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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 4

Inceste
IV. – Révélations et plaisirs partagés.
Maxime sortit en compagnie de Lisa et Eveline qui lui tenaient chacune un bras et il leur ouvrit les portières de sa voiture avant de prendre place au volant. Eveline était assise à côté de lui, à l’avant et Lisa avait pris place derrière eux.
— Alors la « cousine », la soirée t’a plu ? Demanda Maxime un petit sourire aux lèvres.— C’était super, je reviendrai avec Eveline autant que possible.— Et toi, Eveline, tu te rappelles de ta première soirée au club ?— Oh, mon dieu, oui ! Comme si c’était hier, répondit-elle en posant une main sur sa cuisse. On a passé trois heures à faire l’amour tous les deux…— On a beaucoup parlé aussi, tu te souviens ? Je sortais de mon deuxième divorce et je t’ai raconté toute ma vie.— Oui, hi hi, c’est vrai ; je trouvais ça mignon. J’avais l’impression que tu tombais amoureux mais, ceci dit, en ce qui me concerne, ce n’était pas mieux. Je me suis lamentée sur les humiliations que me faisait vivre mon mari infidèle. On a même parlé de nos enfants et je me rappelle encore des prénoms des tiens : Simon, David et Sarah, ajouta-t-elle avant de blêmir.— C’est exact et les deux tiens c’est Lisa et Théo. Mais, ne vous inquiétez pas les Chéries, je ne vais pas trahir votre secret. Bien sûr que j’aurais pu être choqué mais, franchement, voir une telle liberté et une telle complicité entre une mère et sa fille, ça m’a plutôt excité. Et d’avoir pu faire l’amour avec les deux, alors là ! C’est la cerise sur le gâteau.— Tu nous promets que tu ne diras rien à personne ? Demanda Eveline anxieuse tandis que Lisa se sentait de plus en plus mal.— Mais bien sûr, ma belle ! Répondit Maxime en reposant une main apaisante sur la cuisse d’Eveline. Pour qui tu me prends ? Je t’aime beaucoup trop pour vous faire du tort. Par contre, je te félicite parce que tout le monde y a cru, mais Georges est un bavard et, si j’étais toi, j’en parlerai rapidement avec Karine et André.— Merde ! J’n’avais pas pensé à ça.— Tu n’es pas obligée de leur dire que tu couches avec Lisa.— Sauf que tout le monde nous a vu nous caresser et nous embrasser sur la piste de danse, intervint Lisa, et ça n’a sans doute pas échappé à Georges ou à d’autres.— C’est la merde… conclut Eveline désemparée.— Allons ! Il n’y a pas mort d’homme ! S’exclama Maxime rassurant. Vous êtes toutes les deux majeures et vaccinées alors vous pouvez bien faire ce que vous voulez et Karine est une femme très compréhensive. Tu la connais bien alors trouve les mots pour lui en parler ; elle comprendra, j’en suis certain.— Et André ?— Tu parles ! Je connais André depuis plus de trente ans ! Avant même qu’il soit avec Karine, nous sommes de la même promo. C’est un cocu content ; il n’a aucun avis personnel et suis toujours celui de sa femme.— Hi hi, t’es con ! Mais t’as raison. Il est un peu comme l’autre gars qui filmait sa femme en train de se faire tringler comme une salope dans l’alcôve…— Il l’a déjà fait, d’ailleurs… Et je l’ai même vu sucer les bites des amants de Karine pour les faire rebander.— Oui, moi aussi… Tu as raison, Karine comprendra si je lui explique bien. Ils ne sont pas là ce week-end, mais je l’appellerai demain sur son portable.— Personne d’autre ne connait ton âge et les noms de tes enfants, Maman ?— Tu sais, Chérie, il est bien rare de parler de ça en club échangiste. Tout au plus, les gens parlent de leur boulot sans aller trop loin et après ils se draguent plus ou moins finement. Toi qui as parlé longtemps avec Pierre, tu sais ce qu’il fait ? Est-il marié ou divorcé ? As-t-il des enfants ? Sais tu même son âge ?
— Non, je ne sais rien de tout ça…  On a parlé que de cul.— Tu sais, Lisa, quand on voit ta mère, on ne lui donne pas beaucoup plus que trente ans, même à poil. Pas une ride, pas un pli, elle conserve un corps de déesse. Alors votre petit mensonge est bien passé, même auprès de Georges qui est aussi naïf que gentil. N’ayez aucune crainte. Voilà ! Vous êtes arrivées mes jolies.— Tu veux bien monter un peu ? Demanda Eveline. Je dois avoir des bulles au frais.— Ton fils n’est pas là ?— Normalement non, il fête ses dix-huit ans avec des copains et il a dit qu’il ne rentrerait peut-être pas.— Et sinon, je m’en occuperai pour vous laisser tranquilles, ajouta Lisa évasive.— Parce que ton frère et toi…?— C’est purement sexuel, se défendit Lisa, comme avec Maman, mais il a une très grosse bite qui fait peur à ses copines alors je l’ai dépucelé pour son anniversaire. J’imagine que ses copains ont essayés de le mettre dans les bras d’une meuf mais si ça c’est mal passé, il sera rentré pour se réfugier dans je ne sais quel traité de physique ou je ne sais quoi… Il me fait de la peine en vrai.— Tu fais l’amour par charité, alors ? Demanda Maxime amusé en fermant sa voiture.— Pas seulement, je le fais aussi parce que j’en ai envie et que c’est ce qu’on peut faire de mieux avec ceux qu’on aime, comme une mère, un frère ou sa meilleure amie.— Tu préfères les hommes ou les femmes ? Demanda Maxime curieux alors qu’ils attendaient l’ascenseur.— Pour vivre avec, je crois que je préfère les femmes mais pour jouir de la chatte ou du cul, les hommes, c’est quand même ce qui se fait de mieux. Surtout quand ils sont aussi endurants que ceux que j’ai rencontrés ce soir.
En entrant dans l’appartement, Lisa se rendit discrètement vers la chambre de Théo pour voir s’il était rentré ou pas. De la lumière filtrait sous la porte qu’elle ouvrit doucement. Il dormait à poing fermés, nu et à peine couvert par son drap. Il était sur le ventre  son bras droit pendait vers le sol ou trainait un livre tombé encore ouvert. Sans le réveiller, Lisa remit le drap sur son joli corps musclé, embrassa ses cheveux et éteignit la lumière en sortant.
— Il est là et il dort comme un bébé. Je bois un coup avec vous, les amoureux et je vais me coucher avec lui.— Mais ! Se défendit Eveline en rougissant, on n’est pas amoureux.— Maman, tu mens presque aussi mal que moi et, pour être franche, ça me fait plaisir de te voir comme ça. Quand à toi, Maxime, ça crève les yeux et je pense que ça fait cinq ans que tu l’attends. Alors trinquons à l’amour, profitons de cette fin de soirée et j’irai me glisser dans le lit de Théo quand vous irez vous coucher.— Ça ne te choque pas que je mette un autre homme que ton père dans mon lit ?— Maman ! Papa te trompe depuis des années. Il t’a toujours trompée. Il t’a humiliée, a humilié Théo tandis que moi, il me traitait comme une petite princesse. J’étais très jeune, naïve et encore amoureuse de lui, sans doute, mais j’ai ouvert les yeux le jour où j’ai vue cette photo dans Diapason où il était avec une femme prétendument la sienne alors que ce n’était pas toi.— Depuis tout ce temps tu le hais ? Tu avais dix ans à peine.— Si tu savais ! Le dernier truc qui le fait bander, outre le cul de Pauline, c’est l’espoir de rester son amant pour pouvoir me sauter grâce au contrat qu’on a passé entre nous. Excuse-moi, Maxime, mais tu ne dois rien comprendre alors je vais t’expliquer qui est Pauline pour moi et comment il se trouve qu’elle a pris l’avion ce matin avec Papa.
Après une explication précise, Lisa reprit.
— Il y a des jours où j’ai l’impression que Pauline ne comprend rien, un peu comme Papa, et qu’elle prend la vie à la légère mais la vérité, c’est qu’elle n’avait pas envie d’avoir un enfant de Papa avant de savoir que c’était mon père. Elle voulait juste coucher avec lui une nuit et puis basta. C’est quand elle l’a su qu’elle a décidé d’avoir un enfant qui partage la moitié de son patrimoine génétique avec moi. J’ai été touchée, j’ai pris ça pour de l’amour et j’ai eu la faiblesse d’accepter. J’avais le stupide espoir que Papa refuse mais il s’en moque pas mal. Pire ! Il a dit à Pauline qu’il n’y avait rien de meilleur que d’engrosser une gamine. Ça ne lui pose aucun problème. Je crois qu’il espère te remplacer par Pauline pour pouvoir coucher avec moi à sa guise, me faire l’amour et jouir avec moi. Il me dégoûte, Maman si tu savais… Mais j’ai trouvé une parade.— Comment ça ?— Papa rêve d’un amour partagé avec moi mais moi, je ferai toujours en sorte qu’il me force et me fasse mal. Plus il me fera mal et plus je le haïrai et le lui ferai savoir jusqu’à ce qu’il comprenne. Je lui en ai donné un avant goût ce matin quand il est venu chercher Pauline. Soit disant, il voulait m’embrasser avant de partir alors il est monté jusqu’au studio et Pauline n’a pas réussi à l’empêcher d’entrer. Moi, j’étais à poil mais il ne m’a même pas laissé le temps d’enfiler ne serait-ce qu’une culotte et un t-shirt. Il m’a pris dans ses bras et, sans se gêner, il m’a peloté les fesses et m’a mis ses doigts dans le cul.— Là, c’en est trop ! Dès qu’il rentre, je demande le divorce. Après tout, Théo et toi vous êtes majeurs maintenant, alors je peux bien reprendre ma liberté !— Alléluia ! S’écria Lisa en souriant. Enfin une bonne nouvelle.— Tu l’as giflé, j’espère !— Absolument pas, je suis rentrée dans son jeu et je lui ai dit qu’il n’avait qu’à m’enculer vite fait, puisqu’il en avait envie. Il est rentré d’un coup, sans préparation et sans se soucier de mon plaisir, comme je lui avais suggéré. Tout ce qui comptait pour moi c’est que ce soit rapide et violent. Cette andouille n’a même pas trouvé ça curieux et il m’a explosé le trou du cul. J’n’ai jamais eu aussi mal. Je chialai mais il ne le voyait même pas, ce con !— Mais pourquoi t’a fais ça, Demanda Maxime en grimaçant.— Parce que je veux qu’il prenne conscience du mal qu’il a fait à Maman, à Théo et par conséquent à moi aussi. Je veux qu’il ait des remords et qu’il en souffre. Je veux le voir ramper à nos pieds pour nous demander pardon et s’humilier avant de quitter nos vies pour toujours. Avoua la jeune fille en larmes.— Ma Chérie, dit Eveline en la serrant contre elle. Je ne veux pas que tu te fasses du mal pour nous, ça n’a pas de sens. Ma décision est prise ! Je vais le quitter. J’ai quinze jours pour nous trouver un appartement à louer et mettre en vente les deux d’ici.— Tu n’as pas besoin de la signature de Papa pour ça ?— Mais non, puisqu’ils sont à moi. On doit arrêter de souffrir tous les trois. On vous trouvera autre chose pour Pauline et toi.— Si je reste avec elle… Maxime, tu prendras soin de Maman, n’est-ce pas ?— Bien sûr, ma belle, tu peux compter sur moi et je ferai tout ce que je peux pour vous aider. En fait, j’ai une très grande maison et je pourrais vous accueillir sans difficulté ; j’ai juste besoin d’en avertir mes enfants.— Non, Maxime, c’est gentil et je sais ce que tu éprouves pour moi, mais dans notre contexte ce serait trop précipité. Je veux régler mes problèmes avant mais ça n’empêchera pas que nos familles se rencontrent et fassent connaissance.— Tu as raison et puis, je t’attends depuis si longtemps alors je peux bien patienter encore un peu. En plus, on a plein de choses à discuter tous les deux pour bien démarrer ensemble.
Eveline étreignit amoureusement Maxime en disant qu’elle aurait dû prendre cette décision plus tôt et en avouant qu’elle aimerait vraiment refaire sa vie avec lui. Lisa en fut troublée et les embrassa tous les deux en disant à sa mère qu’elle avait gagné le droit d’être heureuse. Ils restèrent enlacés quelques minutes et, se sentant apaisés, burent une dernière coupe. Lisa se sentant vraiment fatiguée et un peu de trop, les laissa à leur amour naissant pour aller se coucher avec son frère. Elle aurait pu aller dans sa chambre mais elle avait besoin de sentir sa présence. Elle entra à pas de velours et retira son vêtement minimaliste avant de se coucher nue contre Théo qui l’enlaça dans son sommeil.
Lorsque Lisa ouvrit les yeux, son frère était déjà debout et installé à son bureau. Elle s’étira, il l’entendit bailler et se tourna vers elle.
— J’ai eu une belle surprise à mon réveil mais je pensais que tu te réveillerais plus tard, vu la chose qui traine par terre, j’imagine que ta soirée a été longue et mouvementée… T’en as même perdu ta culotte.— Je n’en portais pas et j’ai passé une excellente soirée pleine de surprises, mais on n’est pas rentré si tard que ça en fait, il était à peine plus de minuit. D’ailleurs, j’ai été surprise de voir que tu dormais déjà. Ce n’était pas bien pour toi, c’est ça ?— Pas trop… Enfin, si c’était bien mais ça c’est mal terminé. On était une dizaine ; on a mangé, bu des coups, c’était cool. Max, Karim et leurs meufs m’ont présenté à une nana super bonne et très cool avec qui j’ai tout de suite accroché. Le courant passait bien alors on est sorti ensemble et elle a très vite eu envie de passer la seconde. Du coup on a quitté la fête et elle m’a embarqué chez elle. Il était dix heures et, à dix heures et demie, elle s’excusait de me mettre à la porte en m’expliquant qu’avec ma bite ça n’allait pas le faire. J’étais trop dégouté pour retourner à la teuf alors je suis rentré.— Mon pauvre Chéri, viens me faire un câlin. J’ai plein de trucs à te raconter qui vont sans doute te faire plaisir.
Théo retira son t-shirt et son caleçon avant de se glisser sous les draps avec sa sœur qui l’embrassa aussitôt. Elle lui raconta en détail sa journée de la veille depuis la venue de leur père chez Pauline jusqu’à la décision prise par leur mère durant leur fin de soirée avec Maxime.
— Yes ! Ça c’est chouette ! Il m’avait bien semblé entendre deux ronflements en passant près de la chambre de Maman. Enfin, elle a trouvé un nouveau mec ! Là, c’est une journée qui commence bien ! Il est comment ? Il est sympa ?— Oui, très ! Et en plus, il est bien foutu et c’est un bon coup. Et, tu sais quoi, il est presque aussi bien monté que toi.— Il t’a sautée ?— Evidemment, puisque je t’ai dit qu’on avait partouzé avec quatre hommes et il en faisait partie. Pour en revenir à sa personne, je peux te dire qu’il doit avoir à peu près dix ans de plus que Maman, qu’il est roux et très patient.— Comment tu peux savoir un truc pareil ? Très patient ! Tu le connais à peine.— Oui, mais durant nos discussions, j’ai tout de suite compris que ça faisait cinq ans qu’il attendait Maman ou, plus exactement, le moment où Maman ne serait plus amoureuse de Papa. Mais, comme tu dis qu’ils dorment encore, tu vas le voir et tu te feras ton idée.— Et alors, ces clubs, c’est bien ?— Oui, c’est plein de vieux mais c’est bien. Tu devrais essayer ; tu aurais un franc succès avec le truc que je sens contre mon ventre.— Excuse-moi mais quand je suis comme ça contre toi, je bande.— C’est très bien, j’adore ça. Fais voir, que je m’en occupe un peu, répondit Lisa en se glissant sous le drap.— Ooooh… La nana d’hier soir, même ça elle n’a pas voulu.— Oublie la, tu as ta sœur qui mouille pour ta grosse bite et Maman, si elle la voit, elle ne pourra pas se retenir.— Maman a un nouvel amoureux… Tu crois qu’elle le tromperait avec moi ?— Peut-être ; ils se sont rencontrés en club alors c’est possible. Je ne sais pas pourquoi mais je ne les vois pas vivre autrement qu’en couple ouvertement libertin.— Ooooh… putain, c’est bon c’que tu m’fais, j’en reviens pas. Mmm, oui…
Lisa suça la belle queue de son frère pendant quelques minutes puis elle l’enfourcha directement. Sa chatte se souvenait sans doute de sa dilatation extrême de la veille au soir car l’énorme pieu s’enfonça d’un coup jusqu’à la garde.
— Ouh ! C’qu’il est balaise… C’est… Aaaah… C’est magique.— Putain, frangine, ça ne t’a pas fait mal ?— Oh non, au contraire. Aaaaah… Elle me remplit exactement comme il faut.
Comme la première fois, Lisa guida son frère, l’encouragea à prendre un peu d’initiative et l’incita à faire preuve de fantaisie. Théo se montra très réceptif à ses conseils et très attentifs au plaisir de sa sœur. Il avait en tête diverses positions vues dans des pornos et se décida à en essayer quelques unes avant de se décider pour celle qui leur convenait le mieux. Lisa était contente de le voir prendre de l’assurance et elle en jouissait d’avantage. Elle poussait à chaque pénétration de puissants gémissements qui reçurent rapidement un écho en provenance de la chambre d’Eveline. Pour Théo, les cris de plaisirs conjugués de sa sœur sous lui et de sa mère dans la chambre voisine eurent l’effet d’un coup de fouet. Son rythme se fit plus rapide, il soufflait comme un bœuf, et, quand ils entendirent Eveline jouir, ils s’accrochèrent l’un à l’autre, terrassé par un orgasme colossal.
— Je crois qu’on a fait une connerie, dit Lisa en se remettant doucement.— Comment ça ? Parce que Maman et son mec nous ont entendus ?— Mais non, grosse patate ! C’est juste qu’on n’a pas fait gaffe et que j’ai oublié de te rappeler de ne pas éjaculer dans ma chatte.— Merde ! Le con ! Pardon, Lisa ! J’aurai dû m’en rappeler. Qu’est-ce qu’on va faire ? Je… je suis vraiment désolé.— Ça va, ne t’excuse pas ; de toute façon, c’était tellement bon que je ne l’aurais pas laissée sortir et puis, normalement, je ne suis plus dans une période favorable. On sera fixés d’ici deux jours.— Pourquoi ça ? Pourquoi deux jours ?— Parce que j’aurais mes règles, nigaud. On ne t’apprend pas ça dans tes bouquins ?
Lisa se leva et comme elle n’avait aucun vêtement dans la chambre de son frère, elle repassa la robe qu’elle portait la veille pour se rendre dans la cuisine.
— Tu viens avec moi, mon amour, dit-elle à son frère, je vais me faire un petit-déj’.— Habillée comme ça ? Je ne vais pas pouvoir débander si j’ai ton cul sous les yeux.— Je t’apprendrai à me la mettre par là aussi, alors.— Ne dis pas ça, il va encore falloir que je me la coince dans la jambe du jean.— Tu ne vas pas mettre un pantalon ! Tu seras mieux en caleçon et en t-shirt.— Pour que tout le monde voit ma bite, merci !— Toutes les personnes dans cette maison sont adultes et en ont vu d’autres. Et ta bite peu impressionner tes copines mais certainement pas dégoûter, crois moi !
Théo céda à sa sœur qu’il suivit dans la cuisine. Elle prépara du café en pensant que Maxime devait en prendre, se fit un thé et Théo se servit un bol de chocolat chaud.
— C’est malin ! dit-il à sa sœur, regarde ! Elle sort par l’élastique. Heureusement que j’ai un t-shirt un peu long mais ça se voit quand même.— Moi je trouve ça plutôt excitant, lui répondit Lisa en caressant la partie visible qui remontait bien droite jusqu’au nombril. Tu n’as pas à en avoir honte et puis, comme tu dis, ton t-shirt descend suffisamment bas.— Oui, ce n’est pas comme ton truc, ça t’arrive au raz du cul. Répondit Théo en lui caressant les fesses.— Mmm, ça sent bon le café, déclara Eveline en entrant dans la cuisine juste vêtue d’un long t-shirt. Oh, Lisa ! Tu n’avais rien d’autre à te mettre ? Ajouta-t-elle avant d’embrasser sa fille sur la bouche et son fils sur la joue.— Pas dans la chambre de Théo et j’avais trop faim pour aller fouiller dans ma valise tout de suite. Mais, très franchement, vu que tout le monde dans cette maison me connait en détail, je ne vois pas où est le problème. T’aurais bien pu faire la même chose plutôt que de te draper dans ce truc hideux de Papa. Tu serais plus jolie.— Ça c’est bon argument, ajouta Théo amusé. Tu pourrais même le mettre directement à la poubelle que ça ne manquerait à personne.— C’est ce que je lui ai dit quand je l’ai vue enfiler ce truc, déclara Maxime en entrant à son tour. Tu es splendide Lisa… mais pardon, jeune homme, je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Maxime et vous, vous êtes Théo ; votre mère m’a beaucoup parlé de vous. Enchanté !— Enchanté, répondit Théo mal à l’aise avec le vouvoiement. Je… enfin, puisque vous êtes, disons, intime avec Maman et Lisa, je préfèrerais que l’on se tutoie ; si ça ne vous ennuie pas, bien entendu ! S’empressa-t-il de rajouter.— Oh non, ça ne m’ennuie pas du tout, bien au contraire ! Mais je préférais que tu le demandes ; je débarque dans ta vie comme ça, du jour au lendemain, et je ne voudrais pas que tu me trouves incorrect envers toi.— Mmm, quelle attention délicate mon Maxou. Dit Eveline en l’embrassant amoureusement. Et comme tout le monde semble du même avis, je vais me changer. Il n’y a pas de raison pour que seule Lisa fasse bander les hommes !
Eveline partie, Lisa embrassa Maxime sur la bouche et lui proposa de s’asseoir à table. Elle lui servit une grande tasse de café en se penchant bien pour lui montrer son cul et son manège n’échappa pas à Théo qui en banda d’avantage. Bien que tenté, le quinquagénaire se retint de porter la main à ce qu’il avait sous les yeux mais sa bite finit par prendre toute sa dimension et sortit d’elle même par l’ouverture de son slip kangourou. En retournant s’asseoir devant sa tasse, Lisa passa près de son frère qu’elle embrassa avec passion et glissa ses doigts sous son t-shirt pour caresser sa grosse verge avant de la faire passer au dessus du vêtement.
— Eh ! Lisa arrête !— Quoi, mon Chéri, tu voudrais être le seul à ne rien montrer ? Ce ne serait pas juste que, Maman et moi, on te montre nos chattes et que toi, tu ne montres pas ta jolie bite.— Crois moi, Théo, ta mère va adorer ; les femmes aiment quand on bande pour elles.
Théo ne savait plus où se mettre et ne savait que répondre, d’autant plus que la grosse bite de Maxime était bien visible, mais sa confusion fut totale lorsqu’il vit sa mère revenir dans la même tenue que sa sœur. Eveline rougit en voyant la dimension impressionnante du sexe de son fils et s’assit devant une tasse de thé en tentant de masquer son trouble.
— Ça ne va pas, Maman ? Tu ne trouves pas que c’est une journée magnifique qui commence ?— Elle est troublée, expliqua Maxime en posant sa main sur celle d’Eveline, tu ne vois pas ?— C’est… C’est une magnifique journée, excusez moi… bredouilla Eveline— Je… je peux retourner dans ma chambre ? Demanda Théo dont la bite avait encore grossi. J’ai besoin d’enlever mon caleçon…— Non, reste ! Tu… tu n’as rien mangé, Chéri, lui répondit sa mère. Tu peux le retirer ici… s’il te serre trop.— Si ça peut t’aider, je veux bien me mettre à poil aussi, lui dit Maxime en retirant son t-shirt et son slip. Moi aussi je me sentirai plus à l’aise.
Théo admira le corps bien conservé de l’amant de sa mère et remarqua que sa bite n’avait vraiment rien à envier à la sienne. Sans être spécialement attiré par les hommes, il le trouva très beau et en fut encore plus troublé. Il prit une profonde respiration, ferma les yeux et retira lui aussi son t-shirt et son caleçon. Il restait debout, son cœur battait très fort et il se sentait incapable de bouger. Lisa se leva pour le prendre dans ses bras et lui déposa un tendre baiser sur la joue dans l’espoir de calmer ses émotions.
— Ça va aller, mon Chéri, lui dit-elle en lui caressant la poitrine. Tu es un peu anxieux mais on est juste entre nous ; tu n’as rien à craindre. Il ne se passera rien si tu ne le veux pas. Personne ne contraindra personne, ne t’inquiète pas… Assis toi, tout va bien.— Je… je vous aime, bredouilla Théo en reposant ses fesses sur sa chaise.
La tension sexuelle était à son comble entre Théo et sa mère, et les seuls à contrôler encore quelque chose étaient Lisa et Maxime qui choisirent de s’en amuser.
— Tu sais, Lisa, je ne vois que deux solutions : soit la douche froide, soit…— Soit on va les border. Mais c’est sûr que si on n’intervient pas, ils vont craquer dans la cuisine et sa va faire désordre. Hi hi ! Alors que dans un lit…— Vous n’allez pas faire ça…— C’est la seule solution, ma Chérie, lui répondit Maxime, sinon ça va te hanter toute la journée.— Ça ne te choquera pas ? Ce… ce n’est pas rationnel et… Je t’aime, ça n’a rien à voir.— Je sais, ma Chérie, c’est comme avec Lisa. Pense à ce qu’on a dit ce matin, détends toi et laisse toi guider.— Emmène la dans la chambre, on vous suit avec Théo. Viens Chéri, vous en avez envie tous les deux ; vous ne ferez rien de mal.
Maxime guida Eveline jusqu’à son lit, il l’aida à s’allonger sur les draps défaits et Lisa accompagna doucement son frère vers les bras de sa mère. Théo l’embrassa d’abord timidement puis avec fougue et Eveline lui rendit ses baisers et caresses avec autant de passion. Il était attiré par tout le corps de sa mère qu’il couvrit de baisers en lui retirant sa robe ajourée. Eveline était parcourue de frissons délicieux qui la faisaient se tordre de désir et de plaisir. Elle se cambra en fermant les yeux lorsque la bouche de Théo partit explorer sa chatte. Il la léchait sur toute la longueur de sa vulve ; sa langue écartait ses lèvres humides et s’enfonçait dans sa grotte encore souillée de son coït matinal. Théo se repaissait de ses secrétions vaginales et mit un petit moment avant de réaliser qu’il avalait aussi le sperme de Maxime. Loin de l’arrêter dans son cunnilingus, il s’en montra encore plus gourmand. Eveline posa ses mains sur sa tête en écartant largement les cuisses. Elle gémissait de plaisir et se mit à bouger son bassin quand un doigt vint soutenir le travail de la langue. Théo lui tétait le clitoris tandis que ses doigts excitaient sa matrice. Eveline jouissait de la bouche de son fils sous les yeux de Maxime et Lisa qui se tenaient de part et d’autre du couple incestueux. Elle se tordit une nouvelle fois de plaisir puis elle attira Théo sur elle pour qu’il la pénètre enfin. Il n’osa pas exprimer sa crainte de lui faire du mal mais il la pénétra avec beaucoup de délicatesse.
— Ooooooooh… Mon Chéri… Gémit-Eveline, que c’est bon.— Oh, Maman, je… je suis tout entier en toi.— Oooh… Oh oui, Chaton, comme ça, c’est bon. Aaaah…
Théo allait et venait dans la chatte de sa mère avec force et passion. Il voulait profiter de cet instant merveilleux et prenait plaisir à regarder le visage radieux de sa mère. Eveline prenait un plaisir immense qui se lisait sur son visage, dans la lueur de ses yeux et l’éclat de son sourire.Maxime et Lisa était tellement captivés qu’ils ne se touchaient pas et ne cherchaient pas, non plus à se rapprocher. La beauté de l’accouplement qui se déroulait près d’eux suffisait à leur plaisir. Eveline eut un premier orgasme assez fort pour lui arracher un cri strident qui inquiéta Théo.
— Aaah ! Aah, non, mon Bébé, je jouis… Aaaah, Maman joui, mon chéri.— Ooh… Je… je veux jouir avec toi, Avoua Théo en accélérant ses mouvements de bassin.— Oooh ! Oui ! Aaah ! Ah oui ! Aah ! Encore ! Aaah oui ! Baise moi fort ! Baise Maman, mon Bébé. Aaaah ! — Aaah ! Maman, je… Aaah !— Oh oui, Chéri ! Vas y ! Aaah ! — Aaah, je… je jouis, Maman. Aaah ! Ooooh ! Ooh oui ! Oooh… Mmm… Oooh ! Mmm… J’ai joui, Maman… Déclara Théo en s’allongeant sur sa mère. J’ai joui dans ton ventre…— C’était délicieux, Chéri et tu pourras recommencer de temps en temps. Et vous mes chéris, pourquoi vous n’avez rien fait tous les deux ?— Te voir prendre du plaisir me suffisait, expliqua Maxime en caressant les cheveux d’Eveline.— Vous étiez vraiment très beaux, confirma Lisa, et puis, je me suis dit que Maxime aimerai peut-être te montrer encore son amour. Je suis tellement contente pour vous.— Moi aussi, déclara Théo en se retirant. Jusqu’à ce matin, j’aurais aimé devenir ton amant, te retirer des griffes de Papa et te rendre vraiment heureuse mais, en fait, Maxime fera ça beaucoup mieux que moi.— Et avec ma totale bénédiction, ajouta Lisa en serrant son frère dans ses bras. Je me charge de satisfaire tes besoins, frangin.— Avec plaisir mais là, il va falloir attendre un peu…— Quand tu auras fini ton petit déjeuner et mangé tes tartines, je suis certaine de trouver les arguments qu’il faut. Viens ! On les laisse, finit-elle en chuchotant à l’oreille de son frère.
Ils quittèrent la chambre en même temps que Maxime pénétrait la chatte encore chaude d’Eveline et en entrant dans la cuisine ils entendirent leur mère gémir.
— Je ne sais pas comment elle fait, s’étonna Théo en réchauffant son chocolat. Elle vient de jouir avec moi et elle remet ça…— Les femmes ne sont pas faites comme les hommes, mon Chéri, nos orgasmes ne se concluent pas par une éjaculation qui met un terme à nos capacités. Maman a eu trois beaux orgasmes avec toi tout à l’heure et toi un seul.— Ah oui, mais quel pied ! Dit-il en s’asseyant face à Lisa. Excuse-moi mais, de faire l’amour à Maman, c’était vraiment trop bon ! Et donc, pour vous, c’est différent ?— Oui, un orgasme peut-être suivi d’un autre et d’un autre et ainsi de suite jusqu’à l’épuisement. Du coup, un homme fatigué peu laisser sa place à un autre vaillant. J’ai une théorie là dessus, mais c’est plutôt une sorte de fantasme. Je pense que, du temps de nos lointains ancêtres de la préhistoire, lorsqu’une femme ovulait, elle s’accouplait avec tous les mâles disponibles de son groupe sans se demander s’il s’agissait de son frère, son père, son oncle ou n’importe qui d’autre. Après, elle pouvait très bien avoir un compagnon par intérêt mutuel et pour veiller avec elle sur ses enfants.— C’est une théorie intéressante… Putain, je ne sais pas ce qu’il lui fait mais ça doit être intense.— Ils font l’amour avec un grand A. Lui expliqua Lisa en le regardant dans les yeux. Il l’a vue jouir avec toi et maintenant il lui montre qu’il est son mâle.— Et toi, c’est pour me montrer que tu es ma femelle que tu me caresses la bite avec ton pied ?— Peut-être bien… Ça te gêne ?— Oh non, c’est agréable ; tu peux continuer.— Non je voulais dire : est-ce que ça te gêne si je deviens ta femelle ?— Non, je veux bien être ton mâle mais, malheureusement, ça ne durera pas ; Pauline va revenir et tu retourneras auprès d’elle.— Ça, c’est l’avenir qui le dira… Ça te dirait de me la mettre dans le cul ?— Maintenant ?— Non, finis de manger d’abord et après on retourne dans ta chambre. Je vais t’apprendre à bien préparer un trou du cul.
Théo avala en vitesse sa dernière tartine et son bol de chocolat puis ils retournèrent dans son lit. Il n’était pas tout à fait ignorant en matière de sodomie car il l’avait pratiquée de manière passive avec Max et Karim un certain nombre de fois. Cependant, il écouta bien les conseils de Lisa qu’il suivit à la lettre. Il lui lécha longuement l’anus et en assouplit patiemment l’ouverture avec ses doigts jusqu’à ce qu’il s’ouvre bien. Il se redressa et pointa son gland vers le petit trou de sa sœur qui s’écartait les fesses. Il dut forcer un peu mais Lisa était suffisamment détendue et la rosette s’ouvrit pour le laisser passer. Lisa gémit et l’encouragea en le sentant s’enfoncer inéluctablement dans son rectum.
— Ça va Lisa ?— Ooh oui ; t’es au fond, c’est ça ? Mmm, c’est trop bon Théo.— Oh putain, j’encule ma sœur, réalisa Théo en se mettant en mouvement.
Il la prenait par derrière en la tenant par les hanches et sa bite allait et venait dans son étroit conduit. C’était chaud, bien serré et son plaisir était total. Lisa aimait bien les sodomies bien faites et Théo était très doué. Elles ne la faisaient pas véritablement jouir mais elles lui procuraient des sensations agréables et addictives qui s’accordaient bien avec une masturbation de son clitoris. Son frère la ramonait divinement bien, la remplissait et, en lui offrant son cul, elle avait le sentiment de lui appartenir entièrement. Théo bougeait de plus en plus vite, s’approchant à chaque aller et retour un peu plus de la délivrance. Lisa se livrait à une masturbation sauvage qui la fit jouir en même temps que Théo larguait sa sauce dans son rectum.
— Mmm, je t’aime Lisa… Déclara Théo en se blottissant dans ses bras. Tu… tu es ma femme.— Oh oui, Théo, je veux être ta femme… Je t’aime tellement. Et puis, je me sens bien dans tes bras ; je pourrais rester comme ça des heures.— Moi aussi, je suis bien quand tu es dans mes bras, et je voudrais que ça ne s’arrête jamais…
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