fouille dans la raie fessière. Ahmed tout occupé à contrôler l’introduction, ne s’inquiète pas des attouchements sur son postérieur. Il est parvenu à pénétrer en entier dans Line. Il se repose quelques secondes avant d’entamer la danse d’amour. Il aime sentir sa verge pressée de toutes parts et est persuadé que ces instants de repos sont bénéfiques à la jeune fille et permettent à son vagin de prendre la mesure de son sexe. Les caresses de Philippe autour de l’anus participent à son bien-être. Ce n’est que lorsqu’une phalange s’enfonce dans le sphincter qu’il réagit. — Qu’est-ce que tu fais ? — T’occupe ! Continue de prendre soin de Line. — Mais…— Qu’est-ce qui se passe ? interroge la jeune fille qui comprend que l’étreinte ne se déroule pas comme les autres jours. — Il… il me… Il veut… balbutie Ahmed. — Je vais l’enculer pendant qu’il te baise, la renseigne Philippe. Ça te gêne ? — Oh !
Line se retrouve en pensée dans le chalet le dernier soir quand elle a assisté à des scènes identiques, Luc entre Marjorie et Bernard, puis Luc entre Lucille et Marc et enfin, Marc entre Marjorie et Luc. Elle se souvient avoir envié sa cousine qui avait l’air d’apprécier particulièrement cette étreinte combinée. — Non, ça me gêne pas du tout. — Je te remercie… Aide-moi à lui ouvrir les fesses… Oui… Bien…
Philippe enduit de salive le pourtour de l’anus. Il pose le bout de sa queue sur l’orifice. Ahmed veut crier sa réprobation. Il ne va pas laisser faire ! Non !… Mais comment ? S’il se dérobe il quitte le vagin de Line, et ça, il ne le peut pas, ne le veut pas. A tout prix ! A tout prix ? Il soupire. Il se doutait bien qu’il lui faudrait un jour payer les bons offices de son copain. Et il savait dans son for intérieur comment celui-ci voulait être remercié. Pourvu que cela ne lui fasse pas mal ! — Ecarte bien les fesses. Ahmed et Line prennent chacun l’ordre pour soi. Lui, tend le cul en arrière au devant du sexe tendu, elle tire sur les lobes. — Aah ! Le gland franchit le barrage musculaire. Line a l’impression que le sexe qui encombre son ventre grossit comme si, pense-t-elle, la queue de Philippe le dilatait. Le garçon se retire de quelques centimètres. — Ahmed, recule sur moi. Celui-ci obéit. Il tremble de sentir l’engin s’enfoncer dans son cul pendant que sa verge glisse dans le vagin de Line. — Aaah ! — Hein que c’est jouissif une bonne bite dans le fion ! marmonne Philippe. Quand je pense que tu m’en as voulu d’avoir essayé ! Ahmed n’est pas en mesure de répliquer. D’un côté il est horriblement vexé d’être dans cette situation humiliante : « Il m’encule ce salaud ! Il se venge ! » pense-t-il. De l’autre, il n’avait jamais ressenti une telle émotion. Les deux sollicitations sur la queue et dans le cul se complètent pour l’entraîner dans un plaisir insoupçonné. Il se laisse ballotter entre les deux corps. Line de son côté est ravie. La vibration particulière du sexe de son amant accroît sa jouissance. Elle a l’impression que jamais elle ne l’a ressenti aussi bien, que jamais il épousait avec autant de précision sa cavité vaginale. Que son frottement est doux ! Les quelques tiraillements qui subsistaient les jours précédents ont disparu. Il ne reste que du bonheur, une pure jouissance.
Les trois amants gémissent de conserve. Ils se laissent guider par leurs émotions sans chercher à les contrôler ou les canaliser. Les mouvements s’amplifient, la cadence des coups de rein s’accélère jusqu’à l’explosion finale qui les fait crier ensemble. Il leur faut de longues minutes pour récupérer. Philippe le premier se désengage. La disparition du manchon dans son intestin arrache à Ahmed un gémissement de regret. C’était si bon de sentir cette grosseur l’encombrer. Il se dit qu’il doit en être de même pour Line quand il retire son sexe encore dilaté après l’éjaculation. Il tente de se relever mais ses jambes flageolent. Il s’agenouille aux pieds de la jeune fille qui lui sourit. — Alors Line ? interroge Philippe. Nous ne t’avons pas trop écrasée ? — Non, non ! C’était… euh…Elle cherche un terme qui décrirait ses sentiments. — C’était super ! — Vrai ? Tu ne dis pas ça pour nous faire plaisir. — C’était super je te dis. — On pourra recommencer alors. Tu veux bien ? — Oh oui ! — Tu entends, Ahmed. Le scénario des prochaines séances est tout trouvé. L’enthousiasme de la jeune fille fait mal à celui-ci. Non seulement il doit supporter que son copain baise la jeune fille avant lui, mais en plus il doit se faire enculer pour les contenter ! Qu’il y prenne du plaisir n’y change rien ! Il se lève en grommelant. — Où vas-tu ? demande Line. — Dans la salle de bain. — Je t’accompagne. Philippe les laisse partir seuls. Il est enchanté. Le cul d’Ahmed s’avère aussi délicieux qu’il le soupçonnait. Son copain peut lui interdire de jouir avec Line, il sait comment se dédommager… Et à la satisfaction de tous. Les après-midi en compagnie de la jeune fille promettent d’être passionnants.
Les rendez-vous suivants se déroulent comme Philippe l’espère. S’il arrive à faire jouir Line avant de décharger, il s’efface pour laisser la place à Ahmed dont il perfore le cul sans tarder. Si la jeune fille est moins sensible et n’atteint pas l’orgasme avant lui, il remplit son vagin de sa semence, facilitant ainsi l’entrée de la queue d’Ahmed. Ensuite pendant que celui-ci satisfait sa partenaire, il offre sa verge à la main ou à la bouche de celle-ci, le temps qu’elle retrouve la taille et la raideur adéquate pour honorer le cul de son copain. Ils jouissent en même temps, Line heureuse de recevoir la grosse verge d’Ahmed, Philippe d’avoir baisé la jeune fille et enculé son copain, Ahmed partagé entre la honte de subir son ami et le plaisir de l’étreinte à trois. Le jeune ingénieur se promet après avoir refermé la porte lors de la séparation, de refuser son cul à la prochaine occasion, mais ses résolutions s’évanouissent quand Philippe promène le gland sur l’anus. Il succombe avec un délicieux sentiment de culpabilité qui se transforme une fois l’excitation de la jouissance passée, en colère rentrée contre lui et son copain. Il est tout heureux quand un jour Philippe l’averti qu’il doit rejoindre ses parents en province et qu’il ne peut l’assister pour les prochains rendez-vous avec Line. Enfin seuls, pense-t-il. Il se fait fort par ses caresses de pallier au manque de préparation.
La jeune fille est étonnée de l’absence de leur partenaire habituel. Elle hésite à se déshabiller en même temps qu’Ahmed. Elle a peur. La verge qui se dresse entre les jambes de l’ingénieur l’effraie. Ce n’est plus le membre qui la faisait jouir, mais un gros manchon monstrueux. Comment a-t-elle pu la recevoir ? Son compagnon se fait pressant. Pourquoi ne pas essayer d’élargir le passage avec les doigts ? Cela revient au même qu’avec la queue de Philippe, argumente-t-il. Il lui promet de ne pas insister si la douleur est trop forte. Line se laisse convaincre. Elle offre sa chatte aux manipulations de son amant qui introduit le majeur, puis l’index. Elle gémit quand il appuie du pouce sur le bourgeon sensible pendant que trois doigts fouillent son vagin. Ahmed pense avoir réussi. Il s’installe entre les cuisses que Line écarte au maximum et promène le bout de son sexe sur la vulve dans une caresse qu’ils connaissent bien. Il positionne le gland, mais soit que la préparation reste incomplète soit que la crainte stresse la jeune fille, les chairs refusent de s’écarter devant le bouclier. — Non, Ahmed, ça va pas. Il vaut mieux s’arrêter supplie-t-elle. Il ne veut pas s’avouer vaincu. Il force pour franchir le barrage. — Aïe ! Tu me fais mal ! Non ! Arrête ! Les larmes qui perlent aux paupières le désarçonnent. — Excuse-moi, excuse-moi… Je ne le ferai plus. Il s’assied à ses côtés. Line referme les cuisses. Son regard est attiré par la queue qui palpite contre le ventre du jeune homme. Elle tend le poignet. Les doigts ne parviennent pas à entourer la tige mais cela ne l’empêche pas la main d’entraîner le prépuce et de découvrir le gland. — Aaah ! gémit-il. Il tente de se soustraire à la caresse. — Laisse-moi faire, je te dois bien ça, ordonne-t-elle. Lèche-moi en même temps. Elle s’allonge sur le canapé sans lâcher la hampe et approche le gland de sa bouche. Il est trop gros pour qu’elle l’avale. Elle se contente de lécher et de masturber la tige à deux mains. Ahmed embrasse son sexe et s’amuse à titiller le clitoris. — Ouiii ! Ils se procurent un plaisir mutuel, pas aussi intense que la pénétration mais suffisant pour leur apporter une jouissance. Line sent son ventre se liquéfier en même temps qu’elle reçoit sur la figure le sperme de son amant.
— Quand est-ce qu’il revient Philippe ? interroge-t-elle au retour de la salle de bain. — Dans deux ou trois semaines je crois. La jeune fille pousse un gros soupir. — Dis, tu viendras quand même. — Euh…Elle ne veut pas lui faire de la peine mais elle hésite. A quoi bon ? Des caresses simultanées ne remplacent pas une bonne introduction malheureusement impossible, la preuve en a été faite. — Je t’en prie, supplie-t-il. Mardi prochain, ça ira ? — Bon j’accepte mais tu recommenceras pas n’est-ce pas ? — Je te promets. Elle le quitte mi-confiante, mi-inquiète. Ahmed de son côté a une idée qu’il qualifie de géniale. Pourquoi n’y a-t-il pas pensé avant ? Il se précipite au sex-shop le plus proche et fait l’acquisition d’un godemiché de belle taille. Arrivé chez lui, il compare l’engin avec sa queue. Bien que de diamètre inférieur à sa verge, le sexe artificiel l’impressionne. — Il est plus gros que la bite à Philippe, constate-t-il. Parfait pour la préparation de Line. Il suspend sa main au moment de remettre l’engin dans sa boîte. Est-ce qu’il entrerait dans son cul ? Il enduit le bout de la crème fournie avec l’appareil et le présente entre ses cuisses mais n’arrive pas à l’enfoncer : — Ce n’est pas commode, faut être à deux, soupire-t-il. Il nettoie le sexe factice et le range dans sa boîte en attendant la prochaine visite de Line.
La jeune fille ouvre de grands yeux quand Ahmed lui présente son acquisition. — Tu veux m’enfoncer ça ? — S’il te plait… Ça ne coûte rien d’essayer. Si tu as mal, dis-le, j’arrête tout de suite. Non, cela ne lui fait pas mal… ni du bien d’ailleurs. Oh ! Le succédané de queue remplit parfaitement son rôle. Il assouplit le vagin de Line, assez pour que la verge d’Ahmed entre sans trop de difficulté mais… l’expérience lui laisse un goût d’inachevé. Le frottement du plastique sur ses muqueuses n’est pas désagréable, d’accord, mais elle ne retrouve pas l’émotion ressentie quand le gland de Philippe se fraye un passage. Même la dilatation due à la queue d’Ahmed ne lui apporte pas la jouissance habituelle. Elle laisse son compagnon s’agiter en elle sans éprouver autre chose qu’un tiraillement dans son ventre, supportable certes, mais tellement décevant après les orgasmes répétitifs des après-midi en compagnie des deux hommes. Ahmed ne se rend pas compte de la passivité de sa partenaire. Tout à la joie de la baiser sans l’aide de son copain, il accentue ses coups de rein. Line résiste en serrant les lèvres. Le va-et-vient dans son vagin devient douloureux et elle soupire de soulagement en percevant le gonflement du canal séminal qui prélude à la fin de l’épreuve. Elle accompagne le déversement de la semence de petits cris et manque de jouir lorsque la verge se dégonfle et libère ses entrailles.
Ahmed est aux anges. Il a enfin baisé la jeune fille sans aide extérieure. Les couinements de celle-ci l’ont abusé et il est persuadé de la réussite de son entreprise. — N’est-ce pas que c’est mieux ainsi ? Je suis heureux, on n’a plus besoin de Philippe pour faire l’amour. — Oh non ! Pas ça ! Interloqué, il la regarde. — Tu… tu n’as pas aimé ? — Pas beaucoup. J’aime mieux… euh… avec… euh…— A-Avec Philippe ? — Ou… oui. Il est furieux. — Tu avoues ! C’est lui qui te fait jouir ! Tu ne me supportes que parce qu’il est là ! Moi qui croyais que tu m’aimais ! Que tu appréciais ma grosse bite. — Mais non ! je t’aime, Ahmed, j’aime quand tu me baises…— Alors ? Ce n’est pas ce qu’on vient de faire ? — J’aime quand tu me baises, oui, mais après Philippe. J’ai besoin de vous deux. — Tu… tu…La rage l’étouffe. Qu’est-ce qu’elle se croit cette péronnelle ? Il ne lui suffit pas ? — Tu es une véritable traînée ! J’aurais dû te laisser croupir entre les pattes de ton souteneur. Ça te manque hein ! Ça te manque tant que ça les baises en groupe que tu ne peux pas t’empêcher de me les imposer ! — Oh ! T’as pas honte de me parler comme ça ? — Honte ? C’est toi qui devrais avoir honte ! Fiche le camp, je ne veux plus te voir ! Line s’habille en silence. Quand elle regarde son amant, ses yeux lancent des éclairs. Lui regrette de s’être emporté mais n’ose faire amende honorable. Sur le palier il tente une réconciliation. — Tu… tu reviendras ? — Prends rendez-vous avec Bernard, tu auras peut-être une chance de me rencontrer !
A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live