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Lisa, Théo et les autres

Chapitre 8

Inceste
VIII. – Situation de crise anodine.
Un peu inquiet face à la crise de nymphomanie de sa mère, Théo appela ses deux copains pour leur demander de l’aide. Karim et Max étaient plutôt fidèles mais la proposition de faire l’amour avec Eveline les avait vraiment motivés. Ils se mirent d’accord pour venir ensemble comme leur demandait Théo et avaient prétexté la nécessité de révisions de dernières minutes pour se libérer de leurs copines.Après avoir eu confirmation de leur venue rapide, Théo, inquiet du comportement de sa mère, contacta Maxime pour avoir son avis.
— Elle est insatiable ! Elle a joui deux fois avec moi et elle en redemande. J’ai été obligé d’appeler Karim et Max à l’aide mais je ne suis même pas sûr que ça lui suffira.— Ce que je vais te dire ne te rassurera pas, mais je doute que ça lui suffise. J’ai déjà vu ta mère dans des états similaires et je suis sûr et certain que ça va lui passer rapidement si on lui permet d’aller jusqu’au bout. Occupe toi d’elle avec tes amis et, ce soir, j’amènerai du renfort pour la faire patienter avant d’aller au club.— Tu sais pourquoi elle est comme ça ?— Non, pas précisément mais j’ai ma petite idée. On en reparlera plus tard.
Après sa conversation avec Maxime, Théo chercha sa mère et la trouva allongée sur son lit en train de se donner du plaisir avec un gode. Il se coucha près d’elle et trouva la force de la pénétrer en lui confirmant la venue de ses deux copains et en lui annonçant que Maxime rentrerait avec du renfort.
— Aaah, Théo, baise moi fort ! Baise ta Maman !  Aaah ! Aaah oui !— Han ! Comme ça ? Han, c’est assez fort comme ça ?— Aaah Oui ! Aaah, insulte moi, Théo… Dis moi que je un une salope ! Aaah !— Non, Maman ! Han ! Non, je… Je ne peux pas.— Si… Aaah ! S’il te plait ! Une salope, Aaah ! Dis le moi !— T’es une… salope, Maman, commença Théo un peu honteux et sans conviction.— Aah oui ! Plus fort ! Aaah ! Dis le encore ! Aaah ! Insulte ta Maman salope…— Han ! Salope ! Han ! T’es une salope, Maman ! Han ! Une grosse salope ! Un chienne aussi ! Han ! Une putain de chienne en chaleur !
Théo se forçait mais les réactions de sa mère à chacune des insultes employées l’encourageaient à poursuivre. Il finit par mettre sa gêne de côté et ses insultes se firent plus vulgaires et plus variées. Sa mère jouissait, les répétait pour elle et en réclamait d’autres. Pour la première fois depuis qu’il couchait avec elle, il avait le sentiment de la baiser. Il avait hâte de jouir pour en finir et ses mouvements énergiques étaient uniquement destinés à activer son éjaculation. Sa libération approcha enfin, il sentit ses couilles se contracter et il sortit de sa chatte pour lui plonger son gland dans la bouche.
— Tu vas m’épuiser, Maman et ne me demande plus de t’insulter ; je n’aime pas ça.
— Pardon, Chéri. Je ne voulais pas te choquer mais c’était vraiment bon et puis ce n’est qu’un jeu. Je sais bien que tu n’en penses pas un mot, mon Chaton.
Eveline prit son fils dans ses bras et elle l’embrassa tendrement avant de se lever pour aller boire un verre d’eau et manger un petit truc. Elle semblait enfin apaisée et Théo l’accompagna dans la cuisine pour grignoter et se désaltérer en sa compagnie.
— Qu’est-ce qu’ils font ? Ils en mettent du temps. Constata Eveline en regardant la pendule.— Ils ont prévu de se retrouver pour venir ensemble et ils ont toute la ville à traverser mais ils ne devraient plus tarder.— Tant mieux, répondit Eveline en s’accroupissant devant la bite molle de son fils, j’ai faim.— Maman… J’ai les piles à plat ; tu m’as complètement vidé.— Mmm, tu es sûr ? Demanda Eveline en faisant la moue. Ça va peut-être revenir…
Théo était désemparé et il se demandait s’il allait devoir y retourner tout de suite lorsqu’ils entendirent la sonnette. « Sauvé par le gong », pensa le garçon en se couvrant d’un torchon pour aller ouvrir.
— Amène les directement dans la chambre, je les attends !— J’ai compris, Maman.— Et surtout ! Tu leur dis bien de ne pas se gêner avec moi.— Je leur dirai de te baiser comme une salope, Maman. C’est ce que tu veux ?— Oui, c’est ça, confirma Eveline en disparaissant dans le couloir.
Théo ouvrit à ses amis en restant derrière la porte pour cacher sa quasi-nudité et referma prestement derrière eux.
— T’es à poil ! Se marra Karim. Ça te va bien la jupette.— Très drôle ! Je suis mort. J’n’ai pas arrêté depuis ce matin.— Et tu te plains en plus ? Fit Max en posant son sac dans l’entrée.— Tu parles ! Je n’lai jamais vue comme ça. J’espère que vous êtes chaud parce que moi elle m’a séché.— J’arrive pas à croire qu’on vient là pour faire l’amour avec ta mère. La femme la plus bandante que je connaisse.— Oubliez que c’est ma mère, les gars. Elle veut se faire baiser comme une salope. Elle est complètement dingue ! Plus tu l’insultes et plus elle jouit.— Je n’pourrai jamais insulter ta mère, affirma Karim choqué, ça ne se fait pas et puis elle est trop gentille. C’est comme si j’insultais la mienne !— Moi pareil, tu te rends compte ?— Si j’y suis arrivé, vous y arriverez aussi. Allez, foutez vous à poil, elle doit s’impatienter.
Max et Karim retirèrent leurs habits et suivirent Théo jusqu’à la chambre. À peine entrés, ils furent saisis par le spectacle que leur offrait Eveline. Elle était nue, allongée sur le lit, les jambes très écartées et se masturbait activement avec un gode. Théo leur avait pourtant dit qu’elle était hyper excitée mais ils ne s’étaient quand même pas attendus à ça. La chambre qui avait déjà accueilli trois coïts dans la matinée sentait le sexe à plein nez et l’exhibition d’Eveline était bien meilleure qu’une vidéo d’X-Cobaye.
— Et bien quoi ?! Ne restez pas plantez comme des nigauds. Leurs dit Eveline en voyant leurs bites se dresser. Venez me baiser, ne soyez pas timides !— Je… J’arrive, répondit Karim en approchant timidement.— Vas y aussi, dit Théo à Max en le poussant doucement.
Eveline les embrassa tour à tour en se faisant douce et rassurante. Ils se détendirent peu à peu sous ses caresses et ses douces attentions. Karim s’enhardit en lui suçant les tétons et Max l’imita rapidement. Elle les laissa découvrir son corps, sa chatte, ses seins et son cul avant d’aller, elle-même, découvrir leurs appendices érectiles. Elle les prit d’abord en main pour estimer leur dureté et s’amusa à les comparer. Ils avaient tous deux des sexes hirsutes, Max était même très poilu et sa bite semblait sortir d’une masse velue qui recouvrait tout du pubis aux couilles. Son organe était assez joli, de taille standard et, malgré sa raideur, son prépuce long recouvrait encore la totalité du gland. Elle décida de le prendre en bouche le décalotter avec sa langue. Max ne put se retenir d’exprimer la douceur de la sensation qu’elle lui provoquait en s’insinuant dans le fourreau et en tournant autour de son gland. Eveline finit sa découverte en remontant sur le méat qu’elle pénétra doucement et passa à la verge de Karim. Le garçon était circoncis et sa bite était longue et fine. Son gland était dur, pointu et à peine plus large que le reste. Elle l’avala totalement en pensant que cette bite irait parfaitement bien dans son trou du cul. Ils ne purent s’empêcher de comparer à ce que leur faisaient leurs copines et ils la complimentèrent gentiment.
— Merci, les garçons mais je ne vous ferais pas ça tous les jours. Aujourd’hui, je suis très salope ! J’ai besoin de vos jolies bites…— On est là pour ça, Eveline, mais nos bites ne sont quand même pas aussi balaises que celle de Théo.— Ça n’a pas d’importance, Chéri. Ta queue est bien dure, comme celle de Karim, et c’est tout ce qui compte. Théo, le pauvre chou, est tout raplapla.— Mmm, Eveline… C’est trop bon, dit Karim en sentant sa bite dépasser la luette. Mm, oui… Tu vois les choses comment ?— Je veux que vous me baisiez comme la dernière des putains. Oubliez qui je suis s’il le faut, mais baisez-moi. Prenez-moi par tous les trous ; je suis votre putain, votre chienne… Défoncez moi.— Tu veux vraiment qu’on… t’insulte ? Demanda Max en grimaçant.— Oui ! Insultez moi ! Dites moi des choses horribles…
Karim était aussi réticent que son ami au départ mais en voyant qu’Eveline en demandait vraiment, il décida de se lâcher en la mettant à quatre pattes pour la prendre. Il ne restreint ni ses coups de reins ni son vocabulaire et se permettait même de lui claquer les fesses durant la levrette. Les gémissements de sa mère étaient étouffés par la bite de Max qu’elle avait dans la gorge et Théo, gêné de la voir si salope, décida de quitter la chambre quelques instants. Il remangea un morceau, se but un verre de cola mais sa curiosité le ramena vers la chambre. Pendant une heure, ses deux copains baisèrent sa mère successivement en n’omettant pas de visiter son cul. Ils échangeaient leurs places pour ne pas jouir trop vite et, piqués au jeu, ils l’insultaient copieusement. Après leurs orgasmes, ils pensaient l’avoir calmée mais, à leur grande surprise, Eveline entreprit tout de suite de les ranimer avec sa bouche tout en s’enfonçant un gode dans la chatte. Théo se sentait de nouveau capable de bander mais il préférait se retenir pour Lisa. Il quitta la chambre encore une fois et se rendit au salon pour demander à sa sœur, par court un message, s’il pouvait l’appeler. C’est finalement elle qui l’appela presque aussitôt, après avoir reçu son SMS.
— Allo Chéri ? Tu voulais me parler ?— Oui, mon amour, je voulais savoir comment tu allais ; tu n’as plus de nausées ?— Non, ça va de mieux en mieux. J’ai même hâte de te retrouver. Et toi, ça va ? Maman ne t’a pas trop épuisé ; elle avait l’air très chaude ce matin.— Ben justement, c’est elle qui m’inquiète maintenant. Plus elle baise et plus elle a envie… J’ai dû appeler à l’aide.— C’est à ce point ? Raconte !
Théo détailla sa matinée et le spectacle qu’elle et ses copains lui avaient offert.
— Elle est insatiable ; là elle les suce en s’enfonçant un gode dans la chatte. J’espère qu’ils vont assurer parce que si j’y retourne, je serai complètement vidé.— Je vais sécher mon cours d’amphi ; vous allez avoir besoin de mon aide et j’ai envie que tu m’en gardes un peu.— Ça ne te choque pas ?— Non. Quand on est allé au club, on avait quatre hommes pour nous deux  et moi ça m’a suffi mais je suis à peu près sûre et certaine que, si je n’avais pas été là, elle se serait faite partouzer par qui veut pendant des heures. Il faut accepter qu’elle ait ce genre d’envies ; Maxime l’a compris puisqu’il a suggéré de l’emmener au club ce soir. Il avait vu plus juste que moi, c’est tout. Réserve moi ta queue, je suis là d’ici un quart d’heure.
Lisa arriva comme elle l’avait dit et Théo l’attendait dans le salon. De la chambre de leur mère venait des cris désordonnés de jouissance et des insultes à faire rougir un charretier.
— Ouf, ça va mon amour ? Dis donc, ça a l’air chaud…— Tu parles ! Ils la baisent à deux.— Elle doit être contente ; elle aime bien les sandwichs.— Sauf qu’elle à toujours son gode dans la chatte et leurs deux bites sont dans son cul. Je suis allé voir trois fois en t’attendant mais je n’y arrive pas.— Oh, mon Roudoudou, ce n’est pas si méchant. Elle a vécu un truc incroyable hier ; elle est débarrassée de Papa. On l’a mis par terre, tu te rends compte ?! Elle a bien le droit de se lâcher, non ?— Mais à ce point ? Tu te rends compte qu’elle m’a demandé de l’insulter et que je lui ai aussi juté au visage.— Et alors ? Moi aussi j’aimerai bien que tu me traites de salope, parfois… Tu viens, je voudrai voir, ajouta-t-elle en retirant ses habits.
Sans être vraiment choquée, Lisa fut quand même impressionnée par le comportement de sa mère. Cela ne faisait aucun doute que Max et Karim n’allaient pas tenir le coup.
— Tu sais ce qu’on va faire, Théo ?— Oui, je vais te faire l’amour, ma Chérie ; j’ai envie de toi.— Oui, mais je vais mettre un harnais avec un gros gode et tu vas me baiser la chatte pendant que je baiserai Maman.— Tu veux que je te baise ? Comment ?— Comme une salope, en nous traitant de putes et de salopes.— Je ne peux pas, Lisa.— Bien sûr que si tu peux ; ce n’est qu’un jeu.
Lisa s’équipa d’un harnais qui donnait in libre accès à sa chatte et son cul et fixa sur le devant un double gode en plastique bleu visiblement étudié pour la double pénétration. Théo lui trouva un air d’extraterrestre excitante et il l’embrassa amoureusement alors que ses copains se vidaient simultanément dans le cul d’Eveline.
— Oh non, pas déjà, dit Eveline en les sentant se retirer ; j’en veux encore ! J’veux d’la bite, mon Dieu !— Poussez vous les garçons ; je vais m’occuper de toi, Maman-Salope ! Dit Lisa en montant avec un air de panthère sur le lit. Je vais te baiser comme une Putain ! Je vais défoncer ta chatte de chienne en chaleur.— Oui, Lisa, viens me baiser ! S’exclama Eveline en voyant sa fille arriver.
Habituée à l’utilisation du gode ceinture, Lisa retira le gode qui était encore planté dans l’intimité de sa mère et la pénétra des deux côtés d’un coup sous les regards stupéfaits de Karim et Max. Théo les laissa s’agiter quelques instants puis il vint se mettre derrière sa sœur. Il cracha dans sa main pour humecter sa bite, dégagea la lanière du harnais qui le gênait et s’enfonça d’un coup dans la chatte de Lisa en la traitant elle aussi de salope.
Max et Karim assistèrent à leur accouplement incestueux sans trop y croire. Jamais ils n’auraient cru que des gens normaux puissent réellement s’adonner à de telles extrémités. Les coups de reins puissants de Théo propulsaient Lisa dans Eveline et les deux femmes jouissaient avec la même intensité. Bien entendu, les deux voyeurs s’en retrouvèrent excités et quand Théo se retira après avoir éjaculer dans la matrice fertile de sa sœur il demanda : « À qui le tour ? ». Max fut le plus réactif et pénétra Lisa dans la foulée.
— Fallait le dire tout de suite que tu voulais nous tuer, dit Karim à Théo. Après un truc pareil, je n’vais plus pouvoir arquer.— Tu comprends maintenant pourquoi j’ai appelé à l’aide ?— T’avais pas dit qu’il y aurait ta sœur aussi… Elle a l’air bien remontée aussi.— Elle veut faire patienter Maman jusqu’à l’arrivée de son jules. Maxime a dit qu’il viendrait avec du renfort.— Mais elle est tout le temps comme ça ?— Non, c’est exceptionnel apparemment… Putain, il est déchainé le Max.— C’est normal, il complexe.— À propos de quoi ?— À cause de ta bite, pardi ! Même au repos elle est plus longue et plus grosse que les nôtres quand on bande alors il cherche à en mettre le maximum.— N’exagère pas quand même… Ce que j’aimerai c’est qu’il ne lui fasse pas mal.— Vu ce que t’as mis à ta frangine, ça m’étonnerai… Théo ?— Mm ?— Entre ta frangine et toi, il y a quoi, vraiment ? Vous couchez juste ensemble ou c’est plus que ça ?— C’est ma femme, si c’est ça ce que tu veux savoir. On est en couple, comme toi avec Jennifer et Max avec Vanie.— Et tu la laisses baiser avec nous ?— Tu vas t’en plaindre ? Ce sont les circonstances qui le permettent aujourd’hui, mais demain ce sera différent. Elle et ma mère sont plutôt aimantes et il est probable que ce soit votre seul occasion pour les niquer.— T’inquiète, je n’vais pas venir les relancer.— J’espère bien parce qu’elles te jetteraient et tu me trouverais en face de toi.— Tu crois qu’elles vont regretter ?— Certainement pas ! Elles savent très bien ce qu’elles font même si on a l’impression qu’elles ne gèrent plus rien.— Oh ! Ça va être mon tour je crois.— Ouai, Max envoie la sauce. Enfin, s’il lui en reste.
Max était épuisé après ce dernier coït mais il était content d’avoir pu aussi profiter des orifices de Lisa. La sœur de Théo lui avait assez vite demandé de l’enculer et il n’en revenait toujours pas.
— Putain, Théo, ta mère et ta sœur, c’est vraiment du top niveau.— Merci, mais j’imagine que Vanie ne doit pas être trop mal non plus.— Oui, mais c’est différent. Bon c’est vrai que Vanie aime bien la baise et, en vrai, on n’arrête pas quand on est ensemble. En plus elle suce bien et elle avale mais avant qu’elle me réclame de la lui mettre dans l’cul… par contre ta mère et ta sœur c’est direct ! J’n’ai jamais vu ça.— Vanie ne te le demande pas parce que personne ne l’a jamais enculée convenablement. Tu veux que je lui propose ?— T’es fou, toi ?! C’est ma nana !— Et quoi ? Tu viens de te faire la mienne après t’être tapé ma mère. J’n’en fais pas tant d’histoire.— Parce que c’était pas des conneries ce que vous nous avez dit hier soir ? T’es vraiment avec ta sœur ?— Karim aussi, ça le surprend. Mais tu sais, Lisa est la seule femme que je connaisse, avec Maman bien sûr, qui ne se soit pas enfuie devant ma bite.— C’est clair qu’un truc pareil, ça ne se croise pas tous les jours. Tu te rappelles de Jessie ?— Bien sûr, c’est la bombasse que vous m’avez présenté à mon anniversaire.— Oui et bien, apparemment, elle a fait à Vanie une description de ta bite franchement flippante.— Tu l’as entendue ?— Non, c’est Vanie qui me l’a dit mais elle avait l’air horrifiée rien qu’en y repensant.— J’ai peut-être une chance d’enculer ta copine alors.— Déconne pas Théo, s’il te plait.— T’as peur ? Je ne vais pas te la piquer, tu sais ; je vais te rendre service.— Théo, t’es pas drôle, arrête !— Te fâche pas, Man, je ne l’ferai pas mais toi tu devrais lui proposer. Il faut juste que tu lui ais bien ramoné la chatte avant ; tu verras, ça peut marcher.
Maxime arriva enfin, accompagné de son ami antillais, Pierre, et de son ami Claude qui gardait un bon souvenir d’Eveline. Leur entrée dans la chambre coïncida avec l’ultime orgasme de Karim qui avoua être complètement vidé. Lisa était contente de laisser sa place et Théo put voir que son trou du cul avait été largement honoré par ses amis. Elle se défit du harnais et embrassa Pierre et Claude sur la bouche avant de venir se blottir dans ses bras.
— Ça va mon Roudoudou ? Pas trop choqué ?— Choqué pourquoi ? Parce que tu viens de te faire défoncer le cul par mes deux meilleurs copains ou parce que tu viens de rouler une pelle à ces deux types ?— Hihi, je suis prête à parier que c’est de m’avoir vu rouler une pelle à ces deux types, comme tu dis, qui te perturbe le plus.— C’est clair ! Max et Karim, c’était prévu entre nous qu’ils te prennent tant que Maxime n’arrivait pas mais là, t’embrasses des inconnus ; ça me fait bizarre.— Ce sont des inconnus pour toi, mais pas pour moi.  Ils m’ont déjà baisée tous les deux et ils ont déjà baisé Maman la fois ou ont est allé au club ensemble.— Ah, donc le black, c’est l’antillais dont tu m’as parlé.— Exactement, c’est Pierre. Il est bien foutu n’est-ce pas ?— OK, je comprends mieux. Putain, ils vont la prendre directement à trois…— Elle n’attend que ça et il y en aurait dix autres à poireauter après qu’elle n’en serait que plus heureuse.— Tu sais quoi, mon amour, je crois que je vais aller faire à manger ; tout ce monde va avoir faim. Même Maman, j’imagine ; elle n’a mangé qu’une tomate et un morceau de fromage sur du pain à midi.— Vous diner avec nous, vous deux ?— Non merci, répondit Max. J’ai dit à mes vieux que je rentrerai pas trop tard et ma mère doit déjà s’inquiéter.— Moi c’est pareil, faut que je rentre chez moi, répondit Karim épuisé. Je suis rincé…— Vous voulez prendre une douche ? Il y a tout ce qu’il faut, proposa Lisa en regardant leurs bites un peu sales.— Merci, mais ça ira, répondit Karim en souriant. Ça va me faire un souvenir jusqu’à chez moi et puis je n’enlève jamais mes fringues devant ma mère.
Théo et sa sœur laissèrent Maxime et ses amis s’occuper de leur mère et se mirent à discuter en préparant un repas froid.
— Tu te rends compte que depuis que je suis levé elle ne fait que ça ! C’est un vrai marathon. Maxime, moi, moi et encore moi, Karim, Max, Karim et Max, toi avec moi, toi avec Max puis encore une fois avec Karim, et maintenant elle se fait mettre par ton Pierre, l’autre et Maxime.— L’autre s’appelle Claude. Si tu savais ce qu’elle m’a dit à l’oreille quand Karim m’enculait… Elle veut vivre un gang bang de folie dans l’alcôve du club.— Tu sais, ma Chérie d’amour, je ne sais pas trop de quoi tu me parles ; je n’ai jamais été au club.— T’y aurais beaucoup de succès, crois moi.— Tu me l’as déjà dit mais, là, tu vois je me suis déjà vidé les couilles cinq fois en moins de douze heures, alors il ne faut plus trop m’en demander.— Tu ne peux plus bander ? Même un tout petit peu ?— Lisa, tu sais comme je t’aime mais, sincèrement, je ne peux plus. Je suis réellement vidé… Si t’as envie d’aller au club avec Maman et Maxime, vas y.— Je n’irai pas si tu dois rester seul ici. Il n’en est pas question.— Oui, mais moi je n’ai pas trop envie de vous voir baiser avec une multitude d’hommes pendant des heures.— Personnellement, je n’ai pas besoin d’une multitude ; je ne suis pas Maman quelque soit nos ressemblances par ailleurs. Juste une ou deux bonnes bites vaillantes en ta compagnie dans une cabine semblable à celle que j’ai visitée l’autre jour me conviendrait bien. C’est fermé et seules certaines cloisons sont percées à la manière d’un gloryhole mais rien n’oblige à sucer les bites qui s’y présentent.— Une ou deux alors…— Ça peut être trois si on trouve un mec intéressé par ton cul. Je sais que les plans bi homos sont plutôt rares mais rien ne prouve qu’il n’y en ait jamais.— En gros, tu me proposes d’aller nous faire mettre ensemble en taillant des pipes à des inconnus, c’est ça ?— Vu que tu ne peux plus bander pour aujourd’hui et que je m’en reprendrais bien quelques petits coups, alors pourquoi pas.— Tu sais quoi, ma Chérie, si je le pouvais j’en banderais ; regarde j’ai l’impression qu’elle gonfle un peu.— Tout ce que je vois c’est qu’elle est surtout très rouge, presque violacée, et encore un peu visqueuse de partout mais son gonflement me semble surtout illusoire, sans vouloir te vexer.— Je le sens bien qu’elle a gonflé ! ça me picote. Mais c’est vrai que ça ne se voit pas… Tu crois qu’on va pouvoir trouver un mec pour moi ?— J’espère bien que ce sera un minimum ; un ou deux comme pour moi ce serait très bien.
De la chambre venait des cris de plaisir qui annonçaient les délivrances des hommes mais seul Maxime vint les retrouver.
— Et bien votre mère est dans un état à peine croyable. Depuis que je la connais, je l’ai déjà vue réclamer de la bite mais à ce point !— Ah ! Tu vois, Lisa, que ce n’est pas normal !— Ce n’est pas non plus anormal, Théo, commença Maxime sur un ton sérieux. Chaque fois qu’Arnaud quittait Eveline pour deux ou trois semaines, elle avait un premier soir libérateur durant lequel elle se donnait à de nombreux partenaires. Hier soir, elle vient de quitter votre père pour toujours.— Arnaud n’est pas mon père. Rappela Théo sèchement.— Excuse moi Théo, je l’ai bien compris mais ça ne change rien puisqu’il l’est légalement et qu’il aurait dû se comporter comme tel vis-à-vis de toi. En tous cas, pour Eveline, c’est la libération ultime. C’est comme un besoin inconscient de rattraper tout ce qu’elle s’est refusée et que lui s’est accordé. Personnellement, je ne crois pas qu’il ait limité ses tromperies à ses seuls voyages.— Bien sûr que non ! Confirma Lisa de nouveau en colère. Ce salaud a aussi une réputation nationale et Maman m’a avoué que le jour de leur mariage, il l’avait trompée avec l’amie qui lui avait servie de témoin.— Elle n’égalera jamais le nombre de maitresses qu’Arnaud a eu durant leurs années de mariage mais elle a besoin d’un très grand nombre d’amants pour fêter sa nouvelle liberté.— En gros, on n’est pas couchés, conclut Lisa en faisant la moue.— C’est surtout moi qui ne le suit pas car je ne vais pas avoir d’autre choix que de veiller sur elle pour m’assurer que tous ses amants auront bien mis une capote.— Avec Lisa on pensait venir avec vous mais si ça doit durer des heures…— On prendra un taxi pour rentrer, mon Roudoudou. Avec Théo, on voudrait se faire prendre tous les deux par un ou deux mecs dans une cabine comme celle de l’autre fois. Enfin, quand je dis un ou deux, c’est chacun, bien sûr.— Et plutôt deux, compléta Théo en massant sa bite molle.— Ou trois, rajouta Lisa en rougissant.
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