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Lisa et la vie de Château

Chapitre 2

Divers
L’infirmière au ChâteauLe lendemain, vers 14h30, j’ai pris ma voiture avec ma tenue d’infirmière dans un petit sac de voyage dans lequel j’avais aussi mis un flacon de gel lubrifiant, mes accessoires de toilettes et de maquillage et quelques capotes, au cas où. J’avais le ventre en feu et le cœur serré d’appréhension car toute la nuit, j’avais eu en mémoire l’épouvantable état physique de Joslin et de son jumeau, leur aspect inhumain, effrayant, terriblement repoussant et mes rêves avaient été spéciaux et très tourmentés.Vêtue d’une petite robe d’été à bretelles, je suis arrivée vers 15h chez Mme de Siennes qui m’attendait déjà sur le perron. Elle est venue jusqu’à la voiture pour m’accueillir et m’embrasser, entre amies. Elle était visiblement un peu inquiète. « Vous allez bien ? Vous allez parvenir à tenir le coup ? » Je l’ai fixé dans les yeux : « Je vais faire de mon mieux J’ai un peu peur, bien sûr. J’ai amené une tenue d’infirmière. Au moins, cela va me donner une contenance. J’ai suivi votre conseil.» Elle a pris ma main. « Venez, ils vous attendent. Ils savent que vous allez venir. Ils ont pris leur douche sagement pour une fois mais, là, ils ne vont bientôt plus tenir en place. » Elle m’a emmenée dans sa chambre et devant elle je me suis changée. J’ai retiré ma robe devant elle. Elle ne me quittait pas des yeux. J’ai enfilé ma paire de bas blancs à jarretières et ma blouse puis j’ai mis mes escarpins blancs à hauts talons. Elle était fascinée. « Que vous êtes belle! J’ai hâte de vous retrouver pour notre prochaine soirée entre amies. » J’en aurai ri, si j’avais encore eu le cœur à l’humour. Elle est venue m’embrasser et je l’ai laissée faire, un peu, mais juste un peu, car autre chose m’attendait et j’avais vraiment la tête ailleurs. Elle a bien perçu ma réticence, mon angoisse, et a soupiré avant de dire. « Allons, il faut y aller, sinon ils vont s’impatienter et devenir incontrôlables. » Elle a encore soupiré, s’est écartée et a pris ma main pour me conduire jusqu’à la chambre de ses fils. J’avais les jambes en coton et tout le reste en vrac. Je frissonnais et transpirais déjà de stress. J’étais à la limite du malaise. Mon cœur battait trop fort et je ressentais une espèce de nausée. Je l’ai suivi comme j’ai pu. Elle a doucement ouvert la porte. La pièce était sombre car les doubles rideaux étaient fermés. Elle m’a dit, à voix basse : « Ils n’aiment pas les fortes luminosités ; cela leur fait mal aux yeux. » « Tant mieux ! » ai-je pensé. « La lumière crue sur eux et qui mettrait en valeur leurs anomalies physiques et leur physiques de golums, cela doit être terrible, insupportable. » Nous étions dans leur chambre. Je ne les ai pas vu de suite, car il faisait vraiment sombre puis, mes yeux s’habituant peu à peu à l’obscurité relative, j’ai aperçu un être difforme, de petite taille, se déplacer en une sorte de claudication ou de sautillement pendulaire. Sa mère l’a appelé et il est venu vers nous, les yeux grands ouverts, en soucoupes, pour me fixer. Il avançait un peu comme avance un grand singe et s’appuyait sur ses mains ou plutôt ses doigts repliés puis son torse balançait et ses membres inférieurs suivaient, comme ils pouvaient. C’était Joslin, celui-là ; je l’ai reconnu de suite. Il portait une veste de pyjama et un caleçon. Ils avaient fait un effort de toilette et de présentation car sinon, m’avait dit leur mère, ils vivaient nus, l’un et l’autre. Ils avaient toujours trop chaud et leur température corporelle était plus basse que la normale, en permanence. « Vous verrez, leur contact est glacé mais ils n’ont jamais froid.» J’étais sous le choc. J’avais envie de « foutre le camp », comme on dit. Je réalisais pour de bon que j’allais devoir me faire cet espèce de singe nu, enfin cet être vêtu de ces bouts de tissus et son jumeau qui, lui, rampait vers nous du fond de la pièce où il s’était réfugié. Il s’approchait en un mouvement quasi reptilien et j’ai frissonné au point d’avoir la chair de poule et de sentir mes cheveux se hérisser. Mme de Siennes tenait ma main et elle a dû ressentir mon trouble. « Joslin, Quentin, venez saluer notre nouvelle amie. Elle s’appelle Lisa et va vous tenir compagnie. Elle viendra aussi souvent que possible et, déjà, une fois par semaine mais il faut être très gentil avec elle si vous voulez qu’elle revienne. Allons, messieurs, venez lui dire bonjour ! » Le rampant était arrivé à moins de deux mètres de nous et me regardait, tête relevée en arrière. Il avait la bouche ouverte en une espèce de large grimace baveuse. Il ne portait qu’une veste de pyjama et j’ai vu qu’il avait, en guise de jambes, deux sortes de petites lanières de chair qu’il trainait derrière lui. L’autre a avancé, de biais, en claudiquant, jusqu’à nous et m’a tendu sa main. « Icha ? Icha ? » « Il essaye de prononcer votre prénom ! » a dit sa mère. Elle avait sa bouche tout contre mon oreille. J’avais compris. J’ai pris la main, longue, osseuse, froide et lisse et j’ai réussi à dire : « Bonjour Joslin ! » Il me fixait. A la lumière diffuse du couloir, j’ai distingué ses yeux, des yeux immenses et d’une couleur étrange : un vert tirant sur le jaune, comme les yeux d’un chat, peut-être. Il a répondu d’une voix hésitante, mal articulée: « Botou, Icha ! Icha tolie, tolie. » Sa mère le regardait.
Elle a pressé ma main en soupirant. « Je vais devoir vous laisser, maintenant. D’accord, mon enfant ? J’ai mis des serviettes sur le canapé, sur le lit, le matelas au sol, sur le fauteuil. Elles vous seront utiles, je le sais. » J’ai essayé de lui sourire : « Oui madame, merci ; Je vais faire de mon mieux. » Elle a interpellé ses fils une fois encore : » Joslin, Quentin, soyez gentils avec Lisa, sinon elle ne reviendra plus vous voir ! » Puis elle s’est retournée vers moi. « J’espère qu’ils tiendront compte de cet avertissement.» Elle s’est retournée en soupirant de nouveau et a quitté la chambre. Elle a refermé la porte et mon cœur s’est affolé. Le prix du terrain montait et devenait subitement exorbitant.J’ai rapidement consulté ma montre : 15h20 et j’étais là, seule dans cette chambre, avec ces deux êtres hors normes qui allaient me tripoter autant qu’ils voulaient et comme ils voulaient et, finalement, me baiser et dont l’aspect rappelle étrangement celui de Golum, des Golum sans jambes, des Golum à moignons, mais en plus propres, quand même, le seul point positif compte tenu de la situation. Je frissonnais. Ils me regardaient, l’un et l’autre, curieux et le rampant est arrivé à mes pieds. De deux doigts en pince, il a un peu relevé ma blouse pour reluquer dessous et ses doigts longs et fins se sont posés sur ma cuisse. Un contact glacé malgré la barrière du bas, un attouchement objectivement anodin mais répugnant et qui m’a fait frissonner au point de mordre ma lèvre inférieure de dégoût, et j’ai pensé : « Toi qui voulais vivre avec intensité, vivre tes fantasmes et des évènements exceptionnels, tu es servie! » Le rampant a sorti sa langue, longue, fine, pointue ; je n’en vais jamais vu de cette forme, sauf chez des oiseaux ou des batraciens, peut-être, et il l’a posée sur ma jambe pour lécher la fine résille de mon bas, peut-être pour goûter comme un animal le ferait. « Icha, tolie ! » Je sentais leur odeur corporelle puissante monter vers moi ; une odeur anormalement aigre et à peine recouverte de celle d’une eau de toilette dont ils avaient pourtant été largement aspergés après la douche. J’ai baissé les yeux sur eux pour mieux percevoir leur aspect. Ils devaient mesurer 1,20 m, pas plus. Leur mère m’avait dit qu’ils pesaient moins de 25 kgs. J’étais littéralement tétanisée par leur aspect presqu’animal, des êtres hybrides, des mutants, c’est évident, à cause de leurs anomalies génétiques. Deux jumeaux aussi déglingués l’un que l’autre: une espèce de singe malhabile et un reptile humain, m’examinaient avec curiosité. Joslin a pris ma main : « Icha, ati ? » De son autre main vaguement tendue, il me montrait le canapé derrière moi et j’ai compris qu’il devait m’inviter à m’y asseoir. J’ai reculé lentement vers ce siège et à chaque pas, la main trop froide du rampant touchait mon mollet et déclenchait un frisson : angoisse, répulsion mêlées. « Ati = assis, OK, je note ! », me suis-je dit tout bas pour me reprendre un peu. Je me suis assise, comme il le voulait, sur le petit canapé recouvert de tissu. Ils sont restés devant moi pour me regarder encore. J’avais l’impression que deux animaux curieux me détaillaient avant de se jeter sur moi. Ressentent-ils de la timidité, de la compassion, ces deux là? Sont-ils capables de percevoir ce que je ressens ? Joslin se balançait doucement et avait ses grands yeux ouverts. Il ne cillait pas, bien évidemment, et cela ajoutait encore à l’étrangeté de son regard. « Icha, Ochlin, Tantin tenti ? » Il me posait une question. Voyons : « Ochlin, Tantin tenti ? », mais oui, bien sûr, cela voulait dire : » Joslin et Quentin, gentils ? » Il devait se souvenir des recommandations de sa mère. J’ai osé le regarder avant de répondre d’une voix faible, tant ma gorge était sèche et serrée: « Oui! » Il a lâché ma main pour esquisser une sorte de pas de danse en oscillant d’avant en arrière, est revenu vers moi et s’est posé juste devant mes genoux, ses longues mains jointes sur sa poitrine. Je dis posé, car pour s’installer, il s’est comme affaissé sur ses « jambes » repliées sous lui. Son frère est arrivé à côté de lui et il a avancé sa main droite pour, lui aussi, toucher le tissu de ma blouse sur ma cuisse. J’avais les jambes bien serrées en un réflexe de peur que je ne parvenais pas à dominer. Le rampant, lui, me touchait les jambes et les chevilles et les parcourait du bout des doigts. J’avais l’impression qu’un insecte se promenait sur ma peau et j’avais vraiment peur de ce qui allait se passer, peur de ne pouvoir tenir le coup nerveusement, de craquer. Il fallait pourtant assurer car je ne voulais surtout pas décevoir les attentes de mon chéri. Nous tenions trop à ce que cette relation d’affaire réussisse. « Icha, tolie ! » Joslin s’est un peu relevé en se penchant vers moi et les longs doigts de sa main gauche sont venus frôler ma joue. J’ai encore frissonné de dégoût mais l’ai laissé faire. Le rampant a effleuré et palpé mes mollets et mes chevilles. Ses doigts étaient toujours glacés. Un long frisson a parcouru mon crâne, ma gorge, mon torse et mon dos à cause de ces attouchements croisés. Ils me regardaient, m’examinaient, me palpaient maintenant sans vergogne et je voyais aussi leurs yeux étranges aller et venir de haut en bas et de gauche à droite, sans arrêts sur image. Quatre petits scanners balayaient le paysage que je leur proposais. J’essayais de tenir le choc, de faire bonne figure, de ne pas montrer le sentiment de répulsion qui m’envahissait, mais c’était difficile. Je ne bougeais pas, je les laissais faire, alors les doigts de Joslin sont venus se poser sur mon épaule puis sont remontés vers mon cou. Plus bas, le rampant avait glissé une main entre mes deux mollets serrés et tentait de remonter plus haut. Un autre long frisson de répulsion m’a secoué le corps et j’ai détourné le regard sur le côté. J’ai alors vu la bosse qui déformait le caleçon de Joslin, puis, plus bas, celle qui relevait le bas de la veste du rampant qui s’était un peu retourné sur le côté et j’ai eu une espèce de nausée, un spasme abdominal, l’envie de me lever et de courir au dehors de cette pièce, de me réfugier aux toilettes et de m’y enfermer. Ils bandaient, l’un et l’autre.Deux doigts sont venus lisser un bouton de mon haut et jouer un peu avec. Ils le faisaient tourner comme un bouton de réglage. Tout en faisant cela, Joslin cherchait à capter mon regard. « Icha, ontan ?» J’ai tenté de lui sourire. Je devais absolument dominer mon trouble pour parvenir à relever ce défi Xtrème. J’ai hoché la tête en signe d’assentiment et me suis appliquée à mieux respirer pour tenter de reprendre pied. Il était visiblement ravi de constater que je pouvais le comprendre assez facilement. Il a esquissé un sourire, une vraie grimace, en fait, car comme son frère, il n’a pas du tout de lèvres, puis il a retiré prestement ce bouton. « Icha, ontan ? » Je devais tout faire pour me reprendre et me calmer, pour faire face et assurer de mon mieux. « Laisse les faire ma fille et surtout suis les conseils que l’on t’a donnés, tu n’as pas d’autre solution. En plus, si tu es lucide, ils ne sont pas pires que certains vieux que tu connais et ils sont propres, ce qui n’est pas le cas de tout le monde si tu vois ce que je veux dire. Bien sûr, leurs physiques de petits monstres de foire ne te facilitent pas la tâche mais après tout, n’est-ce pas ça que tu cherches ? », me suis-je dit. Je suis parvenue à lui sourire et il a entrepris de défaire, encouragé par mon attitude passive, et en bourdonnant d’une voix de gorge une ritournelle, un à un, tous les boutons du haut de ma blouse puis il a écarté les deux pans pour découvrir mon soutien-gorge tandis que l’autre, ravi lui aussi de constater que je les laissais faire, était parvenu à ouvrir un peu mes jambes, en douce. J’ai senti sa main se glisser entre mes deux genoux et, mes épaules s’étant contractées en un réflexe animal, j’ai involontairement croisé son regard. Il était joyeux et une large grimace découvrait ses dents grises et pointues. Tétanisée par cette épreuve qui m’attendait et se précisait, je ne pouvais même plus bouger et de nouveau, j’étais sur le point de céder à la panique. La main glacée du rampant tentait de se faufiler plus haut et Joslin sautillait sur place, maintenant, et chantonnait : « Icha tolie, Icha ontan, Oschlin Tantin, ontan….» Il a regardé son frère qui lui souriait en bavant, les dents découvertes. Joslin parlait le plus souvent pour eux deux. « Tantin Eugad ! Eugad !» Il a dégrafé, calmement, un à un, tous les boutons du bas comme on ferait pour le vêtement d’une poupée, avec le même détachement méticuleux et l’autre en a profité pour lisser la fine résille des bas sur mes cuisses encore serrées. Joslin a pris ma main pour me faire lever. « Icha, euti a ope, euti, tenti ! » J’ai bien compris ce qu’il voulait. Il me demandait de retirer ma blouse et me faisait remarquer qu’ils étaient gentils. J’ai péniblement réussi à demander : « Vous voulez que je retire ma blouse, c’est ça ? » Il a hoché la tête et émis un « Wich ! » : son oui à lui, en regardant son frère qui avait posé sa bouche humide sur mon genou et humait mon parfum en aspirant fortement. Ils avaient des regards de hiboux, ces aliens de BD porno. Je me suis levée et j’ai retiré ma blouse avant de la poser sur le canapé. J’étais maintenant debout devant eux et j’ai réussi à dire : « Comme cela ? » Il a hoché la tête, cette espèce de ballon vert marron avec les oreilles décollées et trop petites. « Wich ! » Il est revenu vers moi et tous deux ont touché mes jambes, mes bas, plus exactement, du bout des doigts, les yeux rivés sur ces gestes d’exploration, puis ils sont remontés lentement vers la fourche de mes jambes, l’un par devant et l’autre par derrière. Le rampant a relevé la tête pour dire : « tou, toli, tou ! » Il trouvait cela doux et joli. Je me suis dit que je commençais à parler leur langue. Je les ai regardés faire. La main du rampant s’est glissée entre mes genoux et a remonté lentement plus haut. Elle me faisait frissonner. Son autre main est venue appuyer sur l’intérieur de ma cuisse gauche. Cela ne servait plus à rien de résister ni même de faire semblant, alors j’ai légèrement écarté mes jambes en décalant un peu mon pied droit vers l’extérieur. La main du rampant est tout de suite arrivée en haut, tout en haut, et d’un doigt fureteur, il a apprécié le tissu de mon string puis, en remontant sur le côté, a lissé la ficelle sur ma hanche tandis que l’autre chantonnait son interminable ritournelle et avait approché son visage pour mieux voir ce que faisait son frère. Ils examinaient la chose avec curiosité. Joslin a avancé sa tête et léché le tissu et ce geste a déclenché en moi un long frisson viscéral. Ma tête est partie en arrière sous la trace humide et glacée de sa langue. La vision de cette langue étrangement longue et pointue sur mon triangle, avec son aspect de vieux cuir et sa forme animale, m’avait révulsée. Il a recommencé à plusieurs reprises et je sentais sa langue fine, puissante et dardée enfoncer peu à peu le petit tissu dans mon sillon intime. Ces attouchements déclenchaient en moi des frissons profonds, et parfaitement glauques, comme si, finalement, une bestiole immonde venait jouer sur ma fente. Tout en léchant le fond de mon string, il a entrepris de retirer sa veste de pyjama. Il devait avoir chaud car je sentais de plus en plus nettement l’odeur entêtante de leur transpiration. J’ai vu que la bosse de son caleçon avait encore pris du volume et il a baissé son sous vêtement, d’une main, en se tortillant gauchement sur le tapis. L’autre aussi avait profité de mon absence mentale pour se dénuder. Joslin est revenu vers moi et m’a fait asseoir en me poussant doucement vers l’arrière d’une main posée sur mon ventre. Il a posé ses mains sur mes genoux et les a repoussée de chaque côté en insistant pour que j’écarte mes jambes. J’ai cédé à cette pression et elles se sont ouvertes. Comme ce n’était pas suffisant, il a encore appuyé, plus fortement, en chantonnant et en me disant d’un ton insistant: » Oupe ! Entow ! Oupe entow ! » Il s’énervait un peu, alors, pour éviter qu’ils ne réagissent mal, j’ai fermé les yeux, posé ma nuque sur le dossier du canapé et cédé totalement à la pression de leurs mains. Mes jambes étaient largement ouvertes maintenant et leurs doigts sont de suite venus s’installer sur le petit triangle de dentelle. Joslin a approché son visage et a encore léché le fond de mon string. « Laisses les faire ce qu’ils veulent maintenant ! Tiens toi tranquille et laisses les jouer! Avoues-le, cela commence même à t’exciter, hein, salope ! Oui, salope ! Tu es une salope ou bien ? Alors laisses les faire ce qu’ils veulent! » J’étais partie ailleurs mentalement, je laissais filer mes pensées et l’un d’eux en a profité pour doucement écarter le fond de mon string et lisser mes grandes lèvres du bout de son doigt glacé. Ce contact intime m’a fait frissonner de manière très violente. Il a encore écarté le tissu et sa langue est venue sur ma fente comme une longue limace grise, humide, trop froide et fouineuse. Elle s’est enfoncée un peu entre les lèvres de mon sexe et pour la première fois, j’ai gémi. Cela devenait efficace, un peu trop à mon avis. Joslin a relevé la tête, l’espace d’un instant pour demander : « Icha, ontan ? » Il me fixait. J’ai vu ses yeux en soucoupe à travers mes yeux mi clos et j’ai hoché la tête pour lui répondre. Il a eu l’air satisfait et la langue pointue du rampant est revenue en moi pour lécher et s’enfouir plus profondément. Il a léché et fouillé mon sexe autant qu’il le voulait et je sentais sa langue pointue et dure de faufiler profondément en moi. Des doigts, parfois, glissaient plus bas et venaient explorer mon anneau. Certains se sont enfoncés, un peu, juste un peu, au début, puis un peu plus. Ils m’arrachaient des gémissements. Joslin a escaladé le canapé et s’est tourné vers moi. « Tétita, ontan ? Wich ?» Je ne pouvais plus dire un mot mais j’ai essayé de répondre par un sourire et il a fait glisser la bretelle de mon soutien gorge tout en chantonnant et sa langue s’est posée sur mon épaule. Une langue pointue, un peu rêche, de la couleur du cuir. Il a fait de même pour l’autre bretelle et son doigt glacé est venu se faufiler sous la dentelle du bonnet, pour atteindre l’aréole. J’ai frissonné de répulsion à ce contact trop froid, presque insupportable. L’autre s’occupait maintenant de ma fente à coups de langue habiles et ses doigts s’attardaient de plus en plus sur mon anneau qu’ils semblaient apprécier particulièrement. Joslin, devenu propriétaire des lieux, a passé ses mains dans mon dos. Il a appuyé sur ma nuque et je me suis un peu penchée pour qu’il parvienne à dégrafer mon soutien gorge qui a fini sur le tapis. J’avais les mains posées sur le coussin du canapé de part et d’autre de mes cuisses ouvertes. Il a touché mes tétons, délicatement et j’ai retenu un gémissement de répulsion et de plaisir mêlés. Le froid de ce contact, bien sûr, du dégoût physique, bien évidemment, mais aussi un peu de plaisir purement épidermique, à mon corps défendant, car son geste précis a été finalement doux. Il gesticulait sans cesse, il ne tenait pas en place et il est passé derrière moi. Ses mains ont englobé mes seins puis il a mordillé et léché ma nuque après avoir repoussé mes longs cheveux sur le côté. J’ai frémi et mordu ma lèvre inférieure pour ne pas gémir et contenir mon trouble. « Icha, ontan ? » J’ai un peu hoché la tête.Ses mains jouaient maintenant avec mes seins, les palpaient, les pressaient un peu, les caressaient, pinçaient les tétons érigés. Je laissais faire, les deux petits monstres : l’un en bas et l’autre en haut et ils en profitaient. « Ils ne te font pas mal, après tout ! Si tu ne penses plus à leur aspect, ça va aller ! », me suis-je dit pour m’apaiser un peu. Il est revenu sur le côté et il a léché et sucé mes seins, longuement, en chantonnant. « Je me laisse tripoter par deux aliens…», me suis-je dit. J’essayais de garder un minimum d’humour. Sa main droite a ensuite pris ma main et l’a guidée vers son sexe dressé. Du coin de l’œil, j’ai enfin osé regarder sa queue. Il bandait comme un âne et j’ai vu son sexe long, épais, dur, lisse, non circoncis, parfaitement dressé. Il a posé ma main dessus. A ce contact, j’ai ressenti un long frisson. Je touchais une barre rigide, froide, lisse. J’ai tenté, pour voir, juste pour voir de faire le tour de la hampe avec ma main mais cela a été impossible. Son sexe était vraiment très long, très gros et très épais. Il est venu plonger ses yeux dans les miens, comme un petit animal curieux l’aurait fait avec l’objectif d’une caméra. « Icha, ontan ? » J’avais entrepris de caresser doucement sa queue de ma main refermée sur la hampe, pour apprivoiser cet engin et le satisfaire. Je tremblais toujours mais il était trop tard pour reculer. Je lui ai souri comme j’ai pu et j’ai doucement décalotté sa queue pour examiner le gland. Une petite pomme vert bronze, voilà ce que j’ai vu. Il me laissait faire maintenant et s’occupait de mes nichons de manière assez efficace. L’autre m’avait peu à peu fait glisser vers le bord du coussin et me suçait les petites lèvres et le bouton de manière anarchique, comme le ferait un animal, tandis que ses doigts fouillaient ma fente. En fait, pour tenir le coup, il fallait juste que je parvienne à oublier leur aspect et que je me concentre sur leurs queues, alors, en soupirant, j’ai branlé doucement le chibre, en m’attardant sur le gland que je parcourais du pouce et du bout des doigts. Joslin me suçait les seins d’une langue mouillée en bourdonnant. Au bout de quelques minutes, il m’a fait lever pour s’asseoir devant moi après avoir repoussé son frère qui s’est, quant à lui, dirigé en rampant de côté, vers le matelas posé au sol. Il a touché ma petite culotte, du bout du doigt, en me regardant.« Icha euti, Oschlin, Tantin, tenti ! » J’ai compris ce qu’il voulait et j’ai fait glisser mon string jusqu’à mes chevilles et je l’ai retiré. Je me suis levée et redressée et son doigt est immédiatement venu entre mes jambes pour glisser tout le long de ma fente. :« Ooh, tolie, Oschlin, Tantin ontan….» Il m’a regardée droit dans les yeux : « Icha ontan, Oschlin,Tantin tenti ? » Je lui ai souri en hochant la tête, alors, il a escaladé le canapé, s’est installé dessus et il m’a montré son sexe puis celui de son frère, parfaitement dressés, tendus. Le sien était impressionnant, l’autre tout juste un peu moins effrayant. « Icha, eugard Tantin, vin, ouche ! » Il me désignait son frère allongé sur le matelas puis ma bouche en me disant de venir. J’ai bien compris qu’il voulait que je m’occupe de lui et de son frère, que je les suce et je me suis levée pour le suivre jusqu’au matelas et là, je me suis mise à genoux juste devant le rampant désormais allongé sur le dos, et son sexe érigé. Je l’ai regardé dans les yeux sans le vouloir et, de nouveau, une boule de glace m’a envahi le ventre et la poitrine, puis le dos. J’ai évité, surtout, de toucher ses « jambes ». Il a hoché et penché la tête, avec un air de hibou effaré. « Wich ! » J’ai fermé les yeux et penché ma tête vers la queue du rampant pendant que l’autre me tripotait le cul et l’entrejambe pour l’explorer et j’ai entrepris de lécher le gland du rampant du bout de la langue. Il était propre, au moins, alors je l’ai mis en bouche, pour voir, et une petite pomme me remplissait la bouche. J’ai essayé d’en avaler plus mais c’était vraiment difficile. C’était trop gros, mais j’ai essayé de faire de mon mieux pendant qu’il caressait mes cheveux en bourdonnant. Je le branlais lentement des deux mains l’une au-dessus de l’autre autour de la hampe et je pompais et suçais tout ce que je pouvais mettre en bouche. Pratiquer cette fellation m’a finalement calmé un peu. Je revenais à quelque chose de connu. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, il a gémi plus fort, a subitement arqué le dos en émettant un cri aigu et a éjaculé violemment. J’ai tout reçu dans la bouche. Des jets puissants, épais, très liquoreux ! J’ai retiré sa queue en un réflexe de recul et tenté d’avaler tout ce que je pouvais pour pouvoir respirer normalement. Il était plus qu’abondant, celui-là. Je devais avoir l’équivalent d’une tasse à café de liquide gluant dans la bouche et la gorge et j’ai dû m’y reprendre à plusieurs reprises pour avaler toute cette glaire un peu salée, au goût étrange, très difficilement. Il gémissait sans discontinuer d’une petite voix aigue, presque plaintive. Il avait les yeux révulsés, je ne voyais plus que deux soucoupes blanches et une bouche grande ouverte, comme celle d’un poisson hors de l’eau. Son sperme avait un goût inhabituel. J’ai quand même réussi à tout ingurgiter puis je l’ai essuyé avec une petite serviette posée à cette intention sur le matelas. Je l’ai bien essuyé, doucement, pour ne pas lui faire mal puis j’ai essuyé ma bouche. Je me suis déplacée à genoux pour attraper une petite bouteille d’eau et j’ai bu plusieurs gorgées pour parvenir à faire passer tout ça. Joslin m’a attirée vers lui. Il ne débandait pas. Il m’a dit : « Icha ontan, entow ? » J’ai bien compris ce qu’il voulait. Ils n’avaient jamais leur dose, ceux-là. J’étais prévenue, alors je suis venue à quatre pattes pour le branler et le sucer, lui aussi. Le sexe de Joslin était encore plus gros, plus long, plus épais, et je me suis dit que je n’allais pas pouvoir avaler cet engin et surtout le foutre qui allait en gicler, à chaque fois. J’avais déjà préparé la serviette et une autre également. Quelques minutes plus tard, il a joui, lui aussi, dans ma bouche et là, je n’ai pas tout avalé ; le reste a fini sur ma poitrine et dans la serviette. Ils ont joui, comme cela, dans ma bouche, quatre fois chacun puis Joslin s’est levé et a pris ma main pour me faire comprendre que je devais m’allonger sur le ventre. Je me suis laissé guider. « Au point où tu en es ! » me suis-je dis. Il a pris un gros coussin et me l’a fait mettre sous mon ventre, ce que j’ai fait. De ses deux mains, il a écarté mes jambes et mes cuisses puis a laissé son frère s’installer sur moi en un mouvement reptilien parfaitement répugnant. La main de Joslin est passée sous mon ventre pour jouer un peu avec ma fente qu’il piqué du bout du doigt tandis que l’autre se mettait sur moi en glissant sur mes reins. Il a enfin pu présenter son chibre entre les lèvres de ma fente et a poussé en chantonnant. Sa queue est lentement entrée en moi et j’ai mordu le drap pour ne pas gémir. C’était vraiment trop gros. Je sentais surtout le gros gland envahir et racler mes parois intimes. Il allait me défoncer la chatte, ce petit monstre ! J’ai gémi. Joslin a penché sa tête vers moi pour me dire : «Icha ontan, entow ? » J’ai hoché la tête et son frère a un peu plus enfoncé son chibre. Je gémissais et ne pouvais plus respirer. J’avais la respiration comme bloquée par ce gros sexe en moi. J’ai essayé de me calmer et je suis parvenue à reprendre mon souffle et lui a poursuivi les va et vient d’une manière mécanique en ahanant à chaque fois et en haletant, comme le ferait un petit chien. Il a tringlé ainsi pendant plusieurs minutes. Cela m’a semblé long. Il me ravageait la chatte. Une boule de chair au bout d’un pieu me fouillait le sexe! J’étais épuisée quand il a joui en moi. J’ai parfaitement senti son foutre gicler en plusieurs jets puis couler longuement au point de m’inonder le sexe. Il est resté en place puis a lentement glissé sur le côté. Il avait les yeux blancs. Il était ailleurs, comme évanoui. Son frère est venu sur moi à son tour et m’a empalée lentement avec son chibre encore plus énorme. Bien sûr, j’étais plus que lubrifiée mais c’était vraiment plus gros encore et j’ai cru qu’il allait me déchirer. Lui aussi m’a baisée d’une manière mécanique, quasi animale, avant de gicler en moi et de retomber sur le matelas. J’en ai profité pour me relever et aller dans la salle de bain d’un pas chancelant pour me rafraichir, me laver l’entrejambe, la bouche et le sexe et je suis revenue après avoir bu un verre d’eau. Heureusement, leur mère avait tout prévu. A mon retour dans la chambre, Joslin et son frère bandaient toujours et une odeur tenace de sperme et de sueur envahissait l’atmosphère. Ils étaient revenus à eux et me regardaient revenir vers le matelas. « Icha, ontan, Oschlin, Tantin tenti ? » Je lui ai souri en hochant la tête et en leur demandant « « Vous voulez encore ? » Il a secoué sa tête en ballon de cuir à se la décrocher avant d’ajouter, en grimaçant un sourire à son frère: « Wich ? » Je suis venue à côté de lui sur le lit puis je me suis allongée entre ses jambes et j’ai essuyé sa queue encore recouverte de sperme. Elle était dure comme un morceau de bois. J’ai léché le gland et l’ai avalé. Il me regardait faire. Il était doux, son gland, rond et lisse, très proéminent. J’ai palpé ses couilles, juste pour voir : deux œufs bien durs sous une peau plissée, sans pilosité aucune. J’ai soulevé la tige pour les regarder et là, j’ai vu ses jambes atrophiées et ses petits pieds déformés : deux petits tas d’os et de chair ignobles. J’ai parcouru ses boules de la pointe de la langue puis ma langue est remontée le long de la tige pour revenir lustrer le gland. Je l’ai bien branlé des deux mains tandis que l’autre était revenu me prendre comme tout à l’heure. J’ai senti son corps glacé ramper sur mes reins et mon dos puis sa bouche mouillée qui parcourait ma peau pour y déposer une longue trace baveuse de limace. Joslin a tout lâché dans ma bouche, encore une fois. En fait, avec eux, je n’arrivais pas à percevoir le moment où ils allaient éjaculer. J’ai avalé un peu et recraché les reste dans une serviette et j’ai léché sa bite avant de l’essuyer délicatement pendant que l’autre lâchait tout en moi. J’ai profité de leur absence mentale pour aller encore une fois vers la salle de bain, j’ai regardé ma montre, 16h50, encore 25 minutes à tenir et c’est bon, le contrat sera rempli ! Je me suis lavée et rafraîchie un peu avant de revenir vers eux. Joslin était sur le dos. Il a pris ma main me faire comprendre que je devais venir sur lui pour m’empaler sur sa bite. Heureusement, j’avais pris soin de mettre un gel lubrifiant et cela m’a bien aidé puisque j’ai pu enfoncer en moi ce véritable pieu sans souffrir. J’avais du mal à respirer et j’ai fermé les yeux tellement c’était gros en moi. L’autre est revenu à lui et est de nouveau venu se glisser sur mon dos. J’ai compris ce qu’il voulait, mais j’étais fatiguée et j’ai laissé faire comme ils voulaient, j’ai bien creusé mes reins en collant ma poitrine sur la tête de Joslin qui en a profité pour me sucer les seins. Le rampant a pointé son sexe sur mon anneau et je n’ai pas résisté. J’ai gémi rapidement car sa queue longue et très dure tentait de s’enfoncer en moi, lentement, mais cela me faisait mal. C’était comme si une barre de fer allait me perforer. J’avais la tête en arrière et je gémissais. Heureusement, il a joui rapidement avant de parvenir à ses fins et s’est immédiatement retiré. Joslin m’a repoussée sur le côté. Il s’est relevé, a rampé lui aussi jusque sur mon dos et il m’a fourré sa queue, d’un coup, bien à fond dans la fente. J’ai arqué ma nuque et j’ai gémi tellement c’était gros.Il m’a limée en ahanant et a joui en moi en me tirant les cheveux. Son foutre était toujours aussi abondant. C’était impressionnant. Il est resté sur moi, avachi. « Heureusement, il n’est pas lourd comme Emile, celui-là ! », me suis-je dit. Je l’ai gentiment repoussé sur le côté pour aller encore une fois dans la salle de bain me laver et laisser couler tout ce foutre qui avait inondé ma chatte. L’un d’eux était réveillé et m’a appelée. « Icha, entow ! » 16h59. Merde ! Je suis revenue vers eux, en souriant, et je les ai encore bien branlé et sucé à tour de rôle jusqu’à ce qu’ils larguent tout dans ma bouche et surtout dans une serviette préparée à cet effet. Profitant de leur énième coma érotique je me suis habillée et j’ai enfin quitté la chambre. Ils dormaient maintenant. Ils avaient son compte ou bien ? Mme se Siennes m’a entendue et m’a récupérée dans sa chambre. Elle m’a serrée contre elle et m’a offert de prendre une douche. J’ai accepté. Je sentais le foutre des jumeaux et l’odeur de leur transpiration imprégnait ma peau et mes bas. J’en avais besoin. Je l’ai regardé, d’un air volontairement modeste, en rougissant en en baissant les yeux : « J’ai fait de mon mieux madame ! » Je me séchais. Elle est venue m’embrasser et me peloter un peu et elle m’a répondu : « Je le sais ! J’ai écouté à la porte, je l’avoue, pour vérifier que tout allait bien pour vous et la séance a été filmée, à la demande expresse de votre mari, vous êtes épatante ! Vous aurez ce film à disposition lors de votre prochaine visite. Je vous attends! A très bientôt ! » Un dernier baiser et je suis partie. (à suivre)
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