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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 5

Inceste
V – Aventures en parallèle.
Lisa ne répondit rien à la remarque de son frère mais elle aussi ressentait ce désir incompatible sa vie avec Pauline. Elle se serra plus fort contre le corps musclé de Théo et ils s’embrassèrent avec passion.
— On va devoir aider Maman, elle a besoin de nous. Alors, je ne te quitterai pas. Finit-elle par dire en perdant une larme. Elle et toi, vous êtes toute ma vie et Pauline n’y a pas sa place.— Lisa ?! Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi tu dis ça ? Tu pleures ?— C’est rien, ça va passer. Allons nous doucher. Tu prévois de bosser beaucoup aujourd’hui ?— Non, je veux être avec toi et je vais plutôt faire un effort pour me socialiser. Ça fera plaisir à Maman.
Une fois lavé, Ils s’habillèrent normalement et retrouvèrent Eveline et Maxime qui discutaient dans le salon.
— Théo, tu auras un peu de temps cet après-midi ?— Tout plein ! Justement, j’ai dit à Lisa que je ne prévoyais pas de me remettre à bosser avant lundi.— J’imagine que ta sœur t’a dit que j’ai décidé de quitter votre père et j’aimerais que vous veniez avec moi pour visiter des appartements. Si on veut vider les lieux avant quinze jours, il ne faut pas trainer.— Papa va être furieux, c’est cool ! Répondit Théo heureux. Tu peux compter sur nous pour t’aider.— Merci, vous êtes des amours… J’ai aussi quelque chose à vous demander. Ça vous ennuierait si Maxime restait là ce week-end ?— Bien sûr que non, Maman, dit Lisa en s’asseyant près de sa mère. Maxime peut même rester tout le temps.— Je ne veux pas non plus m’imposer trop vite et je ne me vois pas non plus ranger mes chaussettes à côté de celles de votre père.— Ça se comprend, répondit Lisa mais, tu es avec Maman, maintenant, alors tu es chez toi chez nous.— Je vais repasser chez moi pour me changer et prendre des vêtements pour le week-end et ensuite je vous invite au restaurant.— Tu vas venir avec nous pour chercher un appartement ? Lui demanda Théo inquiet. Parce que ce serait bien qu’il te plaise aussi.— C’était prévu, mon Chéri, lui répondit Eveline attendrie. Mais, tu sais, cet appartement n’est qu’un logement provisoire. Quand j’aurai vendu ceux-ci et divorcé de votre père, Maxime et moi, on cherchera autre chose.
Maxime n’en eut pas pour une heure pour faire son aller et retour et les emmena tous les trois dans une petite brasserie située au bord d’un lac. Il faisait beau, ils étaient détendus et prirent l’occasion du repas pour parler de leurs goûts, de leurs projets et de leurs hobbies. Maxime leur apprit qu’il était médecin, leur expliqua que, sans être un grand sportif, il aimait la randonnée pédestre, la voile et aller à la pêche. Il avoua qu’il était aussi nul en dessin qu’en musique mais qu’il aimait voir et écouter. Après le repas, ils firent le tour du lac et, durant la promenade, Théo et sa sœur laissèrent s’exprimer leurs sentiments en s’embrassant tout du long.
— Ils ont vraiment l’air très amoureux, remarqua Maxime qui tenait Eveline par la taille.— J’en ai bien peur, mais je n’arrive même pas à en être choquée.— Parce que tu les aimes beaucoup au point de…— Je sais, j’ai honte ! En deux jours, j’ai fait l’amour avec ma fille et avec mon fils. Ça n’aurait jamais dû se produire.— Il n’y a pas mort d’homme, ma Chérie, de ce que j’en ai vue, tes enfants et toi y avez pris beaucoup de plaisir.— C’est ça le pire… parce que quand on prend autant de plaisir, on a forcément envie de recommencer.— Et bien, tu recommenceras, la belle affaire ! Ton fils a de la chance de vous avoir Lisa et toi parce qu’à son âge, avoir un sexe aussi imposant, c’est un vrai handicap.— C’est ce que j’ai cru comprendre mais je ne me rappelle pas avoir jamais pris la fuite devant une grosse bite.— Mais les gamines de son âge sont parfaitement inexpérimentées ; une sur deux est pucelle et plus de la moitié des autres sont encore traumatisées par leur dépucelage alors une grosse bite, comme tu dis, ça fait peur.— Tu crois que ça va leur passer ?— Lisa m’a l’air très portée sur le sexe d’après ce que j’ai pu comprendre. Je ne t’ai pas connue à son âge mais j’imagine que tu devais ressembler un peu à ça.— Oui, jusqu’au jour où j’ai rencontré Arnaud… Je lui ai consacré l’exclusivité pendant près de quinze ans.— Alors que lui se faisait plaisir ailleurs ? C’est du masochisme. C’est pour ça que tu es si chaude en club ? Tu rattrapes le temps perdu ?— Il y a de ça sans doute mais si je suis avec toi, je vais devoir me calmer un peu. Je ne veux pas que notre couple ressemble à celui qu’on a aperçu hier ou à celui de Karine et André.— Avec moi, pas de danger ! Libertin et échangiste ça ne signifie pas cocu soumis, chez moi.— Qu’est-ce qu’on fait ce soir ? Lisa voulait y retourner mais les choses ont pris une autre tournure.— C’est une soirée exclusivement réservée aux couples alors ce sera plutôt calme. — Personnellement ça ne me tente pas trop ; je préfère rester à la maison dans ce cas.— Et pratiquer l’échangisme avec tes enfants, c’est ça ?— Ce n’est pas une obligation ; c’est toi que je veux.
Eveline et Maxime échangèrent un profond baiser puis ils hâtèrent les jeunes pour commencer les visites d’appartements. Eveline le voulait grand, lumineux et sans vis-à-vis, dans un secteur qui soit bien desservi, pas trop éloigné de son travail et de l’université. Elle avait bien conscience de chercher une perle rare mais la chance lui sourit puisqu’ils réussirent à en voir trois dans l’après-midi. Théo n’avait pas spécialement de préférence mais Lisa, Eveline et Maxime étaient d’accord pour dire que le dernier situé au cinquième étage d’un immeuble moderne des quais, à proximité du tramway, et à cinq minutes à pied du quartier piéton était de loin le mieux.
— En fait, il correspond parfaitement à ce que j’espérai trouver en attendant ; je refais ma vie alors j’ai besoin de lumière.— Et puis là, pas de problème pour se balader à poil dans le salon. Déclara Lisa avec enthousiasme. Mais il n’est pas un peu hors budget ?— Si, bien sûr, un petit peu, mais je peux encore me le permettre. En plus, je pense que mes deux appartements seront vites vendus alors ça ne m’inquiète pas.— Du coup, on déménage quand ? Interrogea Théo— Aussi vite que possible, mais le contrat ne sera pas signé avant le milieu de la semaine et je ne suis pas sûre de trouver des déménageurs.— On peu le faire nous-même, Maman. Je peux demander à des copains de venir nous aider ; tout ce qu’il nous faut c’est un camion.
En rentrant chez eux, Théo et Lisa décidèrent d’instaurer le naturisme, ce qui convint parfaitement à Maxime et Eveline qui, une fois à poil  se livrèrent à des attouchements et des caresses osées sur chacun des deux jeunes. Comme il fallait préparer à diner, Lisa et sa mère s’isolèrent dans la cuisine tandis que Théo et Maxime mettaient la table et sortaient de quoi prendre l’apéro.
—  On n’avait pas parlé de retourner au club, Maman ? demanda Lisa à un moment où sa mère lui massait les fesses. On aurait pu y aller tous les quatre.— Maxime m’a dit que c’était une soirée exclusivement réservée aux couples et du coup on s’est dit que si c’était uniquement pour de l’échangisme, on pouvait tout à fait se débrouiller entre nous.— Puisque tu le dis… Tu crois qu’ils seront ouverts à tout ?— Comment ça ?— Et bien, que vont-ils faire si nous faisons l’amour ensemble ? Ils vont le faire entre eux ou ils vont attendre.— Maxime est bisexuel et il serait tout à fait capable de s’occuper avec Théo par contre, si ton frère n’est pas intéressé, il n’ira pas le forcer.— De ce que j’ai cru comprendre des rapports que Théo avait avec Karim et Max, il pourrait bien se laisser faire.— Tu ne trouves pas bizarre qu’on ne les entende plus ?— Si ! Allons voir ce qu’ils font.— Ils nous ont devancées, je crois. Déclara Eveline en passant la porte de la cuisine. Ton frère suce Maxime et il a l’air de s’y prendre plutôt bien.— Vous nous aviez abandonnés, alors il fallait bien qu’on se débrouille. Expliqua Maxime en guise d’excuses. Et c’est vrai qu’il suce vraiment très bien.— Ce n’est pas la première fois que je taille une pipe, non plus. Karim et Max en ont largement profité et puis j’aime bien ça aussi.— Et bien voilà un thème tout trouvé pour notre soirée échangiste, tu ne crois pas Maman ?— Oh si ! En club, on n’a pas si souvent l’occasion de voir deux hommes se donner du plaisir mais on est pratiquement prêts à passer à table alors peut-être pourriez vous nous servir l’apéritif, messieurs. Tu viens sur mes genoux, Chérie ?— Avec Plaisir, Maman.
L’apéritif et le repas furent assez sages et les couples homosexuels qui s’étaient constitués, se contentaient de s’embrasser et de se caresser mais Théo avait envie de reprendre où il s’était arrêté. Maxime le suivit jusqu’au salon et s’installa dans un fauteuil, les jambes bien écartées, tandis qu’Eveline et Lisa prenaient place dans le canapé. Le jeune homme s’agenouilla entre ses cuisses et le reprit en bouche. Il lui suça le gland, lécha le corps de son sexe et goba ses couilles comme s’il était en manque de ce genre de plaisir. Il était gourmand et tenta de l’avaler entièrement à plusieurs reprises. Ne voulant pas être en reste, Maxime envisageait de glisser sur le tapis pour rendre à Théo le plaisir qu’il lui donnait quand celui-ci lui demanda explicitement de l’enculer. Lisa et Eveline arrêtèrent leur soixante-neuf pour assister à la pénétration. Sous leurs regards intéressés, le jeune homme s’agenouilla au bord du fauteuil et tendit son cul vers l’arrière en s’agrippant au dossier. Maxime lui lécha le trou et en testa la souplesse avec ses doigts puis il approcha son gland du petit orifice.
Seul Théo ne fut pas surpris par l’aisance de la pénétration quand la bite de l’amant de sa mère s’enfonça dans son anus mais tous purent constater qu’il aimait ça. Il jouit tellement du cul que cela donna des idées à sa mère et sa sœur qui s’équipèrent de godes ceintures pour autre chose que leur propre plaisir. En les voyant ainsi équipées, Maxime se mit à accélérer son rythme et laissa la place à Eveline qui encula son fils avec son sexe factice en latex noir. Théo gémissait de plaisir et de sa bite molle s’échappait un long fil de liquide séminal ; il jouissait sincèrement. Eveline le lima jusqu’à épuisement et laissa sa place à Lisa qui le retourna pour le prendre de face. Théo se laissait faire et en redemandait si bien que Maxime lui donna sa bite à sucer. Quand le quinquagénaire fut de nouveau bien bandé, Lisa se retira et lui laissa son frère.Ce soir là, les deux femmes ne jouirent pas vraiment mais elles étaient heureuses. Une sorte de pacte était définitivement scellé entre tous les quatre dans lequel l’amour régnait en maitre et où ni Arnaud ni Pauline n’avaient finalement leur place.

Dans leur suite luxueuse d’un grand hôtel New-yorkais, Pauline et Arnaud vivaient une sorte de lune de miel. Depuis qu’ils s’étaient rencontrés, quelques mois au par avant, ils avaient rêvés ces moments où ils pourraient se donner l’un à l’autre. Certes, la jeune femme était bi et amoureuse de Lisa mais, plus les jours passaient et moins elle envisageait l’avenir sans la partager avec Arnaud. Il lui faisait l’amour vraiment bien et leurs objectifs étaient complémentaires. Ils travaillaient depuis des mois à leur projet et la seule ombre au tableau avait été la réaction de Lisa le matin de leur départ. Pauline devait bien le reconnaître, elle ne savait pas exactement ce que Lisa attendait de son père mais après y avoir réfléchi longuement et interrogé Arnaud sur sa vie et ses relations avec les membres de sa famille, elle pensait avoir compris.
— Tu sais, Chéri, je crois que je sais enfin pourquoi Lisa t’en veut. Ce n’est pas tant pour elle puisque apparemment tu as toujours été généreux avec elle mais tu sais comment elle est ; elle a un cœur d’artichaut et a beaucoup trop de compassion. Du coup, je me demande si ce n’est pas pour Théo qu’elle t’en veut.— Ce serait bien son genre, en effet, mais, dans ce cas, ça risque d’être compliqué pour la faire changer de point de vue.— Pour toi tout seul, c’est certain mais pas pour moi. Elle est dingue de moi ; j’en fais ce que je veux de ta princesse. J’arriverai à lui faire écarter les cuisses pour toi et je parie qu’elle sera vite aussi soumise à toi qu’à moi. J’ai une idée qui pourrait peut-être l’apaiser suffisamment pour la mettre dans notre lit sans que t’ai besoin de la violer.— Ah oui ? Tu me racontes ton idée.— Tu vas devoir faire preuve d’un peu de persuasion mais l’idée serait que tu reconnaisses tout le mal que tu as fait à Eveline et Théo. Tu verses quelques larmes de crocodile, tu négocies un divorce en guise de mea-culpa et comme tu n’auras nulle part où aller, tu viendras t’installer chez nous, dans l’appartement qu’Eveline va si gentiment nous prêter, pour profiter de ton petit harem.— Tu crois que ça va marcher ?— Je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas si tu joues bien le jeu. Je suis sûre que Lisa t’aime beaucoup plus qu’elle ne te hait et je me charge de le lui faire entendre. De toute façon elle aime tout le monde et il suffit de lui demander pardon pour qu’elle écarte les cuisses.— Et si elle se refuse ?— Et bien, tu la violeras et je t’aiderai, jusqu’à ce qu’elle se laisse faire.— Tu ne l’aimes pas tant que ça en vrai…— Si, je l’aime. J’aime son cul et la façon qu’elle a de me manger dans la main… Un jour elle m’a dit qu’elle voulait être tout à moi, m’appartenir. On va lui donner l’occasion d’accomplir son rêve ; elle sera à nous et à notre service et toi tu seras débarrassé de ta vieille qui te fatigue et de ton fils que tu détestes. Tu pourras même l’engrosser si tu veux ; ça pourrait être amusant.— Arrête, tu m’excites…
Sur ces belles paroles, ils refirent l’amour comme des bêtes et Arnaud, pour la énième fois depuis le début de leur séjour, féconda Pauline avec sa semence fertile.
Le lundi qui suivit leur week-end avec Maxime, chacun retourna à son travail et Lisa fut heureuse, pour la première fois de sa vie, d’avoir ses règles. Durant quatre jours, elle reprit possession de sa chambre pour ne pas tenter son frère et Eveline se chargea de satisfaire les besoins de Théo comme Maxime n’était pas là.Eveline signa le contrat de location le mercredi et le vendredi soir, ils emmenèrent les premiers cartons dans leur nouveau chez eux avant de se retrouver tous les trois dans un même lit. Lisa était de nouveau disposée à recevoir la jolie bite de son frère en elle. Théo se montra extrêmement endurant et il leur fit l’amour en passant régulièrement de sa mère à sa sœur qu’il mena jusqu’à l’orgasme avant d’aller jouir à son tour dans le vagin d’Eveline.
Le lendemain, Maxime arriva avec une camionnette de location en compagnie de sa fille Sarah et de son fils David qui n’étaient pas beaucoup plus vieux que Lisa. La fille de Maxime était une jolie brune de 22 ans aux cheveux très frisés et David, aussi brun et frisé qu’elle, en avait 24. L’un et l’autre se ressemblaient beaucoup et en dehors de la couleur de cheveux, on voyait qu’ils avaient beaucoup pris du côté de leur père.
Le courant passa bien entre les jeunes gens ; Lisa et Sarah se mirent à discuter rapidement comme de vieilles copines et David ne quittait plus Théo. Ils faisaient les aller et retours entre la camionnette et l’appartement tandis que les « vieux » se chargeaient de mettre en place les meubles qu’ils leur livraient.
— Au risque de te choquer, Dit Sarah au retour de leur troisième voyage, je crois que mon grand frère en pince pour le tien.— Ça ne me choque pas et c’était exactement ce dont j’avais l’impression. Il a ses chances ; Théo est bi.— C’est vrai ? J’n’ai jamais compris comment on pouvait être bi. Je n’en pense pas de mal mais c’est un mystère pour moi.— Et t’es hétéro ?— Oui, bien sûr, pas toi ?— Non, je suis comme mon frère, j’aime les deux et j’y trouve des plaisirs assez complémentaires. L’amour avec une fille est souvent beaucoup plus sensuel.— Mmm, moi j’aime trop la queue pour avoir envie d’essayer, sauf peut-être en trio, je ne sais pas.— Qui sait, je peux peut-être t’organiser ça si tu veux. Perso, je n’ai pas vraiment de limite en matière de sexe tant que tout le monde est d’accord et se fait plaisir.— Ah oui ? Moi non plus je n’ai pas franchement de tabou et j’ai même des pratiques inavouables, mais bon…— Oh, moi aussi je fais des choses inavouables, tu sais, mais du coup, normalement il ne faut pas en parler. Ça éveille la curiosité.— T’as raison, j’ai souvent tendance à en dire trop ou pas assez quand je me sens bien avec quelqu’un. Si je te dis pour moi, tu me diras pour toi ?— Chiche, mais tu risques d’être carrément choquée, je te préviens.— On verra bien. En fait, je suis zoophile et je me fais monter par mon chien tous les jours. Et puis,… je participe de temps en temps à des soirées uro et scato, voilà. Déclara Sarah en rougissant.— Le chien, je ne dis pas non. J’ai jamais essayé mais pourquoi pas… Par contre le reste je te le laisse. Jouer avec de la crotte, très peu pour moi.— Je sais, ça n’attire pas grand monde mais moi j’aime bien. Et toi alors ? Tu fais quoi d’inavouable ?— Je couche avec mon frère et ma mère.— Non ? Tu couches avec ta mère et ton frère ? Mais c’est… c’est interdit !— Par qui ? Pas par la loi, en tout cas, à partir du moment où ça se passe entre adultes consentants.— Dingue ! Et mon père le sait ? Parce que bon, tout le monde sait qu’il est libertin et il nous a avoué qu’il avait rencontré ta mère en boite… Ne me dis pas que t’étais là.— Non, je n’étais pas à leur rencontre mais j’étais là quand ils ont décidé de se mettre ensemble et c’était en sortie de boite.— Tu… tu as couché avec mon père aussi ?— T’es choquée ?— Choquée ? Non, je ne crois pas mais ça me troue le cul, comme on dit. Il baise bien ?— C’est une vraie bête ! Presque infatigable, hi hi ! T’es intéressée ? je peux t’arranger le coup, si tu veux et tu me feras essayer ton chien.— Pff, t’es bête ! Il n’accepterait jamais.— Donc tu n’es pas contre.— Quelle fille n’a pas eu, un jour, envie de son père et Papa est…— Eh, je rêve ou bien ?! S’étonna Lisa en voyant son frère et David s’embrasser en bas des escaliers.— Je ne crois pas, répondit Sarah blasée. Ils s’embrassent et se pelotent le cul mais à mon avis ils doivent bander ferme aussi. On pourrait passer, s’il vous plait ? Il nous reste une dizaine de cartons et un frigo à monter sur cinq étages.— Pardon, c’était juste pour nous donner du courage, expliqua Théo en assumant.— Oui, et bien si tu bandes trop tu n’vas plus pouvoir marcher, lui rétorqua Lisa moqueuse. Vous feriez mieux de vous retenir jusqu’à ce que ce soit fini ; tu feras l’inauguration de ta nouvelle chambre avec David.
En déposant des cartons destinés à la cuisine, Lisa en profita pour dire quelque chose à l’oreille de sa mère qui eut une expression de surprise et dès que les jeunes furent repartis vers la camionnette, Maxime s’en inquiéta.
— T’es toute bizarre, tout à coup, qu’est ce que t’a dit Lisa.— J’étais contente de voir qu’ils semblaient s’apprécier mais visiblement ils sont déjà très liés… Lisa m’a dit que Théo sortait avec David et que… que Sarah voulait faire l’amour avec toi. J’imagine qu’elle lui a parlé de nos relations incestueuses pour qu’elle lui dise.— Sarah ?... Avec moi ?
Quand les jeunes redescendirent pour un ultime voyage, Sarah aussi voulut savoir ce que Lisa avait dit à sa mère.
— Qu’est-ce que tu as bien pu lui dire pour qu’ils fassent tous les deux des têtes bizarres.— Rien de très grave ; j’ai juste dit que Théo et David sortaient ensemble et que tu voulais faire l’amour avec ton père.— T’es folle ou quoi ?— Mais non, t’en as envie depuis que je t’ai raconté pour mon frère, ma mère et moi et t’as pas vu comme il bande en te regardant ?— J’ai pas fait gaffe. Répondit Sarah sans démentir son désir incestueux.— Pourtant, vu comme il est monté, on ne peut pas le louper. Tu verras quand on aura fini.— Mais enfin ? Et tu dis ça à ta mère ?! Comme ça ?— Ma mère s’est faite sauter par mon frère toute la semaine parce que Maxime n’était pas là et il le sait. D’ailleurs, la première fois, c’était samedi dernier et il m’a aidé à les mettre dans les bras l’un de l’autre. En plus, ils sont échangistes et partouzeurs tous les deux, alors je suis certaine qu’une relation incestueuse entre vous ne la choquera pas. Au contraire ça peut l’exciter. Quand à ton père je pense qu’il est disposé à satisfaire ton envie et la réaction de sa bite le prouve.— Mais il y a mon frère !— Oh, parce que tu veux faire ça tout de suite ? Et bien il faut espérer que mon petit frère l’occupe suffisamment.— Pourquoi dois-je occuper David suffisamment ? Demanda Théo qui descendait avec David devant elle.— Pour rien… Répondit Lisa, j’ai été très honnête avec Sarah et ça lui a donné des idées, si tu vois ce que je veux dire.— Oh, et bien sachez qu’avec David on ne s’est rien caché de nos expériences et ça ne l’a pas choqué.— Vous parlez de vos plans en famille ?— Oui et ta sœur semble intéressée pour vivre une expérience similaire. Expliqua Lisa amusée.— Je te comprends, petite sœur, Papa est quand même un beau mec ; moi même, je serais capable de lui donner mon cul mais pour l’heure c’est ce que Théo a dans le slip qui m’intéresse.— Ce que tu as dans le tien n’a pas l’air mal non plus et j’espère bien que ce sera donnant-donnant.— Compte sur moi, mon tout beau…— Waow ! « Mon tout beau » répétèrent en cœur les deux filles hilares.
Les derniers cartons furent montés assez vites et Eveline entreprit de les vider avec Lisa pour laisser Maxime et sa fille s’exprimer leurs désirs au salon tandis que Théo et David s’étaient déjà isolés dans une chambre.
— Tu peux me passer les plats qui sont dans ce carton s’il te plait ? Demanda Eveline perchée sur un escabeau. Oh, ça y est, ils ont dépassés le stade des mots et des baisers.— Maman ? Si on allait plutôt sortir tes jouets dans ta nouvelle chambre, répondit Lisa en glissant ses mains sous la jupe de sa mère. Apparemment, Sarah est une pure hétéro et David un pur homo alors si on ne veut pas rester sur notre faim, il va falloir qu’on compose un peu entre nous. On fera ça plus tard, tu ne crois pas ?— Mmm, tu as raison.
Maxime et Sarah s’étreignaient nus dans le salon lorsque Lisa et sa mère le traversèrent. La fille était couchée sur son père. Elle avait une jambe très écartée qui faisait apparaître sa chatte bien ouverte. Son père la caressait du bout du gland en tenant sa bite dans la main droite tandis que le majeur de sa main gauche se perdait entre ses fesses rondes.
— Mmm, Papa, prends moi maintenant, J’ai tellement attendu… J’en ai rêvé si souvent.— Oui, Ma Chérie, voilà, lui répondit-il en poussant sa verge en elle. Ooh, que c’est doux.— Aaah, Papa, Aaaah oui…
Eveline et sa fille s’éclipsèrent rapidement pour laisser son intimité au couple incestueux et ne purent faire autrement que de voir aussi Théo et David en action par la porte grande ouverte de la chambre. Ils étaient en soixante-neuf et se léchaient mutuellement le trou du cul en se branlant la bite.  Eveline et Lisa ne purent s’empêcher de les espionner un peu en commençant à se déshabiller l’une l’autre. Leurs habits tombèrent au sol, elles ne les ramassèrent pas et attendirent de voir Théo pénétrer son nouvel ami pour les laisser à leur plaisir.Une fois dans la chambre, elles prirent quelques jouets dans un carton et tombèrent enlacées sur le lit seulement couvert d’une alaise. Leurs mains et leurs bouches s’activèrent sur leurs bouches, leurs poitrines et entre leurs cuisses. Eveline fouillait la chatte de sa fille qui en réclamait toujours plus et elle compris que les jouets ne suffiraient pas. L’une et l’autre avaient besoin de se sentir dilatées et se fut l’une après l’autre qu’elles se donnèrent du plaisir avec leurs mains. Lisa avait découvert le fist au cours de leur soirée au club mais elle se montra tellement ouverte et gourmande qu’elle accepta de se faire dilater ses deux orifices en même temps et ne rechigna pas à rendre le même plaisir à sa mère.
Sarah et David restèrent pour diner avec Eveline, Lisa, Théo et leur père mais ni l’un ni l’autre n’avaient prévu de rester. Le reste du week-end fut donc assez calme, Lisa retrouvant son frère et Eveline son amant. Le dimanche Lisa faisait un peu la tête, visiblement quelque chose la travaillait et elle n’en parlait pas. Eveline s’en rendit compte et décida d’en savoir plus pendant qu’elles mettaient la table et que Maxime et Théo préparaient le repas.
— Ça fait plus d’une semaine qu’elle est partie avec Papa et elle devait me donner des nouvelles tous les jours mais je n’ai eu qu’un SMS le premier jour ! Depuis c’est le silence total et je n’ai pas envie de l’appeler moi.— Ton père non plus ne m’a pas appelé et c’est bien la première fois mais, franchement, ça m’arrange ; ça m’évite d’avoir à lui mentir.— Elle ne m’aime pas ; c’est évident ! Conclut Lisa en se mettant à pleurer. Je suis vraiment trop conne !— Allons, ça ne veut rien dire, et tu n’es pas conne.— Maman ? Comment peut-elle prétendre m’aimer et vouloir faire un enfant avec Papa ? Je crois qu’il y a autre chose ; je sais pas quoi mais je sens que ça ne va pas le faire.— Elle va peut-être t’appeler aujourd’hui, qui sait. Avec le décalage horaire, ils doivent dormir.— Mais si elle appelle, qu’est-ce que je vais lui dire ? Je n’ai pas envie de lui dire qu’on a déménagé et je ne veux pas non plus entendre ses histoires de copulation avec Papa.— Et bien ne lui dit rien et prie pour qu’elle n’appelle pas. Moi, c’est ce que je fais tous les jours. Le moment que j’appréhende c’est son retour ; il va être furax…— Tant mieux ! Et on n’a pas été si vache que ça ; si on avait laissé faire Théo, toutes ses fringues et ses partitions seraient en vrac dans des sacs poubelle.— C’était quand même mieux de lui laisser deux ou trois meubles et ses affaires ordonnées dans des cartons. J’insiste ! Nous vallons mieux que ça.— Tu crois qu’elle y prend vraiment du plaisir ? Je n’arrive pas à le croire.
Le soleil était déjà haut sur Central Park lorsque Arnaud fut réveillé par une bouche délicieuse et active sur sa verge dressée. Il devait déjà être tard, mais la soirée de gala qui avait suivie leur récital, s’était éternisée ainsi que son issue délicieuse et privée aussi.
— Mmm, on devrait toujours être réveillé ainsi, murmura-t-il en envoyant une main caresser la chevelure cachée sous le drap. Viens par là que je t’embrasse.— Oh, mais tu ne va pas faire que m’embrasser, répondit Pauline en le chevauchant. Je suis encore tout excitée de la soirée d’hier. Aaaah… J’espère qu’on en aura d’autre des comme ça.— Aussi chaude, avec un grand-père et sa petite-fille ? Mmm… Je ne sais pas.— Pas obligé qu’il y ait les deux ; juste la petite-fille me va aussi. Oooh… Oh oui. Elle était vraiment sublime avec sa petite poitrine et sa petite chatte blonde presque imberbe. Mmm, oui…— Une vraie beauté, cette petite Ashley. Mmmm… Ça fait des années que je lorgne sur elle mais John, oooh… J’aime comment tu bouges sur ma queue.— C’est un vrai pilier et j’aime bouger dessus. Aaaah… Tu disais pour John ?— John m’a toujours traité de pervers en me disant qu’elle… Aaah, qu’elle était trop jeune mais… Mmm, je savais qu’elle avait eu 18 ans cette année alors il était à court d’argument et… Oooh, en plus il avait envie de ton cul… Oh oui... mais c’est quand je lui ai dit qu’il pourrait sans doute la baiser aussi dans le feu de l’action qu’il a accepté. Mmm, oh oui… Aaah, comme ça, Pauline… Oh oui, c’est bon… Aaah oui, continue, tu vas me faire jouir… Oooh…— Aaaah… Tu es un vrai pervers… Mmm, et j’adore ça. Aaaah… Je… je veux partager toutes les gamines du monde avec toi ! Aaaah… Ah oui ! Aaah ! Tu jouis, salaud ! Oh oui !— Aaaah ! Pauline ! Aaaah ! T’es… Oooooh… T’es une belle salope aussi mais ça me va… Par contre, ça ne va pas être très facile de me suivre dans toutes mes tournées si t’es enceinte.— Pendant la grosse, il y a quand même des moments où on peu voyager et puis après, il y aura Lisa pour garder l’enfant… Merde ! Lisa ! J’ai encore oublié hier !— Oublié quoi ?— Et bien de l’appeler, idiot. Je lui avais dit qu’elle aurait de mes nouvelles tous les jours et mon seul message date de notre arrivée. Merde, quelle conne !— Qu’est-ce que tu veux, moi non plus je n’ai pas appelé Eveline depuis notre arrivée. C’est la première fois que ça m’arrive… On est beaucoup trop occupé pour ça, tu viens, on va se doucher, je ne tiens plus.— Moi aussi, je vais exploser, mais toi d’abord.
Depuis qu’Arnaud avait expliqué à Pauline que beaucoup d’américains pratiquaient le « watersport » en guise de préliminaires, elle avait eu envie d’essayer. Depuis trois jours déjà, ils s’adonnaient à ce plaisir qui ne manquait pas de faire bander le père de Lisa qui la prenait ensuite à quatre pattes sur la descente de bain.Arnaud était en train de s’habiller lorsque Pauline, prise de remords, décida d’appeler enfin Lisa.
— Allo, ma Chérie, comment ça va ?— Tu n’es pas morte ? Tu devais m’appeler tous les jours, soit disant. J’imagine que tu n’as pas eu le temps… Tu es sans doute débordée, là bas.— Oui, c’est vrai ; on joue tous les soirs, tu sais. Et puis ton père ne me lâche pas d’une semelle, hi hi ! Mais je ne vais pas m’en plaindre. En plus, j’avoue que je ne me suis jamais aussi bien entendue avec un homme. Il n’est pas celui que tu prétends et vous devriez vraiment parler de vos différents à notre retour. J’aimerai bien que vous vous réconciliiez ; c’est trop bête.— On verra, Pauline, ça ne dépend pas de moi… Mais, tant mieux pour toi, je constate que ça va bien.— Oui, ça va, et toi alors ? Tu es chez tes parents, j’imagine. Ça se passe bien avec ta mère et ton frère.— Oui, je suis chez Maman et ça se passe très bien.— Tant mieux. Écoute, là, il faut que je m’habille pour aller manger avec Arnaud. On s’est réveillé assez tard et on a déjà niqué deux fois alors j’ai les crocs mais…— Tu me rappelleras ?— Je vais essayer, Ma Chérie, je te le promets mais sinon, je rentre dimanche prochain et une semaine, c’est vite passé.— Je croyais que c’était le lundi matin…— Bien sûr, mais on décolle le dimanche soir et le lundi matin, je te réveillerai avec des croissants et un gros câlin.— Mmm, tu ne vas pas me rappeler, en fait.— Je t’ai dit que j’essayerai. Tu me manques aussi, tu sais, et lundi prochain je te consacre ma journée, c’est promis et tu pourra être ma petite chose, comme t’aimes tant.— Je serai chez Maman.— Dans ce cas je viendrai te réveiller chez toi. Je te laisse, Arnaud m’attend. Gros poutous !— Mouai, c’est ça, bisous…
Quand Lisa raccrocha, elle fondit en larmes et il fallut toute la tendresse de sa mère pour la consoler. Théo aussi l’entoura d’affection et Maxime se joignit également à sa peine. Ils firent tous beaucoup d’efforts pour lui changer les idées et à force de baisers et de caresses, elle se laissa emporter dans un acte d’amour mélangé et partagé ou chacun la fit jouir tour à tour et en même temps. Le premier à jouir en elle fut son frère et, alors qu’il s’apprêtait à se retirer, elle le reteint de toutes ses forces et fit de même avec Maxime.
— Lisa, Maxime et moi on a éjaculé en toi, fit remarquer Théo dans le même lit que sa sœur.— Je sais et j’en avais besoin mais ne t’inquiète pas. Je viens d’avoir mes règles alors normalement, je ne crains rien avant mardi.— Oui, ça c’est la théorie… La femme est féconde du neuvième au seizième jours du cycle mais rien ne dit que…— Laisse tomber, je suis réglée comme du papier à musique alors d’ici mardi, je crois que je vais prendre le risque. Lui répondit-elle en se glissant sous le drap.
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