Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 103 J'aime
  • 8 Commentaires

Livraison à domicile

Chapitre 1

Erotique
Livraison à domicile.
J’étais à Bordeaux pendant cette époque riche en anecdotes sexy. j’avais une bonne vingtaine d’année.
Une cliente était immobilisée à cause d’une entorse, suite à une chute aux sports d’hiver. Seule chez elle et ne pouvant pas conduire, avait demandé qu’on lui livre ses médicaments.
Cette fois-ci c’était moi qui était chargé de cette livraison. Je n’ai pas regretté ce déplacement!
Le mari de cette femme était militaire de carrière. Il était en mission au Tchad à cette époque.
Je connaissais cette cliente, depuis peu de temps, très belle femme d’une quarantaine d’année. Je ne l’aimais pas trop, avec son air BCBG, genre à vouloir tout le monde à ses pieds.
Après avoir attendu un bon moment derrière la porte après mon coup de sonnette, elle m’ouvre enfin, se tenant sur une jambe avec une canne anglaise pour l’aider.
Quand elle m’a vu, elle a crié:
— Ah, c’est vous !
Et a rajouté de suite :
— Tant mieux, j’ai un service a vous demander!
Je lui ai répondu gentiment :
— A votre service, Madame !
Après avoir déposé la poche de médicaments sur la table, elle me tend un tube de gel anti-inflammatoire qu’elle avait déjà préparé et m’a dit:
— L’infirmière ne vient que lundi, pouvez vous m’en passer dans le dos, j’ai trop mal et ne peut pas rester comme ça 3 jours.
— Pas de problème Madame!
J’ai suivi la cliente qui se dirigeait vers sa chambre. Elle s’était étendu sur son lit à plat ventre. Elle avait juste sa robe de chambre en satin rouge qu’elle souleva et là, je sois de superbes fesses.
Je ne restais pas insensible devant son joli corps. Je me ressaisissais vite pour garder un air sérieux. Elle m’expliqua où appliquer le gel. Je commençais a masser doucement et consciencieusement, le long de la colonne vertébrale et le bas des reins en évitant de frotter. Il ne faut surtout pas frotter avec ce genre de gel pour éviter des réactions épidermiques.
Elle appréciait mes massages et me félicitait sans arrêt:
— Hummmmm! Vous avez les mains douces !
Après avoir bien appliqué le gel, je lui demandais :
— Où puis-je me laver les mains s’il vous plaît?
Elle m’indiqua une porte donnant sur la chambre. C’était une salle de bain.
Après avoir bien lavé mes mains, je l’ai rejoins. Elle n’avais pas bougé, toujours allongée sur son lit sa robe de chambre encore soulevée.Elle me dit qu’elle avait encore envie de massages, que ça lui avait fait beaucoup de bien.
Je lui réponds:
— D’accord, mais sans le gel !
Je lui ai expliqué qu’elle risquerait d’avoir une réaction allergique a cause d’un surdosage.
J’ai donc repris les massages avec une huile qu’elle m’avait demandé de prendre dans la salle de bain.
Je me suis mis à genoux sur le lit, les jambes écartés de chaque coté des jambes de la belle cliente.
Elle me flattait:
— Hum c’est trop bon, continuez … Vous allez m’endormir !
Je soupçonnais ma cliente de profiter de ma présence pour son propre plaisir.Elle écartait de plus en plus ses jambes. La, je pouvais admirer sa chatte très distinctement, lisse sans un poil. J’étais très tenté d’aller plus loin mais je me méfiais avec ce genre de personne.
Comment réagirait-elle si j’osais pousser mes caresses indécemment?
Donc, méfiant, je frôlais de plus en plus près son intimité, et à chaque fois elle lâchait un « Hummmmm! C’est bon ! »
Cette pensée d’oser, me trottait de plus en plus dans la tête: « Tant pis ! On verras bien ça réaction.»
La, j’ai effleuré sa chatte avec douceur, elle ne disait rien donc j’y revenais de plus en plus souvent. J’ai remarqué de la cyprine qui luisait au bord de ses lèvres intimes. Elle ne disait toujours rien comme si elle s’était endormie. Trop excité, j’ose glisser un doigt le long de sa fente.Toujours aucune réaction. Mes attouchements devenaient plus significatifs.
Là, je commençais à la branler doucement.
Cette situation m’excitait énormément.
J’entendais enfin un long « Hummmmmmmmm ! » Ce qui m’encourageait a continuer et pourquoi pas aller plus loin dans mes caresses coquines. Dans l’état où j’étais je ne voulais pas m’arrêter en si bon chemin,Je commençais sérieusement à bander devant cette situation.
Je n’en pouvais plus et j’ai murmuré:
— Madame vous m’excitez ... si je ne me retenais pas je ...
Elle poursuivie:je ... Quoi ? Auriez vous des pensées coquines, jeune homme ?
Là, sans lui répondre, je me suis allongé près d’elle, mon sexe bandé contre ses fesses, j’ai commencé a l’embrasser dans le cou, mes caresses n’étaient plus médicales mais devenaient très érotiques.L’huile de massage embaumait son corps et masquait l’odeur du gel,
J’avais la situation en main, elle s’abandonna totalement.J’ai viré mes vêtements et je me suis retrouvé nu a ses côtés.
Je regardais ma bite s’enfoncer dans les chairs de cette belle femme bien plus âges que moi! A chaque va-et-vient je l’entendais gémirNous avions fait l’amour un bon moment et jouis à l’unisson !
Bon c’est sûr qu’on a pas révisé les positions du Kamasutra, vu son état, mais c’était bon et ma cliente n’attendait que ça visiblement !Sûrement que l’éloignement de son mari expliquait son manque !
Promis ! Dés qu’elle irait mieux, je retournerai lui faire une petite visite...
Pour l’instant il me fallait vite revenir au boulot. Les collègues pourraient se poser des questions.
Diffuse en direct !
Regarder son live