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Line et Ahmed

Chapitre 7

Avec plusieurs hommes
TENDRES RETROUVAILLES
Line a rendez-vous à sept heures. Ahmed a promis une petite collation. Elle s’est embrouillée dans ses explications à sa mère qui s’étonnait qu’elle sorte deux soirs de suite. — Bernard n’est pas raisonnable. Je lui en ferai la remarque à la première occasion. Il avait promis de ne pas trop te mettre à contribution. — Euh… Il ne s’agit pas d’une séance avec Bernard. — Ah bon ? Avec qui sors-tu ? — Tu les connais pas. — Et en plus ils sont plusieurs ! — Je t’en prie maman, laisse-moi vivre ma vie. — Bon, bon, ce que j’en dis… Ne rentre pas trop tard, tu as cours demain, ne l’oublie pas. Elle a réussi à s’échapper. Elle hésite avant d’appuyer sur la sonnette. Fait-elle bien ? Peut-elle faire confiance aux promesses du jeune ingénieur ? Sa jalousie ne va-t-elle pas gâcher leurs retrouvailles ? Elle hausse les épaules. Il ne sert à rien de s’inquiéter à l’avance, qui vivra verra…
Philippe l’accueille sur le palier. — Bonsoir Line. Il la fait entrer et la débarrasse de son manteau. — Oh ! Tu es en beauté ! Je te remercie. La jeune fille sourit au compliment. Elle a pour la circonstance revêtu une robe rouge fendue sur le côté. Lorsqu’elle marche, on peut apercevoir un peu de peau nue au-dessus du bas. Il la conduit au salon. — Ahmed n’est pas là ? — Si, si, il termine de préparer la collation prévue. Le jeune ingénieur fait son apparition un plateau d’amuse-gueule entre les mains. Il tremble de saisissement à la vue de la jeune fille. Philippe se précipite et pose les sandwichs sur la table basse. — Tu vois dans quel état il est ! C’est ainsi depuis que nous sommes rentrés du travail. Le rire de Line détend l’atmosphère. Les trois jeunes gens s’assoient autour de la table de salon et discutent de sujets anodins tout en engouffrant les provisions et des verres de punch.
— T’as pas de la musique ? demande Line en essuyant sa bouche. Ahmed insère dans le lecteur un CD. Les notes d’un slow connu s’égrènent dans la pièce. La jeune fille se lève :
— Faites-moi danser. Philippe se précipite et l’enlace. Elle se colle contre lui. Le couple oscille au milieu du salon. Tout à coup, elle se dégage, tire Ahmed par le bras et se suspend à son cou. Son ventre plat frotte contre la protubérance du sexe masculin qui grossit sous le contact. Line se laisse bercer quelques minutes puis reprend Philippe. Ses doigts agiles déboutonnent la chemise du garçon. C’est au tour d’Ahmed de se faire dépoitrailler. Elle tire les pans de chemise hors du pantalon puis se love dans les bras de Philippe. Lui, descend la fermeture de la robe d’un petit centimètre, s’arrête de crainte d’une réaction négative, puis rassuré par la passivité de Line qui joue avec les poils du torse, fait glisser la tirette jusqu’au bas du dos. Line s’échappe pour laisser Ahmed découvrir ses épaules. Le tissu rouge glisse sans s’arrêter aux hanches et s’entasse aux pieds de la demoiselle. Elle l’enjambe et se réfugie chez Philippe dont elle dégrafe la ceinture pendant qu’il caresse le dos et les reins. Ahmed se retrouve pantalon sur les genoux le temps qu’il ouvre le soutien-gorge que Philippe ôte tout en perdant son pantalon. Line passe d’un homme à l’autre échangeant des caresses. Les slips descendent sur les cuisses franchissent les genoux. Les hommes sont nus, Line conserve son porte-jarretelles et ses bas. Ils dansent maintenant à trois, serrés les uns contre les autres. Ils se regardent dans les yeux faisant semblant d’ignorer ce que font leurs mains. Line sent de temps en temps d’autres doigts que les siens lui disputer une verge ou découvre que l’orifice qu’elle voulait explorer était occupé. Elle sourit : les mains indiscrètes n’appartiennent pas toutes à Philippe ! Ahmed a vraiment changé ! Elle leur offre tour à tour ses lèvres pour un baiser langoureux. Entraînés par l’ambiance érotique les deux garçons rapprochent leurs bouches mais au dernier moment, Ahmed croise le regard de la jeune fille et détourne la figure.
La musique s’arrête. Le trio reste immobile un instant, puis, Line tourne le dos à Philippe, prend la verge d’Ahmed à pleines mains et pousse l’ingénieur sur le canapé. Elle lui demande de s’allonger et monte le rejoindre à quatre pattes, le cul proéminent la figure à la hauteur de l’énorme sceptre vivant qu’elle s’amuse à lécher à petits coups de langue. Philippe comprend l’invite. Tenant sa bite d’une main, il la dirige entre les fesses de la jeune fille. Il s’amuse à caresser l’anus. — Non, pas là… S’il te plait…Elle écarte les genoux, il trouve la bonne ouverture et s’enfonce lentement. Un même soupir s’exhale de leur bouche.— Oui… Baise-moi bien… Aah !… Prépare le chemin… ouii ! Elle maintient la raideur du sexe d’Ahmed par des caresses et des léchouilles tout en regrettant de ne pouvoir introduire le gland en bouche. Philippe dans son dos varie la profondeur et le rythme des coups de rein. Passant une main sous le ventre de Line il découvre le clitoris. — Ouiii ! La main migre vers la poitrine pendante, triture un téton puis revient entre les cuisses. — Aaah !… Ouiii !… Ouvre-moi ! La cadence s’accélère. Philippe halète proche de l’éclatement. — Han !… Aaah !… Aaaah ! — Ouii !… Remplis-moi… Aaah !… La queue d’Ahmed glissera mieux ! — Aaargghh ! Line perçoit les jets de sperme, puis la tige dans son vagin diminue de volume. Elle repousse Philippe qui tombe à genoux sur le tapis à la recherche de son souffle. Sans lâcher la queue d’Ahmed, la jeune fille enjambe ses cuisses et présente le bout du gland contre sa chatte.
Placé en contrebas, Philippe assiste à l’opération. Jamais ça ne rentrera, pense-t-il, c’est trop gros. Il ne peut détacher son regard tout le temps de la lente disparition du gland puis de la hampe avalée par les chairs dilatées. — Aaah ! soupire la jeune fille. Elle est prise d’un éblouissement et vacille. Philippe se précipite pour la maintenir droite.— Merci, lui murmure-t-elle tout en soulevant le bassin et retombant dessus pendant que sa main droite recherche le contact avec le corps de celui qui vient à son aide. Le garçon se rapproche, tend le ventre. Les doigts touchent la verge souple et humide, s’enroulent autour. Ahmed ouvre et referme la bouche sur un cri silencieux. Il soutient de ses paumes en coupole les seins qui le surplombent. Une secousse ébranle Line qui cesse tous mouvements. L’ingénieur la prend à bras le corps, se soulève pour la reposer sur le dos sur les coussins du canapé. Line tente de joindre les talons sur les fesses de son pourfendeur. Elle ne peut, gênée par l’énormité qui encombre son vagin. Philippe s’approche à nouveau et présente sa queue qui commence à regrossir à la main qui s’en empare. Il caresse les fesses de son ami d’un doigt fouineur. Ahmed pousse un grognement et écarte un peu les genoux.
La jeune fille exhale un soupir à chaque pénétration. Son vagin a pris la mesure de la queue qui le transperce. Toute gêne a disparu, son bas-ventre ne lui adresse que des ondes bienfaisantes. Une main manchonne le dard de Philippe qui a retrouvé sa raideur et l’autre imprime les ongles dans l’épaule de son cavalier. Tout à coup une idée traverse son esprit embrumé. Elle se souvient de la vibration particulière quand Ahmed lui faisait l’amour tout en étant possédé. Elle veut la retrouver. — Phil… Aah !… Philippe… Aah !… encu… Aah ! — Tu veux que je l’encule pendant qu’il te baise ? — Ou… Aah !… Oui… Tu… Aah !… tu veux bi… Aah !… veux bien Ah… Aah !… Ahmed chéri. — Pardi qu’il veut bien ! Philippe récupère sa queue. Il prélève un peu de liquide vaginal entre les cuisses de Line et en tartine l’anus de son collègue. Celui-ci ralentit la cadence pour permettre à son ami de se positionner. — Mmmh ! gémit-il lorsque la queue se fraye un passage dans son sphincter. — Ouiii ! s’écrie Line ravie d’éprouver à nouveau l’étrange sensation qu’elle n’avait pas oubliée. Le trio coordonne ses mouvements. Philippe pistonne le cul qu’il connaît bien à présent. Il envie la jouissance affichée par Ahmed. Tremper sa quéquette tout en étant enculé, le pied ! Ah si seulement son ami n’avait pas une aussi grosse pine ! Il a trop peur d’être déchiré pour tenter l’expérience.
L’ingénieur est aux anges, ces retrouvailles se passent à merveille. Ah la douceur du con de Line ! Quel massage sur sa queue ! Ajouté à la dilatation de son anus et au frottement dans son sphincter… Le plaisir envahit son bas-ventre, grimpe dans la tige… il va éclater… non ! Pas encore ! Par un effort surhumain, Ahmed arrive à contrôler la montée de la sève. L’onde de jouissance s’atténue. Il peut plus calmement déguster les sensations procurées par ses deux partenaires… Jusqu’à la prochaine vague…
Line ne regrette pas d’être revenue. Les va-et-vient dans sa chatte suffisent à son bonheur actuel. Elle ne se préoccupe pas de ralentir l’éclosion du plaisir, elle. Elle sait que les vagues de jouissances se succèdent, orgasme après orgasme. Aah ! Un de plus ! Et ce n’est pas fini !
Si ! Tout a une fin ! Ahmed succombe enfin. Une onde de pression déforme sa verge. La semence s’écoule, abondante, déborde du vagin encombré. Philippe rugit à son tour en se soulageant dans le cul agité par des spasmes de plaisir. Une dernière secousse ébranle Line au moment où le volume du pieu dans son ventre diminue. Elle serre convulsivement Ahmed contre son corps. Philipe roule sur le côté. Il fait basculer son ami qui libère la jeune fille. Les deux garçons mettent plusieurs secondes à retrouver leurs esprits. Ils s’approchent de Line qui balance la tête de part et d’autre, encore sous le coup d’une intense émotion. — Calme-toi, ma chérie, calme-toi, lui dit Ahmed en essuyant le front trempé de sueur. — Oui, c’est fini, ma petite Line, c’est fini, ajoute Philippe. Elle leur sourit, les attire contre elle. — Vous êtes des amours…Philippe s’éclipse pour réapparaître avec des verres de jus de fruit.
La jeune fille décline l’invitation à rester pour la nuit. — Non, c’est impossible, Je n’ai pas averti ma mère. — Téléphone-lui. — Non, elle n’aurait plus confiance en moi. Mais je reviendrai, je vous le promets. Elle se lève à la recherche de ses habits. Cela les amuse de la voir déambuler dans le salon en porte-jarretelles et en bas. Elle les interrompt lorsqu’ils veulent se couvrir comme elle. — Après mon départ. D’ici là je veux que vous restiez nus ! Je veux que vous me montriez combien vous regrettez que je ne reste pas. Ils l’accompagnent sur le palier. Elle leur accorde à chacun une caresse avant descendre les marches. Au tournant de l’escalier, elle leur adresse un baiser du bout des doigts. Ils sont appuyés l’un contre l’autre dans l’encadrement de la porte, fiers de leur virilité retrouvée. L’arrêt de l’ascenseur à l’étage les fait précipitamment rentrer. Line sourit en reprenant la descente : Elle conserve devant les yeux l’image de deux verges au garde à vous, celle d’Ahmed en partie cachée par la main de Philippe. Elle est prête à parier qu’en cet instant Ahmed ne refuse pas les caresses qu’elle devine que son ami tente de lui prodiguer. Peut-être accepte-t-il le baiser qu’il a eu honte de recevoir tout à l’heure en sa présence…
A suivre…
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