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Line et Ahmed

Chapitre 8

Orgie / Partouze
MARJORIE S’EN MÊLE
Line partage son temps entre les cours à la fac, un ou deux après-midi récréatifs par semaine chez Bernard, la réunion hebdomadaire de « débriefing » chez elle ou chez sa cousine et quelques soirées et même quelques nuits chez Ahmed et Philippe. Malgré les prières de ses deux compagnons, elle refuse de s’installer à demeure. Elle ne veut pas faire de peine à sa mère envers qui elle est reconnaissante de l’avoir soutenue. Elle apprend à gérer son activité sexuelle : étreinte amoureuse avec ses deux soupirants, baise sodomie et fellation pendant les séances récréatives ou avec Bernard. La taille du sexe d’Ahmed étant ce qu’elle est, pour ne pas défavoriser son ami, elle refuse de sucer Philippe ou de lui prêter son cul. Tout juste accepte-t-elle les caresses buccales sur son sexe pendant qu’elle masturbe les deux verges. Quelques après-midi en compagnie de sa cousine à se lécher et jouir ensemble entre filles, complètent l’ensemble et suffisent à son épanouissement.
Il n’en est pas de même pour Marjorie. Elle est jalouse du bonheur affiché par Line. Qu’ont-ils donc de spécial ces deux gugusses avec qui sa cousine passe de longues heures sinon la nuit entière ? Tout juste apprend-elle par une confidence de Denise que l’un des deux, ancien client de Bernard, est pourvu d’un appendice phénoménal. Elle fait le siège de Line jusqu’à obtenir une invitation chez l’ingénieur un soir. L’ambiance « popote » la surprend. Sa cousine serait-elle une petite bourgeoise qui s’ignore ? La compagnie de Philippe et d’Ahmed révèlerait sa vraie nature ? Aucun geste équivoque, aucune conversation tant soit peu osée tout au long du repas. Est-ce qu’ils attendent d’être au lit pour baiser ? Avec lequel passe-t-elle la nuit ? Les deux ? Ensemble ou à tour de rôle ? Autant de questions que la jeune fille se pose et qui restent sans réponse. Line qui s’amuse la perplexité de Marjorie ne fait rien pour l’éclairer. Le quatuor lève la table et fait la vaisselle dans la petite cuisine. Marjorie contemple avec effarement les deux hommes essuyer les verres et les assiettes que leur passent les filles et les ranger dans le placard. Ah ! Line les a bien dressés !
Une fois de retour au salon, Ahmed allume la chaîne stéréo et s’assied à côté de Line. Celle-ci tend les lèvres pour le premier baiser de la soirée. Enfin ! soupire sa cousine qui lorgne du côté de Philippe. Le garçon ne lui porte pas attention. Il attend que Line l’embrasse à son tour. Marjorie devine que cela fait partie d’un rituel et a la désagréable impression d’être de trop dans leur trio. Line se sépare de Philippe. Elle se lève et attire sa cousine. Les deux filles s’enlacent au centre de la pièce. Marjorie est gênée quand Line tente de l’embrasser. Non, pas devant les deux autres ! Elle détourne la tête mais Line ne l’entend pas de cette oreille. Elle bloque la figure entre ses mains et force le barrage des lèvres. Marjorie résiste quelques secondes, puis capitule. Ses mâchoires se desserrent et les langues entament un ballet voluptueux. Puis Line entraîne sa cousine dans une danse lascive comme lors des « séances récréatives » et commence à la dévêtir. Marjorie joue le jeu et bientôt elles évoluent quasiment nues, ne conservant que leur minuscule slip translucide. La jeune fille remarque avec amusement que les deux hommes se sont rapprochés pour les admirer et que Philippe caresse la nuque d’Ahmed dont la main est posée sur la cuisse de son compagnon.
Line abandonne la danse et se dirige vers Ahmed avec qui elle échange un long baiser. Marjorie sourit à Philippe. Les rôles sont distribués pense-t-elle. Elle est toute surprise lorsque l’ingénieur, poussé par sa cousine atterrit dans ses bras, mais cela ne l’empêche pas de recevoir le baiser brûlant. Qu’il lui inflige ! Elle se sent entraînée vers un canapé où, sans dessouder leurs lèvres, Ahmed la fait asseoir. En face, Line déshabille Philippe qui termine de dénuder la jeune fille. Marjorie l’imite. — Oh ! ne peut-elle pas s’empêcher de s’exclamer en découvrant la taille du sexe de son partenaire. — Ça surprend la première fois n’est-ce pas ? s’amuse Line qui caresse une verge de dimension normale. (« Voilà pourquoi elle choisit Philippe ! Ahmed est trop gros pour elle. ») L’énorme manchon la terrifie. Elle ne se voit pas le recevoir. Non ! C’est irréalisable ! Il va la déchirer. Pourvu que le garçon le comprenne et ne tente pas une pénétration impossible. Sur le canapé voisin, le couple n’en est plus aux préliminaires. Philippe la verge pointée devant son ventre, s’avance entre les cuisses écartées de Line qui l’attire par les fesses. Par chance, Ahmed ne l’imite pas. Il attire Marjorie contre lui sur le côté et caresse la poitrine de la jeune fille tout en l’embrassant dans le cou. Malgré elle son regard est attiré par le sexe extraordinaire. Sa main s’avance, recule, hésite puis se pose sur la tige. Ahmed gémit et tortille un téton en guise de remerciement. Elle tire sur la peau, décalottant le gland. Impossible de le prendre en bouche, regrette-t-elle.
Philippe baise Line à grands coups de rein. Leur jouissance manifeste est contagieuse. Ahmed se penche pour sucer un tétin qui grossit sous sa langue pendant que Marjorie manchonne la hampe à deux mains tout en se désolant de ne pouvoir en faire plus. Les gémissements s’amplifient, montent dans les aigus, pour finir en apothéose dans un gargouillis incompréhensible. Marjorie envie la jouissance de Line. « J’espère qu’elle me le prêtera ! » Elle rougit d’avoir cette pensée pendant qu’elle tient une autre queue. Puisqu’elle ne peut pas recevoir en elle cette monstruosité, elle s’efforce de compenser en activant sa masturbation. A sa grande surprise, Ahmed se dégage. — Merci pour la caresse, lui souffle-t-il à l’oreille. La jeune fille n’en croit pas ses yeux. Les deux hommes se lèvent et échangent leur place. Philippe l’enlace tandis qu’Ahmed s’agenouille entre les cuisses écartées de Line et s’amuse à mordiller son petit bouton sensible. Il se redresse, la queue pointée. Marjorie pétrifiée par la surprise, voit l’énorme engin s’approcher de la chatte que Line ouvre avec les doigts. — Elle va pas… c’est impossible…— Si, lui souffle Philippe à son oreille. Je l’ai bien préparée. — C’est impossible…
Le gland commence à écarter les chairs. — C’est impossible…Il s’enfonce. Les fesses d’Ahmed cachent le spectacle. Marjorie recherche sur le visage de Line une crispation, un rictus de douleur. Rien… Si ! Un sourire extatique !
— Je te le disais, je l’ai bien préparée, insiste Philippe qui introduit la main entre les cuisses de la jeune fille. Elle se laisse caresser. Instinctivement ses doigts se referment sur la queue humide. Elle la sent grossir. Elle se penche pour la prendre en bouche. Elle reconnaît la saveur de sa cousine. Cela la fait frémir. Philippe qui a récupéré de ses efforts la retourne comme une crêpe, le ventre contre le canapé. Une grosseur douce s’insinue entre les globes fessiers. — Tu veux bien…Elle tend le cul en signe d’acceptation. Une main écarte ses fesses, un doigt titille l’anus, tourne autour, s’enfonce un peu. Maintenant c’est le gland qui prend sa place, devine-t-elle. Elle sent la poussée, s’ouvre devant l’intrus. — Aah ! Philippe s’enfonce. Ses testicules butent contre les fesses. Ils restent un instant immobile. Puis le garçon glisse une main sous le ventre et chatouille le clitoris. — Aaah ! soupire-t-elle. Une main sur le sexe et une queue dans le cul, c’est ce qu’elle préfère. Elle rend grâce à Philippe de l’avoir deviné. Sur l’autre canapé, Line gît écartelée, Ahmed entre ses cuisses qui la perfore de ses coups de reins puissants. Elle sourit à Marjorie qui n’en revient pas. Comment fait-elle pour supporter l’énormité ? Philippe parlait de préparation. Pourrait-elle elle aussi être « préparée » ? D’imaginer une telle grosseur dilater sans douleur son postérieur la conduit à un orgasme aussi soudain qu’inattendu à ce stade de l’étreinte. — Ouiii !… Aaah ! — Mmmh !… ton cul est… Arrggh ! marmonne Philippe que les contractions du sphincter sur sa verge portent au septième ciel. Les deux couples grognent, soupirent en cœur, chacun s’enfermant dans sa bulle de plaisir…
— Ça t’a pas fait mal ? s’étonne Marjorie dans la salle de bain où Line l’accompagne. — Non. Tu sais, c’est merveilleux de sentir son ventre se dilater ainsi, mais t’as vu, je prends des précautions. Il n’est pas question qu’Ahmed me fasse l’amour tout seul. Ma chatte doit être préparée. On a déjà essayé, sans succès. — C’est le pourquoi de Philippe n’est-ce pas ? Et avec un gode ? T’as pas expérimenté ? — J’aime pas. — Tu préfères la queue de Philippe n’est-ce pas ? Line baisse la tête en rougissant. — N’aie crainte, je te l’enlèverai pas. Revenons au salon, ils doivent se demander ce que nous fabriquons. Les deux garçons sirotent un ballon d’alcool. — Vous en voulez ? propose Philippe. — Non, merci, du jus de fruit s’il te plaît. Ahmed s’empresse d’aller chercher une bouteille au réfrigérateur et remplit leur verre.
— Vous ne savez pas ce qu’Ahmed souhaite ? interroge Philippe au bout de quelques minutes de silence. — Vas-tu te taire ! s’insurge celui-ci. — De quoi s’agit-il ? demande Line. Peut-être pourrons-nous le satisfaire. — C’est exactement ce que je lui ai dit, s’amuse Philippe. — Mais encore ? — Il aimerait que vous vous caressiez… Hé laisse-moi ! dit-il à Ahmed qui tente de le faire taire, elles ont le droit de savoir… Oui, je disais qu’il brûle d’assister à vos ébats. — C’est pas vrai ! s’insurge Ahmed. — Oh ce culot ! Qui m’a dit que les deux cousines feraient un charmant tableau ? — Peut-être, mais c’est après que t’en aies fait la suggestion. — Vous être deux de gros cochons, sourit Line. Les deux filles se regardent. Elles se comprennent. Les hommes méritent une récompense. — J’espère qu’après, ils nous laisseront tranquille, déclare avec tout le sérieux possible Line qui entraîne Marjorie vers le canapé. Les hommes se resservent du cognac et s’installent confortablement sur l’autre canapé face au couple féminin. C’est la première fois depuis les vacances d’hiver au chalet de Bernard que Marjorie caresse sa cousine en public mais ses hésitations tombent dès que la langue de Line se fraye un passage dans sa bouche. Au bout de quelques minutes, les deux filles oublient les spectateurs et se lancent à corps perdu dans un brûlant échange de baisers. Tout y passe, suçons sur les seins, caresses clitoris contre clitoris, pénétrations digitales, pour terminer, tête-bêche, chacune procurant du plaisir à l’autre. Les garçons contemplent le couple les yeux brillants. Ils se rapprochent, leurs cuisses nues se touchent. Entraîné par l’atmosphère érotique, Philippe pose la main sur la verge d’Ahmed pendant que celui-ci caresse la nuque de son ami.
Après avoir éprouvé plusieurs jouissances, les deux filles se dénouent. — Alors ? Ça vous a plu ? interroge Line. — C’était charmant, acquiesce Ahmed. — De toute beauté ! renchérit Philippe. Marjorie se penche à l’oreille de Line. Celle-ci écoute. Un large sourire illumine sa figure. — Ça c’est une idée !… A votre tour de nous faire plaisir messieurs ! — Que faut-il faire ? — Nous rendre la pareille ! — Quoi ? Ahmed s’écarte vivement de son ami dont la main quitte à regret le sexe dressé. — Vous voulez que… Oh non ! Pas Philippe et moi…— Ce ne serait que justice, intervient Marjorie. Vous nous avez forcées de faire…— Forcées, le mot est fort, interrompt Philippe. — Je te l’accorde. Disons qu’après vous avoir laissé admirer nos ébats entre filles, il est juste qu’à notre tour nous nous délections du spectacle de deux hommes faisant l’amour. — Et ne dites pas que vous ne l’avez jamais fait ! renchérit Line pour couper court aux récriminations… Allez ! Un peu de courage ! Et l’égalité homme-femme, hein ? Qu’en faites-vous ? L’argument de Line amène un sourire sur les lèvres de Philippe. Elle a raison pense-t-il, où serait l’égalité des sexes ?
A suivre...
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